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société, cadre de vie - Page 305

  • Education : données sur l’école (15 02 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 6 décembre 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/education-dernieres-donnees-etat-ecole.html?xtor=EPR-56.html

    Éducation : les dernières données sur l’état de l’école

    le 6 12 2017

    La Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP) vient de publier l’édition 2017 de "L’état de l’école". Cette publication synthétise de nombreuses données sur les coûts, les activités et les résultats du système scolaire sur l’année 2016.

    15,6 millions d’élèves, d’étudiants et d’apprentis

    La population scolaire continue de progresser. 15,6 millions d’élèves, d’étudiants et d’apprentis ont effectué leur rentrée en 2016 (+ 0,7% par rapport à 2015).

    Les effectifs des lycéens, apprentis et étudiants poursuivent leur hausse. A l’inverse, le nombre d’écoliers se stabilise en raison de la décroissance des naissances depuis 2010 tandis que celui des collégiens diminue.

    Les jeunes âgés de 2 à 29 ans poursuivent, en moyenne, une scolarité de 18,3 années, dont 2,9 années dans le supérieur.

    Une dépense d’éducation de près de 150 milliards d’euros

     

    La dépense intérieure d’éducation (DIE) atteint 149,9 milliards d’euros en 2016, soit 6,7% du PIB. Elle a été multipliée par 1,9 depuis 1980.

    Cette croissance s‘explique moins par l’augmentation du nombre d’élèves que par celle du coût de chaque élève. Chaque élève ou étudiant représente une dépense moyenne de 8 480 euros en 2016, contre 4 720 euros au début des années 1980.

    Les premier et second degrés bénéficient respectivement de 30% et 39,2% de la DIE, soit 43,3 et 58,7 milliards d’euros. L’enseignement supérieur est doté, pour sa part, de 30,3 milliards. Enfin, 14,8 milliards sont consacrés à la formation continue et 2,7 milliards aux formations extrascolaires.

    Comparée aux autres pays de l’OCDE, la France dépense moins par élève dans le premier degré (-15%) et davantage dans le second degré (+17%). S’agissant de l’enseignement supérieur, la France se situe légèrement au-dessus de la moyenne OCDE.

    Une forte élévation du niveau de formation qui masque des inégalités

    Par rapport à la fin des années 70, les jeunes français sortent plus diplômés du système éducatif. La part des 18-24 ans ne poursuivant pas d’études et ne détenant aucun diplôme ou seulement le diplôme national du brevet est ainsi passée de 40% à moins de 9% en 2016.

    En 2016, 79% des jeunes d’une génération obtiennent un baccalauréat alors qu’en 1980 seulement 26% y parvenait.

    61,8% des bacheliers généraux s’inscrivent à l’université, 50% des bacheliers technologiques et près de 27,5% des bacheliers professionnels poursuivent en filière professionnelle courte.

    Malgré ces réussites, certaines inégalités persistent. Les différences de niveaux entre jeunes restent très marquées par leur profil social. Parmi les jeunes ayant terminé leur formation entre 2013 et 2015, 57% des enfants de cadres, de professions intermédiaires ou d’indépendants possèdent un diplôme du supérieur contre 32% pour les enfants d’ouvriers et d’employés.

    Sur la toile publique

     

  • EHPAD : situation (14 02 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 2 février 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ18020196G.html

    Question d'actualité au gouvernement n° 0196G de Mme Sophie Taillé-Polian (sénatrice du Val-de-Marne)

     

    Madame la ministre, vous avez déjà répondu à plusieurs questions posées, mardi dernier, par des députés ou, à l'instant, par des sénateurs, sur la situation dans les EHPAD. Vous nous avez parlé, tout à l'heure, d'anticipation. Pourtant, peut-on parler d'anticipation quand on se trouve aujourd'hui dans une situation qui, dans de très nombreux établissements, n'est tout simplement pas tenable ?


    Ces EHPAD ne peuvent attendre les rapports et les missions que vous venez de lancer ; il leur faut des engagements clairs, à court terme, à moyen terme et à long terme !

     
    Le sous-effectif des personnels génère un mal-être profond et un taux d'accidents du travail inacceptable. Pourtant, vous voulez conditionner le bonus que vous promettez à l'accomplissement, par les soignants, d'un travail supplémentaire visant à prévenir la dépendance des résidents !

     
    Que faites-vous, à l'heure actuelle, pour la prévention des risques professionnels des soignants dans les EHPAD ? Vous venez nous en parler comme de l'une de vos préoccupations, mais un plan d'urgence est absolument indispensable !

