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réflexion

  • Fin de vie : conclusions de la Convention citoyenne  (11 04 2023)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 3 avril 2023 sur le site Vie publique (cliquer ici pour accéder au site Vie publique)

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/288862-fin-de-vie-remise-des-conclusions-de-la-convention-citoyenne.html

    Fin de vie : remise des conclusions de la Convention citoyenne

    Publié le 3 avril 2023

    La dernière session de la Convention citoyenne sur la fin de vie s'est tenue le 2 avril 2023. Dans son rapport final, elle se prononce en faveur du développement des soins palliatifs et de l'ouverture, sous conditions, du suicide assisté et de l'euthanasie. Le président de la République a annoncé un projet de loi.

    "Le cadre d’accompagnement de la fin de vie est-il adapté aux différentes situations rencontrées ou d’éventuels changements devraient-ils être introduits ?" C'est à cette question que devait répondre la Convention citoyenne sur la fin de vie qui s’est achevée dimanche 2 avril 2023 après neuf sessions de travail et 27 jours de débat. Regroupant 184 citoyens tirés au sort, illustrant la diversité de la société française, la Convention s'est majoritairement prononcée pour une évolution du droit vers une aide active à mourir.

    Un cadre légal insuffisant

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  • Bioéthique : prise en charge de la fin de vie (23 02 2023)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 16 novembre 2022 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/eclairage/19353-bioethique-quelle-prise-en-charge-de-la-fin-de-vie.html

    Bioéthique : quelle prise en charge de la fin de vie ?

    La loi de 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie, dite "loi Claeys-Leonetti", autorise dans certains cas le recours à une sédation profonde. Elle n’a cependant pas mis fin aux débats sur l’autorisation de l’euthanasie ou du suicide assisté.

    Dernière modification : 16 novembre 2022

    Selon le code de la santé publique, la fin de vie désigne les moments qui précèdent le décès d’une personne "en phase avancée ou terminale d’une affection grave et incurable qu’elle qu’en soit la cause". Les progrès de la médecine peuvent conduire à des situations de survie jugées indignes par certains. C’est pourquoi la fin de vie entre dans le champ des débats bioéthiques.

    Les soins palliatifs et l'accompagnement

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  • Faut-il légaliser l’euthanasie ? (23 07 2022)

    Nous vous proposons aujourd’hui ce compte-rendu long, complexe mais si intéressant d’un entretien croisé entre deux experts (philosophe et cardiologue) publié le 29 juin 2022 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/parole-dexpert/285384-faut-il-legaliser-leuthanasie-les-questions-liees-la-fin-de-vie.html

    Faut-il légaliser l'euthanasie ?

    Arrêt de l'alimentation ou de l'hydratation, sédation profonde, euthanasie passive ou euthanasie active, suicide assisté… La fin de vie soulève encore de nombreuses questions.

    Entretien croisé avec Olivier Rey - Philosophe, membre de l'Institut d'histoire et de philosophie des sciences et des techniques (CNRS/Université Paris 1) et Véronique Fournier - Cardiologue, ex-directrice du centre d'éthique clinique de l'hôpital Cochin.

    Publié le 29 juin 2022

    En France, quelles lois encadrent la fin de vie ? Quelle évaluation peut-on en faire ?

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  • Bio-éthique : états généraux (27 06 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note de synthèse publiée le 6 juin 2018 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique) 

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/etats-generaux-bioethique-ccne-publie-rapport-synthese-consultation.html?xtor=EPR-56.html

    États généraux de la bioéthique : le CCNE publie le rapport de synthèse de la consultation

    Les États généraux de la bioéthique ont été lancés en janvier 2018. Dans leur première phase qui s’est terminée le 30 avril, ils ont donné lieu à des évènements organisés par les Espaces de réflexion éthique régionaux (ERER) et à une consultation en ligne sur un site web participatif. Le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) a par ailleurs auditionné 400 organisations. Le rapport de synthèse de la consultation a été rendu public le 5 juin 2018.

    Les thématiques des États généraux

    Neuf thématiques ont été soumises au débat pour ces États généraux de la bioéthique : recherches sur l’embryon et les cellules souches embryonnaires, examens génétiques et médecine génomique, dons et transplantations d’organes, neurosciences, données de santé, intelligence artificielle et robotisation, santé et environnement, procréation et société, accompagnement de la fin de vie.

