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Naissances : point juillet 2021 (08 10 2021)

Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 2 septembre 2021 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

https://www.insee.fr/fr/statistiques/5419015.html

Nombre de naissances en 2021 : Juillet 2021, autant de naissances qu’en juillet 2020

Neuf mois après le début de la pandémie de Covid-19, les naissances avaient fortement baissé en France. Le 1er confinement ayant débuté en mars 2020, son impact sur les naissances s’observe depuis la fin de l’année. En décembre 2020, il y a eu 7 % de nouveau-nés en moins qu’en décembre 2019. La baisse s’est poursuivie de façon bien plus prononcée en janvier 2021, avec 13 % de naissances de moins qu’en janvier 2020. En février, les naissances repartaient à la hausse, tout en restant inférieures à celles observées un an auparavant (- 5 % en moyenne chaque jour). En mars, les naissances continuaient d’augmenter et dépassaient légèrement celles de mars 2020 (+ 1 %). La hausse s’est poursuivie en avril (+ 4 %). En mai et juin, les naissances repartaient à la baisse, à un rythme modéré : 1970 bébés sont nés en moyenne chaque jour en mai 2020 contre 2 010 en mai 2020 (- 2 %) et 2 030 en moyenne en juin 2021 contre 2060 en juin 2020 (- 1 %).

En juillet, les naissances reviennent à leur niveau de 2020 : 2 120 naissances en moyenne par jour en juillet 2021 comme en juillet 2020. Sur les 7 premiers mois de l’année 2021 (janvier-juillet), 1 960 bébés sont nés en moyenne chaque jour (- 2 % par rapport à la même période en 2020).

En métropole, la baisse des naissances début 2021 a été particulièrement marquée dans la plupart des départements d’Île-de-France et des régions Grand-Est, Hauts-de-France et Bourgogne-Franche-Comté.

Une première estimation provisoire du nombre de naissances en juillet 2021

Une première estimation provisoire du nombre de naissances en juillet 2021

Lors de la mise à jour au 2 septembre 2021, le nombre de naissances survenues en juillet 2021 est diffusé pour la 1e fois, les nombres de naissances des mois de mai et juin 2021 sont révisés. Cette première estimation est provisoire, car les bulletins de naissances n’ont pas encore été tous transmis à l’Insee. Une estimation plus précise sera disponible fin septembre, qui ne remettra pas en cause l’ampleur des évolutions déjà observées. Les révisions sont en effet minimes : les naissances du mois de juin 2021 ont été révisées à la hausse de 0,2 % par rapport à la diffusion du 29 juillet 2021.

2 120 bébés nés en moyenne chaque jour en juillet 2021 : autant qu’en juillet 2020

Chaque année, en raison de la baisse tendancielle des naissances observée depuis six ans, il naît généralement moins d’enfants chaque mois d’une année par rapport au même mois de l’année précédente. La diminution des naissances observée en janvier 2021 avait cependant été sans commune mesure avec les baisses observées dans le passé. Celle de février était nettement plus modérée. En mars, puis en avril, la reprise à la hausse des naissances, entamée en février, s’était poursuivie. En mai et juin, les naissances repartaient à la baisse, à un rythme proche de la tendance de ces dernières années. En juillet, elles reviennent à leur niveau de l’année précédente.

53 900 naissances ont eu lieu en France en janvier 2021, soit environ 1 740 par jour. C’est 13 % de moins qu’en janvier 2020 (62 200 naissances, soit près de 2 010 par jour). Cette baisse est particulièrement forte : il faut remonter à 1975, la fin du baby-boom, pour observer un phénomène de telle ampleur. Les naissances en septembre et octobre 1975 avaient en effet diminué de 14 % par rapport aux mêmes mois en 1974, et celles d’août et novembre de 10 %. Sans atteindre la même ampleur, les naissances avaient également diminué lors des récessions économiques du début des années 1980 et de 1993, avec des baisses sur un an ayant pu atteindre ponctuellement 10 % certains mois (- 10 % entre mars 1982 et 1983 comme entre avril 1982 et 1983, - 9 % entre février 1992 et 1993). Rien de tel n’a en revanche été observé en lien avec la dernière crise économique de 2008-2009.

