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économie française

  • Covid 19 : sites essentiels pour l’économique et les finances (22 01 2021)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée sur le site du ministère de l’économie et mise à jour le 4 janvier 2021 (cliquer ici pour accéder au site du ministère de l’économie)

     

    https://www.economie.gouv.fr/cedef/sites-essentiels-crise-sanitaire.html

     

    Les sites essentiels liés à la crise sanitaire

    De nombreux sites ont été créés depuis le début de la crise sanitaire pour aider et informer les particuliers et les entreprises.

    Cette page présente une liste des principaux sites en lien avec cette actualité dans les domaines économiques et financiers.

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  • Les chiffres du Commerce Extérieur (juillet 2019) (04 octobre 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 10 septembre 2019 sur le site de la Direction Générale des Douanes (cliquer ici pour accéder au site de la Direction Générale des Douanes)

     

    https://lekiosque.finances.gouv.fr.html

     

     

    Analyse mensuelle - juillet 2019

    Le solde du commerce extérieur de marchandises de la France s'établit à
    -4,607 milliards d'euros


     

     
     

    En tendance, le solde du commerce extérieur se dégrade en juillet, après avoir connu trois mois de stabilité. C’est le résultat d’un repli des exportations, alors que les importations restent stables.
    Cette dégradation du solde concerne les biens d’investissement et de consommation, la tendance restant stable pour les produits énergétiques et les biens intermédiaires.

     

    SOLDE COMMERCIAL DE LA France (Biens)

    LE SOLDE FLÉCHIT EN MOYENNE SUR TROIS MOIS

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  • Bâtiment : enquête de conjoncture (05 12 2018)

     

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 22 novembre 2018 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/3649723.html

     

    En novembre 2018, le climat des affaires dans l'industrie du bâtiment confirme sa bonne tenue

    Selon les chefs d'entreprise du bâtiment interrogés en novembre 2018, le climat des affaires, déjà à un niveau élevé, s'améliore encore un peu. L'indicateur qui le synthétise gagne un point et se situe à 109, au plus haut depuis le début de l'année et bien au-dessus de sa moyenne de longue période (100).

    DOCUMENTATION

    Sommaire

    L'optimisme des entrepreneurs sur leur perspectives d'activité s'affirme

    Davantage d'entrepreneurs signalent une hausse de leurs effectifs passés et à venir

    Plus d'entrepreneurs jugent leurs carnets de commandes bien garnis

    Les capacités de production restent plus utilisées qu'en moyenne

    Des prix moins souvent annoncés en hausse

    Selon les chefs d'entreprise du bâtiment interrogés en novembre 2018, le climat des affaires, déjà à un niveau élevé, s'améliore encore un peu. L'indicateur qui le synthétise gagne un point et se situe à 109, au plus haut depuis le début de l'année et bien au-dessus de sa moyenne de longue période (100).

     

    L'optimisme des entrepreneurs sur leurs perspectives d'activité s'affirme

    En novembre 2018, les entrepreneurs sont un peu moins nombreux qu'en octobre à signaler une augmentation de leur activité au cours des trois derniers mois. Le solde correspondant recule légèrement, mais reste au-dessus de sa moyenne de longue période. En revanche, l'optimisme des chefs d'entreprise pour l'activité des prochains mois se renforce : le solde d'opinion sur l'activité prévue augmente et atteint un plus haut niveau depuis mai 2018, bien au-dessus de son niveau moyen.

    Davantage d'entrepreneurs signalent une hausse de leurs effectifs passés et à venir

    En novembre 2018, les entrepreneurs sont bien plus nombreux qu'en octobre à indiquer avoir accru leurs effectifs au cours des trois derniers mois. Le solde correspondant augmente pour le troisième mois consécutif et atteint son plus haut depuis septembre 2008. Le solde d'opinion sur les effectifs prévus rebondit franchement après avoir nettement baissé en octobre ; il reste donc au-dessus de sa moyenne de longue période.

    Plus d'entrepreneurs jugent leurs carnets de commandes bien garnis

    En novembre 2018, les entrepreneurs sont un peu plus nombreux qu'en octobre à juger que leurs carnets de commandes sont bien garnis pour la période. Le solde correspondant se redresse modérément après trois mois consécutifs de baisse et reste au-dessus de sa moyenne de longue période. Compte tenu de leurs effectifs, les entrepreneurs estiment que les commandes assurent 7,5 mois de travail, soit une durée au plus haut depuis le début de l'année et largement supérieure à sa moyenne sur longue période (5,6 mois).

