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  • Ecole : harcèlement (10 11 2015)

    Note d’information publiée le 4 novembre 2015 sur le site Service-Public de la  Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre) (cliquer ici pour accéder au site Service-Public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A10116?xtor=EPR-100.html

    Harcèlement à l'école : un numéro de téléphone et un site web pour s'informer

    Brimades, moqueries, mises à l'écart, violences physiques ? Vous êtes victimes ou vous êtes témoins de situation de harcèlement à l'école ? Que faire ?

    Dans le cadre de la 1e journée nationale de lutte contre le harcèlement qui se déroule le jeudi 5 novembre 2015, le ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche propose notamment deux outils pour s'informer :

    • un numéro de téléphone court, le 3020 accessible du lundi au vendredi de 9h à 18h (sauf les jours fériés) ;
    • un site webspécifique présentant à la fois les modalités d'action en fonction de la situation (victimes, témoins, parents de victime, parents dont l'enfant est auteur de harcèlement, professionnels, cyber-harcèlement) et les ressources existantes (guides pédagogiques, outils de sensibilisation ou encore paroles d'experts).

      À savoir :

    d'après les chiffres du ministère, il y a environ 700 000 élèves victimes de harcèlement chaque année en France.

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

  • Chirurgiens dentistes : devis pour protheses FAO

    Chirurgiens-dentistes : machines de fabrication assistée par ordinateur

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 6 août 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ141113897.html

    Question écrite n° 13897 de M. Michel Boutant (sénateur de la Charente)

     

    M. Michel Boutant attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes sur les dérives dichotomiques d'une profession médicale qui ne peut avoir un intérêt financier dans la prescription. Sous l'incitation des fabricants industriels, des chirurgiens-dentistes commencent à investir dans des machines de conception et fabrication assistées par ordinateur (CFAO) en lieu et place des prothésistes dentaires, leur permettant de fabriquer pour eux-mêmes, dans leurs cabinets dentaires, les prothèses dentaires qu'ils prescrivent. 
    L'acquisition de tel matériel de CFAO dont les premiers prix commencent à 120 000 euros est une incitation à effectuer des actes abusifs afin de rentabiliser cet investissement. En effet il est difficile de croire qu'un tel investissement, représentant à lui seul le coût global d'un cabinet dentaire classique (matériels et agencements), puisse n'être utilisé que pour moins d'une dizaine de cas par mois. En outre, aucune des études réalisées ne permet d'affirmer que la CFAO en cabinet dentaire puisse faire baisser le prix des prothèses dentaires payées par les patients.

     
    Le chirurgien-dentiste ne peut opposer le titre de prothésiste dentaire, ne disposant pas d'un diplôme nécessaire à l'exercice de cette profession. Il lui demande comment on peut autoriser à fabriquer pour soi-même un dispositif médical sur mesure que l'on se prescrit, et le facturer à son propre patient sans faire acte de commerce. Il lui demande comment on peut concilier dans ce cas l'obligation de résultat du prothésiste dentaire, alors que les chirurgiens-dentistes n'ont, selon la jurisprudence, qu'une obligation de moyens.

     
    En outre l'acquisition de telles machines à usage commercial créera à terme la disparition d'emplois et la fermeture de nombreux laboratoires de prothèses dentaires, déjà touchés par plus de 30 % d'importations de prothèses dentaires hors Union européenne, dont les seuls bénéficiaires sont déjà les cabinets dentaires.

     
    L'association « Perspectives dentaires » demande le strict respect du code de déontologie des chirurgiens-dentistes et le rappel de ses limites. L'association propose donc l'interdiction pour les cabinets dentaires de pratiquer la fabrication de prothèses dentaires, pour les raisons évoquées ci-dessus.