52 200 naissances ont eu lieu en février 2021. Les naissances sont nettement moins nombreuses qu’en février 2020 (56 600), mais 2020 étant une année bissextile, le mois de février 2020 compte un jour de plus que le mois de février 2021. Il est donc préférable de comparer le nombre moyen de naissances par jour : 1 860 en moyenne par jour en février 2021 contre 1 950 en février 2020, soit une baisse de 5 %. La forte baisse des naissances observée en janvier 2021 s’est donc nettement atténuée.

Les naissances se sont rétablies en mars : 61 400 naissances en mars 2021, contre 60 800 en mars 2020, soit une hausse de 1 %. La reprise des naissances se confirme en avril, avec une hausse sur un an plus marquée : 60 300 naissances en avril 2021, contre 57 700 en avril 2020, soit une augmentation de 4 %. Elle laisse place à une baisse modérée en mai et juin : 61 100 naissances en mai 2021, contre 62 200 en mai 2020, soit une diminution de 2 % ; 60 800 naissances en juin 2021, contre 61 700 en juin 2020, soit une diminution de 1 %. En juillet, les naissances reviennent à leur niveau de l’année précédente, et le dépassent même légèrement : 65 900 contre 65 700 en juillet 2020.

Une forte baisse ponctuelle en début d’année 2021 liée à la pandémie de Covid-19 ?

La forte baisse des naissances en janvier 2021 pourrait être liée à la pandémie de Covid-19. Le premier confinement a été instauré mi-mars 2020 afin d’enrayer la pandémie, alors que le nombre de décès quotidiens était sur une phase ascendante. Ce contexte de crise sanitaire et de forte incertitude a pu décourager les couples de procréer, les inciter à reporter de plusieurs mois leurs projets de parentalité. Des considérations relatives à la transmission possible du virus de la mère au nouveau-né ont pu également jouer. Il faut également rappeler que pendant ce premier confinement du printemps 2020, les centres de procréation médicalement assistée ont été fermés. Inversement, le recours à l’interruption volontaire de grossesse a pu être plus compliqué au cours de cette période.

Quoi qu’il en soit, l’impact éventuel de cette période exceptionnelle sur les naissances ne pouvait s’observer au plus tôt que fin 2020, soit neuf mois après le premier confinement instauré à la mi-mars. La très forte baisse des naissances observée en janvier 2021 (- 13 % par rapport à janvier 2020), qui fait suite à un recul important également dès décembre 2020 (- 7 % par rapport à décembre 2019), laisse penser que la pandémie de Covid-19 a eu un fort impact à la baisse sur les naissances. Des baisses peuvent être observées sans lien avec la pandémie : les naissances ont par exemple diminué de 4 % en août et novembre 2020 par rapport aux mêmes mois en 2019. Mais le fait que la baisse en janvier 2021 soit historiquement la plus élevée depuis la fin du baby-boom et qu’elle ait suivi une diminution déjà prononcée en décembre 2020 laisse peu de doute sur le rôle important joué par le contexte de la pandémie sur cette évolution. Le recul des naissances en décembre et janvier peut être un phénomène ponctuel en début de pandémie (report des projets de parentalité de quelques mois seulement) ou le début d’une tendance plus pérenne (report durable des projets d’avoir un enfant ou abandon du projet), dans un contexte de crise sanitaire et économique.

Une reprise des projets de parentalité au sortir du premier confinement du printemps 2020

Les bébés nés en février 2021 ont été conçus pour la plupart en mai 2020 (au cours des derniers jours de la période de confinement du printemps ou à sa sortie). On observe une remontée des naissances en février, neuf mois après la fin du premier confinement, par rapport à janvier.

