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régions

  • Pouvoir d’achat, coût de la vie et lieu de vie (03 03 2023)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 24 février 2023 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/288296-pouvoir-dachat-le-lieu-de-vie-t-il-une-influence.html

    Pouvoir d'achat et coût de la vie : le lieu de vie a-t-il une influence ?

    Deux études publiées par France Stratégie s’intéressent aux disparités de pouvoir d’achat en fonction des lieux de vie. L'institution indépendante, placée auprès de la Première ministre, explique dans quelle mesure les dépenses de logement ou de transport agissent sur le reste à dépenser des ménages.

    Publié le 24 février 2023

    Le niveau de vie et le pouvoir d'achat sont-ils variables selon qu'on habite dans une grande ville ou en zone rurale ?  Afin d’affiner la connaissance des disparités de pouvoir d'achat en fonction des lieux de vie, France stratégie publie deux notes d'analyse, le 16 février 2023. Celles-ci utilisent notamment l’indicateur de reste à dépenser qui mesure ce qu’il reste aux ménages une fois qu’ils ont pourvu aux dépenses d’alimentation, de transport et de logement.

    Plus de pouvoir d'achat en région parisienne ?

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  • Vivre et travailler en France : où est-on le plus satisfait ? (14 02 2022)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 9 février 2022 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/6049227.html

     

    cliquer ci-dessous pour accéder au texte (pdf) de l’étude :

    file:///C:/Users/Utilisateur/Downloads/DT2022-01%20(1).pdf

     

    sur le même sujet , voir une autre étude détaillée grace au lien suivant :

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/6043792.html

    Vivre, travailler et habiter en France : où est-on le plus satisfait ?

    Résumé

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  • Petites lignes ferroviaires (23 10 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 4 octobre 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180505249.html

    Question écrite n° 05249 de M. Joël Guerriau (sénateur de Loire-Atlantique)

    Joël Guerriau attire l'attention de M. le ministre de la cohésion des territoires sur la pérennité des ″petites lignes″ ferroviaires à la suite de la remise du rapport de la mission sur l'avenir du transport ferroviaire au Gouvernement le 15 février 2018.

     
    À la veille d'une réforme de la SNCF entreprise par le Gouvernement, le Premier ministre a évoqué un possible transfert de responsabilité des « petites lignes » aux régions. Ces lignes, pointées par le rapport pour leur manque de rentabilité, pourraient ainsi passer sous le giron des régions, plus à même de décider de la fermeture ou du maintien. À la charge donc des régions, l'entretien et l'usufruit de ces lignes de chemin de fer.

     

    Or la loi n° 2018-32 du 22 janvier 2018 de programmation des finances publiques pour les années 2018 à 2022 a fixé pour les grandes collectivités territoriales, dont les régions font partie, un objectif exigeant de 13 milliards d'euros d'économies à réaliser d'ici à 2022 sur leurs dépenses de fonctionnement.

     
    Dans ce contexte, il demande quelles mesures le Gouvernement compte prendre ou envisager en ce concerne les petites lignes ferroviaires.

     

    Réponse du Ministère auprès du ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire, chargé des transports publiée dans le JO Sénat du 04/10/2018 - page 5053

     

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  • Projets régionaux de santé (07 06 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 20 avril 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ18040319G.html

    Question d'actualité au gouvernement n° 0319G de Mme Sylvie Vermeillet (sénatrice du Jura)


    Madame la ministre, le conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté a rendu un avis défavorable sur le projet régional de santé présenté par l'Agence régionale de santé, l'ARS. D'autres conseils régionaux s'apprêtent à faire de même. Ils seront suivis par des conseils départementaux, qui n'approuveront pas non plus vos projets.

     
    À la fin du mois de février, dans la Nièvre, soixante-dix maires et adjoints ont remis leur démission pour protester contre la fermeture envisagée des urgences de nuit de Clamecy. 

    À Saint-Claude, dans le Jura, c'est un bassin de vie de 60 000 personnes qui est privé de maternité et de chirurgie, au mépris de la loi Montagne ; celle-ci prévoit de garantir un accès terrestre aux soins dans des délais de transports acceptables.

     
    Madame la ministre, vos ARS amputent et stérilisent les territoires sans anesthésie.

     
    Démotivation des élus locaux certes, mais également de nos pompiers qui doivent assurer des transports de blessés de plus en plus longs. Ils sont à saturation du fait des innombrables sorties relevant d'un service ambulancier. Les collectivités, financeurs des services départementaux d'incendie et de secours, les SDIS, paient des coûts de prises en charge pendant que l'État fait des économies.

     
    Les difficultés de gestion et d'organisation du système de santé ne datent pas de ce gouvernement, mais l'élaboration des projets régionaux de santé, les PRS, oui. Les territoires ne peuvent pourtant pas se contenter de vous voir fermer maternités et hôpitaux en éloignant toujours plus le patient du traitement.

     
    Madame la ministre, allez-vous réviser les PRS élaborés de manière unilatérale et aujourd'hui rejetés ? Sinon, à quoi bon les soumettre au vote des assemblées locales ?

