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seniors - Page 3

  • Seniors sans emploi ni retraite (18 10 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 27 septembre 2018 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/senior-trois-sans-emploi-ni-retraite-vit-sous-seuil-pauvrete.html?xtor=EPR-56.html

    Un senior sur trois sans emploi ni retraite vit sous le seuil de pauvreté

    Une étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), publiée le 19 septembre 2018, révèle que 1,4 million de Français âgés de 53 à 69 ans n’ont ni emploi, ni retraite en 2015, soit 11% de cette tranche d’âge. Ces seniors, âgés en moyenne de 58 ans, sont constitués en majorité de femmes, d’ouvriers et d’employés. Un tiers d’entre eux vit sous le seuil de pauvreté.

    Un niveau de vie médian de 1 270 euros par mois

    Le niveau de vie médian des seniors sans emploi ni retraite s’élève à 1 270 euros par mois en 2015. Ce montant est nettement inférieur à celui des seniors en emploi (2 090 euros) et des retraités (1 860 euros) mais est plus élevé que celui des personnes sans emploi plus jeunes (1 050 euros).

    De plus, 32,1% des seniors sans emploi et sans retraite vivent sous le seuil de pauvreté, contre 6% des seniors retraités, 7,4% des seniors en emploi. Le taux de pauvreté est cependant plus faible pour ceux dont le conjoint travaille ou est retraité.

    Un éloignement du marché du travail, les aides sociales comme seules ressources

    Les seniors sans emploi et sans retraite sont dans une situation intermédiaire entre la période d’activité et la vieillesse, ils sont donc plus éloignés du marché du travail. Ils s’inscrivent moins dans une démarche de retour à l’emploi que les 25-52 ans. Certains d’entre eux souhaitent trouver un emploi mais n’en cherchent pas car ils pensent qu’ils n’en trouveront pas (pour 32%) ou estiment qu’il n’y a pas d’emploi disponible dans leur domaine de compétence (pour 10%). D’autres, plus nombreux, ne souhaitent pas travailler en raison de problèmes de santé.

    Sans revenu d’activité ni retraite, les principales ressources de ces seniors proviennent des prestations sociales (aides au logement, revenu de solidarité active, etc.) : trois ménages sur quatre en bénéficient. Ces prestations représentent 44% de leur revenu disponible contre 2% pour l’ensemble des ménages de seniors. En outre, le ratio des impôts directs sur leur revenu disponible est moindre (7% contre 21% pour l’ensemble des ménages de seniors).

    Sans cette redistribution sociale et fiscale, presque la moitié des seniors sans emploi ni retraite serait pauvre, selon la Drees.

    Sur la toile publique

  • Sécurité routière et Seniors (08 01 2015)

    Nous diffusons bien volontiers l’annonce d’une prochaine réunion d’information coordonnée par nos amis du CIAPA (cliquer ici pour accéder au site du CIAPA)

    http://ciapa.fr/association.html

    Le CIAPA, le Service du Lien Social d’Arzacq, le Pôle  Autonomie Est-Béarn, la Communauté des Communes du canton d ’Arzacq et l’association Agir pour la sécurité routièreorganisent une 

    Séance gratuite de sensibilisation à la sécurité routière pour les Seniors,

     

    le jeudi 22 janvier 2015, de 14h à 17h, à la salle de la Communauté des Communes du Canton d’ARZACQ, (près de l’office de Tourisme), à ARZACQ.

     

    AU PROGRAMME :

    - L’Accidentologie départementale ;

    - La vision, l’ouïe et l’âge ;

    - Vitesse : distances d’arrêt, temps de réaction et distance de freinage ;

    - L’alcool au volant ;

    - Les médicaments et les effets sur la conduite ;

                - La signalisation et les nouvelles règlementations ;

    - Les carrefours giratoires (ronds points).

     

    L’entrée est gratuite, sur inscription (dans la limite des places disponibles) avant le Mardi 20 janvier.

     

    Renseignements  et inscriptions au CIAPA au 05.59.80.16.37

  • Résidences services seniors : revente appartements (29 07 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 13 juin 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130204535.html

    Question écrite n° 04535 de M. Maurice Vincent (sénateur socialiste de la Loire)

    M. Maurice Vincent attire l'attention de Mme la ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée des personnes âgées et de l'autonomie, sur les problèmes liés à la revente d'appartements situés dans des résidences services seniors. Ces résidences s'adressent à des personnes de plus de 60 ans valides et semi-valides mais ne sont pas des maisons de retraite. Elles sont constituées d'appartements individuels ou de maisons de plain-pied et permettent aux résidents d'avoir accès à différents services comme la restauration, le gardiennage, les espaces forme et de multiples autres avantages. 

    Si le fonctionnement de ces résidences ne pose pas de problème en soi, des questions, parfois dramatiques, surviennent lors de leur revente par les propriétaires ou leurs héritiers. 
    En effet, pour ces appartements même vides, des charges de copropriété doivent être payées, ce qui est normal, mais aussi des charges de service inhérentes au fonctionnement de ces établissements. Ces charges de service peuvent atteindre 22 euros par jour soit environ 700 euros par mois pour un appartement inoccupé, ce qui peut le rendre invendable. 

    Il lui demande de quelle manière ce problème peut être résolu car de nombreuses familles se sont ainsi retrouvées prises dans l'engrenage du surendettement.