     
    Il faut également garantir une hausse très rapide du personnel des EHPAD. Pour cela, nous vous demandons de vous engager sur l'ensemble des emplois aidés, qu'ils soient maintenus ou renouvelés, comme les députés du groupe La République En Marche le demandaient d'ailleurs dans un rapport en septembre dernier.

     
    Nous vous demandons aussi de vous engager sur un budget d'ampleur, à court, moyen et long terme, pour que les personnels, qui vivent actuellement des situations très difficiles, puissent se projeter dans un avenir qui ne soit pas trop lointain, pour revenir à une situation normale et prendre soin de nos aînés !

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 02/02/2018 p. 846

     

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  • Compteurs Linky & Gazpar (13 02 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 30 novembre 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/compteurs-linky-gazpar-mesures-pour-proteger-donnees-abonnes.html?xtor=EPR-56.html

    Compteurs Linky et Gazpar : les mesures pour protéger les données des abonnés

    La Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) fait le point sur les nouveaux compteurs communicants d’électricité et de gaz, Linky et Gazpar. Ces nouveaux compteurs peuvent collecter des données détaillées sur la consommation d’énergie de chaque foyer.

    La collecte des données

    Les compteurs communicants collectent, à distance, les données de consommation d’énergie globales du foyer. Les gestionnaires de réseau n’ont pas accès au détail de la consommation de chaque appareil.

    Cette collecte s’effectue de façon quotidienne. Toutefois, avec l’accord de l’abonné, elle peut s’effectuer toutes les heures, voire toutes les demi-heures. De manière ponctuelle, ces données, plus précises, peuvent être collectées lorsqu’elles sont nécessaires à l’accomplissement des missions de service public assignées au gestionnaire du réseau, par exemple lors de l’entretien du réseau.

    Les données de consommation mensuelle sont transmises au fournisseur d’énergie par le gestionnaire de réseau. En revanche, les données quotidiennes ou horaires ne peuvent être transmises à des tiers (y compris au fournisseur) qu’avec le consentement de l’usager.

    Accès aux données via un espace sécurisé

    Les données collectées sont accessibles via un espace individuel et sécurisé qui peut être consulté sur le site Internet du gestionnaire de réseau. Le gestionnaire doit permettre à l’usager :

    • d’accéder à ses données journalières ;
    • d’activer ou suspendre la collecte de ses données de consommation horaires ou à la demi-heure (fines) ;
    • de supprimer les données enregistrées ;
    • d’activer ou suspendre la transmission de ses données de consommation fines (par exemple les fournisseurs d’énergie) ;
    • de paramétrer ou recevoir des alertes ;
    • de comparer sa consommation avec des consommations types.

    Toutes les données de consommation sont cryptées dans le compteur. Pour protéger les abonnés, les informations transmises ne permettent pas d’identifier un usager.

    Le remplacement des compteurs électriques gérés par Enedis doit être effectué d’ici au 31 décembre 2021 alors que les compteurs gérés par une entreprise locale de distribution le seront au plus tard le 31 décembre 2024. Le remplacement des compteurs installés par Grdf est prévu pour la fin 2022.

    Sur la toile publique

     

  • Automobilistes : changements 2018 (12 02 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 1er février 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12323?xtor=EPR-100.html

     

    Automobilistes : ce qui change pour vous en 2018

    Publié le 01 février 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Prime à la conversion, bonus écologique, malus automobile, taxe additionnelle, stationnement payant, barèmes kilométriques, tarifs des péages, contrôle technique... Vous avez sans doute entendu parler de nombreux changements pour les automobilistes en 2018 ? Qu'en est-il exactement ? Service-public.fr fait le point sur la question.

    NDLR : les articles ci-dessous comportent en ligne finale, un lien vers le texte détaillé du thème

    Prime à la conversion

     

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  • Fruits et légumes bio (09 02 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 18 janvier 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ171001630.html

    Question écrite n° 01630 de Mme Marie-Françoise Perol-Dumont (sénatrice de la Haute-Vienne)

    Mme Marie-Françoise Perol-Dumont attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture et de l'alimentation sur les marges réalisées sur les fruits et légumes issus de l'agriculture biologique par la grande distribution.

     
    Selon une enquête de l'union fédérale des consommateurs (UFC)-que choisir d'août 2017, ces marges peuvent être jusqu'à trois fois plus élevées que celles effectuées sur des fruits et légumes conventionnels.

