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economie - Page 9

  • Economie mondiale : perspectives (24 09 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 10 septembre 2019 sur le site de la Direction du Trésor du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site Trésor)

     

    https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2019/09/10/tresor-eco-n-243-perspectives-mondiales-a-l-automne-2019-ralentissement-et-incertitudes.html

     

    Trésor-Éco n° 243 - Perspectives mondiales à l'automne 2019 : ralentissement et incertitudes

    Rédigé par DG Trésor • Publié le 10 septembre 2019

    Après avoir diminué en 2018, la croissance mondiale baisserait sensiblement en 2019 (à +3,1 %), puis augmenterait légèrement (à +3,3 %) en 2020, portée par une accélération de l'activité dans certains pays émergents. Dans les grands pays avancés, la croissance reculerait, dans le sillage des États-Unis. Cependant, les aléas se sont accrus autour de ce scénario : aggravation du protectionnisme, risque renforcé d’un Brexit sans accord et incertitudes sur l’orientation des politiques économiques.

     

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  • Filière éolienne : bilan économique et financier (26 06 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 20 juin 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180706223.html

    Question écrite n° 06223 de M. Hugues Saury (sénateur du Loiret)

    Hugues Saury attire l'attention de M. le ministre de l'action et des comptes publics sur le coût public des mesures de soutien au déploiement des énergies renouvelables (EnR), et de l'éolien en particulier.  Si chacun est convaincu de la nécessité d'encourager les énergies renouvelables, le développement actuel du parc éolien suscite d'importantes inquiétudes.

     
    Dans son rapport du mois de mars 2018, la Cour des comptes s'est inquiétée du coût des mécanismes destinés à soutenir l'éolien et a mis en avant la nécessaire transparence des coûts et des prix de production. En effet, l'institution soulève « un soutien financier très élevé et déséquilibré » et pointe « un décalage persistant au regard des objectifs affichés » des politiques publiques de soutien au développement des énergies renouvelables.

     
    Aussi, la Cour précise que la programmation pluriannuelle de l'énergie doit également être objectivée par des considérations économiques et reposer sur une analyse des coûts des différentes filières de production d'énergie, pour pouvoir mieux objectiver les choix de politique de soutien mis en œuvre au regard des objectifs à atteindre.

     

    Elle estime les dépenses publiques de soutien au secteur (essentiellement le solaire et l'éolien) à 5,3 milliards d'euros en 2016, dont 4,4 milliards pour les éoliennes électriques. Si la France réalise la trajectoire qu'elle s'est fixée, les dépenses relatives aux EnR électriques pourraient ainsi atteindre 7,5 Md€ en 2023. Ainsi, la Cour des comptes pointait la nécessité d'établir une stratégie énergétique plus concertée et cohérente dans sa nouvelle programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE).

     

    Alors qu'un nouveau plan de libération des énergies renouvelables a été annoncé pour janvier 2019, il lui demande de lui communiquer le bilan économique et financier de l'implantation des éoliennes sur notre territoire au regard des éléments soulevés par la Cour des comptes.

     

    Réponse du Ministère de la transition écologique et solidaire publiée dans le JO Sénat du 20/06/2019 p. 3255

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  • Centres villes (05 01 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note de synthèse publiée le 20 décembre 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/conference-territoires-couverture-numerique-revitalisation-centres-villes.html?xtor=EPR-56.html

    Conférence des territoires : couverture numérique et revitalisation des centres-villes

    Le 14 décembre à Cahors (Lot) s’est tenue la 2e conférence nationale des territoires. A cette occasion, le gouvernement a présenté sa stratégie pour accélérer le déploiement du haut-débit sur l’ensemble du territoire. Évoquées par le Premier ministre, les mesures du plan "Action Cœur de Ville" sur la revitalisation des centres-villes ont été détaillées par Jacques Mézard, ministre de la cohésion des territoires, à Rodez le lendemain.

    Le plan de l’aménagement numérique des territoires

    En 2017, 10% du territoire ne sont pas couverts par la 4G, soit 10 000 communes habitées par plus d’un million d’habitants. Deux axes sont prévus pour résorber la fracture numérique : la garantie de l’accès à tous au bon débit et la généralisation de la couverture mobile de qualité d’ici à 2020.