     
    Il lui demande donc si le Gouvernement envisage de se pencher sur ces pratiques et de trouver des solutions pérennes aux difficultés qu'elles soulèvent.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 06/08/2015 p. 1866

     

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  • Rappel de produits (mise à jour du 6 novembre 2015) (07 11 2015)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

     

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    03/11/2015 Avis de rappel de deux prises de courant LEGRAND
    Dysfonctionnement pouvant entrainer un choc électrique

    Nom du produit : prise de courant avec terre et prise de courant avec terre avec interrupteur

    Marque : LEGRAND

    Désignation ou modèle :

    ·         Références  : 976 26 / 976 16

     

    03/11/2015 Avis de rappel d’un porte bébé BABYSUN
    Risque de chute de l’enfant

    Nom du produit : Porte bébé BABYSUN

    Marque : BABYSUN

     

    Désignation ou modèle :

    ·         Référence  : 80 800 822 / 80 830 014 / 80 830 855

    ·         Code-barres : 3 159 921 206 040 / 3 337 680 000 059 / 3 337 680 000 950

     

    03/11/2015 Avis de rappel d’un harnais de maintien TIGEX
    Risque de chute de l’enfant

    Nom du produit : Harnais de maintien

    Marque : TIGEX

    Désignation ou modèle :

    ·         Référence  : 80 800 762

    ·         Code-barres : 3 159 921 205 296

     

    03/11/2015 Avis de rappel d'un harnais de maintien BABYSUN
    Risque de chute de l’enfant

    Nom du produit : Harnais de maintien

    Marque : BABYSUN

    Désignation ou modèle :

    ·         Référence  : 80 830 002

    ·         Code-barres : 3 337 680 005 016

     

    02/11/2015 Avis de rappel d’un porte bébé BABYSUN AUCHAN
    Risque de chute de l’enfant

    Nom du produit : Harnais de maintien

    Marque : AUCHAN BABY

    Désignation ou modèle :

    ·         Référence  : 934370

    ·         Code-barres : 3 245672218767

     

    02/11/2015 Avis de rappel de lits superposés en métal de marque Bunk
    Risque de coincement de doigts, de membres, chute et coincement du corps ou de la tête

    Nom du produit : Lit superposé en métal

    Marque : BUNK – vendu dans les magasins VIMA

    Désignation ou modèle :

    ·         Modèle : lit superposé (sommier 96cm x 199,6cm)

    ·         Référence  : 29050249

    ·         Code barres : 2029050249007

     

    Liste des rappels des 30 jours précédents

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  • Végétation et mitoyenneté (06 11 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 29 octobre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140812881.html

    Question écrite n° 12881 de M. Jean Louis Masson (sénateur de la Moselle)

     

    M. Jean Louis Masson attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie sur le fait que, lorsque deux parcelles sont contigües, les arbres de plus de trois mètres de haut doivent être éloignés d'au moins deux mètres de la parcelle voisine.

     

    Il lui demande si cette distance de deux mètres se mesure à partir du tronc ou prend en compte toutes les branches qui sont situées à plus de trois mètres de hauteur.

     

    Dans le cas où deux parcelles sont séparées par un sentier communal de un mètre de large, il lui demande si le propriétaire de l'une des parcelles peut planter exactement en limite du sentier, des arbres de plus de trois mètres de haut, lesquels sont donc à moins de deux mètres de la parcelle située de l'autre côté du sentier.

     

    Réponse du Ministère de la justice publiée dans le JO Sénat du 29/10/2015 p. 2541

     

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  • Champignons : précautions (05 11 2015)

    Nous proposons cette fiche d’information publiée le 2 octobre 2015 sur le site de l’ANSES (cliquer ici pour accéder au site de l’ANSES)

    https://www.anses.fr/fr/content/l%E2%80%99automne-est-arriv%C3%A9-les-champignons-sortent-de-terre-nos-recommandations-pour-%C3%A9viter-les.html

    L’automne est propice aux promenades en forêt, panier sous le bras, à la recherche de champignons. Mais, chaque année, on déplore en France un millier d’intoxications dues à la consommation de champignons sauvages. Voici quelques recommandations pour profiter de sa cueillette, mais sans les risques. 

    L’automne est souvent synonyme de balades en forêt, à la recherche de cèpes, de bolets et autres girolles. Mais, pour profiter de sa cueillette sans s’intoxiquer, il est indispensable d’apprendre à reconnaître les espèces et de suivre quelques recommandations.

