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Grand Prix du Maire de Champignac (palmarès annuel 2013 à 2018) (28/50) (17 11 2019)

 

Après les séries précédentes (2005 à 2012), nous reprenons avec humilité et gourmandise, la publication d’extraits (4 par dimanche, pour ne pas dépasser la dose prescrite) d’articles ou de déclarations en politique, sports, loisirs ou société dont l’humour involontaire fleurit grâce à l’académie suisse du Grand Prix de Champignac dans son palmarès de 2013 à 2018 (cliquer ici pour accéder au site du Grand Prix de Champignac)

http://www.distinction.ch/LD.Champignac/LD.Champignac.html

 

Grand prix du maire de Champignac (2015)

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Candidat n° 19

«Moi, ce que je souhaiterais, c’est finalement qu’effectivement on arrête 1) de légiférer de manière extrêmement fréquente 2) de légiférer à Genève de manière extrêmement précise sur ce domaine, avec non seulement des lois, mais des règlements qui sont à la fois protubérants, pléthoriques et pas appliqués.»

Benoît Genecand, député PLR-GE, supra RTS-La Première,
2 mai 2015, vers 18h10

Candidat n° 20

«Le procureur avait requis 6 ans de prison à l’issue d’une audience qui a parfois nécessité toute la ferme autorité de la présidente pour ne pas partir en quenotte.»

Georges-Marie Bécherraz,
in 24 Heures, 18 janvier 2015

Candidat n° 21

«Ma relation avec la langue française est la même qu’avec ma femme. Je l’aime beaucoup mais je ne la maîtrise pas du tout.»

Aldo Schellenberg, commandant des Forces aériennes,
in 24 Heures, 20 mars 2015

Candidat n° 22

«Il a été à deux doigts de se faire amputer des deux pieds à la suite d’un accident de travail.»

Jean-Luc Wenger,
in Vigousse, 17 avril 2015

 (à suivre)

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