crise
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Crise : conserver argent liquide chez soi (22 10 2025)
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Maladie chronique de l’hôpital public diagnostic et traitement (29 04 2025)
Nous vous proposons aujourd’hui cette note longue et approfondie écrite par un professeur de médecine retraité, publiée le 18 avril 2025 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)
La maladie chronique de l'hôpital public : diagnostic et traitement Publié le 18 avril 2025 Par : André Grimaldi - Professeur émérite, ancien chef du service de diabétologie du CHU de la Pitié-Salpêtrière
Urgences saturées, manque de personnel, fermetures de lits… L'hôpital public est confronté depuis plusieurs années à une crise multiforme qui appelle des changements profonds pour être résorbée. Instaurer une démocratie sanitaire, renforcer la planification sanitaire et unifier le système de santé figurent parmi les traitements.
Sommaire
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Note de conjoncture : décembre 2021 (15 12 2021)
https://www.insee.fr/fr/statistiques/6005756?sommaire=6005764.html
Note de conjoncture
- Vue d'ensemble
- Synthèse France
- Synthèse internationale
Vue d’ensemble
La reprise économique mondiale se poursuit, mais les points de vigilance deviennent plus saillants, qu’il s’agisse des tensions inflationnistes ou du retour de l’incertitude sanitaire. Ainsi, l’économie américaine a rebondi plus vite que celle de la zone euro, à la faveur de soutiens budgétaires encore plus massifs, mais elle connaît maintenant le revers de sa médaille avec une inflation plus élevée. La reprise chinoise est freinée, à l’inverse des États-Unis, par une demande intérieure atone et une stratégie sanitaire plus restrictive. Au Royaume-Uni, la hausse des difficultés de recrutement – que connaissent la plupart des pays occidentaux – est accentuée par le Brexit, et les échanges extérieurs demeurent très dégradés.
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Conjoncture française : novembre 2021 (15 11 2021)
https://www.banque-france.fr/sites/default/files/media/2021/11/08/20211108_pconjonctureok_0.pdf
Point sur la conjoncture française à début novembre 2021
L’économie française a retrouvé son niveau pré-crise durant le 3e trimestre, soit nettement plus tôt que prévu. En octobre, selon l’enquête de conjoncture de la Banque de France menée entre le 27 octobre et le 4 novembre auprès de 8500 entreprises ou établissements, l’activité a été globalement stable dans l’industrie et le bâtiment et a continué de progresser dans les services marchands. Pour le mois de novembre, les chefs d’entreprise anticipent une progression de l’activité aussi bien dans l’industrie que dans les services et le bâtiment.
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Climat des affaires et de l’emploi : octobre 2021 (10 11 2021)
https://www.insee.fr/fr/statistiques/5650478.html
En octobre 2021, le climat des affaires en France et celui de l’emploi s’améliorent
En octobre 2021, le climat des affaires s'améliore de nouveau. L'indicateur qui le synthétise, calculé à partir des réponses des chefs d'entreprise des principaux secteurs d'activité marchands, gagne 2 points. À 113, il retrouve le niveau particulièrement élevé de juin 2021. Il demeure donc largement au-dessus de sa valeur d'avant la crise sanitaire (106) et à plus forte raison de sa moyenne de longue période (100). Cette nouvelle amélioration du climat des affaires tient principalement à la hausse des soldes d’opinion prospectifs dans les services.
Sommaire
Le climat de l’emploi rebondit fortement
En octobre 2021, l’indicateur de climat des affaires en France est en hausse, sous l’effet notamment des services
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Crise sanitaire : dépenses publiques (05 10 2021)
https://www.vie-publique.fr/rapport/281413-rapport-sur-depenses-publiques-pendant-la-crise-et-le-bilan-operationnel#xtor=EPR-526.html
cliquer ci-dessous pour accéder au texte complet du rapport (pdf)
https://www.vie-publique.fr/sites/default/files/rapport/pdf/281413.pdf
Les dépenses publiques pendant la crise et le bilan opérationnel de leur utilisation
SYNTHÈSE
La crise du Covid-19 et ses conséquences économiques et sociales ont induit une forte hausse des dépenses publiques. Ces dernières ont représenté 61,8% du PIB en 2020, contre 55,4% en 2019. À la demande de la commission des finances de l’Assemblée nationale, la Cour s’est attachée à analyser l’évolution de ces dépenses, qu’elles résultent ou non des conséquences de la crise sanitaire. Selon les conventions de calcul retenues par la Cour, la hausse atteint 96,4 milliards d’euros, soit +6,5%, correspondant pour 86% à des dépenses de crise. Les dépenses ordinaires, sans lien avec la crise, représentent 14% de la hausse des dépenses publiques, soit 13,7 milliards d’euros. La hausse des dépenses publiques a principalement concerné l’Etat (+ 11,0 %) et les administrations de sécurité sociale (+ 5,6 %). En revanche les dépenses des collectivités territoriales ont été peu affectées par la crise sanitaire (-0,9%).