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santé - Page 41

  • Phénoxyéthanol : dangerosité (06 03 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 21 février 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ121203500.html

    Question écrite n° 03500 de M. Philippe Paul (sénateur UMP du Finistère)

    M. Philippe Paul appelle l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé la dangerosité du phénoxyéthanol.

    L'Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé (ANSM) a publié, le 1er juin 2012, un rapport qui recommande de « ne pas utiliser, pour les enfants de moins de trois ans, des produits destinés au siège contenant du phénoxyéthanol ». Seraient invoqués des risques pour le foie, le sang et la reproduction.

    Pourtant, cet éther de glycol intervient, en particulier, systématiquement ou presque dans la composition des lingettes pour enfants vendues à grand renfort de mentions destinées à rassurer les parents : « peaux délicates », « formulé sous contrôle médical », « testé sous contrôle pédiatrique », etc.

    Dans son rapport, l'ANSM recommande d' « interdire » son usage dans les produits destinés à laver le siège des très jeunes enfants et d'en « restreindre la concentration dans tous les autres types de produits destinés aux enfants de moins de trois ans ».

    Il lui demande donc de bien vouloir lui faire part des initiatives de prévention immédiate qu'elle compte prendre en la matière.

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 21/02/2013 – p. 590

     

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  • Radiologie : hôpital public (28 01 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 27 décembre 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120700248.html

    Avenir du service de radiologie de centre hospitalier général de Montauban

    Question écrite n° 00248 de M. Jean-Michel Baylet (sénateur RDSE du Tarn-et-Garonne)

    M. Jean-Michel Baylet attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur l'avenir du service de radiologie du centre hospitalier général de Montauban. Pourvu de seulement deux praticiens hospitaliers à plein temps, ce service se retrouve actuellement dans l'incapacité de prendre en charge l'ensemble des patients dont le nombre a sensiblement augmenté depuis la mise en œuvre de la politique de détection préventive et généralisée du cancer du sein. De fait, le centre hospitalier fait dorénavant appel au secteur privé pour des vacations destinées à compenser l'absence d'un troisième praticien hospitalier. 

     

    Cette situation dommageable pour les nombreux usagers du centre hospitalier général de Montauban risque encore de s'aggraver dans les prochains mois. En effet, l'un des deux médecins, en âge de prendre sa retraite, est en passe de quitter le service alors qu'aucun recrutement n'a pour l'instant été envisagé.

    Il souhaite connaître les mesures que le Gouvernement compte mettre en œuvre afin de maintenir un service de radiologie de qualité et, plus généralement, de préserver le système public de santé dans le département du Tarn-et-Garonne

     Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 27/12/2012 - page 3052

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  • Fibromyalgie : outils d’évaluation (07 01 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiée le 29 novembre 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120700264.html

     Question écrite n° 00264 de M. Michel Doublet (sénateur UMP de Charente-Maritime)

    M. Michel Doublet attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la publication d'un guide de procédure sur la fibromyalgie. Depuis de nombreuses années, les associations de malades demandent sa mise en œuvre. À défaut, elles souhaiteraient la mise en place d'un outil d'évaluation qui permettrait aux experts d'évaluer la sévérité de l'état du patient fibromyalgique de façon homogène sur tout le territoire en ce qui concerne la prise en charge sociale.

    En conséquence, il lui demande quelles suites elle entend donner aux attentes des malades confrontés à des appréciations disparates de leur pathologie selon les départements, et dont les conséquences sur la prise en charge sociale peuvent être lourdes de conséquences.

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 29/11/2012 - page 2732

     

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  • IRM : inégalités d’accès (31 12 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 19 octobre 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ12090134S.html


    Question orale n° 0134S de M. Christian Cambon (sénateur UMP du Val-de-Marne)

    Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, nous le savons, la France est toujours en retard en matière d'équipement IRM (imagerie par résonance magnétique). Pourtant, il s'agit d'une arme particulièrement efficace contre diverses affections entraînant un taux de mortalité important, notamment les cancers et les AVC (accidents vasculaires cérébraux), dont il est indispensable de ne pas retarder la prise en charge thérapeutique.

    Alors que, je le répète, certaines affections comme les AVC nécessitent un recours presque immédiat à cette technologie, le délai moyen d'attente en France pour une IRM est actuellement de plus de 29 jours - 29,1 jours pour être précis.

    De surcroît - nous le savons bien ici, au Sénat -, il existe de très importantes variations régionales en matière d'équipement. Lorsqu'un médecin sollicite pour son patient un rendez-vous pour faire pratiquer en urgence une IRM, il n'en obtiendra pas avant un délai moyen de 50 jours en Basse-Normandie, en Bretagne, en Pays-de-Loire, en Limousin et en Corse. En revanche, si ce patient a la chance de vivre dans les régions Nord-Pas-de-Calais, d'Île-de-France ou Midi-Pyrénées, il aura un rendez-vous en moins de 20 jours.

