Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

france - Page 22

  • France : déficit et dette 2012 (03 04 2013)

     

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 29 mars 2013 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=37&date=20130329.html

     

    En 2012, le déficit public notifié s’élève à 4,8 % du PIB, la dette notifiée à 90,2 % du PIB

    Comptes nationaux des administrations publiques - Année 2012 (premiers résultats)

    Avertissement : chaque année, l'Insee publie une première évaluation des comptes nationaux des administrations publiques sur l’année écoulée, correspondant à celle réalisée pour la notification à la Commission européenne des ratios de dette et de déficit publics. Les données sont susceptibles d’être modifiées à l’occasion de la publication, le 15 mai 2013, du compte de la Nation provisoire 2012.

    Le solde public notifié pour 2012 s’établit à -98,2 milliards d’euros, soit -4,8 % du PIB, contre -5,3 % du PIB en 2011. En part de PIB, les recettes progressent de 50,6 % à 51,7 % du PIB, plus vite que les dépenses, qui passent de 55,9 % à 56,6 % du PIB. Le taux de prélèvements obligatoires augmente de 1,2 point en 2012 à 44,9 % du PIB, sous l’effet de la hausse des impôts (+5,3 %).

    Les dépenses progressent de 2,9 %, davantage que le PIB en valeur (+1,6 %), après +2,1 % en 2011.

     

    Lire la suite

  • Population France : état de santé 2011 (2/2) (28 07 2012)

    Nous proposons un 2e volet des Extraits (résumé, sommaire, 2 thématiques/15) d’un rapport de Mme Sandrine Danet publié le 26 juin 2012 sur le site de la Direction de la Recherche, des Etudes, de l’Evaluation et des Statistiques du Ministère des Affaires sociales et de la Santé (cliquer ci-dessous pour accéder au site de la DREES, ou au texte du rapport PDF)

    http://www.drees.sante.gouv.fr/l-etat-de-sante-de-la-population-en-france,10979.html

    http://www.drees.sante.gouv.fr/IMG/pdf/er805.pdf

    Sandrine DANET (Drees) L’état de santé de la population en France

    Rapport de suivi des objectifs de la loi de santé publique 2011 (Etudes et résultats, n°805, Drees, juin 2012)

    …/…

    Des enjeux de santé différents selon le sexe et les âges de la vie

     

    Comparativement aux pays de même niveau de vie, l’état de santé en France apparaît plutôt bon. Les situations sont cependant très différenciées entre les hommes et les femmes. Particulièrement élevée pour les femmes en France, l’espérance de vie à la naissance (84,8 ans pour les femmes et 78,2 ans pour les hommes en 2011)  continue de progresser et l’écart entre hommes et femmes tend à se réduire : en dix ans, les hommes ont gagné 2,8 ans d’espérance de vie et les femmes 1,9 an.

     

    En 2010, l’espérance de vie à 65 ans est la plus élevée d’Europe, tant pour les femmes que pour les hommes. Elle s’élève à 22,8 ans chez les femmes, soit 1,6 an de plus qu’en 2000, et à 18,6 ans chez les hommes, soit 1,9 an de plus qu’en 2000. Pour les hommes, le décalage entre l’espérance de vie après 65 ans et l’espérance de vie à la naissance s’explique en partie par le poids des décès prématurés.

     

    Lire la suite

  • Conjoncture : avril 2012 (25 04 2012)

    Conjoncture : enquête avril 2012

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note publiée le 23 avril sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=62&date=20120423.html

    En avril 2012, le climat conjoncturel est morose mais se redresse légèrement dans les services

    Ensemble des services

    D’après les chefs d’entreprise interrogés en avril 2012, la conjoncture dans les services reste morose. Après s’être légèrement amélioré en mars, l’indicateur synthétique du climat des affaires se stabilise en avril, et s’établit à 93, soit toujours en dessous de sa moyenne de long terme (100). Toutefois, l’indicateur de retournement se redresse et signale un climat conjoncturel favorable.

    Les entrepreneurs estiment que l’activité a ralenti sur la période récente, mais leurs anticipations d’activité pour les mois à venir se redressent légèrement. Les chefs d’entreprise s’attendent à ce que la demande soit plus favorable ces prochains mois.

    Ils estiment que leur résultat d’exploitation s’est dégradé sur la période récente, et restent pessimistes dans leurs anticipations pour les prochains mois.

    Les perspectives générales restent moroses mais se redressent par rapport au mois de mars : elles gagnent trois points.

    Toujours peu de créations d’emploi

    Lire la suite

  • Croissance : prévision 2012 (31 01 2012)

    Extraits d’un article publié le 29 janvier 2012 sur le site des Echos (cliquer ici pour accéder au site des Echos)

    http://www.lesechos.fr/economie-politique/infos-generales/france/afp_00420051-croissance-la-prevision-francaise-de-1-pour-2012-sera-revisee-a-la-baisse-281395.php

    Le gouvernement va réviser …/… à la baisse sa prévision de croissance de l'économie française pour l'année 2012, fixée à 1% dans le budget …/…, a annoncé dimanche soir une source gouvernementale, sans toutefois chiffrer cette réduction…/…

    Le chef de l'Etat a annoncé dimanche soir que le déficit public du pays devrait finalement être ramené à la fin de l'année 2011 à 5,4% du produit intérieur brut (PIB), "peut-être 5,3%", contre 5,7% initialement prévus…/…

    Dans son projet …/… François Hollande a tablé sur une croissance de 0,5% pour 2012.

