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  • Rappel de produits (mise à jour du 23 octobre 2014)

     

    Nous proposons ici chaque samedi dorénavant (après chaque mois depuis le 21 octobre 2011), une liste d’avis publiés ces jours récents, récapitulés avec ceux des trois semaines précédentes. Nous les avons trouvés sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappel de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    Liste des rappels des semaines du 22 09 au 25 10 2014

    21/10/2014 Avis de rappel d’une crème hydratante corporelle de marque Népenthès
    L’étiquetage fait référence aux nourrissons alors qu’il est déconseillé d’appliquer cette crème sur leur peau.

     

    21/10/2014 Avis de rappel d’un adaptateur USB de marque CASA
    Risque de choc électrique

     

     

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  • Etiquetage nutritionnel (24 10 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 21 août 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140612323.html

    Question écrite n° 12323 de Mme Michelle Demessine (sénateur du Nord)

     

    Mme Michelle Demessine attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la nécessité de définir un modèle national d'étiquetage nutritionnel simplifié afin de lutter contre les maladies chroniques liées à une mauvaise alimentation. 
    En France, 49 % des adultes et 18 % des enfants sont obèses ou en surpoids, 3 millions de personnes sont diabétiques ; quant aux maladies cardiovasculaires, elles représentent la deuxième cause de mortalité avec 147 000 décès annuels. Alors que les produits transformés constituent désormais la grande majorité des aliments consommés, l'observatoire de la qualité de l'alimentation (OQALI) a démontré que sur les dix dernières années, l'industrie alimentaire n'a pas été en mesure de diminuer les taux de matières grasses saturées, de sucre ou de sel dans les aliments. C'est donc intégralement sur les consommateurs que repose la responsabilité de construire une alimentation équilibrée dans la durée, mais de nombreuses études montrent leur incapacité à identifier la qualité nutritionnelle de ces aliments industriels. En effet, qu'il s'agisse de l'étiquetage défini par la réglementation européenne ou des étiquetages volontaires mis en œuvre par les professionnels, leurs formats restent tous particulièrement complexes et donc inutilisables en pratique.

    C'est dans cette optique qu'un rapport remis en janvier 2014 à la ministre de la santé propose une échelle nutritionnelle simple et compréhensible par tous, classant les aliments en cinq classes sous la forme d'une échelle de couleurs afin de lui assurer une grande lisibilité. Alors que les divers formats nutritionnels existants nuisent par leur diversité à la compréhension et à la comparaison entre produits, cette proposition a pour ambition de fournir un modèle national unique pour les étiquetages que les professionnels pourront mettre en place à titre volontaire. Cette mesure présente aussi un intérêt pour les industriels, car elle incitera à l'amélioration de la composition des produits en valorisant leurs efforts au travers d'un positionnement plus favorable sur l'échelle nutritionnelle visible par les consommateurs.

    Cette mesure est soutenue par trente-et-une sociétés savantes, organisations scientifiques, associations de malades et de consommateurs. Elle est également appuyée par une pétition ayant recueilli plus de 20 000 signatures de professionnels de la santé. Alors que l'obésité et le surpoids continuent à augmenter chez les adultes et les enfants des classes défavorisées, alors que les chiffres du diabète augmentent de 6 % chaque année, il est essentiel que la loi de santé publique qui donnera les grandes orientations de santé pour les dix ans à venir comporte un volet nutritionnel à la hauteur des enjeux que représente l'alimentation.

    Compte tenu de ces éléments, il lui demande donc de bien vouloir lui indiquer comment, à l'instar des réflexions qui ont lieu actuellement au vu du projet de loi de santé publique de 2014, le Gouvernement entend encadrer les modalités de mise en œuvre de cet étiquetage nutritionnel nécessaire à la prévention de l'obésité et à l'information du consommateur.

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 21/08/2014 p. 1934

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  • Parler avec son pharmacien (23 10 2014)

    Note d’information parue en juillet 2014 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1761963/fr/parler-avec-son-pharmacien.html

    Pourquoi est-ce important ? 

    En parlant avec le pharmacien vous pouvez éviter des erreurs et mieux comprendre vos traitements. Tout est important : vos problèmes de santé, un changement de médicament, de régime alimentaire, les effets inattendus ressentis, l’orthographe de votre nom, vos réticences et inquiétudes, etc.

    "Ma sécurité dépend aussi de ma vigilance"

    Je n’hésite pas à poser des questions, j’échange avec le pharmacien sur ce qui est important et utile pour moi.

    Je n’hésite pas à signaler au pharmacien, comme au médecin, la survenue d’un effet indésirable ou inhabituel lié à la prise d’un médicament ou à l’utilisation d’un dispositif médical (par exemple : rougeur cutanée, diarrhée, somnolence, malaise, vertiges, chutes ..  ).