    Dans les territoires ruraux, le gouvernement prévoit d’accélérer la couverture en fibre optique par “l’appel à manifestation d’engagements locaux”. Cet appel prévoit l’intervention encadrée des opérateurs privées dans les zones publiques et doit durer de janvier à juillet 2018.

    Le plan confirme un investissement de 20 milliards d’euros en faveur du plan France Très Haut Débit, la définition de nouvelles obligations de couverture mobile pour les opérateurs, ainsi qu’une aide financière pour permettre l’équipement des ménages habitant en zone isolée. Le lancement d’un observatoire de l’internet fixe est prévu afin que chaque commune puisse connaître les technologies disponibles et les projets de déploiement des opérateurs et des collectivités territoriales.

    Enfin, six mesures de simplification, en matière d’urbanisme notamment, sont annoncées pour faciliter le déploiement des infrastructures de télécommunications.

    L’action Cœur de Ville

    Afin de contrer la disparition des commerces et la dégradation immobilière de nombre de centres-villes, le plan “Action Cœur de Ville” prévoit de mobiliser plus de 5 milliards d’euros sur cinq ans. Ces moyens proviendront notamment d’une enveloppe de 1,5 milliard d’Action logement qui sera fléchée spécifiquement vers la réhabilitation de logements en centre-ville pour les salariés.

    Élaborées en concertation avec les acteurs concernés, publics et privés, les principales mesures concernent :

    • les communes et les intercommunalités, avec notamment la mise en œuvre de périmètres prioritaires d’intervention dénommées “opérations de revitalisation du territoire” ;
    • les commerces et activités économiques et de services : nouvelle offre commerciale en centre-ville et régulation du développement du commerce de périphérie ;
    • les propriétaires et locataires en centre-ville, avec des incitations à la rénovation et à la mise aux normes des logements et l’extension du prêt social de location accession aux logements anciens ;
    • les promoteurs immobiliers et des bailleurs en vue d’inciter au retour de salariés dans les centres-villes ;
    • les résidents et les visiteurs (accès prioritaires à la fibre et aux services publics dans les centres-villes).

    Sur la toile publique

    Site de la Conférence nationale des territoires 

  • Produit intérieur Brut : 2e trimestre (28 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui (hors tableaux et graphiques) cette note d’analyse publiée le 28 juillet 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/29086900.html

    Le PIB progresse de 0,5 % au 2e trimestre 2017

    Comptes nationaux trimestriels - première estimation (PIB) - deuxième trimestre 2017

    Au 2e trimestre 2017, le produit intérieur brut (PIB) en volume* continue de progresser : +0,5 %, pour le 3e trimestre consécutif. Les dépenses de consommation des ménages accélèrent légèrement (+0,3 % après +0,1 %) tandis que la formation brute de capital fixe (FBCF) ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %). Au total, la demande intérieure finale hors stocks contribue à la croissance du PIB pour +0,4 point, comme au trimestre précédent.

    Les exportations rebondissent (+3,1 % après −0,7 %) tandis que les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). Au total, le solde extérieur contribue positivement à la croissance du PIB : +0,8 point après −0,6 point au trimestre précédent. À l'inverse, les variations de stocks y contribuent négativement (−0,6 point après +0,7 point).

    Sommaire

    La production totale croît un peu plus vite

    La consommation des ménages accélère légèrement

    L'investissement des entreprises ralentit nettement

    Le commerce extérieur contribue positivement à la croissance du PIB

    Les variations de stocks ralentissent

    Révisions

    Au 2e trimestre 2017, le produit intérieur brut (PIB) en volume* continue de progresser : +0,5 %, pour le 3e trimestre consécutif. Les dépenses de consommation des ménages accélèrent légèrement (+0,3 % après +0,1 %) tandis que la formation brute de capital fixe (FBCF) ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %). Au total, la demande intérieure finale hors stocks contribue à la croissance du PIB pour +0,4 point, comme au trimestre précédent.

    Les exportations rebondissent (+3,1 % après −0,7 %) tandis que les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). Au total, le solde extérieur contribue positivement à la croissance du PIB : +0,8 point après −0,6 point au trimestre précédent. À l'inverse, les variations de stocks y contribuent négativement (−0,6 point après +0,7 point).

    * Les volumes sont mesurés aux prix de l'année précédente chaînés et corrigés des variations saisonnières et des effets des jours ouvrables (CVS−CJO).

