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crise - Page 3

  • Villes : dévitalisation commerciale des centres (12 11 2016)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 26 octobre 2016 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/territoires-devitalisation-commerciale-centres-villes-s-aggrave.html?xtor=EPR-56.html

    Territoires : la dévitalisation commerciale des centres-villes s’aggrave

    Le 20 octobre 2016, l’Inspection générale des finances (IGF) et le Conseil général de l’environnement et du développement durable (CGEDD) ont remis à Martine Pinville, secrétaire d’État chargée du commerce et de l’artisanat, un rapport sur la revitalisation commerciale des centres-villes.

    Les petites et moyennes villes souffrent de plus en plus d’une baisse de dynamisme de leur centre-ville, liée notamment à la diminution des commerces. En 2015, 55% des centres-villes des agglomérations de 10 000 à 100 000 habitants avaient un taux moyen de commerces vides supérieur à 10%. Depuis 2001, ce taux n’a cessé d’augmenter. Parmi les villes les plus touchées par la vacance commerciale en 2015, figurent notamment Béziers, Châtellerault, Forbach, Dreux et Saint-Brieuc. Plusieurs phénomènes peuvent expliquer la dévitalisation des cœurs de villes : un tissu économique fragile, un déséquilibre des concurrences commerciales entre la périphérie et le centre-ville ainsi que la perte d’équipements structurants ou de services du quotidien.

    Afin de redynamiser les centres-villes, le rapport préconise le lancement d’un agenda national "Commerces en cœur de ville" et formule seize recommandations autour de cinq leviers d’action :

    • encourager la définition de stratégies locales pour le développement du commerce ;
    • mieux assurer les équilibres avec des règles d’urbanisme commercial rénovées ;
    • coordonner les acteurs par la mise en place de managers de centre-ville et d’une organisation permanente des acteurs publics et privés du commerce ;
    • accompagner les commerçants dans leur adaptation au commerce de demain, notamment en renforçant la transition numérique du "petit commerce" ;
    • mobiliser et gérer le foncier commercial.

    Lors de la remise du rapport, la secrétaire d’État chargée du commerce et de l’artisanat a annoncé qu’un million d’euros issu du Fonds d’intervention pour les services, l’artisanat et le commerce (FISAC) serait débloqué "pour financer dès que possible les stratégies de développement urbain, les nouveaux partenariats entre les acteurs publics et privés et le développement du management de centre-ville"

    Sur la toile publique

    Discours de Martine PINVILLE, secrétaire d’État au commerce, à l’artisanat, à la consommation et à l’économie sociale et solidaire, lors de la remise du rapport sur la revitalisation commerciale des centres-villes, le 20 octobre 2016, Format PDF (309Ko)

  • Elevage français : crise (08 06 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 26 mai 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ160119809.html

    Question écrite n° 19809 de M. Pascal Allizard (sénateur du Calvados - Les Républicains)

    Pascal Allizard attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt, porte-parole du Gouvernement sur la situation de l'élevage.

     
    Il rappelle que la crise agricole a particulièrement touché le secteur de l'élevage, notamment dans les régions comme la Normandie.

     
    Les producteurs bovins, porcins ou laitiers sont confrontés à des nombreuses difficultés : charges élevées, normes contraignantes et surtout une baisse des prix qui met en péril de nombreuses exploitations.

     
    Ils sont contraints de s'endetter pour maintenir leur activité et finissent par ne plus pouvoir rembourser leurs dettes. C'est ainsi toute l'économie de certains territoires dépendant des productions animales qui se trouve en danger.

     
    A la suite de la mobilisation du monde agricole, le Gouvernement a mis en place durant l'été 2015 un plan d'urgence en faveur des éleveurs français en difficulté qui vise en particulier : le report du paiement du solde d'impôt sur le revenu ; la prise en charge de cotisations sociales ; la restructuration de l'endettement pouvant aller jusqu'à une année blanche en termes de remboursements bancaires ; la garantie des prêts aux éleveurs par la banque publique d'investissement (Bpifrance).

     
    Aujourd'hui, alors que l'administration ploie sous les demandes d'aide, les prix repartent à la baisse dans certains secteurs de l'élevage.

     
    Par conséquent, il lui demande comment il compte renforcer la prise en charge des demandes d'aide et assurer pour l'avenir aux éleveurs des revenus décents.

     

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 26/05/2016 p. 2202

     

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  • Filière avicole : crise (24 02 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 27 janvier 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ16010718G.html

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 0718G de M. Pierre Médevielle (sénateur de la Haute-Garonne)

    Pierre Médevielle. Monsieur le secrétaire d'État, l'annonce le 24 novembre dernier de la découverte d'un cas d'influenza aviaire en Dordogne a déclenché un véritable cataclysme dans le grand Sud-Ouest. La détection de nouveaux cas, suivie d'abattages massifs, et la mise en place de périmètres de sécurité ont plongé les acteurs de cette filière dans le plus profond désarroi.