    Je peux aussi le déclarer sur le site de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM)

    Documents

    ·         Brochure Parler avec son pharmacien (http://www.has-sante.fr/portail/images/jalios/icons/files/pdf.gif 692,1 Ko) ReadSpeaker Écouter

    ·         Affiche Parler à son pharmacien A3 (http://www.has-sante.fr/portail/images/jalios/icons/files/pdf.gif 691,52 Ko) ReadSpeaker Écouter

     

    Conseils utiles pendant la visite à la pharmacie

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  • Papier : recyclage (22 10 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 21 août 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ121002322.html

    Question écrite n° 02322 de M. Roland Courteau (sénateur de l’Aude)

     

    M. Roland Courteau expose à Mme la ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie qu'en France, avec 64 à 94 kg consommés par an, soit trois ramettes par mois et par salarié, le papier est le premier consommable de bureau.

    Il lui précise que le recyclage permet de limiter l'empreinte écologique de la production de nouveaux papiers, grâce à la réutilisation de la matière première.

    Pourtant le taux de recyclage en France reste bas, avec seulement 43 % des papiers et cartons recyclés par les ménages, ce qui équivaut, selon WWF France, à un gisement inexploité de 1,7 million de tonnes. De surcroît, dans le secteur tertiaire, l'estimation en 2010 serait encore plus préoccupante, puisque seulement un papier sur cinq serait récupéré pour être recyclé. 

    Il lui rappelle donc que selon l'article 48 - Titre IV - de la loi n° 2009-967 du 3 aout 2009, de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l'environnement « l'État se donne pour objectifs (...) d'ici à 2012, (...) de généraliser le recyclage du papier utilisé par ses administrations et, à cette date, d'utiliser exclusivement du papier recyclé ou issu de forêts gérées de manière durable. »

    Il lui indique que trois ans après, selon une étude réalisée auprès de 50 grandes institutions et administrations publiques françaises par WWF France, les résultats sont décevants, alors que le recyclage permet de créer de l'emploi non « délocalisable » grâce à la filière de la collecte et du tri. 

    Il lui demande donc, à la lumière de ces résultats, de lui faire part de ses réflexions et surtout des initiatives susceptibles d'être mises en œuvre, afin que les institutions et administrations publiques procèdent à des mesures nouvelles ou correctives, dans le but de limiter durablement l'impact de leur papier sur le patrimoine forestier national et sur l'environnement en général. 

    Réponse du Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie publiée dans le JO Sénat du 21/08/2014 p. 1951

     

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  • Vaccinations : synthèse (21 10 2014)

     

    Note de synthèse publiée le 20 octobre 2014 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education Sanitaire (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/70000/cp/14/cp141020-vaccination.asp

    En hiver, au printemps, en été ou à l’automne, la mise à jour des vaccins c’est toute l’année !

    Bébés, jeunes, adultes… Quel que soit l’âge, nous sommes tous concernés par la vaccination. Et pour cause : c’est le moyen de prévention le plus efficace pour se protéger de certaines maladies infectieuses. Si aujourd’hui plus de 8 Français sur 101 s’y disent favorables, ils sont encore 19% à déclarer ne pas être à jour de leur vaccination. Pour autant, il n’est jamais trop tard pour se faire vacciner et les rattrapages sont possibles toute l’année ! Pour permettre à toute la famille d’être correctement protégée, l’Inpes propose aujourd’hui une piqûre de rappel sur les vaccins et les mises à jour.

    La vaccination, ça commence dès le plus jeune âge !

     

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  • Accès à l’emploi des jeunes (20 10 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 21 août 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120700859.html

    Question écrite n° 00859 de M. Michel Le Scouarnec (sénateur du Morbihan)

     

    M. Michel Le Scouarnec attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social sur l'accès à l'emploi des jeunes. 
    L'insertion professionnelle des jeunes sur le marché du travail est très difficile puisque 23 % des moins de 25 ans sont au chômage, soit 8 % de cette tranche d'âge. Déjà fragile avant la crise, la situation des jeunes n'a cessé d'empirer, notamment pour ceux qui n'ont pas terminé leurs études ou ont connu un parcours scolaire difficile. Ce constat est d'autant plus alarmant à la lumière de la récente réforme des retraites qui aura pour conséquence de retarder le départ à la retraite des plus anciens en privant les jeunes d'accès à l'emploi. 
    Au-delà de l'entrée dans une activité professionnelle, d'autres questions se posent pour ces jeunes concernant leur autonomie financière et leur accès au logement, puisqu'ils vivent avec peu de revenus, voire aucun.

     
    Déclarée priorité du Gouvernement, la réponse à l'insertion des jeunes ne doit pas uniquement passer par le développement de l'apprentissage. Mais cette volonté pourrait se heurter à la réalité de cette filière d'étude puisque de moins en moins d'entreprises acceptent des apprentis. De plus, nombreux sont ceux qui, dans le cadre de ce parcours mixte, vivent dans une grande précarité, faute de moyens financiers pour se loger à proximité de leurs entreprises. 

    C'est pourquoi il lui demande les mesures, autres que le développement de l'apprentissage, envisagées pour favoriser l'insertion professionnelle des jeunes de moins de 25 ans, souvent déjà hautement diplômés. 

     

     

    Réponse du Ministère du travail, de l'emploi et du dialogue social publiée dans le JO Sénat du 21/08/2014 p. 1972

     

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