    La production totale croît un peu plus vite

    La production totale de biens et services accélère un peu au 2e trimestre 2017 (+0,8 % après +0,6 %). Elle augmente à nouveau dans les biens (+1,0 % après 0,0 %) tandis qu'elle est à peine moins dynamique qu'au trimestre précédent dans les services (+0,7 % après +0,8 %).

    La production manufacturière se redresse (+0,9 % après 0,0 %), principalement du fait du rebond dans la cokéfaction-raffinage. La production de gaz et d'électricité progresse à nouveau. Dans la construction, la production accélère (+1,0 % après +0,6 %). À l'inverse, elle ralentit très légèrement dans les services marchands (+0,8 % après +0,9 %).

    La consommation des ménages accélère légèrement

    La consommation des ménages accélère légèrement au 2e trimestre 2017 (+0,3 % après +0,1 %). Les dépenses en biens rebondissent (+0,4 % après −0,4 %), tandis qu'elles ralentissent en services (+0,2 % après +0,6 %).

    La consommation d'énergie se redresse (+0,5 % après −3,2 %). Les achats de biens fabriqués accélèrent légèrement (+0,2 % après +0,1 %), de même que la consommation alimentaire (+0,6 % après +0,4 %). Dans les services, le ralentissement de la consommation provient notamment de l'hébergement-restauration.

    L'investissement des entreprises ralentit nettement

    Au 2e trimestre 2017, la FBCF totale ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %) avec l'investissement des entreprises (+0,5 % après +2,1 %). L'investissement des ménages demeure soutenu (+1,0 % après +1,2 %). La FBCF en construction accélère légèrement (+0,8 % après +0,6 %), grâce à un regain de vigueur dans le génie civil. En revanche, l'investissement en biens manufacturés se replie nettement (−0,8 % après +2,0 %), surtout du fait d'un recul en biens d'équipement et, dans une moindre mesure, d'une baisse accentuée en matériels de transport. La FBCF en services marchands ralentit de façon notable (+1,0 % après +2,0 %) en raison notamment d'un repli en services aux entreprises.

    Le commerce extérieur contribue positivement à la croissance du PIB

    Les exportations rebondissent au 2e trimestre 2017 (+3,1 % après −0,7 %), notamment en matériels de transport et en autres produits industriels. Dans le même temps, les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). En particulier, les achats de produits pétroliers raffinés et de matériels de transport sont en repli. Au total, les échanges extérieurs contribuent à la croissance à hauteur de +0,8 point (après −0,6 point).

    Les variations de stocks ralentissent

    Au 2e trimestre 2017, les variations de stocks contribuent négativement à la croissance du PIB, pour −0,6 point (après +0,7 point début 2017). En particulier, elles diminuent fortement dans les matériels de transport (automobile et aéronautique).

    Révisions

    L'estimation de la croissance du PIB au 1er trimestre 2017 est confirmée à +0,5 %. De légères révisions des différents agrégats se compensent ; elles tiennent principalement à la révision des indicateurs et à l'actualisation des coefficients de correction des variations saisonnières.

  • Consommation des ménages : juin (16 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui (hors tableaux et graphiques) cette note d’analyse publiée le 28 juillet 2017 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/2908290.html

    La consommation des ménages en biens se replie en juin 2017 (−0,8 %) mais rebondit sur l'ensemble du 2e trimestre (+0,4 %).

    En juin 2017, les dépenses de consommation des ménages en biens diminuent de 0,8 % en volume*, après deux mois consécutifs de hausse. Cependant, elles rebondissent sur l'ensemble du 2e trimestre (+0,4 % après −0,4 %).

    (*Les volumes sont mesurés aux prix de l'année précédente chaînés (en milliards d'euros 2010) et corrigés des variations saisonnières et des effets des jours ouvrables (CVS-CJO).

     

    Sommaire

    1.Biens fabriqués : net repli en juin, légère hausse sur le trimestre

    2.Biens durables : repli en juin, accélération sur le trimestre

    3.Habillement-textile : baisse en juin et sur le trimestre

    4.Autres biens fabriqués : légère hausse en juin, repli sur le trimestre

    5.Alimentaire : nouvelle baisse en juin, légère accélération sur le trimestre

    6.Énergie : légère baisse en juin, léger rebond sur le trimestre

    7.L'évolution de mai 2017 est légèrement abaissée

     

    1.Biens fabriqués : net repli en juin, légère hausse sur le trimestre.

