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  • Projet de loi de finances pour 2025 (19 10 2024)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 14 octobre 2024 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/loi/295632-budget-2025-projet-de-loi-de-finances-plf.html 

    Projet de loi de finances pour 2025

    Dernière modification : 14 octobre 2024

    Réduction des dépenses de l’État, impôts exceptionnels sur les plus fortunés et les plus grandes entreprises, hausse de plusieurs taxes, niches fiscales supprimées, effort financier annoncé pour les collectivités locales... Voici les grandes orientations du projet de loi de finances (PLF) qui prévoit de contenir le déficit public à 5% du PIB en 2025.

    Le projet de loi a été déposé le 10 octobre 2024 sur le bureau de l'Assemblée nationale. Les députés examineront le texte en séance publique à partir du 21 octobre 2024.

    Sommaire

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  • Carte Vitale électronique : conditions CNIL (10 03 2023)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 22 février 2023 sur le site de la Commission Nationale Informatique et Libertés (cliquer ici pour accéder au site de la C.N.I.L.)

    https://www.cnil.fr/fr/carte-vitale-electronique-quelles-consequences-pour-les-personnes.html

    Carte Vitale électronique : quelles conséquences pour les personnes ?

    22 février 2023

    Dans le prolongement d’une expérimentation menée depuis 2019, la carte Vitale électronique (« e-carte Vitale ») sera proposée à tous les assurés sociaux avant la fin de l’année 2025. La CNIL revient sur ce dispositif et ses usages, ainsi que sur les garanties à prendre pour respecter les droits des personnes.

     

    Depuis le 1er janvier 2023, l’expérimentation de la « e-carte Vitale » a été généralisée à l’ensemble du territoire français. L’assurance maladie prévoit un déploiement progressif de cet outil numérique jusqu’en 2025, qui reste facultatif :  les personnes peuvent toujours utiliser la carte Vitale « physique » ou la feuille de soins pour obtenir le remboursement de leurs dépenses de santé.

    La « e-carte Vitale », une version dématérialisée de la carte Vitale physique

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  • Projet loi financement Sécurité Sociale 2023 (07 10 2022)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 26 septembre 2022 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15965?xtor=EPR-100.html

    Projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2023 : les mesures phares

     

    Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2023 prévoit des mesures relatives à la prévention ; à l'amélioration de l'accès à la santé, et en particulier, pour faire face aux déserts médicaux ; au soutien aux familles en matière de garde d'enfants ; à l'appui aux personnes âgées en perte d'autonomie et à la lutte contre la fraude sociale. Il sera examiné par le Parlement à partir du 20 octobre 2022.

     

    Renforcer les actions de prévention en santé

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  • Automobile : taxe véhicules neufs (15 12 2020)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 26 novembre 2020 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ201118549.html

     

    Question écrite n° 18549 de M. Jean-Pierre Moga (sénateur du Lot-et-Garonne)

     

    1. Jean-Pierre Moga attire l'attention de M. le Premier ministre concernant le secteur automobile qui va devoir assumer une nouvelle taxe gouvernementale.


    Les ventes de voitures neuves ont beau avoir chuté de 29 % en neuf mois, l'exécutif a décidé de durcir le malus automobile pour les véhicules de plus de 1,8 tonne avec un amendement au projet de loi de finances pour 2021 introduisant une nouvelle taxe de 10 euros par kilo sur les véhicules thermiques neufs de plus de 1 800 kg. Cette nouvelle taxe s'ajoute à un durcissement sévère du malus sur les émissions de CO2.


    Un durcissement des taxes sur les SUV, dont les ventes explosent, est déjà demandé alors que la filière automobile est déjà sévèrement touchée par la crise. On risque d'assister à une promesse d'instabilité fiscale pour les années à venir... Les professionnels du secteur affirment que le cumul des malus CO2 renforcés et d'un malus poids impacterait potentiellement plus de 70 % des véhicules fabriqués et vendus en France, en totale contradiction avec l'objectif affiché d'une localisation de la production automobile dans notre pays, et en totale contraction avec les choix industriels des dernières années.


    Après la crise de 2008-2009, la stratégie française a été celle d'une montée en gamme et de la spécialisation sur les véhicules à forte valeur ajoutée, et les petits modèles ne sont plus produits en France mais en Europe.


