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santé - Page 270

  • maladie d'alzheimer et aidant familial : point (04 04 2009)

    Statut de l'aidant familial dans le plan Alzheimer

     

     

    Question sénatoriale et réponse ministérielle lues sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

     

    http://www.senat.fr/questions/base/2007/qSEQ071102498.html

     

     

    Question écrite n° 02498 du 15/11/2007 de M. Adrien Gouteyron (sénateur UMP de la Haute-Loire)

     

     

    M. Adrien Gouteyron attire l'attention de Mme la ministre de la santé, de la jeunesse et des sports sur l'intérêt d'intégrer au plan national de lutte contre la maladie d'Alzheimer, qui doit être mis en oeuvre dès le 1er janvier 2008, le statut de l'aidant familial.

     

     

    Dans l'accompagnement de cette maladie, qui touche aujourd'hui plus de 850 000 personnes et progresse chaque année du fait du vieillissement de la population, les membres de la cellule familiale sont en première ligne. Or, les proches peuvent difficilement disposer de tout le temps nécessaire à l'assistance quotidienne de la personne malade, sauf à contraindre nombre d'entre eux à faire des choix lourds de conséquences financières, comme le passage à temps partiel, ou même la cessation totale de leur activité professionnelle.

     

     

    Il faut par ailleurs rappeler que toutes les enquêtes et consultations révèlent le profond désir de la très grande majorité d'entre eux - quelles que soient les difficultés que cela représente - d'accompagner le plus lontemps possible à domicile leur proche malade et que, lorsqu'ils sont obligés de s'en séparer, c'est, bien souvent, tant pour eux que pour leur malade, une très grande souffrance.

     

     

    Aussi serait-il souhaitable de favoriser le maintien à domicile des malades atteints de la maladie d'Alzheimer en permettant à un proche de bénéficier de dispositions spécifiques telles qu'un crédit d'heures, par exemple, dès lors qu'il s'engage à assister, totalement ou pour partie, la personne malade.

     

     

    L'élaboration d'un statut ad hoc, pour ceux qui le souhaitent, serait donc profitable à tous, le malade, sa famille et la collectivité toute entière, et conforme au souhait du Président de la République, qui, lors de l'installation de la commission pour le plan Alzheimer, a insisté sur la nécessité de mieux aider les proches. Il lui demande de bien vouloir lui préciser si elle envisage d'oeuvrer dans ce sens.

     

     

     

     

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  • investissement et dette hospitaliers (3 avril 2009)

    Les investissements massifs font exploser la dette des hôpitaux

     

     

    Article de M. Vincent Collen paru le 2 avril 2009 sur le site des Echos (cliquer ici pour accéder au site des Echos)

     

    http://www.lesechos.fr/info/france/4849465-les-investissements-massifs-font-exploser-la-dette-des-hopitaux.htm?xtor=EPR-1001

     

     

    Les hôpitaux ont investi 6,8 milliards d'euros l'an dernier, deux fois plus qu'en 2002. Mais leurs capacités d'autofinancement chutent et la dette a passé la barre des 20 milliards d'euros

     

     

    Malgré une situation financière qui se dégrade, les hôpitaux continuent à investir massivement, ce qui se traduit par un recours de plus en plus important à l'endettement. C'est ce que montre la note de conjoncture de Dexia publiée hier. Les établissements de santé publics ont déboursé 6,8 milliards d'euros pour leurs investissements l'an dernier. Un montant record, deux fois plus élevé qu'en 2002.

     

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  • obésité : perdre du poids sans ordonnance ? (30 03 2009)

    Un médicament promet aux obèses de perdre du poids sans ordonnance

     

    Article de Mme Sandrine Blanchard, lu le 7 février 2009 sur le site du Monde (cliquer ici pour accéder au site du Monde)

     

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/02/06/un-medicament-promet-aux-obeses-de-perdre-du-poids-sans-ordonnance_1151789_3224.html#xtor=EPR-32280155&ens_id=628868

     

     

    GlaxoSmithKline (GSK) dégraisse dans tous les sens du terme. Le groupe pharmaceutique britannique a annoncé, mercredi 4 février, la suppression de quelque 850 emplois en France d'ici à 2011-2012. Pourtant, quelques jours auparavant, le laboratoire se félicitait d'avoir obtenu une autorisation européenne de mise sur le marché d'Alli, premier médicament amaigrissant autorisé à la vente sans prescription médicale.

     

    Depuis son lancement en juin 2007 aux Etats-Unis, Alli est devenu numéro trois des ventes sur le marché américain de l'automédication. Cela donne une idée de l'enjeu de l'arrivée de ce produit en France", souligne Vincent Cotard, président de GSK Santé-grand public. En visant le créneau très porteur de la perte de poids, ce médicament, qui arrivera dans les pharmacies françaises en mai, devrait augmenter le chiffre d'affaires du laboratoire.

     

    Alli - comme "mon allié contre la graisse" - est simplement une version allégée (60 mg au lieu de 120 mg) d'un vieux produit (Xenical-Orlistat) qui était délivré uniquement sur ordonnance. "C'est la première fois qu'un médicament contre le surpoids et l'obésité se retrouve en vente libre", constate, sans inquiétude particulière, le professeur Arnaud Basdevant, chef du service de nutrition à l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière.