    En juin 2017, les achats de biens fabriqués se contractent (−1,0 % après +1,2 %). Sur l'ensemble du trimestre, ils augmentent très légèrement (+0,2 %) : le recul des dépenses en textile-habillement atténue le rebond des achats de véhicules et le dynamisme des achats de biens d'équipement du logement.

    2.Biens durables : repli en juin, accélération sur le trimestre

    En juin, la consommation en biens d'équipement du logement, notamment en produits électroniques grand public, baisse pour le troisième mois consécutif. Elle ralentit sur l'ensemble du trimestre (+0,9 % après +1,8 %).

    Les achats d'automobiles sont quasi stables en juin : le repli en véhicules neufs est compensé par une accélération des achats de véhicules d'occasion et de deux-roues. Sur l'ensemble du trimestre, les achats d'automobiles rebondissent (+1,0 % après −0,9 %).

    3.Habillement-textile : baisse en juin et sur le trimestre

    En juin, les dépenses en habillement-textile se replient fortement (−4,7 %). La baisse est moins marquée sur l'ensemble du trimestre (−0,4 %).

    4.Autres biens fabriqués : légère hausse en juin, repli sur le trimestre

    En juin, les achats en « autres biens fabriqués » se redressent légèrement (+0,3 % après −0,1 %), principalement grâce au rebond des dépenses en quincaillerie-bricolage. Sur l'ensemble du trimestre, ces achats se replient (−0,4 % après une stabilité au premier trimestre).

    5.Alimentaire : nouvelle baisse en juin, légère accélération sur le trimestre

    En juin 2017, la consommation totale de produits alimentaires diminue nettement (−0,8 % après −0,1 % en mai). Toutefois, la consommation de tabac est en hausse. Sur l'ensemble du deuxième trimestre, les dépenses alimentaires accélèrent légèrement (+0,6 % après +0,4 %).

    6.Énergie : légère baisse en juin, léger rebond sur le trimestre

    En juin 2017, la consommation d'énergie se replie légèrement (−0,2 %), après deux mois de hausse soutenue. Les dépenses en gaz et électricité diminuent ; celles en produits raffinés augmentent (+0,7 %) du fait de la très forte hausse des achats de fioul tandis que la consommation de tous les autres carburants recule. Sur l'ensemble du trimestre, les dépenses d'énergie rebondissent légèrement (+0,5 %), après une forte baisse au premier trimestre (−3,2 %).

    7.L'évolution de mai 2017 est légèrement abaissée

    Par rapport à l'estimation précédente, l'évolution des dépenses de consommation des ménages en biens en mai 2017 est abaissée de 0,1 point, à +0,9 %. Depuis la précédente publication, de nouvelles informations ont été intégrées et les coefficients de correction des variations saisonnières ont été actualisés.

  • Commerce de détail et automobile : climat des affaires (juillet) (26 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 25 juillet 2017 sur le site Servicede l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/2907086.html

    En juillet 2017, le climat des affaires demeure très favorable dans le commerce de détail et dans le commerce et la réparation automobiles

    Enquête mensuelle de conjoncture dans le commerce de détail et le commerce et la réparation automobiles - juillet 2017

    Selon les chefs d'entreprise du commerce de détail et du commerce et de la réparation automobiles, le climat des affaires demeure très favorable en juillet 2017. L'indicateur qui le synthétise gagne un point par rapport à juin et se situe à 112, plus haut niveau depuis fin 2007. Il reste supérieur ou égal à sa moyenne de longue période (100) depuis février 2015.

    Sommaire

    Des activités passée et prévue jugées en hausse

    Des soldes sur l'emploi proches de leur moyenne

    Dans le commerce de détail, le climat des affaires reste favorable

    Dans le commerce et la réparation automobiles, le climat des affaires est au plus haut depuis 2007

     

    Avertissement : les coefficients saisonniers ont été actualisés en juillet 2017, ainsi que les paramètres des trois indicateurs synthétiques, d'où de légères révisions. Ils sont ainsi mis à jour une fois par an.

    Selon les chefs d'entreprise du commerce de détail et du commerce et de la réparation automobiles, le climat des affaires demeure très favorable en juillet 2017. L'indicateur qui le synthétise gagne un point par rapport à juin et se situe à 112, plus haut niveau depuis fin 2007. Il reste supérieur ou égal à sa moyenne de longue période (100) depuis février 2015.

    Des activités passée et prévue jugées en hausse

     

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