    Pour chacun des thèmes, le rapport présente le contexte et le cadre légal, les questions en débat, une synthèse des positions exprimées dans les débats en région, sur la plateforme internet ou lors des auditions.

    Pour le CCNE, la mobilisation des citoyens a été forte. Le nombre d’interventions a été grand mais il ne garantit pas une représentation juste de l’état de l’opinion. Ce n’est pas parce qu’une opinion a été exprimée plusieurs fois pendant la consultation qu’elle est représentative de l’opinion de la population, sa répétition pouvant être le fait de l’activisme de certains militants.

    Les premières conclusions du CCNE

    Le Comité souligne l’existence de principes éthiques largement partagés. Il s’agit du respect de la gratuité du don, de la non patrimonialité et de la non commercialisation du corps humain, ainsi que le respect de la liberté et de l’autonomie de chaque personne et la nécessaire appropriation d’une information libre et complète.

    Le thème de la place du patient dans le système de santé s’est dégagé de façon transversale :

    • le soin ne se limite pas un acte technique et les techniques (intelligence artificielle, télémédecine, etc.) ne doivent pas déshumaniser la médecine ;
    • les craintes d’utilisation frauduleuse ou abusive des données de santé sont nombreuses ;
    • le respect du droit à la différence et la protection des plus vulnérables est une préoccupation largement partagée ;
    • l’accès à la santé est un droit essentiel.

    En revanche, sur d’autres sujets comme l’assistance médicale à la procréation ou la fin de vie, le CCNE a relevé des positions très différentes voire inconciliables dans la société.

    Sur la toile publique

  • Dépendance : point (02 04 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le mars 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ13030124G.html

    Question d'actualité au gouvernement n° 0124G de M. Vincent Eblé (sénateur socialiste de Seine-et-Marne)


    La France a le privilège d'avoir une population âgée en croissance et nous savons la chance que représente l'allongement de la vie. Mais avons-nous réellement imaginé le visage de la France dans une dizaine d'années ? Les plus de 60 ans représenteront un tiers de la population en 2035, alors qu'ils sont un cinquième aujourd'hui.

    Nous sommes dans une position enviable, puisque, en parallèle de ce vieillissement, la France est l'une des rares nations européennes à voir sa population augmenter, ce qui constitue un véritable atout. Encore faut-il que nous soyons capables d'anticiper ce changement afin d'adapter notre société, plus particulièrement les politiques publiques, et ainsi de profiter de l'opportunité qui nous est offerte.

    Avant d'être une charge, cette opportunité est humaine, transgénérationnelle, culturelle, mais également économique. Je pense au développement de la croissance et des emplois dans les secteurs liés aux services à la personne, aux nouvelles technologies dédiées et au bâtiment avec l'adaptation des logements, nécessaire au maintien à domicile.

    Hélas ! nous devons constater que cette réalité démographique n'a pas été encore prise en considération et que la société française accuse un sérieux retard.

    Promise par Nicolas Sarkozy en 2007, la réforme de la dépendance a été repoussée tout au long du quinquennat et définitivement abandonnée au mois de septembre 2011. 

    Vous avez sur votre bureau, madame la ministre, trois très bons rapports, dont les auteurs respectifs sont Mme Pinville, M. Aquino et M. Broussy. Ils démontrent que, au-delà de la problématique du financement, la question de la perte d'autonomie s'articule, entre autres, autour de la prévention pour retarder au maximum la dépendance, mais également autour de notre capacité de compréhension de ce que suppose le vieillissement de la population en termes d'adaptation de nos lois.

    Au congrès de l'Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux, l'UNIOPPS, le Président de la République a réaffirmé son engagement à accomplir la réforme de la perte d'autonomie et évoqué la finalisation d'un texte d'ici à la fin de l'année. Preuve du sérieux de cette ambition, le financement de la réforme a été partiellement amorcé dès le premier budget de la sécurité sociale de notre majorité.

    Pourriez-vous nous préciser les axes prioritaires que le Gouvernement compte défendre à l'occasion de cette future grande réforme qui accompagnera l'adaptation de la société au vieillissement ?

