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  • Détecteurs de fumée : contrôle (23 11 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 12 novembre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ150315473.html

    Question écrite n° 15473 de Mme Françoise Laborde (sénateur de la Haute-Garonne)

     

    Mme Françoise Laborde attire l'attention de Mme la ministre du logement, de l'égalité des territoires et de la ruralité sur l'installation de détecteurs autonomes avertisseurs de fumée (DAAF). Ces dispositifs sont rendus obligatoires et l'achat est à la charge du propriétaire dans tous les locaux à usage d'habitation depuis la loi n° 2010-238 du 9 mars 2010, complétée par la loi n° 2014-366 du 24 mars 2014. Cette obligation entrant en vigueur le 8 mars 2015, nombre de nos concitoyens se sont mis en quête d'un détecteur et l'offre de ces produits a décuplé.

     

    Plusieurs études, émanant d'associations de consommateurs, ont montré que parmi ces DAAF, pourtant commercialisés en France, plusieurs n'étaient pas conformes aux normes voire totalement défaillants, alors même que certains arboraient, sur leur emballage, le marquage « CE » gage de conformité d'un produit aux exigences communautaires. Les conséquences de l'installation de ces équipements défectueux pourraient être dramatiques.

     

    C'est pourquoi elle souhaiterait connaître les mesures que le Gouvernement et les services de l'État entendent mettre en œuvre, d'une part, pour assurer l'information des citoyens (sensibilisation, aide à l'achat et promotion de la norme NF) et, d'autre part, pour lutter contre la commercialisation de détecteurs de fumée défectueux (retraits du marché et rappels de produits), en lien avec la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF). 

     

    Réponse du Ministère du logement, de l'égalité des territoires et de la ruralité publiée dans le JO Sénat du 12/11/2015 - page 2659

     

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  • Rappel de produits (mise à jour du 20 novembre 2015) (21 11 2015)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    18/11/2015 Avis de rappel de projecteurs halogènes de marque IDK MULTIMEDIA

    Défaut d’étanchéité de l’enveloppe entraînant un risque de choc électrique

    Nom du produit : projecteurs halogènes avec détecteur de mouvement

    Marque : IDK MULTIMEDIA

     Modèles :

    • PJHE-330IR (Noir) – 400 w
    • PJHE-330IRB (Blanc) – 400 w
    • PJHE-100IR (Noir) – 120 w
    • PJHE-100IRB (Blanc) – 120 w

    Liste des rappels des 30 jours précédents 

     

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  • Accès aux soins : dégradation (20 11 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 27 août 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ141113878.html

    Question écrite n° 13878 de M. Christian Cambon (sénateur du Val-de-Marne)

    1. Christian Cambon appelle l'attention de Mme la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes sur les délais d'attente pour consulter un médecin qui ne cessent d'accroître.

      Depuis deux ans, le temps d'attente pour obtenir un rendez-vous a augmenté de deux jours pour consulter un généraliste, on est ainsi passé d'un délai de quatre à six jours. Pour les spécialistes, on constate une augmentation de sept jours pour les ophtalmologistes, pour lesquels il faut en moyenne attendre trois mois et demi. Il faudra compter 50 jours de patience pour pouvoir consulter un dermatologue, 57 pour un gynécologue et 42 pour un cardiologue.

      Face à ce délai, de nombreux malades renoncent aux soins ou se rendent aux urgences des hôpitaux. Or, cette admission hospitalière, prise en charge en moins de deux heures, coûte plusieurs centaines d'euros à l'assurance maladie contre une dizaine pour une consultation en ville. 

      Le système de soins risque de davantage se dégrader dans les prochaines années face au vieillissement de la population qui fera augmenter les besoins des consultations. Il lui demande quelles mesures elle souhaite prendre pour éviter la dégradation de l'accès aux soins. 

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 27/08/2015 p. 2016

     

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  • Chômage : évolution 2008-2014 selon régions (19 11 2015)

    Nous proposons cette synthèse d’une analyse de l’INSEE sur l’évolution du chômage entre 2008 et 2014 dans les 13 nouvelles régions françaises publiée le 4 novembre 2015 sur le site Vie-Publique (cliquer ci-dessous pour accéder au site Vie-Publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/nouvelles-regions-fortes-disparites-evolution-du-chomage-20151104.html?xtor=EPR-56.html

    Nouvelles régions : de fortes disparités dans l’évolution du chômage

    Comment évolue le taux de chômage, depuis la crise financière de 2008, dans les territoires qui formeront les 13 nouvelles régions métropolitaines à compter du 1er janvier 2016 ? C’est à cette question que répond l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) dans une étude de novembre 2015.

