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impots - Page 20

  • Impôts taxes 2011 (22 12 2010)

    Extraits d’un article de Mmes Agnès Laurent, Stéphanie Tisserond et M. Fabien Piliu publié le 17 décembre 2010 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de la Tribune)

    http://www.latribune.fr/vos-finances/impots/fiscalite/20101217trib000584171/impots-et-taxes-tout-ce-qui-change-en-2011.html

    Le budget 2011 comporte de nombreuses mesures d'économies. Pour les ménages comme pour les entreprises, cela signifie des changements en matière d'impôts et de taxes…./…

    Avec une réduction « historique » du déficit de l'État, celui-ci devra passer de 149,7 milliards d'euros à un peu plus de 91 milliards d'euros, selon les derniers arbitrages. Et, pour ce faire, une compression de près de 10 milliards d'euros des « dépenses fiscales », autrement dit une hausse des prélèvements sur les ménages et les entreprises…/…

    Ce qui attend les ménages :

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  • Réforme de la fiscalité : hausse d'impôts (04 10 2010)

    Extraits d’un article publié le 3 octobre 2010 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/vos-finances/impots/fiscalite/20101003trib000555358/hausse-d-impots-fillon-brise-le-tabou.html

    Réforme de la fiscalité : Hausse d'impôts : Fillon brise le tabou…/…

    La réduction des niches fiscales engagée par le gouvernement correspond à une augmentation d'impôts mais pas généralisée, a en effet déclaré dimanche François Fillon. …/…

    Ces avantages fiscaux, qui amputent les recettes de l'Etat, seront réduits d'au moins 12,5 milliards d'euros en 2012, après un effort de près de dix milliards en 2011…./…

    Interrogé sur le bouclier fiscal, mesure emblématique du quinquennat de Nicolas Sarkozy, François Fillon dit vouloir le garder "tant qu'on a pas réformé en profondeur notre fiscalité"…./…

  • réforme de la fiscalité : démarrage

    impôts : Le gouvernement lance la réforme de la fiscalité

    (Lu sur le site de La Tribune du 08/10/07 )

    La ministre de l'Economie et des Finances, Christine Lagarde, doit élaborer d'ici au printemps 2008 une "remise à plat" de l'ensemble des prélèvements obligatoires. Un processus qui devrait notamment s'attacher à la réforme de l'imposition des sociétés.

    Selon les termes de la lettre de mission envoyée à Christine Lagarde, ce travail de refonte de l'ensemble de la fiscalité devra être mené à bien d'ici au printemps prochain. Avec un objectif général: apporter des propositions concrètes modifiant "notre fiscalité pour qu'elle ait un impact sur la compétitivité de l'économie".

     

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  • dépendance et fiscalité

    DIRECTION GÉNÉRALE DES IMPÔTS

     

    Instruction n° 98 du 14 AOÛT 2007

    IMPOT SUR LE REVENU. REDUCTION D'IMPOT AU TITRE DES DEPENSES LIEES A LA DEPENDANCE.

    COMMENTAIRES DE L’ARTICLE 11 DE LA LOI DE FINANCES POUR 2007 (N°2006-1666 DU 21 DECEMBRE 2006)

    P R E S E N T A T I O N

    L’article 11 de la loi de finances pour 2007 (n°2006-1666 du 21 décembre 2006) réécrit intégralement l’article 199 quindecies du code général des impôts (CGI) qui prévoit une réduction d’impôt sur le revenu en faveur des contribuables qui supportent des dépenses liées à la dépendance. Il modifie l’économie du dispositif jusque là applicable sur les points suivants :

    - la définition des établissements concernés est simplifiée, en visant directement les établissements et services assurant l'hébergement des personnes âgées dépendantes et les sections de soins de longue durée des établissements de santé, sans référence au processus de conventionnement ou de tarification ;

    - le dispositif est rendu compatible avec les principes communautaires en l’étendant aux personnes hébergées dans des établissements situés dans les autres Etats membres de l’Union européenne, dès lors qu’il s’agit d’établissements de nature équivalente à ceux habilités à héberger des personnes âgées en France conformément aux dispositions du 6° du I de l’article L. 312-1 du code de l’action sociale et des familles ;

    - la base de la réduction d’impôt sur le revenu est étendue dans tous les cas aux frais d’hébergement proprement dits (logement et nourriture) à la condition que ces frais s’ajoutent à des dépenses liées à la dépendance. Le dispositif dérogatoire réservé aux contribuables hébergés avant 2003 au sein d’une unité de soin de longue durée devient dès lors sans objet ;

    - le plafond des dépenses éligibles à la réduction d’impôt sur le revenu est porté de 3 000 € à 10 000 €.

  • emprunts immobiliers (point 29 08 2007)

    Après la censure partielle du Conseil Constitutionnel, le dispositif de soutien à l'achat de la résidence principale ne concernera plus que les emprunts contractés après le 6 mai 2007. Les intérêts de ces emprunts bénéficieront d'un crédit d'impôt de 40% la première année et de 20% de la deuxième à la cinquième année.

    Les plafonds (montant total des intérêts) resteront fixés aux niveaux prévus (3750 euros pour un célibataire et 7500 euros pour un couple plus 500 euros par personne à charge). Cette mesure aura un coût global de 840 millions d'euros en année pleine.

    Ces modifications à la loi TEPA (pour le Travail, l'Emploi et le Pouvoir d'Achat, ou "paquet fiscal") récemment adoptée et publiée (Journal Officiel du 22 août 2007) seront proposées fin septembre au conseil des Ministres puis au Parlement (assemblée nationale puis sénat) dans le projet de loi de finances pour 2008 (budget).

    Note de la rédaction du Blog : si l'on se souvient des 3 arguments du Conseil Constitutionnel (non rétroactivité de la loi, rupture de l'égalité entre contribuables, charges de l'Etat hors de proportion avec l'effet incitatif à l'achat pour les emprunts antérieurs au 6 mai puisque l'achat était déjà réalisé), le gouvernement devra encore surmonter l'obstacle de la rétroactivité (emprunts souscrits entre le 6 mai et le 22 août)

     

  • Loi pour le Travail, l’Emploi et le Pouvoir d’achat

    L'Assemblée nationale a voté le 13 juillet 2007 la Loi pour le Travail, l’Emploi et le Pouvoir d’achat (TEPA ou « paquet fiscal ») dont certaines  mesures entraînent la quasi suppression des droits de succession. Toutes ces dispositions sont réunies dans l'article 4 du texte qui prévoit la suppression totale des droits de succession pour le conjoint survivant, que le couple soit marié ou pacsé. Il relève également de 50.000 à 150.000 euros l'abattement pour les enfants, de 5.000 à 15.000 euros pour les frères et un abattement de 5.000 euros pour les neveux et nièces. Sous l'effet de ces mesures, 95% des successions seront exonérées. Ces mêmes abattements relevés s'appliquent pour la donation de biens entre vifs tous les six ans. Cet article permet également une donation en numéraire pour un membre de la famille majeur, qui a été relevée de 20.000 à 30.000 euros. En revanche, l'article garantit une imposition des plus-values réalisées lors de la vente de stock-options, données ou héritées.

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