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accidents - Page 6

  • Prévention routière (06 06 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 25 avril 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ170700512.html

    Question écrite n° 00512 de Mme Marie-Françoise Perol-Dumont (sénatrice de la Haute-Vienne)

     

    Mme Marie-Françoise Perol-Dumont attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'intérieur, sur les chiffres de la sécurité routière. Après douze ans de baisse consécutive, les trois dernières années ont été particulièrement mortelles sur les routes. Plusieurs facteurs expliqueraient cette augmentation du nombre de tués par accident de la route : données météorologiques, recommandations du conseil national de la sécurité routière suivies d'aucune mesure concrète sur le terrain, relâchement des automobilistes. Là encore, les chiffres sont éloquents : les délits routiers ont augmenté de 17,6 %, les délits de fuite de 23,1 %, les défauts de permis de 13,8 %, ceux liés à l'alcool de 12,7 % et à la drogue de 44,1 %. À ce titre, la drogue tue également davantage : elle a été détectée dans 23 % des accidents mortels, contre 21 % en 2013. 
    La multiplicité de ces chiffres démontre que la répression ne permet pas, à elle seule, d'améliorer les comportements. Aussi souhaite-t-elle savoir quelles mesures précises le Gouvernement entend mettre en place, afin de permettre d'atteindre les moins de 2 000 tués sur les routes d'ici à 2020.

     

    Réponse du Ministère de l'intérieur publiée dans le JO Sénat du 25/04/2019 p. 2284

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  • Piles bouton : risques (03 04 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 27 septembre 2018 sur le site de la DGCCRF (cliquer ici pour accéder au texte du communiqué de presse)

    https://www.economie.gouv.fr/files/files/directions_services/dgccrf/presse/communique/2018/cp-piles-bouton.pdf

     

    DGCCRF / Direction générale de la santé / ANSES

    Paris, le 27 septembre 2018

    Communiqué de presse

    Piles boutons et jeunes enfants : des conséquences graves en cas d’ingestion

    De nombreux produits, tels que les télécommandes ou certains jouets, contiennent des piles bouton. Des accidents graves, parfois mortels, liés à l’ingestion de ces piles bouton par de jeunes enfants sont régulièrement signalés par les centres antipoison.

    Même en l’absence d’obstruction des voies respiratoires ou d’autres signes, l’ingestion d’une pile bouton représente un danger grave pour un enfant, En effet, une pile avalée peut entraîner très rapidement la formation de lésions potentiellement mortelles.

    Il est important que l’entourage des jeunes enfants adopte les bons réflexes afin de prévenir les risques et de réagir en cas d’ingestion, même supposée, de piles boutons.

    Afin d’éviter tout risque, il faut respecter les consignes suivantes :

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  • Conducteurs de deux roues : statistiques d’accidents (04 01 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 28 décembre 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ171001741.html

    Question écrite n° 01741 de M. Jean-Pierre Decool (sénateur du Nord)

    Jean-Pierre Decool attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'intérieur, à propos de l'existence de statistiques relatives aux accidents mettant en cause les cyclistes. Si l'usage des deux-roues est à encourager, grâce au développement de certains services proposés par certaines villes, il entraîne des situations nouvelles de circulation en perturbant les habitudes des piétons, des cyclistes et des automobilistes.

     
    Il lui demande si des statistiques relatives aux accidents mettant en cause les cyclistes sont en cours au même titre que les statistiques des accidents de la route et, dans l'affirmative, s'il serait possible d'accéder à ces statistiques. 

     

    Réponse du Ministère de l'intérieur publiée dans le JO Sénat du 28/12/2017 p. 4693

     

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  • Sécurité routière : bilan 2016 (06 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 28 juin 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/securite-routiere-3-477-tues-72-645-blesses-routes-2016.html

    Sécurité routière : 3 477 tués et 72 645 blessés sur les routes en 2016

    Le bilan définitif 2016 de l’accidentalité routière a été publié par l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), le 26 juin 2017. Si le nombre de personnes tuées sur les routes de France métropolitaine est quasi-stable par rapport à 2015, le nombre de blessés est en revanche en légère hausse. La vitesse excessive ou inadaptée reste la première cause de mortalité routière.

    Plus de piétons et de cyclistes victimes

    En 2016, 3 477 personnes ont trouvé la mort sur les routes, contre 3 461 en 2015. Il s’agit de la troisième année consécutive de hausse après une baisse historique de la mortalité routière en 2013.

    Parmi les victimes, la part des automobilistes et des cyclomotoristes diminue tandis que celle des piétons augmente. On déplore ainsi 559 piétons tués, soit une hausse de 19% par rapport à 2015. La mortalité piétonne concerne plus fortement les plus de 75 ans (47 victimes de plus en 2016), les 18-24 ans (22 victimes supplémentaires) et les moins de 14 ans (7 victimes en plus). 69% des piétons ont trouvé la mort en ville.