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 20/04/2018 p. 4119

     

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  • Chômage : évolution 2008-2014 selon régions (19 11 2015)

    Nous proposons cette synthèse d’une analyse de l’INSEE sur l’évolution du chômage entre 2008 et 2014 dans les 13 nouvelles régions françaises publiée le 4 novembre 2015 sur le site Vie-Publique (cliquer ci-dessous pour accéder au site Vie-Publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/nouvelles-regions-fortes-disparites-evolution-du-chomage-20151104.html?xtor=EPR-56.html

    Nouvelles régions : de fortes disparités dans l’évolution du chômage

    Comment évolue le taux de chômage, depuis la crise financière de 2008, dans les territoires qui formeront les 13 nouvelles régions métropolitaines à compter du 1er janvier 2016 ? C’est à cette question que répond l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) dans une étude de novembre 2015.

    Entre 2008 et 2014, le taux de chômage en France métropolitaine a augmenté de 2,8 points, passant de 7,1% à 9,9%. Toutes les régions ont enregistré une hausse du chômage, mais selon des rythmes différents :

    • En Île-de-France, Auvergne Rhône-Alpes et Bourgogne Franche-Comté, le taux de chômage (6,5%) était inférieur à la moyenne en 2008, et la hausse constatée (environ + 2,5 points) a été plus contenue que dans l’ensemble de la France métropolitaine.
    • En Alsace Champagne-Ardenne Lorraine, Aquitaine Limousin Poitou-Charentes, Centre-Val de Loire, Bretagne et Pays de la Loire, le taux de chômage a augmenté légèrement plus que la moyenne, alors que la situation initiale était relativement favorable.
    • Dans les extrêmes Sud et Nord (Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Corse, Normandie et Nord-Pas-de-Calais Picardie), le taux de chômage, initialement supérieur à la moyenne, s’accroît plus fortement qu’en France métropolitaine.

    Depuis 2008, les jeunes (15-24 ans) ont été plus touchés par la montée du chômage (+ 5,1 points) que les autres tranches d’âge. En 2014, les disparités régionales sont très fortes : le taux de chômage des jeunes varie de 17,1% en Île-de-France à 31,8% en Nord-Pas-de-Calais Picardie. Les situations, déjà hétérogènes en 2008, ont évolué différemment selon les régions. En Auvergne Rhône-Alpes et en Île-de-France, le chômage des jeunes était relativement faible avant 2008 et la hausse demeure contenue (autour de 4 points). Aux extrêmes Nord et Sud-Est, partant d’une situation plutôt défavorable, l’augmentation est modérée. A contrario, dans cinq régions, le taux de chômage des jeunes s’accroît sensiblement (6 points ou plus). Il s’agit du Centre-Val de Loire, des Pays de la Loire, du Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, de la Corse et de l’Aquitaine Limousin Poitou-Charentes.

  • Nouvelles régions : capitales (16 15 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 8 octobre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ141214055.html

    Question écrite n° 14055 de M. Jacques Grosperrin (sénateur du Doubs)

     

    M. Jacques Grosperrin attire l'attention de Mme la ministre de la décentralisation et de la fonction publique sur le processus de fusion des régions engagé par le Gouvernement, dans le cadre de la loi relative à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral (Sénat, n° 635. 2013-2014), qui conduira, avant la fin du mois de décembre 2015, à la désignation de la ville destinée à devenir le chef-lieu d'une région formée de la fusion de deux ou plusieurs régions.

     

    La procédure prévue par la loi suppose deux phases. D'abord, la désignation d'un chef-lieu provisoire, avant le 31 décembre 2015, puis, avant le 1er juillet 2016, la fixation du chef-lieu définitif. Les modalités de désignation provisoire du chef-lieu sont prévues à l'article 2, I, 2° du projet de loi qui dispose qu'il « est fixé par décret pris avant le 31 décembre 2015, après avis du conseil municipal de la commune envisagée comme siège du chef-lieu et des conseils régionaux intéressés. L'avis des conseils régionaux est rendu après consultation du conseil économique, social et environnemental régional et après concertation avec les représentants des collectivités territoriales, des organismes consulaires et des organisations professionnelles représentatives ».

     

    La désignation de ce chef-lieu constitue un enjeu stratégique et économique de tout premier plan. De deux régions, disposant chacune de leur capitale, on arrivera, en effet, à une grande région unique, dotée d'un seul chef-lieu, d'une seule capitale. La ville désignée à ce titre verra, inévitablement, son attractivité et son rayonnement très largement amplifiées. À l'inverse, la ville qui était la capitale de l'autre région fusionnée risque fort de s'étioler ou, au minimum, de subir un déclassement, puisqu'elle deviendra une simple capitale départementale. Or, ainsi que la presse s'en fait l'écho, certaines désignations risquent d'être fortement influencées par le fait que certaines communes pressenties pour être désignées comme les nouvelles capitales régionales pourraient bénéficier d'un appui gouvernemental particulier. C'est le cas de la future capitale de la région Bourgogne-Franche-Comté, dont l'ancien maire est actuellement ministre du travail, de l'emploi et du dialogue social.

     

    Au vu de l'importance des enjeux, une telle situation risque fort de révéler l'existence de conflits d'intérêts potentiels. Il lui demande, en conséquence, quelle procédure le Gouvernement a prévue pour se prémunir contre tout risque de conflit d'intérêt dans la désignation des chefs-lieux provisoires des régions nouvellement créées. 

     

    Réponse du Ministère de la décentralisation et de la fonction publique publiée dans le JO Sénat du 08/10/2015 p. 2449

     

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