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téléphone portable

  • Litige avec un opérateur de téléphonie (02 10 2023)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note mise à jour le 13 septembre 2023 sur le site du ministère de l’économie (cliquer ici pour accéder au site du ministère de l’économie)

    https://www.economie.gouv.fr/cedef/litige-operateur-telephonie#:~:text=Il%20est%20pr%C3%A9f%C3%A9rable%20d'adresser,obtenues%20aupr%C3%A8s%20du%20service%20client..html

    Que faire en cas de litige avec un opérateur de téléphonie ?

    En cas de différend avec un opérateur de téléphonie, des voies de recours sont à disposition du consommateur : la résolution amiable, le recours judiciaire.

    La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) explique dans son article comment elle contrôle le secteur des communications électroniques. Elle met également en évidence les nouvelles pratiques trompeuses et abusives. 11 septembre 2023.

    La résolution amiable

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  • Smartphones : application StopCovid (15 06 2020)

    Après une interminable interruption de veille et de publication dûe à une panne informatique compliquée par le confinement, nous reprenons le fil de nos publications coutumières (informations pratiques ou réglementaires du lundi au vendredi, rappels de produits le samedi, infos humoristiques le dimanche) et nous prions de pardonner cette arythmie. Merci !

     

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 4 juin 2020 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

     

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/274435-smartphones-lapplication-stopcovid-est-accessible#xtor=EPR-696.html

     

    Smartphones : lancement de l’application StopCovid

     

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  • Téléphone et automobile (10 03 2020)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 30 juin 2017 sur le site de la Prévention Routière (cliquer ici pour accéder au site de la Prévention Routière)

     

    https://www.preventionroutiere.asso.fr/2017/06/30/telephone-au-volant.html

     

    Le défaut d’attention

    Près d’1 accident sur 10 est lié à l’usage du téléphone !  Utiliser un téléphone n’est pas compatible avec la conduite.

    Le danger provient du fait que l‘attention du conducteur au téléphone est détournée de la tâche de conduite. Et le kit main libre ? Un moindre mal, à condition d’être correctement utilisé…

    Envoyer ou lire un texto ou un mail en conduisant est encore plus dangereux : dans ce cas, le conducteur est obligé de quitter la route des yeux pendant de longues secondes, le temps de parcourir plusieurs dizaines de mètres.

    Discuter avec son passager ou écouter la radio distraient-ils autant que le téléphone ?

    Téléphoner est l’activité qui augmente le plus fortement l’inattention, car elle demande une attention continue, un silence pouvant être mal compris par l’interlocuteur. À l’inverse, discuter avec un passager n’exige pas autant d’attention. Ce dernier peut également identifier les situations anormales, en s’arrêtant momentanément de parler par exemple.

    Le port à l’oreille par le conducteur d’un véhicule en circulation (y compris deux-roues, vélo), de tout dispositif susceptible d’émettre du son (écouteurs, oreillettes, casques) est interdit.

    Selon l’Observatoire Sanef des comportements sur autoroute 2019 :

    • 6% des conducteurs tiennent leur téléphone en main et, parmi les conducteurs de poids lourds, ils sont 15%
    • plus de la moitié (57%) des personnes interrogées reconnaissent téléphoner en conduisant
    • un peu moins d’un tiers (31%) lit ses mails ou ses sms
    • 1 conducteur sur 5 déclare envoyer des mails ou sms

    En Europe, selon le baromètre européen de la conduite responsable Vinci 2019, tout en conduisant :

    • près d’1 conducteur sur 2 (49%) téléphone avec un système Bluetooth
    • près d’1 sur 4 envoie et/ou lit des sms ou mails
    • plus de 4 conducteurs sur 10 paramètrent leur GPS.

    Quelques Données

     

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  • Téléconsultation : modalités (18 09 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 7 septembre 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12862?xtor=EPR-100.html

    Les téléconsultations médicales pour tous : c'est pour quand ?

    Publié le 07 septembre 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Si on a souvent parlé de télémédecine, c'est vraiment à partir du 15 septembre 2018 qu'elle devrait devenir une pratique médicale quotidienne en France avec la possibilité pour les patients de recourir à la téléconsultation en particulier pour ceux ayant des problèmes de mobilité.

    À partir du 15 septembre 2018, il va être possible à tout assuré (quel que soit son lieu de résidence) et à tout médecin (quelle que soit sa spécialité) de recourir à une téléconsultation (examen médical par visioconférence).

    La téléconsultation s'inscrit dans un parcours de soins et doit donc passer par le médecin traitant du patient. L'opportunité du recours à la téléconsultation est appréciée au cas par cas par le médecin traitant et le médecin correspondant. Tout patient, si son état est compatible avec ce mode d'examen, peut bénéficier d'une téléconsultation, après avoir été informé des conditions de sa réalisation et avec son accord.

    L'acte de téléconsultation (examen médical par visioconférence) s'alignera sur le tarif d'une consultation classique en face à face. Ainsi, pour les médecins généralistes de secteur 1 par exemple, la téléconsultation sera remboursée sur la base de 25 €.

    Cette téléconsultation sera prise en charge comme une consultation classique (70 % remboursés par l'Assurance Maladie et 30 % remboursés par la complémentaire) avec application du tiers payant dans son intégralité pour tous les patients pour lesquels il constitue un droit (patients en ALD, femmes enceintes, bénéficiaires de la CMU-C ou de l'ACS). Les modes de paiement seront les mêmes que pour une consultation en face à face.