    On constate la même tendance chez les cyclistes. En 2016, 162 cyclistes ont perdu la vie, soit +9% en un an. Les accidents mortels se sont passés principalement en agglomération.

    Le nombre de blessés sur les routes est aussi en légère hausse, de 2,6%. En 2016, 72 645 personnes ont été blessées dans 57 522 accidents corporels (+1,6%). 27 187 ont été hospitalisées (+2,2%). Parmi les blessés graves, 43% sont des usagers de deux-roues motorisés, bien qu’ils ne représentent que 1,9% du trafic.

    Les principales causes d’accident

    La vitesse excessive ou inadaptée est à l’origine d’un accident mortel sur trois. Elle est la première cause de mortalité routière. Elle est surtout le fait des 18-24 ans, qui représentent 45% des auteurs présumés d’accidents mortels.

    L’alcool est présent dans 29% des accidents mortels. Parmi les conducteurs impliqués, les 18-24 ans et les 25-49 ans sont davantage concernés. Une hausse des accidents mortels de cyclistes et de piétons alcoolisés est aussi observée.

    Quant aux stupéfiants, 22% des décès routiers impliquaient un conducteur ayant consommé de la drogue.

    Le non-port de la ceinture de sécurité reste également un facteur important de mortalité. 20% des automobilistes tués ne la portaient pas. Il en est de même pour le non-port du casque. 14% des tués en motos ou scooters n’en portaient pas ou l’avaient mal attaché.

  • Enfants : port du casque à vélo (04 02 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 12 janvier 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11283?xtor=EPR-100.html

    Le port du casque pour les enfants à vélo bientôt obligatoire

    Publié le 12 janvier 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    À partir du 22 mars 2017, le port d'un casque certifié à vélo deviendra obligatoire pour les enfants de moins de 12 ans qu'ils soient conducteurs ou passagers. Le décret relatif à cette proposition est paru le 22 décembre 2016 au Journal officiel et prévoit donc un délai de 3 mois pour que chaque famille ait le temps de s'équiper.

    Le Comité interministériel de la sécurité routière (CISR) avait prescrit dans un rapport, le 2 octobre 2015, 26 mesures visant à améliorer la sécurité routière. La mesure n°16 portait sur l'obligation du port d'un casque homologué pour les enfants de moins de 12 ans, sans généraliser cette mesure à l'ensemble des cyclistes, dans le but de réduire la gravité des blessures au visage et les risques de traumatismes crâniens des enfants pratiquant le vélo.

    En cas de non-respect de cette obligation, un adulte, qui transporte à vélo un enfant passager non casqué ou qui accompagne un groupe d'enfants non protégés, risquera une amende de quatrième classe, c'est-à-dire de 135 €.

      À savoir :

    Un casque doit porter la mention NF ou ECE 22/04, 22/05

    Textes de référence

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

  • Transport routier : statistiques 2014 (10 09 2015)

    Note d’information publiée le 28 août 2015 sur le site Vie-Publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-Publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/transport-routier-circulation-accidents-emissions-polluants-2014.html?xtor=EPR-56.html

    Dans l’édition 2014 des comptes des transports, publiée en août 2015, le ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie retrace notamment l’évolution récente du trafic routier et de ses impacts (accidents corporels, émissions de gaz à effet de serre).

    En 2014, la circulation routière a augmenté à un rythme un peu plus élevé que sa moyenne annuelle depuis 2008 (+0,8%, contre +0,5%). La circulation des voitures particulières (75% de la circulation totale) a augmenté de 1%, celle des véhicules utilitaires légers de 0,6%, sans doute en lien avec le développement du commerce électronique et des services aux personnes. La circulation des véhicules lourds a de nouveau baissé (-1,1%) malgré une augmentation de la circulation des bus et des poids lourds étrangers. Le pavillon français enregistre une baisse de -4,5%.

    Pour la première fois depuis 2001, le nombre de tués sur les routes de France métropolitaine a cessé de diminuer. Avec 3 384 tués, la mortalité repart à la hausse (+3,5%), après une très forte baisse en 2013 (-10,5%). Les piétons et les cyclistes sont les usagers pour lesquels la mortalité ne diminue pas depuis 2010.

     

    En dépit de la hausse de la circulation routière, les émissions de gaz à effet de serre (GES) ont continué à baisser. La consommation d’énergie dans le transport routier (voyageurs ou marchandises) est restée quasi stable (0,1%) du fait de l’amélioration des performances des moteurs, et de la "diésélisation" du parc de voitures particulières (62,2% du parc) qui s’est poursuivie à un rythme ralenti en 2014. La diésélisation du parc pousse à la hausse les émissions de particules (PM10) et des oxydes d’azote (NOx), mais elle a largement contribué à la baisse des émissions de dioxyde de carbone (CO2) depuis 20 ans. La croissance du taux d’incorporation des agro-carburants en 2014 (+0,8 point) a aussi participé à la baisse des émissions de GES.