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état

  • Déficit public de la France 2023 (08 04 2024)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 28 mars 2024 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/293530-deficit-public-de-la-france-55-du-pib-en-2023.html

    Déficit public de la France : 5,5% du PIB en 2023

    Publié le 28 mars 2024

    Le déficit public pour 2023 atteint 154 milliards d'euros, soit 5,5% du produit intérieur brut (PIB) après 4,8% en 2022 et 6,6% en 2021. La dette des administrations publiques au sens de Maastricht atteint 110,6% du PIB fin 2023 après 111,9% fin 2022 (elle était de 97,9% du PIB en 2019 avant la pandémie de Covid-19).

     

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  • Etat actionnaire et libéralisation de l’Economie (2/2) (30 08 2017)

    Nous proposons sur 2 jours cette note d’analyse publiée le 9 août 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11869?xtor=EPR-100.html

    L’État actionnaire : son adaptation à la libéralisation de l’économie

    (Bercy, Ministère de l’économie et des finances © hassan bensliman - Fotolia.com)

    Le débat sur l’État actionnaire est relancé à l’été 2017 par la nationalisation des chantiers navals de Saint-Nazaire. Quel périmètre couvre réellement l’action l’État actionnaire ? Quelle est la stratégie affichée des pouvoirs publics ? Quelles sont les points faibles et les atouts de l’État actionnaire en France ?

    Sommaire

    1. Contexte et état des lieux

    2. L’ordonnance de 2014

    3. Les critiques contre l’État actionnaire

    4. L’État actionnaire, protecteur des entreprises en difficulté

     

    …/…

    Les critiques contre l’État actionnaire

    En tant que régulateur, il est reproché à l’État actionnaire d’agir en défaveur d’entreprises concurrentes aux entreprises dans lesquelles il détient des participations. De lois ou des règlements peuvent défavoriser certaines entreprises. Dans le secteur de l’électricité par exemple, certaines entreprises à capitaux privés ont récemment dénoncé la fixation des tarifs réglementés, favorables à l’opérateur historique (EDF).

     

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  • Etat actionnaire et libéralisation de l’économie (1/2) (29 08 2017)

    Nous proposons sur 2 jours cette note d’analyse publiée le 9 août 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/dossier/economie/etat-actionnaire-son-adaptation-liberalisation-economie.html

    L’État actionnaire : son adaptation à la libéralisation de l’économie

    (Bercy, Ministère de l’économie et des finances © hassan bensliman - Fotolia.com)

    Le débat sur l’État actionnaire est relancé à l’été 2017 par la nationalisation des chantiers navals de Saint-Nazaire. Quel périmètre couvre réellement l’action l’État actionnaire ? Quelle est la stratégie affichée des pouvoirs publics ? Quelles sont les points faibles et les atouts de l’État actionnaire en France ?

    Sommaire

    1. Contexte et état des lieux

    2. L’ordonnance de 2014

    3. Les critiques contre l’État actionnaire

    4. L’État actionnaire, protecteur des entreprises en difficulté

    Contexte et état des lieux

    En France, l’État joue un rôle important dans un certain nombre de grandes entreprises. Cette situation résulte de l’histoire économique française au cours du XXe siècle qui a vu se succéder trois vagues de nationalisations.

    Une nationalisation est une opération juridique consistant à transférer à la collectivité la propriété d’une entreprise. La première série de nationalisations a eu lieu en 1936, après la victoire du Front populaire (SNCF, entreprises d’armement, aéronautique), la deuxième à la Libération, en 1945 (EDF, Renault, Banque de France, les grandes banques de dépôts) et la dernière, en 1982, au début du premier septennat de François Mitterrand (Saint-Gobain, Suez et Paribas, Rhône-Poulenc, Thomson, etc.).

    A partir des années 1986-1988, un mouvement inverse s’est déroulé et les entreprises publiques, qui ne remplissaient pas de missions de service public, ont toutes été privatisées. L’État a parfois gardé une partie du capital.

     

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  • Qu’est-ce qu’une Ordonnance ? (23 05 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 2 mai 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/institutions/administration/action/voies-moyens-action/qu-est-ce-qu-ordonnance.html?xtor=EPR-56.html

     Qu’est-ce qu’une ordonnance ?

    Le Gouvernement peut demander au Parlement l’autorisation de prendre lui-même des mesures relevant normalement du domaine de la loi afin de mettre en œuvre son programme (art. 38 de la Constitution). L’autorisation lui est donnée par le vote d’une loi d’habilitation. Ces actes sont appelés des ordonnances. Elles ne sont pas inconnues de l’histoire constitutionnelle, car elles existaient déjà sous les IIIe et IVe Républiques sous le nom de décrets-lois.

    Les ordonnances sont prises en Conseil des ministres et doivent être signées par le président de la République. Une controverse a existé pour savoir si le chef de l’État était obligé de les signer. Le président Mitterrand a, quant à lui, refusé d’en signer plusieurs pendant la première cohabitation (1986-1988).

    Les ordonnances entrent en vigueur dès leur publication. Mais un projet de loi de ratification doit être déposé devant le Parlement. Si ce projet n’est pas déposé avant la date fixée par la loi d’habilitation, les ordonnances deviennent caduques. Une fois ce projet déposé, soit l’ordonnance est approuvée (ratifiée) par le Parlement et acquiert la valeur de loi, soit elle n’est pas ratifiée et conserve une valeur simplement réglementaire (inférieure à la loi), constituant alors un acte administratif unilatéral.

    La révision constitutionnelle du 23 juillet 2008 a introduit une nouveauté. Auparavant, la jurisprudence du Conseil d’État admettait la ratification implicite d’une ordonnance, résultant de sa modification par une loi. Désormais, l’article 38 de la Constitution exige que la ratification soit explicite.

    Depuis le début de la Ve République, les gouvernements ont souvent recouru à la procédure des ordonnances pour des sujets très techniques ou des réformes très délicates. On peut ainsi donner l’exemple des « ordonnances Juppé » de 1996 ayant conduit à une importante modification du système de Sécurité sociale français. Le nombre d’ordonnances adoptées sur le fondement de l’article 38 de la Constitution est toutefois en forte augmentation depuis le début des années 2000. Cette augmentation est en partie liée à la nécessité de mieux assurer la transposition en droit français des directives prises par l’Union européenne.

  • gouvernement : plan d'économies (02 07 2010)

    Gouvernement : plan d’économies

    Extraits d’un article publié le 30 juin 2010 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20100630trib000525710/nouveau-plan-d-economies-devoile-par-le-gouvernement.html

    Le nouveau plan de 150 mesures doit permettre d'économiser 10 milliards d'euros de plus…./… afin d'aider aux économies de cent milliards d'euros à trouver en trois ans pour réduire le déficit public. Sur ce total, un "coup de rabot" sur les niches fiscales est prévu à hauteur de 8,5 à 10 milliards d'euros.

    Ce programme prévoit notamment la suppression de 100.000 postes de fonctionnaires (via le non remplacement d'un départ en retraite sur deux) dont 16.000 dans l'éducation nationale.

    Le gouvernement prévoit de réduire de 10% les dépenses de fonctionnement de l'Etat et des opérateurs, soit une économie d'environ 2 milliards d'euros d'ici à 2013. Plus une économie de 10% des dépenses d'intervention, soit environ 5 milliards…/…