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  • Pharmacies d’officine (07 12 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 24 novembre 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ160722898.html

     

    Question écrite n° 22898 de Mme Élisabeth Lamure (sénatrice du Rhône)

    Mme Élisabeth Lamure attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la situation préoccupante des réseaux français de pharmacie. En effet, depuis plusieurs années, la rémunération des pharmacies est en forte baisse, ce que confirment les résultats du premier trimestre de l'année 2016 qui enregistrent une nouvelle diminution de 2 % par rapport à l'année précédente.

     

    Au-delà des enjeux en termes d'emplois, puisque 120 000 emplois sont aujourd'hui menacés ainsi que 6 500 postes d'apprentis, c'est notre réseau même de santé qui est fragilisé, au regard de la place que peuvent avoir ces officines en matière de prévention dans les services de santé de proximité, notamment dans les zones rurales et les quartiers difficiles.

     

    Dans ces conditions, la pharmacie ne peut demeurer une variable d'ajustement pour tenter de juguler les dépenses de l'assurance maladie, puisqu'elle ne représente qu'à peine 3 % de celles-ci, et alors même que les déserts médicaux de notre pays illustrent déjà assez les conséquences que peuvent avoir une telle appréciation de la problématique relative aux dépenses de santé.

     

    Aussi, et en vue des négociations qui préfigureront l'adoption de la prochaine convention nationale pharmaceutique, elle souhaiterait connaître les moyens que le Gouvernement entend mettre en œuvre pour soutenir notre réseau d'officines pharmaceutiques.  

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 24/11/2016 p. 5087

     

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  • Transports : impacts covoiturage et vélo (06 09 2016)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 26 août 2016 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/transports-quel-impact-du-covoiturage-pratique-du-velo-20160826.html?xtor=EPR-56.html

    Transports : quel impact du covoiturage et de la pratique du vélo

    Le Ministère de l’environnement, de l’énergie et de la mer publie deux études en forme de bilans socio-économiques de modes de transport alternatifs, le covoiturage et le vélo.

    Le Commissariat général au développement durable (CGDD) propose un premier état des lieux quantitatif de la pratique du covoiturage longue distance contractualisé via un site internet, notamment Blablacar.fr. Ce type de covoiturage représente 1,6% des déplacements longue distance, soit 11 millions de trajets par an avec une distance moyenne de 320 km par voyage. Le taux de remplissage (rapport entre places vendues et places offertes) est de 52% et augmente pour les départs le week-end. Le prix moyen d’un covoiturage est de 6 centimes d’euros par km et il n’y a pas d’impact significatif du prix du péage sur le prix final. Le profil des usagers (majoritairement de moins de trente ans) laisse entrevoir un fort potentiel de développement. Selon les estimations du CGDD, le covoiturage ne contribue pas cependant à réduire la circulation routière. Si 16% des passagers covoitureurs ont renoncé à prendre leur voiture grâce au covoiturage, un conducteur sur trois n’aurait pas pris sa voiture s’il n’avait pas pu bénéficier du partage de frais permis par le covoiturage.

    Une deuxième étude CGDD porte sur un bilan établi à partir d’un panel de 14 villes ou agglomérations ayant mis en place des politiques en faveur du vélo. Les budgets consacrés aux actions en faveur du vélo (aménagements de voirie, vélos en libre-service, aide à l’achat d’un vélo, notamment) représentent dix fois moins que les subventions d’exploitation aux transports en commun urbain (TCU) de province, soit 5,6 euros par habitant et par an. Outre des vitesses de déplacement intéressantes, la pratique régulière du vélo contribue à améliorer la santé. Le bilan des politiques en faveur du vélo s’avère positif même si elles n’ont pas permis de détourner massivement les automobilistes de leur voiture. En outre, le partage de la voirie entre vélos, voitures et piétons demeure un enjeu.

    Sur la toile publique

  • France : taux de chômage (2e semestre 2016) (25 08 2016)

    Nous proposons cette note d’analyse publiée le 18 juillet 2016 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=14&date=20160818.html

    Le taux de chômage diminue de 0,3 point au 2e trimestre 2016

    En moyenne sur le 2e trimestre 2016, le taux de chômage au sens du BIT est de 9,9 % de la population active en France, après 10,2 % au 1er trimestre 2016.

    En France métropolitaine, le nombre de chômeurs diminue de 74 000, à 2,8 millions de personnes ; le taux de chômage diminue ainsi de 0,3 point par rapport au 1er trimestre 2016, à 9,6 % de la population active. La baisse concerne toutes les tranches d'âge, particulièrement les jeunes. Sur un an, le taux de chômage diminue de 0,5 point.

    Parmi les chômeurs, 1,2 million déclarent rechercher un emploi depuis au moins un an. Au 2e trimestre 2016, le taux de chômage de longue durée s'établit à 4,3 % de la population active, comme au trimestre précédent et au 2e trimestre 2015.