    Comment se passe une téléconsultation ?

    La consultation à distance est réalisée entre un médecin et un patient (qui peut être assisté par un autre professionnel de santé). Elle se déroule comme n'importe quelle consultation, en partant d'une demande de rendez-vous.

    Elle comporte :

    • un entretien avec le patient ;
    • l'examen de documents transmis par le patient ou par son représentant ;
    • éventuellement un examen clinique (s'il est accompagné d'un professionnel de santé ou si l'équipement disponible le permet) ;
    • si nécessaire, une prescription télétransmise par un moyen sécurisé.

    Le compte rendu de la consultation est porté au dossier patient du médecin téléconsultant et une copie est transmise au médecin traitant et au médecin ayant sollicité l'acte.

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam)

  • Téléphone portable et école (21 08 2018)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 6 août 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12828?xtor=EPR-100.html

    Téléphone portable au primaire, collège et lycée : que dit la nouvelle loi ?

    Publié le 06 août 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Le portable dans les établissements scolaires, c'est fini ? La loi relative à l'encadrement de l'utilisation du téléphone portable dans les établissements d'enseignement scolaire vient de paraître au Journal officiel. Elle sera effective dès la rentrée scolaire 2018.

    Dans les écoles maternelles, les écoles élémentaires et les collèges

    L'utilisation du téléphone portable est interdite dans les établissements et pendant toute activité liée à l'enseignement se déroulant à l'extérieur de leur enceinte, à l'exception des circonstances liées à un usage pédagogique spécifique encadré par les professeurs et des lieux dans lesquels le règlement intérieur l'autorise.

    Dans les lycées

    C'est le règlement intérieur de chaque établissement qui pourra interdire l'utilisation du téléphone dans toute ou partie de l'enceinte de l'établissement ainsi que pendant les activités se déroulant à l'extérieur, et qui précisera les modalités d'application de cette interdiction. Celle-ci n'est pas applicable aux élèves présentant un handicap ou un trouble de santé invalidant.

    Le non-respect de ces règles peut entraîner la confiscation de l'appareil par le personnel de direction, d'enseignement, d'éducation ou de surveillance, le règlement intérieur fixant les modalités de la confiscation et de la restitution. La loi donne ainsi une base juridique à la confiscation des téléphones portables.

      À savoir :

    Le règlement intérieur de l'établissement est remis aux élèves le jour de la rentrée. C'est à eux et à leurs parents de vérifier ce qu'il indique à propos du téléphone portable.

    Textes de référence

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de l'éducation

  • Vol de téléphone portable (02 05 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 23 mars 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F34123.html

    Que faire en cas de vol de son téléphone portable ?

    Votre téléphone portable vous a été volé ? Service-Public.fr fait le point des démarches à effectuer en pareille situation.

    Faire bloquer sa ligne

    Vous devez bloquer votre ligne auprès de votre opérateur immédiatement après le vol. Il convient de vous renseigner pour connaître les démarches nécessaires. Les opérateurs ont généralement un numéro de téléphone d'urgence pour cela.

      À savoir :

    la plupart des téléphones récents permettent d'effacer à distance les données contenues (photos, SMS...) et de désactiver l'accès aux mails et autres applications.

    Porter plainte

    Vous devez également porter plainte au plus vite auprès d'un commissariat de police ou d'une brigade de gendarmerie, en indiquant le numéro IMEI de l'appareil (15 chiffres)

    Le code IMEI est également inscrit sur l'étiquette du coffret d'emballage du téléphone. Il peut aussi être inscrit dans votre espace client sur le site de votre opérateur. Les forces de l'ordre se chargent ensuite d'envoyer la demande de blocage de l'appareil à l'opérateur concerné, qui la met en œuvre dans un délai de 1 à 4 jours maximum. C'est l'appareil en lui-même qui sera bloqué et pas seulement la ligne.

      À noter :  vous pouvez consulter les sites de petites annonces pour voir si votre téléphone est proposé par un vendeur. Si c'est le cas, prévenez immédiatement la police ou la gendarmerie et n'agissez pas vous-même. 

    Remplacer son téléphone

    La plupart des opérateurs téléphoniques et des revendeurs proposent une assurance permettant le remplacement du téléphone en cas de vol. Une franchise doit généralement être payée par l'abonné. En cas de vol, le dépôt préalable d'une plainte est nécessaire. Une telle assurance n'est pas obligatoire.

    Généralement, il ne peut pas s'écouler plus de quelques jours entre le vol et la déclaration à l'assurance.

    Les conditions dans lesquelles un téléphone est remplacé dépendent du contrat d'assurance signé. Par exemple, l'assurance peut fonctionner uniquement en cas de vol avec violences (une agression) et non à cause d'un pickpocket. Il convient de vous renseigner après de votre opérateur ou de votre revendeur.

    L'opérateur peut vous interroger et vous demander plus de détails avant de vous dédommager.

    Faire de fausses déclarations (comme prétexter une agression violente alors qu'il s'agit d'un pickpocket) pour obtenir le remplacement de votre téléphone est un cas d'escroquerie.

    De plus, le dépôt d'une fausse plainte devant la police ou la gendarmerie est un délit punissable de :

    • 6 mois de prison,
    • et 7 500 € d'amende.

      À noter :

    La perte ou le vol d'un téléphone portable peuvent éventuellement constituer des cas permettant la résiliation anticipée d'un abonnement. Il faut vérifier si ce cas est prévu dans votre contrat.