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routes - Page 2

  • Circulation inter-files : expérimentation (15 09 2021)

     Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée en aout 2021 sur le site de l’agence pour la sécurité routière (cliquer ici pour accéder au site de l’ASR)

    https://www.securite-routiere.gouv.fr/chacun-son-mode-de-deplacement/dangers-de-la-route-moto/mieux-conduire-moto/circulation-inter-files.html

    À titre expérimental, à partir du 2 août 2021, et pour 3 ans, la circulation inter-files (CIF), qui consiste à circuler entre les files de véhicules à l’arrêt ou roulant à vitesse réduite, dans un trafic dense et congestionné. est de nouveau autorisée pour les deux-roues et trois-roues motorisés, sur les autoroutes et les voies rapides dans 21 départements.

     

    Modalités de l'expérimentation : qui et quand ?

    POUR QUI ?

     

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  • Accidents de la route : juillet 2021 (08 09 2021)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 19 août 2021 sur le site de l’agence pour la sécurité routière (cliquer ici pour accéder au site de l’ASR)

    https://www.onisr.securite-routiere.gouv.fr/etat-de-l-insecurite-routiere/suivis-mensuels-et-analyses-trimestrielles/barometre-mensuel-en-metropole-et-outre-mer/barometre-juillet-2021.html

    Baromètre juillet 2021

    Publié le  19/08/2021

    En juillet 2021, 313 personnes se sont tuées sur les routes de France métropolitaine, et 30 outre-mer.

     

    Avertissement : la crise sanitaire liée à la Covid-19 ayant conduit le gouvernement à prendre des mesures exceptionnelles de restriction des déplacements et des activités, l'évolution de l'accidentalité routière reflète depuis mars 2020 l’impact des mesures et la manière dont les Français ont adapté leurs mobilités selon les périodes. Un couvre-feu a été mis en place en France métropolitaine sur la première moitié de l'année 2021 et le télétravail fortement recommandé. En juillet 2021, il n'y a plus de restriction en France métropolitaine.
    Les indicateurs de l'accidentalité routière présentent des évolutions très atypiques depuis mars 2020 ainsi les comparaisons sont réalisées également avec l'année 2019 voire les années antérieures. Des éclairages spécifiques sont apportés lors des baromètres trimestriels depuis le baromètre de juin 2020.

    Métropole

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  • Routes départementales : vitesse (19 12 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 31 octobre 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ19101003G.html

    Question d'actualité au gouvernement n° 1003G de M. Jean-Marc Boyer (sénateur du Puy-de-Dôme)

    Voilà dix-huit mois que le Premier ministre a décidé seul, sans concertation, d'imposer l'abaissement de la limitation de vitesse à 80 kilomètres par heure sur les routes départementales.

    Oui, 50 % des accidents mortels ont lieu sur les belles routes départementales secondaires, mais leur cause n'est pas la vitesse, qu'elle soit limitée à 90 ou à 80 kilomètres par heure. Ces accidents s'expliquent aussi et surtout par les grands excès de vitesse, la consommation d'alcool ou de stupéfiants, les imprudences. Contrairement aux prévisions d'experts, l'abaissement à 80 kilomètres par heure n'a malheureusement pas permis de sauver plus de vies. Cette mesure est un échec.


    Vous l'avez tellement bien compris que vous renvoyez désormais aux présidents des départements la responsabilité d'une décision non concertée, qu'ils n'ont jamais souhaitée. Ils vous avaient pourtant mis en garde.


    Ceux qui veulent revenir aux 90 kilomètres par heure sont freinés par les conditions drastiques élaborées par des « instruisous », experts du Conseil national de la sécurité routière, qui, à mon sens, ne doivent jamais se rendre au-delà du périphérique parisien. Demander aux élus de trouver dans leurs campagnes une portion de route de dix kilomètres ne comptant ni carrefour, ni habitation, ni arrêt de transport, ni engin agricole, c'est vraiment se moquer d'eux, c'est tout faire pour les culpabiliser !


    Quelque 43 départements réfléchissent et souhaitent revenir aux 90 kilomètres par heure ; 5 départements souhaitent en rester à 80 kilomètres par heure. Enfin, 53 départements s'inquiètent et hésitent. Il en résultera des limitations de vitesse différentes d'un département à l'autre. Ce ne sera pas un gage de lisibilité et de sécurité pour les automobilistes.


    Aussi, monsieur le Premier ministre, mettez fin à cette hypocrisie, à cette « guéguerre » des experts, chiffres contre chiffres. Faites cesser ces querelles stériles, qui fracturent nos territoires ! Vous seul pouvez le décider. Revenez sur votre décret du 15 juin 2018. Revenez aux 90 kilomètres par heure. Les élus sauront prendre leurs responsabilités.

     

    Réponse du Ministère de l'intérieur publiée dans le JO Sénat du 31/10/2019 - page 14772

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  • Excès de vitesse et entretien des routes (10 12 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 5 décembre 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

     

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190208850.html

     

    Question écrite n° 08850 de Mme Chantal Deseyne (sénatrice d’Eure-et-Loir)

     

    Mme Chantal Deseyne appelle l'attention de M. le ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire, sur la hausse des recettes générée par l'augmentation du nombre des contraventions pour excès de vitesse depuis la mise en œuvre des 80 km/h sur le réseau secondaire bidirectionnel. L'État devra investir 1 milliard d'euros d'ici à 2037 pour que les routes restent praticables.

