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statistiques, démographie - Page 97

  • Commerce de gros : mars 2012 (29 03 2012)

    Commerce de gros : mars 2012

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note publiée le 23 mars 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=60&date=20120323.html

    Le climat conjoncturel dans le commerce de gros s’améliore nettement en mars 2012

    Ensemble du commerce de gros

    Selon les chefs d’entreprise interrogés en mars 2012, le climat conjoncturel dans le commerce de gros s’améliore : l’indicateur synthétique du climat des affaires gagne six points par rapport au mois de janvier et rejoint sa moyenne de longue période.

    L’indicateur de retournement conjoncturel bascule dans la zone favorable pour la première fois depuis mai dernier.

    L’activité est bien orientée …

    Les grossistes signalent une embellie de l’activité passée : les soldes d’opinion relatifs aux ventes passées et aux livraisons reçues atteignent leurs niveaux moyens. Le solde concernant les exportations dépasse sa moyenne et celui concernant les importations remonte à son niveau de longue période.

    … et cette amélioration se poursuivrait dans les prochains mois

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  • Industrie : commandes (janvier 2012) (22 03 2012)

    Note d’analyse (hors tableaux et graphiques) publiée le 20 mars 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=91&date=20120320.html

    Les commandes dans l'industrie augmentent en janvier 2012 (+0,7 %)

    Au mois de janvier 2012, les commandes augmentent légèrement (+0,7 %) dans l’industrie hors matériels de transport (mais y compris automobile). Elles étaient en baisse en décembre (-0,2 %). Les commandes à l’exportation diminuent (-0,6 %).

    Au cours des trois derniers mois, les commandes augmentent de 0,4 %

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  • Listes électorales : nombre d’inscrits 2007-2012 (17 03 2012)

    Extraits (hors tableaux) d’une note publiée le 16 mars 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/detail.asp?reg_id=99&ref_id=elecreg.html

    Les inscriptions sur les listes électorales 2011

    Mise à jour : 16 mars 2012

    Le nombre total d'inscrits sur les listes électorales en France est passé, entre mars 2007 et mars 2012, de 42,9 à 44,3 millions, soit une augmentation de 1,4 million en 5 ans. Cette croissance du nombre des inscrits est un peu supérieure à celle de la population de 18 ans et plus de nationalité française vivant en France, que l'on estime à 1,2 million sur la même période, sur la base des enquêtes annuelles de recensement.

    Au cours de l'année 2011, 4 528 000 personnes se sont inscrites sur les listes électorales communales en France: il s'agit de personnes qui s'inscrivent pour la première fois ou bien de réinscriptions, le plus souvent suite à un déménagement. Ce chiffre est très supérieur à celui de l'année 2010 (1 676 000), ce qui s'explique par l'approche des élections présidentielles et législatives du printemps 2012.

    Sur ces 4,5 millions d'électeurs, 1 128 000 n'avaient jamais été inscrits sur les listes électorales. Parmi eux, on estime à environ 714 000 les inscriptions suite à la procédure d'inscription automatique des jeunes de 18 ans et à 414 000 les autres primo inscriptions (contre 142 000 en 2010 pour les primo inscriptions non automatiques).

    Lors de la mise à jour des listes électorales qui avait précédé les élections du printemps 2007, le nombre de mouvements observés sur les listes avait été légèrement plus élevé : 4,8 millions d'inscriptions. Mais les contextes de 2007 et de 2012 sont différents.

    D'une part, les nombreuses personnes qui, à l'automne 2006, se sont inscrites pour la première fois sur les listes électorales (plus de 800 000, hors procédure d'inscription d'office) n'ont pas eu à renouveler cette inscription cette année : elles figurent toujours sur les listes électorales.

    D'autre part, il n'y avait eu aucune élection au cours des années 2005 et 2006, alors qu'il y a eu des élections en 2010 (régionales) et en 2011 (cantonales). Or, bien souvent, les personnes qui déménagent ne s'inscrivent dans leur nouvelle commune de résidence que durant l'automne précédent un scrutin. Ceci explique que les inscriptions ont été plus étalées sur les années 2009 à 2011 qu'elles ne l'avaient été de 2004 à 2006 et donc que les inscriptions avant les élections présidentielles et législatives en 2007 avaient été plus concentrées en 2006.

  • Industrie : indice des prix (janvier 2012) (08 03 2012)

    Note d’analyse (hors graphiques et tableaux) publiée le 27 février 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=25&date=20120227.html

    Renchérissement des prix sur l’ensemble des marchés

    Indices de prix de production de l’industrie française

    MARCHÉ FRANÇAIS : +0,6 % en janvier

    En janvier, les prix de production de l’industrie française croissent de 0,6 % sur le marché français, après une quasi-stabilité en décembre (-0,1 %), sur un rythme comparable aux mois d’octobre et novembre (respectivement +0,5 % et +0,4 %). L’augmentation des produits pétroliers est toujours la cause principale de ce renchérissement des prix.

