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diabete

  • Diabète type 2 : nouvelle stratégie thérapeutique (24 06 2024)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 6 juin 2024 sur le site de la Haute Autorité de Santé du ministère chargé de la santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS  du ministère chargé de la santé)

    https://www.has-sante.fr/jcms/p_3191108/fr/strategie-therapeutique-du-patient-vivant-avec-un-diabete-de-type-2#xtor=EPR-1-[L'ActudelaHAS]-20240613.html

    Stratégie thérapeutique du patient vivant avec un diabète de type 2

    RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE - Mis en ligne le 06 juin 2024

    Contexte  

    La Haute Autorité de santé met à disposition des professionnels de santé ses nouvelles recommandations sur la stratégie thérapeutique du patient vivant avec un diabète de type 2 (DT2). 

    La prise en charge (PEC) du patient vivant avec un DT2, a connu ces dernières années des évolutions importantes.  

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  • Diabète : sensibilisation (30 11 2022)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 15 novembre 2022 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A16125?xtor=EPR-100.html

    Sensibiliser sur les causes du diabète

    Publié le 15 novembre 2022 - Direction de l'information légale et administrative (1er ministre)

    Service-Public.fr fait un point de situation sur le diabète en France et vous informe, à l'occasion de la Journée mondiale du diabète qui s'est tenue le 14 novembre. Avec pour thème en 2022 "L'accès aux soins pour traiter le diabète", cet événement est l'occasion de sensibiliser les Français à cette maladie, alors que plus de 3,6 millions de personnes sont traitées en France.

    Environ 700 000 personnes en France seraient porteuses de diabète sans le savoir. La journée mondiale du diabète est organisée chaque année depuis 1991 à l’initiative de la Fédération internationale du diabète (FID) et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

    Le diabète est une maladie chronique, qui se caractérise par un excès de sucre dans le sang. Sa prise en charge représente aujourd'hui un véritable enjeu de santé publique.

     

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  • Diabète et emploi (05 03 2020)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 27 février 2020 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2020/qSEQ200214408.html

     

    Question écrite n° 14408 de M. Yves Détraigne (sénateur de la Marne)

    Yves Détraigne souhaite appeler l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur l'interdiction faite aux diabétiques d'exercer un certain nombre de professions.


    En effet, la loi interdit aux personnes souffrant d'un diabète de type 1 (le plus grave) d'être pilotes d'avion ou d'hélicoptère, contrôleurs aériens ou ferroviaires, conducteurs de train… De même, ils ne peuvent pas non plus servir la France puisque les métiers de sapeur-pompier, militaire policier et gendarme leur sont interdits. Le diabète oblige même celui ou celle qui est détecté en cours de carrière à quitter son emploi ou à l'aménager !


    Toutefois, ces interdictions datent d'une époque où la gestion au quotidien de la maladie pouvait justifier des mesures de précaution pour certains corps de métiers. Or, les innovations technologiques et les évolutions thérapeutiques permettent aujourd'hui à une personne diabétique de tenir la plupart des emplois (capteurs de glucose en continu, traitements anti-hyperglycémiants et non hypoglycémiants…).


    Considérant qu'il conviendrait d'améliorer l'employabilité et le maintien dans l'emploi des personnes atteintes de diabète, il lui demande de quelle manière elle entend faire évoluer les textes réglementaires rendus obsolètes par l'évolution des traitements, des métiers et de leurs conditions d'exercice.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 27/02/2020 p. 1053

     

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  • Diabète : pompes à insuline implantables (14 11 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 31 octobre 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190912375.html

     

    Question écrite n° 12375 de M. Michel Dagbert (sénateur du Pas-de-Calais)

    Michel Dagbert attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur l'inquiétude suscitée par l'annonce de l'arrêt de la production des pompes à insuline implantables.


    En effet, certains diabétiques de type 1 ont besoin de ce dispositif car leur diabète n'est pas contrôlable par les autres dispositifs d'injection d'insuline du marché, du fait d'épisodes hyperglycémique ou hypoglycémiques sévères, fréquents ou inexpliqués.


    La pompe implantable reste le seul traitement qui permette d'améliorer ces diabètes instables et d'éviter les complications comme la rétinopathie et les nécroses des tissus plantaires, menant respectivement à la cécité et à l'amputation des membres inférieurs.


    Pourtant, le laboratoire américain Medtronics, seul fabricant au monde de ces pompes à insuline, a décidé de cesser leur production en 2020, ne les jugeant pas assez rentables.


    Cette décision pourrait ainsi provoquer, chez les patients qui y ont recours, de graves complications une fois que leur implant, d'une durée de vie de huit ans, sera arrivé en fin d'utilisation.

    Aussi, il lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures que le Gouvernement entend prendre pour pérenniser la fabrication de ce traitement bien spécifique, poursuivre sa prise en charge et rassurer les patients porteurs de cette pompe.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 31/10/2019 p. 5529

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  • Diabète (11 10 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 19 septembre 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190510348.html

    Question écrite n° 10348 de M. Maurice Antiste (sénateur de la Martinique)

    Maurice Antiste appelle l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la progression de la maladie du diabète, notamment en France et dans ses territoires d'Outre-mer.


    Quatrième cause de mortalité en Europe, le diabète touche 415 millions de personnes dans le monde d'après la fédération internationale du diabète. Celle-ci qualifie le phénomène de véritable pandémie et la lutte contre cette pathologie constitue un véritable enjeu de société et de santé publique. Car sa progression est considérable, et l'OMS prévoit 622 millions de diabétiques d'ici 2040.