Cette remontée se confirme en mars, et en avril, premiers mois où les bébés qui ont vu le jour ont tous été conçus après le confinement du printemps 2020. Elle pourrait être le signe d’une reprise progressive des projets de parentalité en sortie du premier confinement et d’un rattrapage du déficit de naissances observé en début d’année. Alors que les naissances survenues en janvier et février 2021 étaient inférieures de 11 % à celles survenues au cours des mêmes mois un an plus tôt (de 9 % en tenant compte de l’année 2020 bissextile), les naissances ayant eu lieu entre le 1er janvier et le 30 avril 2021 n’étaient inférieures que de 4 % à celles survenues au cours de la même période en 2020 (de 3 % en tenant compte de l’année 2020 bissextile).

Cette remontée des naissances s’arrête en mai : les naissances, qui correspondent à des conceptions pour la plupart au mois d’août, repartent légèrement à la baisse. Le report des projets parentaux du fait du premier confinement semble terminé, et la baisse tendancielle des naissances, constatée ces dernières années, semble reprendre son cours. Il est né 2 % de bébés de moins en mai 2021 qu’en mai 2020, baisse du même ordre de grandeur que celle observée l’année passée, entre mai 2020 et mai 2019 ; et 1 % de moins en juin 2021 par rapport à juin 2020, dans la lignée également des tendances passées. Ces évolutions pouvaient alors indiquer que la hausse sur un an des naissances en mars et avril 2021 était temporaire, le temps de « rattraper » les projets parentaux reportés lors du premier confinement. Mais en juillet, mois de l’année où il naît en général le plus d’enfants, les naissances retrouvent leur niveau de l’an dernier. Ces bébés ont été pour la plupart conçus en octobre 2020, avant le second confinement.

Au total, sur la période de début janvier à fin juillet, les naissances en 2021 sont inférieures de 2 % à celles survenues en 2020 au cours de la même période (en tenant compte du fait que 2020 est une année bissextile).

Les nombres des naissances mensuelles qui sont mis à disposition par l’Insee tout au long de l’année ont permis de suivre comment les naissances ont évolué neuf mois après le premier confinement et à sa sortie, et permettront de suivre dans les mois à venir les évolutions après le second confinement.

Chaque année, il naît davantage de bébés en été qu’en hiver. Sur les cinq dernières années, le nombre moyen de bébés nés chaque jour est le plus élevé en juillet, avec 2 210 naissances. A l’inverse, le nombre de bébés nés chaque jour est le plus faible chaque année en mars (1 990 sur la période 2015-2020), puis en février et en décembre (2 040) et enfin en janvier (2 070).

Une forte baisse en début d’année en Île-de-France et dans les régions Grand-Est, Hauts-de France et Bourgogne-Franche-Comté

En janvier 2021, les naissances ont diminué dans toutes les régions. En métropole, les plus fortes baisses sont observées dans les régions qui ont connu les plus fortes hausses des décès lors de la première vague de la pandémie de Covid-19 : Grand-Est (- 18 % par jour entre janvier 2020 et janvier 2021), Île-de-France (- 17 %), Bourgogne-Franche-Comté (- 16 %) et Hauts-de-France (- 16 %). À l’inverse, les baisses sont nettement plus modérées en Bretagne et en Normandie (- 6 %). Le recul en janvier 2021 a également été important en Corse et encore davantage en Guadeloupe, mais dans les régions moins peuplées, les évolutions doivent être interprétées avec précaution, le nombre de naissances pouvant davantage fluctuer d’une année sur l’autre. C’est ainsi le cas dans les autres régions d’outremer.