    Les capacités de production restent plus utilisées qu'en moyenne

    Le taux d'utilisation des capacités de production diminue en novembre 2018, pour le deuxième mois d'affilée (89,8 %). Dans le même temps, 36 % des entrepreneurs signalent des goulots de production, soit moins que le mois précédent mais plus qu'en moyenne de longue période. La part des goulots due au manque de personnel continue de croître, s'élevant à 18,9 %, son plus haut niveau depuis octobre 2008.

    Des prix moins souvent annoncés en hausse

    En novembre 2018, les chefs d'entreprises sont de nouveau un peu moins nombreux qu'en octobre à annoncer qu'ils augmenteront leur prix au cours des trois prochains mois. Le solde d'opinion correspondant baisse depuis août mais se maintient bien au-dessus de sa moyenne de longue période.

  • Etat actionnaire et libéralisation de l’Economie (2/2) (30 08 2017)

    Nous proposons sur 2 jours cette note d’analyse publiée le 9 août 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11869?xtor=EPR-100.html

    L’État actionnaire : son adaptation à la libéralisation de l’économie

    (Bercy, Ministère de l’économie et des finances © hassan bensliman - Fotolia.com)

    Le débat sur l’État actionnaire est relancé à l’été 2017 par la nationalisation des chantiers navals de Saint-Nazaire. Quel périmètre couvre réellement l’action l’État actionnaire ? Quelle est la stratégie affichée des pouvoirs publics ? Quelles sont les points faibles et les atouts de l’État actionnaire en France ?

    Sommaire

    1. Contexte et état des lieux

    2. L’ordonnance de 2014

    3. Les critiques contre l’État actionnaire

    4. L’État actionnaire, protecteur des entreprises en difficulté

     

    …/…

    Les critiques contre l’État actionnaire

    En tant que régulateur, il est reproché à l’État actionnaire d’agir en défaveur d’entreprises concurrentes aux entreprises dans lesquelles il détient des participations. De lois ou des règlements peuvent défavoriser certaines entreprises. Dans le secteur de l’électricité par exemple, certaines entreprises à capitaux privés ont récemment dénoncé la fixation des tarifs réglementés, favorables à l’opérateur historique (EDF).

     

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  • Etat actionnaire et libéralisation de l’économie (1/2) (29 08 2017)

    Nous proposons sur 2 jours cette note d’analyse publiée le 9 août 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/dossier/economie/etat-actionnaire-son-adaptation-liberalisation-economie.html

    L’État actionnaire : son adaptation à la libéralisation de l’économie

    (Bercy, Ministère de l’économie et des finances © hassan bensliman - Fotolia.com)

    Le débat sur l’État actionnaire est relancé à l’été 2017 par la nationalisation des chantiers navals de Saint-Nazaire. Quel périmètre couvre réellement l’action l’État actionnaire ? Quelle est la stratégie affichée des pouvoirs publics ? Quelles sont les points faibles et les atouts de l’État actionnaire en France ?

    Sommaire

    1. Contexte et état des lieux

    2. L’ordonnance de 2014

    3. Les critiques contre l’État actionnaire

    4. L’État actionnaire, protecteur des entreprises en difficulté

    Contexte et état des lieux

    En France, l’État joue un rôle important dans un certain nombre de grandes entreprises. Cette situation résulte de l’histoire économique française au cours du XXe siècle qui a vu se succéder trois vagues de nationalisations.

    Une nationalisation est une opération juridique consistant à transférer à la collectivité la propriété d’une entreprise. La première série de nationalisations a eu lieu en 1936, après la victoire du Front populaire (SNCF, entreprises d’armement, aéronautique), la deuxième à la Libération, en 1945 (EDF, Renault, Banque de France, les grandes banques de dépôts) et la dernière, en 1982, au début du premier septennat de François Mitterrand (Saint-Gobain, Suez et Paribas, Rhône-Poulenc, Thomson, etc.).

    A partir des années 1986-1988, un mouvement inverse s’est déroulé et les entreprises publiques, qui ne remplissaient pas de missions de service public, ont toutes été privatisées. L’État a parfois gardé une partie du capital.

     

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  • Produit intérieur Brut : 2e trimestre (28 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui (hors tableaux et graphiques) cette note d’analyse publiée le 28 juillet 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/29086900.html

    Le PIB progresse de 0,5 % au 2e trimestre 2017

    Comptes nationaux trimestriels - première estimation (PIB) - deuxième trimestre 2017

    Au 2e trimestre 2017, le produit intérieur brut (PIB) en volume* continue de progresser : +0,5 %, pour le 3e trimestre consécutif. Les dépenses de consommation des ménages accélèrent légèrement (+0,3 % après +0,1 %) tandis que la formation brute de capital fixe (FBCF) ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %). Au total, la demande intérieure finale hors stocks contribue à la croissance du PIB pour +0,4 point, comme au trimestre précédent.