    Le diabète est également à l'origine du décès d'1,5 million de personnes dans le monde, dont 34 000 en France. Ce nombre ne cesse d'ailleurs d'augmenter chaque année : la progression de cette pathologie était de l'ordre de 2,8 % entre 2014 et 2015. Aujourd'hui, près de quatre millions de personnes en France sont touchées : si 5,4 % de la population sont traités pharmacologiquement pour un diabète, (ce qui équivaut à 3,7 millions de personnes), 500 000 à 800 000 diabétiques s'ignorent.

    À la Martinique le nombre de diabétiques est d'environ 40 000, et chaque année les services de santé enregistrent 1 200 nouveaux cas. La prévalence du diabète traité, de l'ordre de 7,4 % en population générale, est deux fois plus élevée que la moyenne nationale. La Martinique est par conséquent, avec la Guadeloupe, le département français où le problème du surpoids et de l'obésité est le plus aigu. Ils ne sont pas à considérer seulement sur le plan esthétique, mais ils peuvent aussi être source de sérieuses répercussions sur la santé et sur l'avenir des personnes.


    Ainsi, Santé publique France, agence nationale de santé publique, a démontré dans « un bulletin épidémiologique hebdomadaire, consacré principalement au diabète de type 1 de l'enfant », que dans les Antilles françaises, les enfants sont particulièrement atteints. C'est notamment le cas de la Réunion et de la Martinique. Même si ces deux régions ne dépassent pas le taux national (de 18 % pour 100 000 habitants), elles s'en rapprochent dangereusement. Ainsi, la Martinique compte 17,8 % d'enfants diabétiques pour 100 000 habitants et La Réunion 14 % pour 100 000 habitants. En Guadeloupe et en Guyane, les chiffres sont moins élevés (respectivement 12,2 et 3,6 %) mais la situation n'en demeure pas moins préoccupante, Santé Publique France jugeant que le nombre de cas de diabètes (aussi bien nouveau qu'ancien) est « toujours plus élevé ».


    Enfin, le diabète entraîne bien souvent de graves complications : en France, 11 737 diabétiques ont été hospitalisés pour un infarctus du myocarde (soit 2,2 fois plus que chez les non-diabétiques), plus de 20 493 personnes ont été hospitalisées pour une plaie du pied (soit cinq fois plus que chez les non-diabétiques), dont 9 000 pour une amputation d'un membre inférieur (neuf fois plus que chez les non-diabétiques). D'ailleurs, l'agence régionale de santé relève que les complications (liées à cette pathologie) sont particulièrement graves et fréquentes en Martinique (insuffisance rénale, amputation des membres inférieurs, cécité, etc.) et la mortalité prématurée par diabète touche plus souvent les hommes. Le diabète constitue à ce titre la première cause d'amputation. En outre, le risque d'accident vasculaire cérébral imposant une hospitalisation est 1,6 fois plus élevé pour les diabétiques que pour les non-diabétiques.


    Aussi, il lui demande de bien vouloir lui préciser les mesures envisagées par le Gouvernement afin de lutter efficacement contre le diabète, et plus spécifiquement les actions qui seront menées pour endiguer ce fléau en outre-mer.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 19/09/2019 p. 4805

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  • Sophia : service gratuit pour diabétiques (06 03 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 14 février 2019 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13222?xtor=EPR-100.html 

    Sophia : un service d'accompagnement pour les diabétiques

    Publié le 14 février 2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Informations sur la maladie, conseils pratiques, soutien personnalisé par des infirmiers... L'Assurance maladie propose le service ″sophia diabète″ pour vous aider à mieux vivre avec la maladie.

    Le diabète est une affection métabolique caractérisée par une hyperglycémie chronique (taux de glucose dans le sang trop élevé) liée à une insuffisance ou à une mauvaise utilisation de l'insuline, hormone secrétée par le pancréas, ou même aux deux. Il existe différents types de diabète.

    Cette maladie concerne plus de 3,5 millions de personnes en France et le nombre de personnes atteintes est en constante augmentation. Elle se développe souvent silencieusement au début et peut être à l'origine de complications sérieuses. Cependant, il est possible d'agir pour en limiter les conséquences avec un traitement adapté et de bonnes habitudes.

    Qu'est-ce que sophia diabète ?

    C'est un service proposé par l'Assurance maladie depuis 2008 pour aider les personnes diabétiques à mieux connaître et gérer leur maladie et à adapter leurs habitudes afin de limiter les risques de complications et d'améliorer leur qualité de vie.

    Il offre des informations et des conseils qui permettent de connaître le suivi de la maladie et ses traitements, de mieux comprendre les résultats d'examens et l'importance de les faire régulièrement, d'identifier les risques de complications, d'adapter les habitudes de vie au quotidien, d'apprendre à surveiller la glycémie, de pratiquer une activité physique adaptée... Il donne aussi la possibilité d'échanger par téléphone avec un infirmier-conseiller en santé, en soutien des consultations avec le médecin traitant.

    C'est un service gratuit et sans engagement. Chaque adhérent est libre de le quitter à tout moment sur simple demande.

    Quelles conditions pour en bénéficier ?

    • être pris en charge en affection de longue durée (ALD) ;
    • avoir plus de 18 ans ;
    • bénéficier d'au moins 3 prescriptions par an de médicaments pour traiter votre diabète ;
    • avoir déclaré un médecin traitant.

    Comment s'inscrire ?

     

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