    Réponse du Ministre des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 15/03/2013 p. 1864

     

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  • Economie sobre en carbone : 2020-2050 (3/3) (17 11 2011)

    Fin des Extraits (résumé, sommaire, conclusion) d’un rapport (Christian de Perthuis, Johanne Buba, Aurélien Million, Pascale Scapecchi, Olivier Teissier, Elise Martinez et Dominique Auverlot) publié le 7 novembre 2011 sur le site du Centre d’Analyse Stratégique (cliquer ici pour accéder au site du CAS)

    http://www.strategie.gouv.fr/content/trajectoires-2020-2050-vers-une-economie-sobre-en-carbone-rapport.html

     

    Trajectoires 2020-2050 vers une économie sobre en carbone

    NDLR : nous vous proposons sur 3 jours des extraits significatifs d’un rapport long et riche qui porte sur un enjeu majeur de notre siècle : économie et effet de serre

    Résumé (1/3 et 2/3)

    Sommaire (3/3)

    Conclusion (3/3)

     

     

    SOMMAIRE

    Résumé pour décideurs ....................................................................................................................9

    Introduction ................................................................................................................................... 19

    Chapitre 1 - Le contexte et les questions posées.................................................................. 21

    1. Le triple jeu d’engagements déjà pris par la France........................................................ 21

    2. Une déconnexion partielle entre émissions observées et croissance économique,

    bien insuffisante pour atteindre le « facteur 4 » ............................................................... 22

    3. Le « facteur 4 » français et le « facteur 5 » européen sont-ils compatibles ?............ 26

    4. Comment les objectifs européens et français s’intègrent dans la négociation

    climatique internationale ? ............................................................................................................ 28

    5. Quelle trajectoire viser entre aujourd’hui et 2050 ? ......................................................... 29

    6. Le jalon 2020 et les choix politiques à prendre en Europe : faut-il remonter

    l’engagement de – 20 % ? ................................................................................................................. 32

    7. Faut-il introduire d’autres jalons intermédiaires et les proposer au plan européen ? ..... 35

    Chapitre 2 - Ce que font nos partenaires européens ................................................................. 37

    1. Les émissions de GES en Europe : des évolutions à géométrie variable........................ 37

    2. Le positionnement des pays par rapport aux objectifs 2020 et 2050 ............................. 40

    3. Les modes de gouvernance de la politique climatique ............................................................. 42

    4. Une panoplie d’instruments pour orienter le secteur électrique vers le bas carbone..... 44

    5. Le lien entre politique climatique, R&D et stratégies industrielles ................................... 45

    6. Les incitations économiques à l’égard du « secteur diffus » ........................................... 47

    7. Les innovations en matière de financement .................................................................... 49

    Chapitre 3 - Construction de trajectoires sectorielles françaises ................................... 51

    1. Hypothèses et limites des trois scénarios étudiés........................................................... 51

    2. Énergie : plusieurs voies possibles vers un système bas carbone.................................. 54

    3. Industrie : poursuivre les gains d’efficacité énergétique et agir sur les filières ............... 59

    4. Bâtiments : l’inertie du parc et le rythme de sa rénovation ............................................. 62

    5. Transports : le rythme de l’électrification, l’organisation des transports urbains

    et la marchandise .............................................................................................................. 65

    6. Vers une agriculture « écologiquement intensive »............................................................... 68

    7. Forêt et puits de carbone : l’enjeu de la préservation du puits forestier ......................... 71

    8. Comparaisons avec les résultats de la feuille de route européenne ............................... 73

    9. Assurer les cohérences spatiales, industrielles et économiques .................................... 75

    Chapitre 4 - Les impacts économiques...................................................................................... 77

    1. Un exercice de modélisation français .............................................................................. 77

    2. La répartition des réductions d’émission dans le temps : les gains de

    l’action précoce..................................................................................................................... 78

    3. Une répartition sectorielle de l’effort qui souligne l’hétérogénéité des secteurs.... 81

    4. Les impacts sur la croissance de l’économie et de l’emploi suivant le mode de

    recyclage de la valeur carbone .............................................................................................. 82

    5. Les ruptures technologiques nécessitent des instruments spécifiques................... 83

    6. La question du financement et son lien avec le prix du carbone ................................ 84

    7. Les conditions sociales de la transition vers une économie sobre en carbone ........ 86

    8. Analyse des impacts pour la France d’un rehaussement de l’objectif européen de

    réduction d’émission en 2020.............................................................................................. 87

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