     

    Elle lui demande donc si le Gouvernement n'envisagerait pas d'affecter l'ensemble des recettes issues des contraventions pour excès de vitesse à l'entretien du réseau routier non concédé.

     

    Réponse du Secrétariat d'État auprès de la ministre de la transition écologique et solidaire, chargé des transports publiée dans le JO Sénat du 05/12/2019 p. 6050

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  • Radars de virage (25 09 2017)

    Nous proposons cette fiche pratique publiée le 20 septembre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12027?xtor=EPR-100.html

    Infractions routières : le flash radar dans les virages, oui, c'est possible

    Publié le 20 septembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (1er ministre)

    radar virage.png

    Il existe depuis peu un nouveau type de radar, le radar capable de flasher dans les virages (prendre une photo si l'excès de vitesse est constaté au milieu d'une courbe). Il a été testé pour la première fois dans le Var le 16 septembre 2017 et doit être prochainement déployé dans toute la France.

    Tous les radars placés à l'approche d'un virage dangereux seront annoncés par un panneau indiquant le contrôle. Concernant ce nouveau type de radar en courbe, il pourra également être déployé sur les routes de montagne.

    Le radar est un appareil permettant de contrôler la vitesse des véhicules (voiture, moto, par exemple). En cas d'excès de vitesse, le conducteur s'expose à des sanctions (paiement d'une amende, retrait de points du permis de conduire, par exemple).

    Il existe plusieurs types de radars, notamment :

    • le radar chantier : contrôle des vitesses sur différentes zones de travaux ;
    • le radar vitesse fixe : calcul de la vitesse du véhicule à son passage instantanément (1er radar à avoir été installé) ;
    • le radar mobile de nouvelle génération : appareil placé à bord d'une voiture banalisée, conduite par des gendarmes ou des policiers en uniforme.

      À noter :

    Selon l'Observatoire national de la sécurité routière (ONISR), 497 automobilistes et 160 motards ont perdu la vie dans un virage en 2016. La vitesse étant toujours mise en cause dans l'aggravation de ces accidents. C'est la raison pour laquelle seront prochainement déployés dans toute la France des radars capables de flasher dans les virages.

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Sécurité routière

  • Sécurité routière : bilan 2016 (06 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 28 juin 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/securite-routiere-3-477-tues-72-645-blesses-routes-2016.html

    Sécurité routière : 3 477 tués et 72 645 blessés sur les routes en 2016

    Le bilan définitif 2016 de l’accidentalité routière a été publié par l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), le 26 juin 2017. Si le nombre de personnes tuées sur les routes de France métropolitaine est quasi-stable par rapport à 2015, le nombre de blessés est en revanche en légère hausse. La vitesse excessive ou inadaptée reste la première cause de mortalité routière.

    Plus de piétons et de cyclistes victimes

    En 2016, 3 477 personnes ont trouvé la mort sur les routes, contre 3 461 en 2015. Il s’agit de la troisième année consécutive de hausse après une baisse historique de la mortalité routière en 2013.

    Parmi les victimes, la part des automobilistes et des cyclomotoristes diminue tandis que celle des piétons augmente. On déplore ainsi 559 piétons tués, soit une hausse de 19% par rapport à 2015. La mortalité piétonne concerne plus fortement les plus de 75 ans (47 victimes de plus en 2016), les 18-24 ans (22 victimes supplémentaires) et les moins de 14 ans (7 victimes en plus). 69% des piétons ont trouvé la mort en ville.

    On constate la même tendance chez les cyclistes. En 2016, 162 cyclistes ont perdu la vie, soit +9% en un an. Les accidents mortels se sont passés principalement en agglomération.

    Le nombre de blessés sur les routes est aussi en légère hausse, de 2,6%. En 2016, 72 645 personnes ont été blessées dans 57 522 accidents corporels (+1,6%). 27 187 ont été hospitalisées (+2,2%). Parmi les blessés graves, 43% sont des usagers de deux-roues motorisés, bien qu’ils ne représentent que 1,9% du trafic.

    Les principales causes d’accident

    La vitesse excessive ou inadaptée est à l’origine d’un accident mortel sur trois. Elle est la première cause de mortalité routière. Elle est surtout le fait des 18-24 ans, qui représentent 45% des auteurs présumés d’accidents mortels.

    L’alcool est présent dans 29% des accidents mortels. Parmi les conducteurs impliqués, les 18-24 ans et les 25-49 ans sont davantage concernés. Une hausse des accidents mortels de cyclistes et de piétons alcoolisés est aussi observée.

    Quant aux stupéfiants, 22% des décès routiers impliquaient un conducteur ayant consommé de la drogue.

    Le non-port de la ceinture de sécurité reste également un facteur important de mortalité. 20% des automobilistes tués ne la portaient pas. Il en est de même pour le non-port du casque. 14% des tués en motos ou scooters n’en portaient pas ou l’avaient mal attaché.