En février 2021, le nombre moyen de naissances par jour est également inférieur à celui observé en février 2020 dans toutes les régions métropolitaines, à l’exception de la Bretagne (+ 1 %). La diminution est la plus marquée en Bourgogne-Franche-Comté (- 8 %). En mars 2021, les naissances reprennent dans presque toutes les régions. Dans neuf régions métropolitaines, les naissances en mars 2021 sont ainsi supérieures à celles de mars 2020, avec des hausses pouvant atteindre 6 % à 7 % dans le Centre-Val-de-Loire, la Bretagne et les Pays-de-la-Loire. Dans les régions métropolitaines où les naissances baissent, elles ne sont que légèrement inférieures à leur niveau de mars 2020 (- 1 % en Provence-Alpes-Côte d’Azur, - 2 % en Île-de-France et en Normandie), sauf en Corse où la baisse reste marquée. En avril 2021, la reprise des naissances s’est confirmée. Dans toutes les régions métropolitaines, les naissances en avril 2021 sont plus nombreuses qu’en avril 2020, avec des hausses de 9 à 10 % en Occitanie et en Bretagne et plus marquées encore en Centre-Val-de-Loire (+ 12 %) ou en Corse (+ 19 %). À l’inverse, les hausses sont très modérées dans les Hauts-de-France et les Pays-de-la-Loire (+ 1 %). La situation est plus contrastée dans les régions d’outremer. Les évolutions dans ces régions moins peuplées, comme en Corse, doivent cependant être interprétées avec précaution.

En mai 2021, les naissances baissent dans la plupart des régions : 12 régions sont concernées, dont 4 en outre-mer. En métropole, la baisse est la plus marquée en Centre-Val-de-Loire (- 8 % entre mai 2020 et mai 2021), région où la hausse avait été importante en mars et avril. La baisse est parmi les plus fortes en Provence-Alpes-Côte d’Azur (- 5 %), après une hausse importante en avril (+ 6 %) mais pas en mars (- 1 %). Viennent ensuite les Hauts-de-France (- 4 %), qui n’avaient connu pourtant qu’une hausse très modérée des naissances en mars et avril. La situation est donc contrastée : ce n’est pas forcément dans les régions où la reprise des naissances avait été la plus forte que la baisse en mai est la plus marquée. Dans les six régions où elles n’ont pas baissé, les naissances en mai 2021 ne sont que légèrement supérieures à celles de mai 2020, de l’ordre de 1 % le plus souvent, comme c’est le cas en Auvergne-Rhône-Alpes ; l’augmentation est de 2 % en Bretagne, en Normandie et en Corse et de 3 % dans les Pays-de-la-Loire.

En juin 2021, les naissances baissent aussi dans la plupart des régions : douze régions sont concernées, dont deux en outremer. En métropole, la baisse est la plus marquée en Corse (- 10 %), dans les Hauts-de-France (-5 %), puis dans le Centre-Val-de-Loire, en Auvergne-Rhône-Alpes et dans le Grand-Est (- 4 %), ainsi qu’en Île-de-France et Bourgogne-Franche Comté (- 3 %). Les naissances augmentent en revanche en Occitanie et en Bretagne (+ 2 %).

En juillet 2021, les naissances augmentent dans un peu plus d’une région sur deux. En métropole, la hausse est la plus marquée en Nouvelle-Aquitaine (+ 4 %), en Occitanie et en Corse (+ 3 %) etla plus forte baisse est constatée en Île-de-France et en Normandie (- 2 %).

Au total, sur les deux premiers mois de l’année 2021, les naissances ont particulièrement diminué par rapport aux mêmes mois en 2020 dans les régions Bourgogne-Franche-Comté, Île-de-France, Hauts-de-France et Grand-Est : les baisses du nombre moyen de naissances journalières sont comprises entre 11 % et 13 % dans ces régions sur la période janvier-février 2021. La reprise des naissances en mars et avril a permis d’atténuer ces baisses. Sur la période janvier-avril 2021, la baisse des naissances par rapport aux mêmes mois des années précédentes dans ces régions est comprise entre 4 % et 5 %. La Bretagne enregistre, quant à elle, des naissances supérieures à 2020 sur les quatre premiers mois de l’année 2021 (+ 3 %). Les évolutions constatées en mai, juin et juillet changent peu ce constat.

