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société, cadre de vie - Page 305

  • Bisphénol A, perturbateur endocrinien reconnu par l’Europe (07 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 20 juin 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site de Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/sante-bisphenol-reconnu-comme-perturbateur-endocrinien-par-europe.html?xtor=EPR-56

    Santé : le bisphénol A reconnu comme perturbateur endocrinien par l’Europe

    Le bisphénol A vient d’être inscrit sur la liste des substances extrêmement préoccupantes en tant que perturbateur endocrinien. C’est ce qu’a décidé, sur demande de la France, le comité des États membres de l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) le 16 juin 2017. Le bisphénol A est une substance de synthèse utilisée notamment dans certains produits en plastique de la vie courante (jouets, contenants alimentaires, cosmétiques, etc.).

    Une reconnaissance sur demande de la France

    Le classement du bisphénol A (BPA) comme perturbateur endocrinien a été proposé, en février 2017, par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) dans le cadre du règlement européen REACH. Ce règlement s’applique à toutes les substances chimiques fabriquées, importées, commercialisées et utilisées en Europe. Il comprend une liste de substances extrêmement préoccupantes ("substance of very high concern", SVHC), susceptibles d’avoir des effets graves sur la santé humaine et l’environnement (substances cancérogènes, mutagènes, perturbateurs endocriniens, etc.).

    Il s’agit de la seconde inscription du Bisphénol A sur cette liste. Le 19 décembre 2016 déjà, sur proposition de l’Anses, le BPA avait été inscrit en raison de ses propriétés reprotoxiques (pouvant altérer la fertilité).

    En France, le bisphénol A est interdit depuis juin 2010 dans les biberons et depuis le 1er janvier 2013 dans les contenants alimentaires destinés aux enfants de moins de trois ans. Cette interdiction a été étendue le 1er janvier 2015 à tous les contenants alimentaires. A compter de 2020, la mise sur le marché du BPA à une concentration égale ou supérieure à 0,02% dans les papiers thermiques (tickets de caisse, reçus de carte bancaire, etc.) sera également interdite au niveau européen.

    Quelles conséquences sur l’usage du bisphénol A ?

    D’après l’Anses, la décision de l’Agence européenne des produits chimiques obligera les industriels à lui notifier la présence de la substance dans les articles fabriqués ou importés et à informer l’acquéreur d’un article de la présence de BPA.

    L’inscription du BPA sur la liste des substances extrêmement préoccupantes ouvre également la possibilité d’en limiter l’usage, en conditionnant son utilisation à l’octroi d’une autorisation temporaire et renouvelable.

  • Sécurité routière : bilan 2016 (06 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 28 juin 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/securite-routiere-3-477-tues-72-645-blesses-routes-2016.html

    Sécurité routière : 3 477 tués et 72 645 blessés sur les routes en 2016

    Le bilan définitif 2016 de l’accidentalité routière a été publié par l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), le 26 juin 2017. Si le nombre de personnes tuées sur les routes de France métropolitaine est quasi-stable par rapport à 2015, le nombre de blessés est en revanche en légère hausse. La vitesse excessive ou inadaptée reste la première cause de mortalité routière.

    Plus de piétons et de cyclistes victimes

    En 2016, 3 477 personnes ont trouvé la mort sur les routes, contre 3 461 en 2015. Il s’agit de la troisième année consécutive de hausse après une baisse historique de la mortalité routière en 2013.

    Parmi les victimes, la part des automobilistes et des cyclomotoristes diminue tandis que celle des piétons augmente. On déplore ainsi 559 piétons tués, soit une hausse de 19% par rapport à 2015. La mortalité piétonne concerne plus fortement les plus de 75 ans (47 victimes de plus en 2016), les 18-24 ans (22 victimes supplémentaires) et les moins de 14 ans (7 victimes en plus). 69% des piétons ont trouvé la mort en ville.

    On constate la même tendance chez les cyclistes. En 2016, 162 cyclistes ont perdu la vie, soit +9% en un an. Les accidents mortels se sont passés principalement en agglomération.

