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  • Cancer du sein : dépistage organisé (24 03 2012)

    Communiqué de presse publié le 3 février 2012 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1196105/cancer-du-sein-un-nouveau-souffle-pour-le-depistage-organise?xtmc=&xtcr=7.html

    Cancer du sein, un nouveau souffle pour le dépistage organisé

    Depuis 2004, la France a mis en place un dépistage organisé du cancer du sein afin de permettre à toutes les femmes de 50 à 74 ans d’accéder à une prise en charge précoce et de qualité. Ce dispositif national coexiste avec un dépistage individuel. Il ne bénéficie, huit ans plus tard, qu’à la moitié des femmes concernées. Les recommandations que publie aujourd’hui la Haute Autorité de Santé, à la demande de la Direction générale de la santé, visent à améliorer cette situation.

    Malgré une nette augmentation depuis 2004, la participation au dépistage organisé (DO) reste inférieure à l’objectif cible de 80% au niveau national et varie très fortement selon les départements. En France, les femmes de 50 à 74 ans ont la possibilité de réaliser une mammographie de dépistage, soit à la demande du médecin, voire à leur propre initiative, dans le cadre du dépistage dit individuel (DI), soit dans le cadre d’un programme mis en place par l’Etat, sur invitation par courrier, c’est le dépistage organisé (DO). La moitié seulement des 4,3 millions de femmes concernées chaque année se fait dépister via le dépistage organisé du cancer du sein et environ 10% dans le cadre du DI.

    Le dépistage organisé est d’une qualité supérieure au dépistage individuel

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  • cancer du sein : nouvelle étude (03 05 2008)

    Cancer : savoir interpréter les études (03 05 2008)

     

     

    Entretien avec Mme Françoise Clavel-Chapelon, directrice de recherche à l'Inserm,mené par Mme Sandrine Blanchard, lu le 30 avril 2008 sur le site du Monde

     

    http://www.lemonde.fr/aujourd-hui/article/2008/04/29/cancer-savoir-interpreter-les-etudes_1039728_3238.html#ens_id=628868

     

    (NDLR : cette note nous a semblé intéressante, tant sur le fond de l’étude et sur les conseils à en tirer, que sur la méthode de lecture et la prudence nécessaires face à tout rapport).

     

    Le risque de cancer du sein est "presque doublé" chez les femmes qui consomment trop d'acides gras trans industriels. Que faut-il comprendre et retenir de cette nouvelle étude alarmante, rendue publique début avril ? Directrice de recherche à l'Inserm, le docteur Françoise Clavel-Chapelon – responsable de l'étude dont sont issues ces conclusions – explique le travail des épidémiologistes.

     

    L'étude que vous avez menée avec l'Institut Gustave Roussy fait apparaître un nouveau facteur de risque dans le développement du cancer du sein : la consommation d'acides gras trans d'origine industrielle. Comment êtes-vous parvenus à ce résultat ?

     

     

     

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