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  • Accès aux soins : dégradation (20 11 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 27 août 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ141113878.html

    Question écrite n° 13878 de M. Christian Cambon (sénateur du Val-de-Marne)

    1. Christian Cambon appelle l'attention de Mme la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes sur les délais d'attente pour consulter un médecin qui ne cessent d'accroître.

      Depuis deux ans, le temps d'attente pour obtenir un rendez-vous a augmenté de deux jours pour consulter un généraliste, on est ainsi passé d'un délai de quatre à six jours. Pour les spécialistes, on constate une augmentation de sept jours pour les ophtalmologistes, pour lesquels il faut en moyenne attendre trois mois et demi. Il faudra compter 50 jours de patience pour pouvoir consulter un dermatologue, 57 pour un gynécologue et 42 pour un cardiologue.

      Face à ce délai, de nombreux malades renoncent aux soins ou se rendent aux urgences des hôpitaux. Or, cette admission hospitalière, prise en charge en moins de deux heures, coûte plusieurs centaines d'euros à l'assurance maladie contre une dizaine pour une consultation en ville. 

      Le système de soins risque de davantage se dégrader dans les prochaines années face au vieillissement de la population qui fera augmenter les besoins des consultations. Il lui demande quelles mesures elle souhaite prendre pour éviter la dégradation de l'accès aux soins. 

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 27/08/2015 p. 2016

     

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  • offre de soins : réduire la fracture territoriale

    OFFRE DE SOINS : Comment réduire la fracture territoriale ? Rapport du Sénateur JM Juilhard (Sénat 8 octobre 2007) Propositions Optimiser les mesures déjà prises - évaluer l’efficacité des dispositifs tendant à réduire les inégalités territoriales en matière d’accès aux soins ; - recenser les besoins en professionnels de santé dans le secteur médico-social ; - simplifier les démarches administratives pour l’obtention des aides à l’installation ; - développer la télémédecine ; - promouvoir les actions innovantes en matière de transports afin de favoriser l’accès du patient aux médecins ; - favoriser l’installation de centres de santé dans les zones sous-médicalisées par l’attribution d’aides. Sensibiliser les étudiants et les jeunes médecins - mieux informer les étudiants en médecine sur les mécanismes d’aide à l’installation ; - organiser dans chaque région une journée d’information sur les carrières médicales destinée à présenter les besoins régionaux en matière d’offre de soins ; - encourager les stages de médecine générale en zones sous-médicalisées ; - revaloriser la rémunération des maîtres de stage en zone sous-médicalisées. Envisager des mesures plus directives

    - transformer l’examen classant national en examen régional et rééquilibrer la répartition des postes dans chaque université en fonction de l’existence ou non de zones sous-médicalisées;

    - permettre aux partenaires conventionnels de réguler les installations dans les zones médicalement sur-dotées.