    Entre le 29 juin et le 30 août 2015, l’Institut national de veille sanitaire (InVS) a déjà répertorié 212 cas d’intoxications alimentaires dues à la consommation de champignons sauvages. C’est pourquoi l’Agence souhaite rappeler aux amateurs de cueillette de champignons de :

    ·         ne pas ramasser un champignon en cas de doute sur son état ou son identification, certains champignons vénéneux ressemblent beaucoup aux espèces comestibles,

    ·         cueillir uniquement les spécimens en bon état et prélever la totalité du champignon (pied et chapeau) pour en permettre l’identification,

    ·         éviter la cueillette au bord de routes, d’aires industrielles, de décharges, etc. car les champignons concentrent les polluants,

    ·         déposer les champignons séparément, dans un panier, une caisse ou un carton mais jamais dans un sac plastique qui accélère le pourrissement,

    ·         séparer les champignons récoltés par espèce, car un champignon vénéneux peut contaminer les autres,

    ·         bien se laver les mains après la récolte,

    ·         ne pas consommer sa récolte avant de l’avoir fait contrôler par un spécialiste en la matière : les pharmaciens ou les associations et sociétés de mycologie peuvent être consultés,

    ·         les conserver dans de bonnes conditions au réfrigérateur et les consommer dans les 2 jours au maximum suivant la cueillette,

    ·         ne jamais les consommer crus, et les consommer en quantité raisonnable, de préférence de façon espacée dans le temps, après une cuisson suffisante.

    De façon générale, au moindre doute : jetez le champignon !

     

    Que faire en cas d’intoxication ?

    Les conséquences sur la santé d’une intoxication due à la consommation de champignons non comestibles peuvent être graves : troubles digestifs sévères, complications rénales, atteintes du foie pouvant nécessiter une greffe, voire décès.

    En cas d’apparition d’un ou plusieurs des symptômes associés à une consommation de champignons de cueillette (tremblements, vertiges, troubles de la vue, nausées, vomissements…), appelez immédiatement un centre antipoison ou le Centre 15.

    Les symptômes apparaissent le plus fréquemment dans les 12 heures après la consommation, mais dans certains cas, l’intoxication peut apparaître plus tard.

    Il peut être utile de noter les heures du ou des derniers repas, ainsi que l’heure d’apparition des premiers symptômes, et de conserver les restes de la cueillette pour une identification.

     

     

  • Exploitation agricole et périmètre inconstructible (03 11 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 29 octobre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ141113682.html

    Question écrite n° 13682 de M. Jean Louis Masson (sénateur de la Moselle)

     

    M. Jean Louis Masson attire l'attention de Mme la ministre du logement, de l'égalité des territoires et de la ruralité sur le fait qu'au-delà de 50 bovins, les exploitations agricoles sont à l'origine d'un périmètre inconstructible de 50 ou 100 m. Toutefois, il arrive que les animaux soient hébergés dans deux hangars très éloignés l'un de l'autre.

     

    Dans cette hypothèse, il lui demande si le calcul du rayon inconstructible s'effectue en prenant en compte l'ensemble des bovins de l'exploitation ou si ce calcul se fait séparément pour chacun des hangars, en fonction des animaux qui s'y trouvent.

     

    Réponse du Ministère du logement, de l'égalité des territoires et de la ruralité publiée dans le JO Sénat du 29/10/2015 p. 2542

     

    Les élevages bovins sont soumis à la réglementation relative aux installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE) à partir d'un effectif de 50 animaux (bovins à l'engraissement et veaux de boucherie), 50 vaches laitières ou 100 vaches allaitantes, afin de prévenir les risques environnementaux et les nuisances potentielles. Les arrêtés ministériels du 27 décembre 2013 réglementant ces installations précisent la distance d'éloignement que doivent respecter les nouveaux bâtiments d'élevage par rapport aux habitations occupées par des tiers. Cette distance d'éloignement est fixée à 100 mètres dans le cas général ; 25 mètres en zone de montagne. La distance de 100 mètres est réduite à 50 mètres pour les bâtiments d'élevage de bovins sur litière accumulée soumis à déclaration.

     

    Si l'activité d'élevage soumise à la réglementation ICPE s'effectue sur plusieurs sites, les distances d'éloignement par rapport aux tiers s'appliquent pour chaque bâtiment d'élevage ou annexe. Les prescriptions - notamment les distances d'éloignement - s'appliquent effectivement à tous les bâtiments et annexes, même si les étables d'un même exploitant sont éloignées les unes des autres.

     

     

    Réciproquement, le code de l'urbanisme impose que la construction des habitations occupées par des tiers respecte cette même distance d'éloignement par rapport aux bâtiments d'élevage.

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