     
    Or, soucieux de leur santé et d'une alimentation de qualité, nos concitoyens se tournent de plus en plus vers les produits issus de l'agriculture biologique. En dix ans, le marché du « bio » s'est fortement développé, de l'ordre de 10 % par an, avec une très nette augmentation sur l'année 2016 (21 %). Sensibles à l'intérêt sanitaire et environnemental d'une telle alimentation, les Français souhaitent que les grandes et moyennes surfaces proposent davantage de produits de ce type. Cependant, 77 % estiment que le premier frein dans l'acte d'achat reste leur prix.

     
    Désireuse d'accompagner cet engouement, la grande distribution est devenue depuis 2016 leader dans la distribution de produits « bio », devançant les enseignes spécialisées et les autres modes de distribution (marchés, vente direct, aide au maintien de l'agriculture paysanne...).

     

    Néanmoins, l'étude de l'association de consommateurs souligne que la marge brute réalisée par la grande distribution est près de deux fois plus élevée pour un panier « bio » que pour un panier conventionnel, un écart qui a priori ne trouve aucune justification acceptable. L'association estime donc qu'il conviendrait de réduire cette marge afin de limiter le triple effet négatif engendré par une telle politique : non seulement de ne pas freiner l'acte d'achat des consommateurs, mais aussi de ne pas empêcher les agriculteurs d'augmenter leurs productions, enfin de ne pas priver la grande distribution elle-même des ventes potentielles d'un marché porteur, précisément parce que les consommateurs seraient rebutés par les prix trop élevés.

     
    Elle lui demande donc son opinion sur cette problématique et les réponses qu'il compte y apporter.

     

    Réponse du Ministère de l'agriculture et de l'alimentation publiée dans le JO Sénat du 18/01/2018 p. 187

     

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  • Stratégie nationale de santé (08 02 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 12 janvier 2018 sur le site Vie publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/quatre-priorites-pour-strategie-nationale-sante-2018-2022.html?xtor=EPR-56.html

    Quatre priorités pour la stratégie nationale de santé 2018-2022

    Le décret portant définition de la stratégie nationale de santé pour la période 2018-2022 a été publié au Journal officiel du 31 décembre 2017. Fixant le cadre de la politique de la santé, la nouvelle stratégie poursuit quatre axes principaux.

    Donner la priorité à la prévention

    Il s’agit en premier lieu de réduire les facteurs de risque majeurs (alimentation, alcool, tabagisme) qui induisent des coûts sociaux et financiers considérables.

    Le document liste aussi des orientations concrètes telles que le renforcement de la couverture vaccinale, la préservation de l’efficacité des antibiotiques, le développement du dépistage et de la prise en charge des maladies chroniques. En matière d’environnement, il est prévu de lutter contre l’habitat indigne et les pollutions intérieures et de réduire l’exposition des populations aux nuisances environnementales.

    Lutter contre les inégalités sociales et territoriales d’accès à la santé

    Il s’agit de lever les obstacles sociaux et économiques aux soins par le renforcement de l’accès aux droits sociaux et à la couverture maladie et par la limitation du reste à charge des assurés, notamment pour les prothèses (dentaires et auditives) et pour l’optique médicale. Dans cette perspective, la recherche d’une meilleure garantie d’accès aux soins sur l’ensemble du territoire induit la lutte contre les déserts médicaux et le développement de la médecine numérique.

    Garantir la pertinence et la qualité des soins

    Le gouvernement entend transformer l’offre de santé dans les territoires afin de répondre aux nouveaux besoins de la population : structurer les soins de premier recours pour assurer la qualité et la continuité des prises en charge et des parcours de santé, améliorer la pertinence des prescriptions, des examens et des hospitalisations, promouvoir le bon usage des médicaments et l’utilisation des médicaments génériques, etc.

    Soutenir la recherche et réaffirmer la place des usagers

    La stratégie nationale vise une accélération de l’innovation numérique, au profit des patients comme des professionnels. La place des usagers, comme acteurs de leur propre parcours de santé, est réaffirmée. Le statut des aidants doit aussi être amélioré.

    Un chapitre spécifique est consacré à la politique de santé à l’égard des enfants et des jeunes. Il prévoit notamment un renforcement du dépistage néonatal et de la prévention des violences et maltraitances sur les enfants. Enfin, des dispositions spécifiques à la Corse et à l’outre-mer sont prévues pour tenir compte de l’insularité et de conditions sociales souvent plus défavorables.

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