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épidémies

  • Épidémies hivernales - Saison 2017-2018 (12 01 2018)

    Epidémies hivernales

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note de synthèse publiée le 10 janvier 2018 sur le site Santé publique France (cliquer ici pour accéder au site Santé publique France)

    http://www.santepubliquefrance.fr/Actualites/Epidemies-hivernales-Saison-2017-2018.html

    Pendant la période hivernale, les épidémies de grippe, de gastro-entérite et de bronchiolite touchent chaque année des millions de personnes. Santé publique France publie chaque semaine un point de situation permettant de suivre l'évolution du nombre de cas en France et rappelle les 5 gestes à adopter.

    Santé publique France, dans le cadre de ses missions de surveillance, de vigilance et d’alerte dans le domaine des épidémies saisonnières, analyse les données de surveillance de la grippe, de la bronchiolite et des gastro-entérites aiguës issues de son réseau de partenaires*. L'analyse de ces données est publiée chaque semaine dans trois bulletins épidémiologiques.

    ADOPTER LES « GESTES BARRIÈRES » 

    Lavage des mains

    Pour limiter la diffusion des germes et peut être éviter de passer quelques jours au fond du lit avec de la fièvre, quelques gestes simples de prévention doivent être adoptés comme le lavage des mains plusieurs fois dans la journée. Ce geste est indispensable après s’être mouché, avoir toussé ou éternué, après avoir rendu visite à une personne malade, après chaque sortie à l’extérieur et bien sûr avant de préparer les repas, de les servir ou de les prendre. Pour un bon lavage des mains, on conseille d’utiliser un savon liquide (le pain de savon n’est pas aussi hygiénique car il reste humide) pendant trente secondes et de ne pas oublier de frotter les ongles et le bout des doigts, la paume et l’extérieur des mains, les jointures des doigts et les poignets. Le séchage doit se faire avec une serviette propre ou à l’air libre. Une solution hydro alcoolique peut aussi remplacer le lavage des mains sur des mains non souillées.

    Mouchoir en papier

    Se couvrir la bouche dès que l’on tousse ou éternue (dans sa manche ou dans un mouchoir à usage unique) est un bon préalable qu’il faut également transmettre aux enfants. Utiliser un mouchoir en papier à jeter dans une poubelle fermée tout de suite après usage et se laver les mains ensuite.

    Port du masque

    Si l’on est malade, un masque chirurgical (que vous trouverez à acheter en pharmacie) permettra d’éviter la diffusion des microbes. Il faut se laver les mains avant de le manipuler, le changer toutes les 4 heures ou dès qu’il est mouillé, ne pas le réutiliser et le jeter dans une poubelle couverte avant de se laver les mains.

    Éviter…
    Enfin il faut éviter de serrer les mains, d’embrasser, de partager ses effets personnels (couverts, verre, brosse à dent, serviette de toilette…), éviter les lieux très fréquentés (centres commerciaux, transports en commun) et éviter si possible d’y emmener les nourrissons et les enfants.

    Aérer
    Enfin, pensez à aérer chaque pièce du logement tous les jours pendant au moins 10 minutes pour renouveler l’air.

  • Moustique tigre : prévention (29 07 2014)

     

    Article publié le 18 juillet 2014 sur le site Service Public (Direction de l'information légale et administrative -Premier ministre) (cliquer ici pour accéder au site Service Public)

    http://www.service-public.fr/actualites/003116.html?xtor=EPR-140.html

    Moustique tigre sous surveillance sur www.signalement-moustique.fr

     

    Vous pensez avoir vu un moustique tigre (ce moustique est reconnaissable notamment à ses rayures noires et blanches sur le corps et sur les pattes) ? Vous pouvez le signaler en ligne surwww.signalement-moustique.fr.