  • France 2011 : point économique et social (28 12 2011)

    Extraits d’un article publié le 26 décembre 2011 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20111226trib000673606/france-2011-l-annee-ou.html

    La France peut sans regret mettre une croix sur cette année qui s'achève. Elle aura été pour l'Hexagone celle du retour de la récession et de la rigueur, de la hausse du chômage et d'un déficit commercial record. Hélas, 2012 ne s'annonce pas sous de bien meilleurs auspices.../…

    France 2011, l'année où ...

    ... la croissance s'est retournée (Romaric Godin)

    Lire la suite

  • population projection 2060 (2/2) (29 10 2010)

    (suite et fin de la fiche du 28 octobre 2010)

    Un tiers de la population âgé de plus de 60 ans

    Note de Mme Nathalie Blanpain et de M. Olivier Chardon de la division Enquêtes et études démographiques de l’Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques (cliquer ici pour accéder au site de l’Insee) 

    http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1320.html

    Résumé

    Si les tendances démographiques récentes se maintiennent, la France métropolitaine comptera 73,6 millions d’habitants au 1er janvier 2060, soit 11,8 millions de plus qu’en 2007. Le nombre de personnes de plus de 60 ans augmentera, à lui seul, de plus de 10 millions. En 2060, une personne sur trois aura ainsi plus de 60 ans.

    Jusqu’en 2035, la proportion de personnes âgées de 60 ans ou plus progressera fortement, quelles que soient les hypothèses retenues sur l’évolution de la fécondité, des migrations ou de la mortalité. Cette forte augmentation est transitoire et correspond au passage à ces âges des générations du baby-boom. Après 2035, la part des 60 ans ou plus devrait continuer à croître, mais à un rythme plus sensible aux différentes hypothèses sur les évolutions démographiques.

    Sommaire

    ·         12 millions d'habitants en plus en France métropolitaine en 2060

    ·         Le nombre de personnes âgées de 60 ans et plus pourrait augmenter de 80 %

    ·         Après 2035, la part des plus de 60 ans progresse plus modérément

    ·         Aucune variante démographique ne remet en cause la forte augmentation des plus de 60 ans dans la population

    ·         En 2060, la part des plus de 60 ans dans la population dépendra surtout des gains d’espérance de vie

    Encadré

    ·         Des hypothèses de projections proches de l’exercice de 2006

     

    Aucune variante démographique ne remet en cause la forte augmentation des plus de 60 ans dans la population

    Les évolutions de la fécondité, de la mortalité et des migrations à long terme sont incertaines. Pour chacune de ces composantes, deux variantes ont été retenues par rapport à l’hypothèse centrale pour estimer l’effet d’un changement d’hypothèse sur les résultats projetés. Ce sont les hypothèses sur la fécondité qui ont le plus d’impact sur l’évolution de la population de la France métropolitaine d’ici 2060. Entre la variante haute de fécondité (2,1 enfants par femme, au lieu de 1,95 dans le scénario central) et la variante basse (1,8 enfant par femme), l’écart de population est de 7,7 millions d’habitants en 2060. Dans le scénario de fécondité haute, la population continue de croître à un rythme très élevé sur toute la période. En 2060, il y a encore 150 000 naissances de plus que de décès. Dans le scénario de fécondité basse, les naissances sont moins nombreuses que les décès à partir de 2040 et la population se stabilise autour de 70 millions d’habitants.

    Les variantes sur le solde migratoire offrent aussi un éventail très large car l’évolution future de cette composante est particulièrement incertaine. La variante haute (solde migratoire de 150 000 personnes en plus par an) est ainsi trois fois supérieure à la variante basse (+ 50 000). En 2060, il y a 7,1 millions d’habitants de plus dans la projection avec la variante haute du solde migratoire que dans celle avec la variante basse.

    Les variantes sur les hypothèses de mortalité aboutissent également à plusieurs évolutions possibles : la variante haute d’espérance de vie suppose une espérance de vie à la naissance en 2060 de cinq années supérieure à la variante basse, ce qui se traduit par 3,6 millions d’habitants supplémentaires en 2060.

    Cependant, quelle que soit la variante retenue, la proportion de personnes de 60 ans ou plus dans la population sera toujours en forte hausse et supérieure à 30 % dès 2035.

    De même, le rapport entre le nombre de personnes d’« âge inactif » (moins de 20 ans ou 60 ans et plus) et d’« âge actif »  (entre 20 et 59 ans), appelé aussi ratio de dépendance économique, augmentera selon toutes les variantes. En 2007, il y avait 86 personnes d’« âge inactif » pour 100 d’«  âge actif  » ; il y en aurait 114 pour 100 en 2035 selon le scénario central, puis 118 en 2060. Pour maintenir le ratio de dépendance économique à son niveau observé en 2007, il faudrait alors en modifier les bornes et faire passer l’âge pivot de la définition à 68 ans en 2060 au lieu des 60 ans conventionnellement retenus actuellement.

    Lire la suite