    On est loin des objectifs du plan Cancer II, qui estimait à 10 jours le délai « raisonnable ». Malgré les objectifs régulièrement affichés par les plans de santé publique contre le cancer, les AVC ou Alzheimer, la France reste toujours largement en retard au sein de l'Europe en matière d'équipements IRM. Pis, selon l'association Imagerie, Santé, Avenir, qui réunit les professionnels de l'imagerie médicale, la progression des nouvelles installations a ralenti en 2011, à 4,4 % contre 9 % en 2010.

    Se trouve en cause le sous-équipement de la France, qui compte 9,8 appareils d'IRM par million d'habitants. Nous sommes bien évidemment très loin de la moyenne européenne - 19,5 appareils pour un million -, et plus loin encore de la moyenne suisse, qui est de 27 IRM pour un million d'habitants. La France est dans le peloton de queue européen ! C'est un constat assez peu flatteur pour notre pays, dont les statistiques sont, de fait, plus proches de celles de la République tchèque que de celles du Danemark, alors même que l'on vante partout dans le monde le système français de santé publique...

    Pour bien faire, selon les estimations du plan Cancer II, il faudrait que toutes les régions se situent au-dessus du seuil de 10 appareils d'IRM par million d'habitants.

    En effet, au-delà des besoins liés à la démographie, à la croissance et au vieillissement de la population, les applications « classiques » de l'IRM ne cessent de croître, et de nouvelles indications explosent : on utilise à présent cette technologie en cardiologie, en neurologie, en sénologie, pour l'imagerie de la femme et pour les actes sous guidage. De même, se développent l'IRM de diffusion et les actes de radiologie interventionnelle. Tous ces domaines nouveaux rendent nécessaire l'affirmation d'une priorité encore plus forte en faveur de l'installation d'un nombre d'IRM suffisant sur l'ensemble du territoire.

    L'IRM est une modalité qui n'expose pas les patients aux rayons ionisants. Elle est aussi privilégiée en pédiatrie et en néonatologie ; ainsi, l'Allemagne opte systématiquement pour cette technologie dans ces indications.

    La France agit un peu différemment pour l'instant. En effet, pour tenir compte de cette pénurie, les autorisations dans notre pays sont accordées plus souvent pour des équipements à haut champ magnétique et à haut risque de rayonnement, donc plus dangereux pour la santé, mais aussi plus coûteux, que pour des appareils « corps entier » à faible champ magnétique, voire dédiés à une partie du corps. Nous privilégions encore trop les scanners par rapport aux IRM.

    Ce déficit d'appareils est d'autant plus alarmant que le vieillissement de la population s'accompagne d'une augmentation de l'incidence de certaines pathologies, faisant naître de nouveaux besoins.

    Aussi, monsieur le ministre, je souhaite que vous nous indiquiez quelles initiatives le Gouvernement entend adopter pour rattraper ce retard et pour garantir un accès aux soins qui soit à la fois meilleur et plus égalitaire sur l'ensemble du territoire.

    Réponse du Ministère chargé des relations avec le Parlement publiée dans le JO Sénat du 19/10/2012 - page 3933

     

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  • Infarctus du Myocarde : conférence ANHR-CIAPA (17 10 2012)

    L’Association Nationale des Hospitaliers Retraités A.N.H.R. (section 64) en partenariat avec le C.I.A.P.A vous invite à assister à la conférence sur

    « L’INFARCTUS DU MYOCARDE »

     par le Docteur Gérard ESTRADE, Cardiologue au Centre Hospitalier de PAU,

    qui aura lieu le VENDREDI 19 OCTOBRE 2012 à 15 heures,

    salle de Conférence (rez-de-chaussee) du Centre Hospitalier François Mitterrand

    4 boulevard Hauterive à PAU

    Vos parents, amis, connaissances, sont les bienvenus.

    A la suite de cette conférence nous partagerons le verre de l’amitié.

    Pour tout renseignement, téléphone : 06 75 54 37 02

  • Dépassements d'honoraires (08 10 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 20 septembre 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120623757.html


    Question écrite n° 23757 de M. Yves Détraigne (sénateur UCR de la Marne)

    M. Yves Détraigne attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la question des dépassements d'honoraires des médecins.

    En effet, si les honoraires libres se sont généralisés, le système reste très opaque et le code de déontologie précise seulement qu'il faut appliquer ses tarifs avec « tact et mesure ». Le médecin peut donc pratiquer des honoraires plus élevés selon sa notoriété et les moduler selon la situation de chaque patient. Pourtant, de nombreuses études témoignent de tarifs prohibitifs avec des montants supérieurs de quatre fois au tarif de la sécurité sociale.

    Considérant, d'une part, que ni l'assurance-maladie ni l'ordre des médecins ne peuvent à eux-seuls imposer un plafond des honoraires et que, d'autre part, cette question doit être incluse dans le débat sur l'accès de tous aux soins, il lui demande quelles sont ses intentions en la matière.

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 20/09/2012 - page 2048

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