    Entre 2008 et 2014, le taux de chômage en France métropolitaine a augmenté de 2,8 points, passant de 7,1% à 9,9%. Toutes les régions ont enregistré une hausse du chômage, mais selon des rythmes différents :

    • En Île-de-France, Auvergne Rhône-Alpes et Bourgogne Franche-Comté, le taux de chômage (6,5%) était inférieur à la moyenne en 2008, et la hausse constatée (environ + 2,5 points) a été plus contenue que dans l’ensemble de la France métropolitaine.
    • En Alsace Champagne-Ardenne Lorraine, Aquitaine Limousin Poitou-Charentes, Centre-Val de Loire, Bretagne et Pays de la Loire, le taux de chômage a augmenté légèrement plus que la moyenne, alors que la situation initiale était relativement favorable.
    • Dans les extrêmes Sud et Nord (Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Corse, Normandie et Nord-Pas-de-Calais Picardie), le taux de chômage, initialement supérieur à la moyenne, s’accroît plus fortement qu’en France métropolitaine.

    Depuis 2008, les jeunes (15-24 ans) ont été plus touchés par la montée du chômage (+ 5,1 points) que les autres tranches d’âge. En 2014, les disparités régionales sont très fortes : le taux de chômage des jeunes varie de 17,1% en Île-de-France à 31,8% en Nord-Pas-de-Calais Picardie. Les situations, déjà hétérogènes en 2008, ont évolué différemment selon les régions. En Auvergne Rhône-Alpes et en Île-de-France, le chômage des jeunes était relativement faible avant 2008 et la hausse demeure contenue (autour de 4 points). Aux extrêmes Nord et Sud-Est, partant d’une situation plutôt défavorable, l’augmentation est modérée. A contrario, dans cinq régions, le taux de chômage des jeunes s’accroît sensiblement (6 points ou plus). Il s’agit du Centre-Val de Loire, des Pays de la Loire, du Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, de la Corse et de l’Aquitaine Limousin Poitou-Charentes.

  • Travaux d’isolation (18 11 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 6 août 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ141214027.html

    Question écrite n° 14027 de M. Jacques-Bernard Magner (sénateur du Puy-de-Dôme)

    Jacques-Bernard Magner attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie sur les conséquences d'une disposition du projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte (n° 412. Assemblée nationale. 2014-2015). En effet, l'article 3 B du projet stipule qu'en 2030, les habitations privées devront faire l'objet de travaux de rénovation permettant d'atteindre une consommation moyenne inférieure à 330kwh d'énergie primaire par mètre carré et par an.

    Les habitations de classe énergétique « F » et « G » ne seront plus autorisées ou, tout du moins, ne pourront plus être vendues, ce qui réduira considérablement leur valeur. Un habitant du Puy-de-Dôme, qui habite un moulin du dix-huitième siècle, y a fait des travaux d'isolation de la toiture mais ne peut faire une isolation ni extérieure, compte tenu des particularités du bâtiment (pierre sèche, colombages), ni intérieure (murs ni droits ni lisses, poutres apparentes, pierres qui dépassent). Les travaux qui pourraient être envisagés auraient, de plus, un coût extrêmement élevé.

    Il lui demande donc, dans l'hypothèse où l'article 3 B serait inclus dans la loi, si celle-ci pourrait définir aussi précisément les participations de l'État pour financer les travaux à engager afin de parvenir au résultat exigé. 

    Réponse du Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie publiée dans le JO Sénat du 06/08/2015 p. 1882

     

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  • Economie : nouveaux indicateurs d’évaluation (17 11 2015)

    Nous proposons cette note d’information publiée le 29 octobre sur le site Vie-Publique (cliquer ci-dessous pour accéder au site Vie Publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/situation-economie-evaluation-selon-nouveaux-indicateurs-20151029.html?xtor=EPR-56.html

    Economie française : une évaluation selon de nouveaux indicateurs

    Le gouvernement publie, pour la première fois en octobre 2015, un rapport dans lequel est évaluée la situation économique de la France en fonction de nouveaux indicateurs de richesse, différents des indicateurs classiques tels le Produit intérieur brut (PIB).

    Dix indicateurs sont retenus dans le rapport :

    taux d’emploi

    inégalités de revenus

    effort de recherche

    pauvreté en conditions de vie

    endettement (dette publique, dette des entreprises et des ménages)

    sorties précoces du système scolaire

    espérance de vie en bonne santé

    empreinte carbone

    satisfaction dans la vie

    artificialisation des sols

     

    Au-delà de la simple production de richesses, ces indicateurs sont censés mesurer l’impact des politiques publiques conduites par l’État sur la qualité de vie et le développement durable. Pour chaque indicateur, le rapport décrit son évolution récente et compare la position de la France à celle de ses partenaires européens. Par ailleurs, le rapport propose des évaluations, en fonction de ces indicateurs, pour six réformes en cours : le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) et le volet entreprises du Pacte de responsabilité et de solidarité, le volet ménages du Pacte et la création de la prime d’activité, le Plan très haut débit, le plan pluriannuel de lutte contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale, la réforme du collège, la loi relative à la transition énergétique pour une croissance verte.

     

    Le rapport a été préparé en application de la loi du 13 avril 2015 visant à la prise en compte des nouveaux indicateurs de richesse. Son article unique prévoit que, le premier mardi d’octobre de chaque année, le gouvernement remet au Parlement, un rapport présentant l’évolution, à moyen terme, d’indicateurs de qualité de vie et de développement durable, ainsi qu’une évaluation qualitative ou quantitative de l’impact des principales réformes engagées l’année précédente et envisagées pour l’année suivante.