    1. Le plan d'éradication national du virus que vous avez proposé en concertation avec les services vétérinaires, seule piste crédible dans l'immédiat, se traduira par un vide sanitaire total de nos élevages. Cela ne va pas sans poser plusieurs problèmes majeurs.

     
    Premièrement, nos aviculteurs seront soumis à de nouvelles normes et mesures de biosécurité qui vont entraîner un alourdissement des charges et des investissements importants. 

    Deuxièmement, les éleveurs devront faire face non à une simple diminution de leurs revenus, mais à une suppression brutale de ceux-ci.

     

    Troisièmement, cette filière aviaire et palmipède gras qui permettait encore l'installation de jeunes éleveurs est un véritable emblème national et l'un des fleurons du made in France, quoi qu'en pense Miss Pamela Anderson : 74 % du foie gras consommé dans le monde est produit en France. Sachons préserver cet élément de notre patrimoine gastronomique.

     
    Monsieur le secrétaire d'État, je vous poserai deux questions.

     
    J'ai pris note de vos annonces de mardi. Nous n'avons bien sûr pas le droit de laisser tomber l'aviculture française qui sera en cessation d'activité dès que les derniers animaux auront été abattus début avril.

     
    Donc, dans un premier temps, et dans l'urgence, comptez-vous privilégier les aides directes aux investissements, et selon quel calendrier ?

     

    Soyons réalistes, l'éradication totale de l'influenza aviaire relève pour moi de la communication. Ce virus, de par sa capacité à muter, me paraît beaucoup plus résistant que notre filière. 

    Par conséquent, si le vide sanitaire ne se révélait pas suffisant, comptez-vous, dans un second temps, engager un suivi sur le moyen et le long terme afin de sauver et de pérenniser l'élevage avicole et la production de palmipèdes gras ?

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement publiée dans le JO Sénat du 29/01/2016 - page 1988

     

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  • Situation de l’emploi (04 01 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 24 décembre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ15120678G.html

    Question d'actualité au gouvernement n° 0678G de Mme Sophie Primas (sénateur des Yvelines)

    Madame la ministre, le 9 septembre 2012, le Président de la République annonçait l'inversion de la courbe du chômage à l'échéance d'un an et Pierre Moscovici, à la même époque, déclarait : « L'inversion est possible et elle va arriver à la fin de l'année, j'en ai la conviction, une conviction informée. »

     

    À la fin de l'année 2013, le nombre de demandeurs d'emploi avait augmenté de 6,5 %. Fin mars 2014, notre pays comptait plus de 5 millions de chômeurs. Trois ans après l'élection du Président de la République, en 2015, la France a atteint le niveau historique de 5,7 millions de demandeurs d'emploi. Les derniers chiffres publiés du chômage, ceux du mois d'octobre, révèlent un bond sans précédent : on enregistre 42 000 chômeurs de plus en un seul mois.

    Ces très mauvais résultats interviennent alors que l'euro est faible, que le cours du pétrole l'est également et que les taux d'intérêt sont au plus bas.

    Tous les pays européens profitent de cette situation pour réformer et créer des emplois : l'Allemagne, la Grande-Bretagne, qui est quasiment en situation de plein emploi, l'Italie, dirigée par un gouvernement de gauche, l'Espagne, et même la Grèce. Tous, sauf la France !

    Madame la ministre, combien faudra-t-il de chômeurs de plus pour que le Gouvernement prenne enfin conscience que les politiques qu'il mène sont plus destructrices que créatrices d'emplois, dans un pays qui a pourtant tant d'atouts, tant de créativité, tant de chefs d'entreprise audacieux ?

    Le Président de la République a dit hier, en conseil des ministres, que l'important était de définir un cap. Madame la ministre, quel est ce cap ?

    Réponse du Ministère du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social publiée dans le JO Sénat du 11/12/2015 p. 12714

     

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  • Industrie automobile : redressement 2014 (17 12 2015)

    L’industrie automobile : redressement de la production en 2014

    Extraits  (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse de Mme Elisabeth Rignols, division Industrie et Agriculture, publiée le 14 décembre 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=if48.html

    Résumé

    En 2014, la production en volume de l’industrie automobile se redresse (+ 3 %) grâce à l’amélioration de la demande. Le commerce extérieur est également plus dynamique mais le déficit extérieur s’alourdit légèrement et atteint - 2,9 milliards d’euros en valeur. L’emploi salarié continue de diminuer. En 2013, l’industrie automobile réalise un chiffre d’affaires de 102 milliards d’euros et emploie 226 000 salariés. Il contribue pour 7 % à la valeur ajoutée de l’industrie manufacturière. Le taux de marge, bien qu’encore dégradé, s’améliore.

    En 2014, redressement de la production…

     

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  • Conjoncture et bâtiment : promoteurs immobiliers et logements neufs (28 07 2015)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 24 juillet 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=57&date=20150724.html

    En juillet 2015, les promoteurs immobiliers entrevoient une nouvelle amélioration de la demande de logements neufs

    Enquête trimestrielle de conjoncture dans la promotion immobilière – Juillet 2015

    Les perspectives de demande de logements neufs continuent de se redresser

     

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