    Les exportations rebondissent (+3,1 % après −0,7 %) tandis que les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). Au total, le solde extérieur contribue positivement à la croissance du PIB : +0,8 point après −0,6 point au trimestre précédent. À l'inverse, les variations de stocks y contribuent négativement (−0,6 point après +0,7 point).

    Sommaire

    La production totale croît un peu plus vite

    La consommation des ménages accélère légèrement

    L'investissement des entreprises ralentit nettement

    Le commerce extérieur contribue positivement à la croissance du PIB

    Les variations de stocks ralentissent

    Révisions

    Au 2e trimestre 2017, le produit intérieur brut (PIB) en volume* continue de progresser : +0,5 %, pour le 3e trimestre consécutif. Les dépenses de consommation des ménages accélèrent légèrement (+0,3 % après +0,1 %) tandis que la formation brute de capital fixe (FBCF) ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %). Au total, la demande intérieure finale hors stocks contribue à la croissance du PIB pour +0,4 point, comme au trimestre précédent.

    Les exportations rebondissent (+3,1 % après −0,7 %) tandis que les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). Au total, le solde extérieur contribue positivement à la croissance du PIB : +0,8 point après −0,6 point au trimestre précédent. À l'inverse, les variations de stocks y contribuent négativement (−0,6 point après +0,7 point).

    * Les volumes sont mesurés aux prix de l'année précédente chaînés et corrigés des variations saisonnières et des effets des jours ouvrables (CVS−CJO).

    La production totale croît un peu plus vite

    La production totale de biens et services accélère un peu au 2e trimestre 2017 (+0,8 % après +0,6 %). Elle augmente à nouveau dans les biens (+1,0 % après 0,0 %) tandis qu'elle est à peine moins dynamique qu'au trimestre précédent dans les services (+0,7 % après +0,8 %).

    La production manufacturière se redresse (+0,9 % après 0,0 %), principalement du fait du rebond dans la cokéfaction-raffinage. La production de gaz et d'électricité progresse à nouveau. Dans la construction, la production accélère (+1,0 % après +0,6 %). À l'inverse, elle ralentit très légèrement dans les services marchands (+0,8 % après +0,9 %).

    La consommation des ménages accélère légèrement

    La consommation des ménages accélère légèrement au 2e trimestre 2017 (+0,3 % après +0,1 %). Les dépenses en biens rebondissent (+0,4 % après −0,4 %), tandis qu'elles ralentissent en services (+0,2 % après +0,6 %).

    La consommation d'énergie se redresse (+0,5 % après −3,2 %). Les achats de biens fabriqués accélèrent légèrement (+0,2 % après +0,1 %), de même que la consommation alimentaire (+0,6 % après +0,4 %). Dans les services, le ralentissement de la consommation provient notamment de l'hébergement-restauration.

    L'investissement des entreprises ralentit nettement

    Au 2e trimestre 2017, la FBCF totale ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %) avec l'investissement des entreprises (+0,5 % après +2,1 %). L'investissement des ménages demeure soutenu (+1,0 % après +1,2 %). La FBCF en construction accélère légèrement (+0,8 % après +0,6 %), grâce à un regain de vigueur dans le génie civil. En revanche, l'investissement en biens manufacturés se replie nettement (−0,8 % après +2,0 %), surtout du fait d'un recul en biens d'équipement et, dans une moindre mesure, d'une baisse accentuée en matériels de transport. La FBCF en services marchands ralentit de façon notable (+1,0 % après +2,0 %) en raison notamment d'un repli en services aux entreprises.

    Le commerce extérieur contribue positivement à la croissance du PIB

    Les exportations rebondissent au 2e trimestre 2017 (+3,1 % après −0,7 %), notamment en matériels de transport et en autres produits industriels. Dans le même temps, les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). En particulier, les achats de produits pétroliers raffinés et de matériels de transport sont en repli. Au total, les échanges extérieurs contribuent à la croissance à hauteur de +0,8 point (après −0,6 point).

    Les variations de stocks ralentissent

    Au 2e trimestre 2017, les variations de stocks contribuent négativement à la croissance du PIB, pour −0,6 point (après +0,7 point début 2017). En particulier, elles diminuent fortement dans les matériels de transport (automobile et aéronautique).

    Révisions

    L'estimation de la croissance du PIB au 1er trimestre 2017 est confirmée à +0,5 %. De légères révisions des différents agrégats se compensent ; elles tiennent principalement à la révision des indicateurs et à l'actualisation des coefficients de correction des variations saisonnières.