    La très forte augmentation du malus sur le CO2, le déplafonnement du barème, la création d'une nouvelle taxe sur le poids des véhicules indépendamment de leur performance environnementale, la baisse des bonus pour les véhicules électriques et hybrides, l'exclusion de tout diesel du dispositif de la prime à la conversion... autant de facteurs de fragilisation d'un tissu industriel et d'activités de services qui pèsent, au total, près d'un million d'emplois dans notre pays.


    Le marché est en état de sidération : les ventes de voitures neuves ont encore reculé de 3 % en septembre 2020, portant à 29 % la baisse sur les neuf derniers mois.


    Il lui demande des garanties afin d'éviter de surtaxer davantage une filière automobile en pleine mutation technologique, qui serait une menace au financement de ses investissements, et de s'opposer à toute fiscalité additionnelle afin de ne pas décourager les particuliers comme les entreprises pour qui le coût à l'achat des véhicules augmentera.

     

    Réponse du Ministère de la transition écologique publiée dans le JO Sénat du 26/11/2020 - page 5613

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  • Réforme des Retraites : point (06 08 2020)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 9 juillet 2020 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2020/qSEQ20071403G.html

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 1403G de Mme Éliane Assassi (sénatrice de Seine-Saint-Denis)


    Mme Éliane Assassi. Ma question s'adresse à M. le Premier ministre, à qui je souhaite, au nom de mon groupe, la bienvenue au sein de la Haute Assemblée.


    La feuille de route fixée par le Président de la République marque le retour de la réforme des retraites. « Il n'y aura pas d'abandon », a-t-il précisé dans la presse régionale. Vous-même avez affirmé vouloir régler ce dossier à court terme.


    Cette réforme a été suspendue parce qu'elle n'apparaissait plus comme prioritaire, alors que le Président de la République cherchait la concorde nationale face à la covid-19.


    Les appels à l'unité nationale se fracassent sur la reprise de ce projet, repoussé par une large majorité de nos concitoyens. Vous soufflez sur les braises de la division !


    La réforme envisagée repose sur le dogme libéral selon lequel travailler plus durant sa vie comme durant la semaine est la seule voie pour atteindre l'équilibre financier.


    Pourtant, les sommes considérables dégagées pour venir en aide aux entreprises montrent que les richesses sont là et qu'elles peuvent servir l'intérêt général.


    Monsieur le Premier ministre, la Nation « garantit à tous, notamment à l'enfant, à la mère et aux vieux travailleurs, la protection de la santé, la sécurité matérielle, le repos et les loisirs. Tout être humain qui, en raison de son âge […], se trouve dans l'incapacité de travailler a le droit d'obtenir de la collectivité des moyens convenables d'existence ». Le gaullisme social dont vous vous revendiquez se fonde sur ce onzième alinéa du préambule de la Constitution de 1946, lequel est toujours en vigueur aujourd'hui.


    Est-il conciliable, selon vous, avec la déferlante libérale portée par M. Macron ? Allez-vous, monsieur le Premier ministre, oui ou non, renoncer à cette réforme des retraites, dont l'ensemble des partenaires sociaux ne veulent plus entendre parler aujourd'hui ?

     

    Réponse du Premier ministre publiée dans le JO Sénat du 09/07/2020 p. 6225

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  • Carte d’identité : format (02 12 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 19 octobre 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180706028.html

     

    Question écrite n° 06028 de M. Cyril Pellevat (sénateur de Haute-Savoie)

    Cyril Pellevat attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'intérieur, sur le format de la carte d'identité nationale.


    Depuis des années, de nombreux pays à travers le monde ont adopté pour leur propre carte d'identité un format de carte bancaire.


    Ce format en plus d'être plus pratique que l'actuel format A7 de la carte d'identité française est d'autant plus solide. En effet, elle est faite en polycarbonate, un matériau bien plus résistant que la matière de notre carte d'identité actuelle.


    Ces cartes intègrent également un microprocesseur qui permet une vérification des documents plus fiable. Comme elles contiennent la photo du titulaire et potentiellement ses empreintes digitales, elles peuvent servir, le cas échéant, à l'identification et à l'authentification biométriques.


    Cette nouvelle génération de cartes offre une meilleure protection contre l'usurpation d'identité. Ces cartes intègrent une identité électronique régalienne et permettent d'accéder aux services publics avec une sécurité renforcée grâce à la signature électronique.


    Ainsi, afin de faciliter la vie des citoyens et de diminuer le risque d'usurpation d'identité, il lui demande la raison pour laquelle notre pays conserve le format A7 et si cette proposition lui semble intéressante.

     

    Réponse du Ministère de l'intérieur publiée dans le JO Sénat du 28/11/2019 - page 5933

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