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réflexions - Page 2

  • Alphabet du confinement : suite (25 04 2021)

    18 compléments (après 52 définitions du 11 10 2020 au 05 04 2021)

    Toujours approvisionnés par des amis avisés, dont l’humour s’avère une précieuse soupape, nous espérons que les tranches de vie ci-dessous, tirées d’une période marquante, feront baisser la pression après l'arrivée de la Covid 19 à notre porte. En voici quelques-autres, à dose filée (2 de plus chaque dimanche), pour sourire sous le masque et atteindre des jours meilleurs :

     

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  • Alphabet du confinement : suite (11 04 2021)

    18 compléments (après 52 définitions du 11 10 2020 au 05 04 2021)

    Toujours approvisionnés par des amis avisés, dont l’humour s’avère une précieuse soupape, nous espérons que les tranches de vie ci-dessous, tirées d’une période marquante, feront baisser la pression après l'arrivée de la Covid 19 à notre porte. En voici quelques-autres, à dose filée (2 de plus chaque dimanche), pour sourire sous le masque et atteindre des jours meilleurs :

     

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  • Réforme des Retraites (17 04 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiée le 15 mars 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ13030122G.html

    Question d'actualité au gouvernement n° 0122G de Mme Catherine Procaccia (sénatrice UMP du Val-de-Marne)

    Après avoir tant critiqué la réforme des retraites engagée par François Fillon en la qualifiant d'injuste et de non financée, le Président de la République annonce – et je m'en réjouis – que le Gouvernement est enfin prêt à faire « des choix courageux » pour assurer « l'avenir de nos régimes de retraite ». 

    Ces choix, quels seront-ils ? Le rapport du Conseil d'orientation des retraites souligne que, pour éviter la faillite du système, il nous faut trouver 20 milliards d'euros d'ici à 2020. J'insiste sur ce montant, car ce sont 47 milliards d'euros qui auraient été nécessaires si nous n'avions pas engagé la réforme en 2010.

    Vous reconnaissez enfin que l'allongement de l'espérance de vie doit être pris en considération. Ce fait ne date pourtant ni d'hier ni de mai 2012 !

    Madame la ministre, vous avez déclaré dimanche que des efforts seraient demandés à tous les Français. Puisque toucher à l'âge des départs à la retraite semble complètement tabou, à quels efforts pensez-vous ? Le Gouvernement doit être clair et honnête envers les Français. Oserez-vous leur annoncer qu'ils devront cotiser plus de 41,5 années ? Ils vont faire le calcul et ils verront que les 62 ans ne sont qu'un leurre ! Pourtant, cela ne suffira pas, vous le savez ! 

    En faisant sauter, le verrou des 62 ans l'été dernier, vous avez donné un signal contradictoire aux Français et dépensé 3 milliards d'euros. Vous avez ainsi contraint les régimes complémentaires à décider de désindexer les pensions.

    Après avoir instauré à l'automne une nouvelle contribution à la charge des retraités, allez-vous continuer à les paupériser ? Contrairement à ce que vous aimez faire croire, ils sont loin d'être des nantis.

    Madame la ministre, je vous poserai trois questions précises.

    Premièrement, que comptez-vous faire avec les salariés des régimes spéciaux ? Vont-ils continuer à être exemptés des futurs efforts, à pouvoir partir à la retraite à 52 ans, comme les cheminots, ou à 57 ans, comme les autres agents de la SNCF et de la RATP ?

    Deuxièmement, prendrez-vous aujourd'hui l'engagement de présenter votre réforme devant le Parlement, et non de légiférer par ordonnance, comme le suggère le porte-parole du Gouvernement ?

    Troisièmement, lorsque vous étiez députée, vous souhaitiez une réforme garantie financièrement jusqu'en 2030. Celle que vous allez nous proposer aura-t-elle les ambitions de celle que vous nous réclamiez ?

    Réponse du Ministre des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 15 mars 2013

     

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  • Perte d’autonomie : position FNAR et UFR (03 12 2010)

    Perte d’autonomie : position FNAR et UFR

    Note lue le 21 novembre 2010 sur le site PART’AGES de la Fédération Nationale des Associations de Retraités (FNAR) et de l’Union Française des Retraités, régime général (UFR) (cliquer ici pour accéder au site Part’ages)

    http://www.part-ages.com/perte-autonomie.php

    Nous préconisons un régime unique tout au long de la vie sans perte à partir de 60 ans.
    En particulier nous voulons :

    La prise en charge de la perte d'autonomie par la solidarité nationale.

    Promouvoir une image positive du vieillissement, par la reconnaissance du droit pour les seniors d’avoir ou non une activité professionnelle aussi longtemps qu'ils le souhaitent et de mettre fin ainsi à l’expression dévalorisante d’«inactif ».

    Le développement de la politique de maintien à domicile des personnes en perte d'autonomie et que se généralisent en conséquence les services et les soins à domicile. Il convient qu'une information complète soit donnée sur les services disponibles, privés ou publics, en particulier sur leur prix et leur prise en compte par l'APA

    Une réforme des tutelles qui permette par des mesures graduées de respecter au mieux les capacités d’autonomie des personnes et leur évolution, et que la justification des décisions soit plus rigoureuse.

