Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 25 avril 2025 sur le site Santé publique France (cliquer ici pour accéder au site Santé publique France)
Rougeole en France. Bilan annuel 2024.
Publié le 25 avril 2025
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Publié le 25 avril 2025
https://www.insee.fr/fr/statistiques/8561310
En mars 2025, les prix des énergies et des matières premières importées diminuent
Informations rapides n° 96 Paru le : 18/04/2025
En mars 2025, le prix du pétrole en euros baisse de nouveau significativement (‑7,0 % sur un mois après ‑5,4 % en février). Celui du gaz enregistre un net reflux (‑16,9 % après +4,0 %), mais demeure en très forte hausse sur un an (+55,6 %). Les prix en euros des matières premières importées (hors énergie) se replient sur un mois (‑4,4 % après +2,0 %), notamment sous l’effet de la nette appréciation de l’euro vis-à-vis du dollar ; sur un an, ils sont toutefois en hausse de 9,9 %. Les prix en euros des matières premières industrielles se contractent sur un mois (‑2,7 % après +3,5 %), mais augmentent de 10,0 % sur un an. Du côté des matières premières stratégiques, le prix du cobalt s’envole (+38,9 % après ‑9,1 %), tandis que celui du lithium continue de baisser (‑5,0 % après ‑1,0 %). Enfin, les prix des matières premières alimentaires se replient fortement sur un mois (‑5,7 % après +0,9 %), mais demeurent en hausse de 9,9 % sur un an, tirés par la très forte augmentation des prix des denrées tropicales (+45,2 %).
Sommaire
Le prix du pétrole baisse de nouveau, celui du gaz reflue nettement
Les prix en euros des matières premières industrielles se contractent
Le prix du cobalt s’envole, celui du lithium continue de baisser
Les prix en euros des matières premières alimentaires se replient fortement
Le prix du pétrole baisse de nouveau, celui du gaz reflue nettement
En mars 2025, les prix à la consommation augmentent de 0,2 % sur un mois et de 0,8 % sur un an
Indice des prix à la consommation - résultats définitifs (IPC) - mars 2025
Informations rapides, n° 92, Paru le : 15/04/2025
Sommaire
Évolution mensuelle : +0,2 % en mars ; variation sur un an : +0,8 %
Stabilité de l’inflation sous-jacente sur un an
Baisse des prix de l’énergie sur un an
Les prix des produits manufacturés diminuent légèrement sur un an
Quasi-stabilité de l’inflation des services sur un an
Les prix des produits alimentaires accélèrent de nouveau sur un an
https://www.insee.fr/fr/statistiques/8547061
Un enfant sur 250 meurt avant l’âge d’un an en France, par Nathalie Blanpain (Insee)
Insee Première n° 2048 Paru le : 10/04/2025
En 2024, 2 700 enfants de moins d’un an sont décédés en France, soit 4,1 décès pour 1 000 enfants nés vivants. Depuis 2011, le taux de mortalité infantile a légèrement augmenté, passant de 3,5 ‰ à 4,1 ‰ en 2024. Cette hausse s’explique uniquement par celle de la mortalité de 1 à 27 jours de vie, qui est passée de 1,5 ‰ à 2,0 ‰. Depuis 2015, le taux de mortalité infantile en France est supérieur à la moyenne de l’Union européenne.
Les garçons risquent 1,2 fois plus que les filles de mourir avant l’âge d’un an et les enfants issus d’un accouchement multiple (jumeaux ou triplés) 5 fois plus que les autres enfants. Les mères résidant dans les DOM, ainsi que celles nées en Afrique (hors Maghreb), ont deux fois plus de risque de perdre leur bébé que les autres mères. Le risque est aussi plus élevé pour les mères très jeunes ou très âgées, les employées, les ouvrières, les inactives. En revanche, le taux de mortalité infantile est plus faible pour les mères âgées de 26 ans à 37 ans.
De 2010-2014 à 2015-2022, le taux de mortalité infantile est resté stable ou a légèrement augmenté, quelles que soient les caractéristiques des enfants, sauf pour ceux issus d’un accouchement multiple, où il a nettement augmenté.
Baisse de 14% du nombre de personnes décédées et de 9% du nombre de blessés graves en février 2025 en France métropolitaine |
Publié le 26 mars 2025
En 2021, le revenu salarial moyen dans la fonction publique est supérieur de 9,3% à celui du secteur privé. Toutefois, à volume de travail identique, les agents de la fonction publique perçoivent un salaire net moyen inférieur de 3,7% à celui des salariés du secteur privé. Comment s'expliquent ces écarts ?