Sur la période de début janvier à fin juillet, en métropole, les naissances ont le plus diminué dans les quatre régions les plus marquées par la pandémie lors de la première vague (-4 % dans les Hauts-de-France et en Île-de-France, - 3 % en Bourgogne-Franche-Comté et dans le Grand-Est), régions qui avaient connu un recul très prononcé des naissances en janvier-février 2021. La baisse est limitée dans les régions de la façade atlantique et du Sud-Ouest (moins de 1 % en Nouvelle-Aquitaine, dans les Pays-de-la-Loire et en Occitanie). Seule la Bretagne connaît une hausse des naissances en janvier-juillet 2021 par rapport à la même période en 2020 (+ 2%).

La baisse des naissances en janvier a été forte dans la plupart des départements, et celle de février plus modérée. Sur les deux premiers mois de l’année 2021, la baisse des naissances a été globalement la plus prononcée dans des départements situés en Île-de-France, dans l’est et dans le nord de la France, parmi les plus touchés par la première vague de Covid-19, avec une forte hausse des décès toutes causes confondues en mars-avril 2020 par rapport aux mêmes mois de 2019. En moyenne, le nombre de naissances par jour en janvier et février 2021 d’enfants domiciliés dans l’Aisne a été inférieur de 20 % à celui de janvier-février 2020. Il a baissé de 10 à 15 % en Seine-Saint-Denis, dans les Hauts-de-Seine, le Val-d’Oise, l’Essonne, le Val-de-Marne, et à Paris, ainsi que dans le Bas-Rhin et l’Oise. Mais d’autres départements moins touchés par la première vague de Covid-19 voient aussi leur nombre de naissances baisser fortement, de 15 % ou plus par exemple dans l’Aude, ou de 10 à 15 % dans les Bouches-du-Rhône, les Pyrénées-Orientales et la Loire-Atlantique, alors que la baisse au niveau national a été en moyenne de 9 %.

En mars 2021, les naissances augmentent dans la plupart des départements. Dans six départements sur dix, les naissances en mars 2021 dépassent ainsi celles de mars 2020, alors que dans presque tous les départements il y a eu moins de naissances en janvier-février 2021 qu’en janvier-février 2020. En avril 2021, la hausse se confirme et s’étend. Dans huit départements sur dix, les naissances en avril 2021 dépassent celles d’avril 2020. La hausse dépasse 10 % dans trois départements sur dix, alors qu’au niveau national la hausse est de 4 %.

En mai 2021, les naissances diminuent dans la moitié des départements. La baisse dépasse 5 % dans 3 départements sur 10, alors qu’elle est de 2 % au niveau national. Les naissances en mai 2021 sont en revanche supérieures à celles de mai 2020 dans la moitié des départements, avec une hausse qui dépasse 5 % dans 2 départements sur 10. En juin 2021, la baisse s’étend à six départements sur dix, et elle dépasse 5 % dans trois départements sur dix.

En juillet, les naissances sont à la hausse dans six départements sur dix, et l’augmentation dépasse 5 % dans près de la moitié d’entre eux.

Au total, sur la période janvier-juillet 2021, les naissances sont inférieures à celles de 2020 dans sept départements sur dix, et la baisse dépasse 5 % dans 13 départements. Elles sont au contraire supérieures aux naissances de janvier-juillet 2020 dans 29 départements, et 8 départements (soit un département sur 13) enregistrent au cours de la période au moins 5 % de naissances en plus en 2021 qu’en 2020.

Pour les départements les moins peuplés, les évolutions doivent être interprétées avec précaution, le nombre de naissances pouvant davantage fluctuer d’une année sur l’autre. C’est pourquoi le commentaire privilégie les départements de taille suffisamment importante.

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