    Les prix des produits du raffinage se redressent

    Le prix du pétrole de la mer du Nord (Brent) se redresse en janvier de 3,4 % en dollars et de 5,2 % en euros du fait de la dépréciation de la monnaie européenne. La progression des prix des produits pétroliers est vive : +9,5 % pour le super sans plomb, +4,2 % pour le gazole et +4,7 % pour le fioul domestique.

    Les prix des denrées alimentaires sont stables

    Les prix des denrées alimentaires sont stables pour le troisième mois consécutif. Les prix de l’industrie de la viande fléchissent dans la viande de boucherie (-2,8 %) et dans la viande de volaille (-1,5 %), tandis que les prix de la confiserie et du chocolat augmentent sensiblement (+4,9 %), tirés par le cours du cacao.

    La croissance des prix des « autres produits industriels » est modérée.

    L’augmentation des prix des « autres produits industriels » (+0,3 %) fait suite à deux mois de stabilité (-0,1 % et 0,0 % respectivement en novembre et décembre). Les prix des produits du verre (+1,1 %), du ciment et du plâtre (+3,3 %) et des ouvrages en béton (+2,1 %) ont été modifiés à la hausse en début d’année, après plusieurs mois de stabilité.

    MARCHÉS EXTÉRIEURS : +0,6 % en janvier

    Les prix des produits industriels destinés aux marchés extérieurs croissent de 0,6 %. Cette évolution rompt avec une quasi-stabilité depuis avril 2011. La vive progression des prix des produits du raffinage (+8,8 %) contribue plus à ce redressement, mais les prix de l’industrie textile (+1,6 %) et ceux des produits pharmaceutiques (+1,7 %) augmentent également.

    ENSEMBLE DES MARCHÉS : +0,6 % en janvier

    Pour l’ensemble des marchés, la hausse est de 0,6 % et de 3,5 % sur un an.

    Indices de prix d’importation des produits industriels : +1,2 % en janvier

    Les prix d’achat à l’importation des produits industriels se redressent nettement en janvier (+1,2 %), après une légère baisse en décembre (-0,2 %). Cette hausse, principalement imputable au renchérissement des achats de produits énergétiques, s’inscrit également dans un contexte de dépréciation de la monnaie européenne par rapport au dollar.

  • Fracture du col du fémur : prise en charge 1998-2009 (2/2) (07 03 2012)

    Suite des Extraits du Rapport de Philippe OBERLIN et Marie-Claude MOUQUET, Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du Ministère de la Santé publié dans la brochure Etudes et Résultats n°774 du 30 septembre 2011 (cliquer ci-dessous pour accéder au site de la DREES ou au texte complet pdf du rapport)

     

    http://www.sante.gouv.fr/no-774-les-modalites-de-prise-en-charge-des-fractures-du-col-du-femur-en-france-de-1998-a-2009.html

    http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/er774.pdf

    Les modalités de prise en charge des fractures du col du fémur en France de 1998 à 2009

    ENCADRE n°1 Base nationale PMSI-MCO et fractures de l’extrémité supérieure du fémur (FESF)

    ENCADRE n°2 La prise en charge thérapeutique des FESF

    ENCADRE n°3 Les recommandations de la Haute Autorité de santé (HAS) dans le traitement des FESF

     

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  • Fracture du col du fémur : prise en charge 1998-2009 (1/2) (06 03 2012)

    Extraits du Rapport de Philippe OBERLIN et Marie-Claude MOUQUET, Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du Ministère de la Santé publié dans la brochure Etudes et Résultats n°774 du 30 septembre 2011 (cliquer ici pour accéder au site de la DREES ou au texte complet pdf du rapport)

     

    http://www.sante.gouv.fr/no-774-les-modalites-de-prise-en-charge-des-fractures-du-col-du-femur-en-france-de-1998-a-2009.html

    http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/er774.pdf

    Les modalités de prise en charge des fractures du col du fémur en France de 1998 à 2009

     

    Synthèse

     

    En 2009, les 79 200 fractures de l’extrémité supérieure du fémur (FESF) ont été traitées essentiellement dans des hôpitaux publics et la part de ceux-ci a régulièrement augmenté depuis 1998. Cela est vraisemblablement dû au fait qu’il s’agit d’une pathologie d’urgence à durée de séjour relativement longue, les caractéristiques démographiques des patients étant par ailleurs sensiblement les mêmes dans tous les types d’établissements.

    En 2009, 36 % des FESF ont été classées en fractures trochantériennes et 64 % en fractures cervicales ou de localisation non précisée. Un patient sur deux a eu une ostéosynthèse et deux sur cinq une prothèse.

    Les recommandations de traitement de la Haute Autorité de santé (HAS) semblent globalement suivies. En effet, en 2009, les patients victimes d’une fracture trochantérienne ont été traités près de neuf fois sur dix par ostéosynthèse. Pour les fractures cervicales ou non précisées, six patients sur dix ont eu une prothèse, le plus souvent céphalique. Néanmoins, la probabilité de mise en place d’une prothèse totale de hanche est, toutes choses égales par ailleurs, plus élevée pour les patients hospitalisés dans le secteur privé à but lucratif, et ceci quelle que soit la localisation de la fracture. Les pratiques diffèrent aussi selon les régions.

     .../…

    Des établissements publics prépondérants pour la prise en charge

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