    Privilégier le mode « prestataire » plutôt que les modes « gré à gré » ou « mandataire » plus risqués dans leurs conséquences. Elle demande que le montant de l'aide apportée par l'APA soit basé sur les tarifs du mode prestataire dans un but de cohérence et pour faciliter l'accès à ce type de service.

    Que les besoins de place de soins et d’hospitalisation à domicile soient évalués année par année de façon à y répondre au plus près en tenant compte des disparités de couverture géographiques éventuelles afin d'y remédier.

    Que la réponse aux besoins d'aide à domicile et de places en établissements, se fasse sous la forme de plans à moyen terme (5 à 10 ans) qui soient réactualisés régulièrement pour cadrer au mieux avec l'évolution de ces besoins. Les prévisions de places nouvelles devraient intégrer les plans gérontologiques départementaux et prendre en compte les disparités géographiques.

    Le rapprochement entre CLIC et Maisons du handicap qui découle implicitement de la suppression de la barrière d'âge pour les handicapés et qui consacrerait cette suppression

  • CFR et Réforme des retraites (22 09 2010)

    Communiqué de la CFR publié le 13 septembre 2010 sur le site Part'âges (cliquer ici pour accéder au site Part'âges)

    http://www.part-ages.com/actualites.php?id=166&PHPSESSID=2bc99fcafe2fb2bf0a2469fd81c45bb4.html

    http://www.part-ages.com/img/actualite/pourquoi-la-cfr.pdf

    Pourquoi la Confédération Française des Retraités (CFR) na pas appelé à manifester

    La CFR est une organisation responsable et ne demande pas l'abandon du projet, mais elle fait connaître sa position au Gouvernement et aux Parlementaires. Nous avons ainsi été « auditionnés » à de nombreuses reprises ces dernières semaines et le 8 septembre encore par le rapporteur de la commission des affaires sociales du Sénat, le Sénateur Dominique Leclerc.

     

    La CFR a demandé que le projet soit amendé sur quatre points :

    1 / La CFR a des réserves sur le relèvement de la borne supérieure de l’âge de la retraite (de 65 à 67 ans) qui a un impact défavorable sur les personnes ayant eu des carrières dites « hachées » ou interrompues, notamment les mères de familles ayant interrompu leur carrière pour élever des enfants.

     

    2 /La CFR fait observer qu’en l’état actuel du projet, l’équilibre financier est incertain en 2018. Elle considère en outre que pour rassurer les générations qui nous suivent, il serait nécessaire de prendre en compte un horizon plus lointain, 2030 par exemple.

     

    3 / La CFR regrette que le document du gouvernement soit trop timide sur la convergence des régimes. Elle considère que celle-ci est indispensable si l’on veut que la réforme soit acceptée par tous. Elle a conscience qu’une vraie convergence demandera du temps et que le processus devra être progressif. Il est donc nécessaire de l'entamer sans attendre. Les modèles existent, comptes notionnels ou comptes en points. Il ne manque plus que la décision politique pour donner suite aux travaux du Conseil d'Orientation des Retraites sur le sujet.

     

    4 / La CFR demande l’abandon du projet de taxation discriminatoire au détriment de 2 millions de retraités du secteur privé qui reçoivent une retraite d’entreprise à prestations définies analogue aux retraites de la fonction publique. Ils ne sont pas des titulaires de hauts revenus, contrairement à ce qui est indiqué dans le projet du gouvernement.

     

    Rappel de nos interventions

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  • croissance européenne : mesures (3/3) (13 08 2010)

    Extraits d’un important article publié le 4 juillet 2010 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de la Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20100704trib000527080/aix-2010-dix-mesures-pour-une-croissance-europeenne.html

    dix mesures pour une croissance européenne : déclaration des Rencontres d'Aix du Cercle des économistes.

    Introduction

    I.         Les risques pour l’Europe du nouvel ordre mondial

    II.       Inventer la croissance de demain

    III.      Dix mesures pour bâtir une croissance européenne

    Conclusion

    …/…

    III. Dix mesures pour bâtir une croissance européenne

    Nos pays ontils encore un avenir ? Résolument oui. L’Europe n’a pas une vision objective ni de sa puissance ni de sa réalité. Première puissance commerciale du monde, elle a réussi à développer un marché unique de 500 millions de consommateurs, ce qui est une force incomparable. L’Europe est également une source d’innovation exceptionnelle, aujourd’hui insuffisamment utilisée, et possède des structures sociales exemplaires. …/… Nous souhaitons conserver une base productive extrêmement solide. Ceci ne signifie pas une réindustrialisation uniforme, mais concentrée sur certains pays, et notamment la France qui a connu un des rythmes de désindustrialisation les plus forts. Sept thèmes apparaissent centraux, qui chacun suppose une vraie stratégie de rupture :

    Innovation et politique industrielle

    Education et qualification

    Financement de la croissance et régulation financière

    Croissance verte

    Politique macroéconomique

    Pacte social

    Coopération multilatérale.

    Bien entendu, il serait irréaliste et peu efficace de détailler un catalogue de mesures, mais il est cependant indispensable d’illustrer l’absolue nécessité de changement radical dans les politiques européennes. C’est la raison pour laquelle le Cercle des économistes formule dix mesures pour permettre à l’Europe d’être un acteur clé de la croissance de demain :

     

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