    Le taux d'emploi augmente de 0,1 point au 2e trimestre 2016

    Au 2e trimestre 2016, le taux d'emploi des 15-64 ans atteint 64,7 %. Il augmente légèrement par rapport au trimestre précédent (+0,1 point au total), pour les jeunes et les 50-64 ans. Sur un an, il s'accroît de 0,5 point. Le taux d'emploi en équivalent temps plein des 15-64 ans augmente dans des proportions similaires au taux d'emploi, s'établissant à 59,9 % au 2e trimestre 2016.

    Le taux d'emploi en CDI est stable

    Au 2e trimestre 2016, le taux d'emploi en contrat à durée indéterminée (CDI) des 15-64 ans s'établit à 48,8 %, comme au 1er trimestre. Il augmente de 0,2 point sur un an. Le taux d'emploi en contrat à durée déterminée (CDD) ou en intérim atteint 7,4 %, soit 0,1 point de plus qu'au trimestre précédent et qu'au 2e trimestre 2015.

    Le taux d'emploi à temps partiel diminue de 0,1 point par rapport à début 2016 et s'établit à 11,8 %, son niveau du 2e trimestre 2015. Le taux d'emploi à temps complet atteint 52,8 %, en hausse de 0,1 point par rapport au 1er trimestre et de 0,4 point sur un an.

    Le sous-emploi augmente

    Au 2e trimestre 2016, 6,7 % des personnes en emploi sont en situation de sous-emploi, soit 0,3 point de plus qu'au trimestre précédent. Le sous-emploi concerne principalement des personnes à temps partiel qui souhaiteraient travailler davantage. Le chômage partiel représente quant à lui 0,5 % des personnes en emploi (+0,3 point par rapport au 1er trimestre 2016).

    Le taux d'activité diminue légèrement

    Le taux d'activité des 15-64 ans s'établit à 71,6 %. Il diminue de 0,1 point sur le trimestre, et croît de 0,1 point par rapport au 2e trimestre 2015.

  • Prix à la consommation (juillet 2016) (23 08 2016)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse de l’évolution des prix en juillet 2016 publiée le 11 août 2016 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=29&date=20160811.html

    En juillet 2016, les prix à la consommation baissent de 0,4 % sur un mois ; ils augmentent de 0,2 % sur un an

    Indice des prix à la consommation – Juillet 2016

    Évolution mensuelle : -0,4 % ; Variation sur un an : +0,2 %

    En juillet 2016, l'indice des prix à la consommation (IPC) baisse de 0,4 % sur un mois, après une hausse de 0,1 % en juin. Corrigé des variations saisonnières, il est stable, après une hausse de 0,1 % en juin. Sur un an, il augmente de 0,2 %, comme le mois précédent.

    Cette baisse mensuelle des prix à la consommation résulte, pour l'essentiel, des soldes d'été, à l'origine du recul saisonnier des prix des produits manufacturés. En outre, les prix de l'énergie se replient du fait des produits pétroliers. À l'inverse, les prix de certains services liés au tourisme augmentent de manière saisonnière. Enfin, les prix des produits alimentaires sont en très légère hausse.

    Recul saisonnier des prix des produits manufacturés

     

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  • La Poste : avenir (27 06 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 2 juin 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ160220246.html

    Question écrite n° 20246 de M. Michel Raison (sénateur de Haute-Saône)

    Michel Raison attire l'attention de Mme la secrétaire d'État, auprès du ministre de l'économie, de l'industrie et du numérique, chargée du commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'économie sociale et solidaire sur le projet de restructuration de La Poste.

     
    Dans son rapport annuel 2016, pointant la forte chute du volume des courriers depuis plusieurs années, la Cour des comptes estime que les efforts engagés par La Poste "ne suffiront pas à compenser les effets du déclin du courrier", ajoutant qu'elle a "besoin à ses côtés des pouvoirs publics et des citoyens".

     
    Les magistrats formulent cinq recommandations concrètes pour lesquelles il souhaite savoir si le Gouvernement entend les mettre en œuvre.

     

    Réponse du Ministère de l'économie, de l'industrie et du numérique publiée dans le JO Sénat du 02/06/2016 p. 2364

     

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  • Economie France : poids de l’industrie (26 05 2016)

    Note d’information publiée le 3 mai 2016 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/industrie-quarante-ans-son-poids-economie-ete-divise-par-deux-20160503.html?xtor=EPR-56.html

    Industrie : en quarante ans, son poids dans l’économie a été divisé par deux

    Le poids de l’industrie dans l’économie française a été divisé par deux entre 1970 et 2014, selon une étude l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), publiée le 26 avril 2016.

    Depuis 1970, le poids de l’industrie manufacturière dans la valeur ajoutée totale dégagée par l’économie française est passé de 22,3% à 11,2%. A l’inverse, les services marchands hors commerce ont vu leur part augmenter de 50%, passant de 31,7% à 45,4%. Celle du commerce a légèrement décru, passant de 12,5% à 10,3%. La valeur ajoutée de la branche a été multipliée par 8,6 entre 1970 et 2014 pour atteindre 213,8 milliards d’euros, mais la valeur ajoutée de l’ensemble de l’économie a été multipliée par 17,2.

    Plusieurs phénomènes ont joué depuis 1970 :

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