     

    Même si, à ce jour, il n’y a pas d’épidémie en France métropolitaine, ce moustique est susceptible de véhiculer le chikungunya et la dengue. C’est pourquoi les autorités sanitaires invitent les personnes qui résident dans les zones où ce moustique est actif à adopter certains gestes pour éviter sa prolifération :

    ·         vider régulièrement les coupelles sous les pots de fleurs et les vases (au moins une fois par semaine) ou les supprimer,

    ·         vider et retourner les seaux et les récipients divers,

    ·         recouvrir à l’aide d’un filet moustiquaire ou de tissu les bidons de récupération d’eau,

    ·         introduire des poissons qui mangeront les larves dans les bassins d’agrément.

    Il est également important de se protéger contre les piqûres de ce moustique :

    ·         port de vêtements longs et amples,

    ·         aménagement de l’habitat (moustiquaires aux fenêtres…),

    ·         utilisation de produits répulsifs (ce moustique ayant une activité diurne, l’utilisation de répulsifs cutanés reste l’option la plus efficace).

    Originaire des forêts tropicales d’Asie du sud-est, le moustique tigre (aedes albopictus) est une espèce invasive de moustique présent en France métropolitaine depuis 2004 et actif dans 18 départements (en particulier dans le sud-est). Adapté aux environnements urbains où il colonise toutes sortes de récipients, le moustique tigre est un petit moustique (il mesure moins d’un centimètre) de couleur blanche et noire avec des ailes noires (sans tâches).

    Pour en savoir plus

    ·         S’informer sur le moustique tigre

    Portail de signalement du moustique tigre

    ·         Moustiques vecteurs de maladies

     

    Ministère des affaires sociales et de la santé

  • Moustiques : dengue et chikungunya (17 07 2014)

    Nous proposons aujourd’hui cet article paru dans le n° 105 de juin 2014 de la publication Equilibres de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/CFESBases/equilibre/numeros/105/virus_se_proteger_de_la_dengue_et_du_chikungunya.asp

     

    Comme chaque année depuis 2006, le ministère chargé de la santé renouvelle le dispositif de lutte contre la dissémination du moustique vecteur de la dengue et du chikungunya en France métropolitaine. Dans ce cadre, l'Institut diffuse plusieurs documents de sensibilisation à l'attention du grand public et des professionnels.

     

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  • Point épidémiologique (source SOS médecins 03 01 2012) 05 01 2012

    Point épidémiologique (source SOS médecins) : 3 janvier 2012

    Information publiée le 3 janvier 2012 sur le site de l’Institut National de veille sanitaire (cliquer ici pour accéder au site de l’INVS)

    http://www.invs.sante.fr/Publications-et-outils/Bulletin-SOS-Medecins/Tous-les-numeros/2012/Bulletin-national-d-information-SOS-Medecins-du-3-janvier-2012.html

    Bulletin national d'information SOS Médecins du 3 janvier 2012  

    L’activité de SOS Médecins est stable sur le plan national et dans les régions pour la troisième semaine consécutive,  à un niveau inférieur à l’année 2010 pour la même période.
    L’activité est en légère baisse chez les enfants de moins de 15 ans (-17%), alors que classiquement on observe une augmentation de l’activité en période de vacances scolaires.

    L’indicateur grippe est stable tous âges confondus, à des valeurs nettement inférieures à celles observées l’année dernière pour la même période. Les diagnostics de grippe concernent principalement les + de 15 ans (78%) et sont en légère augmentation chez les 15-74 ans.

    L’indicateur bronchiolite est en légère baisse (-14%) et rejoint les tendances observées en 2009 et 2010 pour la même période.

    L’indicateur de gastro-entérite tous âges confondus est en augmentation (+30%) en particulier chez les adultes de plus de 15 ans (+46%) sur la période. Les diagnostics de gastro-entérite représentent 10% de l’activité de SOS Médecins. Cette tendance est comparable à celle observée en 2009  et 2010.

    L’indicateur des décès est en augmentation,  la tendance est comparable à celle observée en 2009 et 2010 pour la même période.
    L’indicateur de rougeole est stable sur la période.