     

    Cette décision a été adoptée à une courte majorité, douze pays ayant voté contre, dont la France. "Nous sommes tenus d'appliquer la décision européenne mais cette histoire nous enquiquine", reconnaît Fabienne Bartoli, adjointe au directeur général de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Pourquoi ? Parce qu'elle remet en cause le principe d'une prise en charge médicale globale de l'obésité et qu'elle risque fort d'attirer un public beaucoup plus large que les seules personnes en surpoids ou obèses.

     

     

     

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  • recherche médicale et publications ? (22 03 2009)

    Un "Dr Madoff" de la pharmacie

     

    Article de M. Hervé Morin publié le 21 mars 2009 sur le site du Monde (cliquer ici pour accéder au site du Monde)

     

    http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/03/20/un-dr-madoff-de-la-pharmacie_1170578_3244.html#xtor=EPR-32280154

     

    Tout était faux. Les patients supposés avoir testé des médicaments censés accélérer leur rétablissement postopératoire n'ont jamais existé. Les vingt-et-un articles scientifiques où étaient décrits les bienfaits de ces molécules miraculeuses n'étaient qu'un tissu de statistiques sans fondement. Mais, sur la foi de ces résultats frauduleux, des millions de personnes se sont vu administrer des molécules bien réelles, qui ont rapporté des sommes colossales aux compagnies qui les commercialisent, Pfizer, Merck ou Wyeth.

     

    Scott Reuben avait tout inventé. L'anesthésiste américain, auteur respecté de dizaines d'articles médicaux, a avoué la fraude. Non par remords. Mais parce qu'il a été démasqué : deux des résumés d'études qu'il avait produits en mai 2008 ont intrigué les services de santé du Baystate Medical Center (Massachusetts), où il était chef du service antidouleur. Le docteur Reuben n'avait pas l'autorisation de conduire ces essais. L'ampleur de l'imposture n'a pas tardé à être découverte.

     

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  • arthrose : point (11 03 2009)

    L'arthrose, mal de 6 millions de Français

     

    Article de M. Paul Benkimoun, paru le 25 février 2009 sur le site du Monde (cliquer ici pour accéder au site du Monde)

     

    http://www.lemonde.fr/aujourd-hui/article/2009/02/24/l-arthrose-mal-de-6-millions-de-francais_1159725_3238.html#xtor=EPR-32280155&ens_id=628868

     

    Six millions de Français souffriraient d'arthrose. Cette pathologie, qui correspond à une usure précoce du cartilage, peut toucher de nombreuses articulations et est responsable de douleurs et d'invalidité. Elle affecte les sujets âgés, mais aussi des jeunes, sportifs ou victimes de traumatismes.

     

    L'arthrose doit être considérée comme une maladie de l'ensemble de l'articulation. "Le cartilage n'est pas innervé, et la douleur arthrosique prend son origine ailleurs, à proximité", indique le professeur Thomas Bardin, chef du service de rhumatologie de l'hôpital Lariboisière (Paris). L'arthrose est une "chondropathie", une maladie du cartilage. Celui-ci recouvre les extrémités osseuses, facilite le mouvement des articulations et amortit les chocs. "Le cartilage peut directement s'abîmer par usure mécanique, mais également par le biais des tissus environnants. Lorsqu'ils sont le siège d'une inflammation, ils sécrètent des enzymes qui s'attaquent au cartilage", explique le professeur Maxime Dougados, chef du service de rhumatologie B à l'hôpital Cochin (Paris).

     

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  • rougeole et Suisse ? (9 mars 2009)

    La Suisse devient un inquiétant réservoir du virus de la rougeole

    Article de M. Jean-Yves Nau publié le 21 février 2009 sur le site du Monde (cliquer ici pour accéder au site du Monde)

    http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/02/21/la-suisse-devient-un-inquietant-reservoir-du-virus-de-la-rougeole_1158571_3244.html#xtor=EPR-32280155&ens_id=628865

    On connaissait la Suisse comme patrie des laboratoires pharmaceutiques et siège de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), autant que symbole du respect de la nature et de l'hygiène. Mais la Confédération helvétique est aussi un inquiétant réservoir du virus de la rougeole.

    Début janvier, le sujet était évoqué dans les colonnes du Lancet, la revue médicale britannique, avec la publication d'un travail dirigé par le docteur Mark Muscat (Statens Serum Institut de Copenhague, au Danemark). Ce dernier et son équipe ont analysé les 12 132 cas de rougeole officiellement recensés en 2006 et 2007 dans les Etats membres de l'Union européenne (UE) ainsi qu'en Croatie, Islande, Norvège, Suisse et Turquie (Le Monde du 9 janvier 2009).

     

    Les auteurs de ce travail concluaient que, contrairement aux prévisions de l'OMS, cette infection virale hautement contagieuse ne pourrait être éradiquée à court terme en Europe. Ils observaient aussi que 85 % des cas avaient été diagnostiqués dans cinq pays : la Roumanie, l'Allemagne, le Royaume-Uni, la Suisse et Italie ; des Etats qui n'étaient pas parvenus à obtenir, chez les jeunes enfants, le taux de 95 % de couverture vaccinale permettant d'interrompre la circulation du virus rougeoleux au sein de la population humaine.

    Ce constat épidémiologique vient de prendre une nouvelle dimension après la mort, survenue fin janvier à Genève, d'une petite fille infectée par le virus. Ce décès a conduit plusieurs professionnels suisses de la santé à dénoncer le laxisme de la politique vaccinale.  

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