     

    Réponse du Ministère de l'égalité des territoires et du logement publiée dans le JO Sénat du 13/06/2013 – p. 1798

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  • Logement seniors : vill’âge bleu Dijon (27 09 2012)

    Extraits d’une note publiée le 31 août 2012 dans le n°71 de la brochure AU FIL DES JOURS de la FNAR-UFR (Fédération Nationale des Associations de Retraités, et Union Française des Retraités, à laquelle adhère l’ANHR) (cliquer ici pour accéder au site de la FNAR)

    www.fnar.asso.fr.html

    VILL’ÂGE BLEU DE DIJON

    On connaît de plus en plus les Vill’âges bleus organisés par les Municipalités pour regrouper les personnes âgées seules ou en couples et leur permettre de vivre en autonomie, en bonne santé et sans désagréments et ennui. Avec son titre de « Ville amie des aînés », la Ville de Dijon a procédé le 7/7/12 à la pose de la première pierre du premier Vill’âge bleu dijonnais. La FNAR., invitée par la Municipalité dijonnaise, était représentée par Evelyne TROUILLET, membre de l’AROPA 21, association adhérente à la FNAROPA, par ailleurs très active au Coderpa départemental et au Gérontopôle de Bourgogne.

    Les logements, de qualité, seront construits aux normes BBC (bâtiment basse consommation) et Effinergie.  La durée des travaux devrait être de dix-huit mois. Un mail arboré complètera l’ensemble de ce Vill’âge bleu. À noter qu’une accompagnatrice sociale, vivant à proximité, sera en poste pour animer et veiller journellement au bien-être des occupants et leur assurer un parcours de fin de vie en toute sécurité. Par ailleurs, cet ensemble sera doté d’une salle polyvalente  permettant ainsi aux seniors et à leurs proches de se retrouver.

    Il  est estimé, actuellement, que le montant de la location  mensuelle d’un F2 sera de 320 euros (hors charges). Des subventions en  provenance du GRAND DIJON pourront en réduire le montant.

    Le Président de la Mutualité Française bourguignonne, qui sera gestionnaire de cet ensemble, a confirmé la volonté de participer au projet de la Ville de DIJON et de permettre ainsi aux personnes âgées modestes de vivre dans un environnement agréable les aidant à rompre leur solitude. L’accès au Vill’âge bleu se fera après le dépôt d’une demande auprès de la Mutualité Française bourguignonne.

  • Sécurité Routière : information Seniors (12 02 2012)

    Nous relayons volontiers cette Information diffusée le 7 juin 2012 sur le site du Centre d’Information et d’Action en faveur des Personnes Agées (cliquer ici pour accéder au site du CIAPA)

    www.ciapa.com

     « SENSIBILISATION A LA SECURITE ROUTIERE POUR LES SENIORS »

    2 séances organisées en partenariat par le CIAPA et la préfecture des Pyrénées Atlantiques.

    Le Jeudi 14 Juin 2012

    de 14h00 à 17h00 à PAU au CIAPA, 100 avenue du Loup.

      

    Et le Lundi 25 Juin 2012

    de 14h00 à 17h00 à ESPELETTE à la Salle de Spectacle

     

    AU PROGRAMME : Accidentologie, modification de la vue, de l’audition, des réflexes, la prise de médicaments, l’alcool au volant, les panneaux de signalisation, les ronds-points…

     

    Séance gratuite, ouverte à tous, dans la limite des places disponibles.

    Renseignements et inscription obligatoire au CIAPA au 05 59 80 16 37 ou Email : sylvie@ciapa.com)

  • Informatique et seniors (14 02 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 12 janvier 2012 sur le site du Sénat (cliquer ci-dessous pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2010/qSEQ101015530.html


    Mesures prises en faveur de l'équipement et de la formation aux outils numériques

    Question écrite n° 15530 de M. Philippe Paul (sénateur UMP du Finistère) publiée dans le JO Sénat du 14/10/2010 - page 2674

    M. Philippe Paul appelle l'attention de Mme la secrétaire d'État chargée de la prospective et du développement de l'économie numérique sur une enquête du département des études, de la prospective et des statistiques du ministère de la culture et de la communication sur la diffusion et l'utilisation des technologies de l'information et de la communication en France et en Europe en 2009, publiée au printemps dernier, qui indique que, si nos concitoyens qui disposent d'un ordinateur en sont des utilisateurs réguliers, 20 % des Français déclarent par contre ne jamais avoir utilisé d'ordinateur l'an passé. Il apparaît également que l'âge et le sexe restent deux facteurs discriminants dans l'usage des nouvelles technologies. Malgré les efforts accomplis ces dernières années pour favoriser l'accès du plus grand nombre aux nouvelles technologies, les risques de fracture sociale ou générationnelle demeurent donc.

    C'est pourquoi, il lui demande à Mme la secrétaire d'État chargée de la prospective et du développement de l'économie numérique de lui détailler les mesures prises en faveur de l'équipement et de la formation aux outils numériques, en particulier à destination des publics qui en sont aujourd'hui les plus éloignés.

    Réponse du Ministère chargé de l'industrie, de l'énergie et de l'économie numérique publiée dans le JO Sénat du 12/01/2012 - page 106

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