    Le nombre de blessés sur les routes est aussi en légère hausse, de 2,6%. En 2016, 72 645 personnes ont été blessées dans 57 522 accidents corporels (+1,6%). 27 187 ont été hospitalisées (+2,2%). Parmi les blessés graves, 43% sont des usagers de deux-roues motorisés, bien qu’ils ne représentent que 1,9% du trafic.

    Les principales causes d’accident

    La vitesse excessive ou inadaptée est à l’origine d’un accident mortel sur trois. Elle est la première cause de mortalité routière. Elle est surtout le fait des 18-24 ans, qui représentent 45% des auteurs présumés d’accidents mortels.

    L’alcool est présent dans 29% des accidents mortels. Parmi les conducteurs impliqués, les 18-24 ans et les 25-49 ans sont davantage concernés. Une hausse des accidents mortels de cyclistes et de piétons alcoolisés est aussi observée.

    Quant aux stupéfiants, 22% des décès routiers impliquaient un conducteur ayant consommé de la drogue.

    Le non-port de la ceinture de sécurité reste également un facteur important de mortalité. 20% des automobilistes tués ne la portaient pas. Il en est de même pour le non-port du casque. 14% des tués en motos ou scooters n’en portaient pas ou l’avaient mal attaché.

  • Changements au 1er juillet 2017 (05 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11811

    Ce qui change au 1er juillet 2017

    Publié le 22 juin 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Allocations d'assurance chômage, liquidation unique des retraites, isolation acoustique en cas de travaux importants, diagnostics électricité et gaz à fournir pour les locations, verbalisation en cas de circulation sans vignette en zone de circulation restreinte ou encore conformité des plaques d'immatriculation des deux roues. Retrouvez les principales nouveautés au 1er juillet 2017.

     

    Allocations d'assurance chômage

    Au 1er juillet 2017, l'allocation minimale, la partie fixe de l'allocation d'aide au retour à l'emploi (ARE) et l'allocation minimale pour les allocataires effectuant une formation sont revalorisées de 0,65 %.

    Allocations d'assurance chômage : + 0,65 % au 1er juillet 2017

     

    Liquidation unique des retraites

    Les personnes ayant cotisé à plusieurs régimes de retraite dits « alignés » (régime général, salariés agricoles, RSI), peuvent bénéficier, à partir du 1er juillet 2017, de la liquidation unique des pensions de retraite.

    Polypensionnés : le versement unique des pensions mis en œuvre à partir du 1er juillet 2017

     

    Isolation acoustique en cas de travaux importants

    Bruit routier ou ferroviaire, proximité d'un aéroport... À compter du 1er juillet 2017, la réalisation de travaux importants de rénovation (travaux de rénovation énergétique globale, ravalement, toiture...) va s'accompagner de travaux d'isolation acoustique dans les zones particulièrement exposées au bruit.

    Isolation acoustique obligatoire en cas de travaux importants

     

    Diagnostics électricité et gaz pour les locations

    En cas de location de biens immobiliers datant d'avant 1975, les propriétaires vont devoir fournir à leur locataire des diagnostics concernant à la fois l'état de l'installation électrique et de l'installation de gaz.

    Diagnostic immobilier : état de l'installation intérieure d'électricité

    Diagnostic immobilier : état de l'installation intérieure de gaz

    Verbalisation en cas de circulation sans vignette en zone de circulation restreinte

    Dans les zones de circulation restreinte (ZCR) comme Paris par exemple, les automobilistes qui n'auront pas la vignette Crit'Air seront passibles d'une amende de 68 €.

    Crit'Air : circuler en zone de circulation restreinte sans vignette sera bientôt verbalisé

     

    Conformité des plaques d'immatriculation des deux roues

    Les véhicules à moteur à 2 ou 3 roues et les quadricycles à moteur non carrossés devront être équipés de plaques d'immatriculation uniformes.

    Deux roues : derniers jours pour s'équiper de plaques immatriculation au format réglementaire

  • Informatique : logiciel malveillant (04 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 29 juin 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11831?xtor=EPR-100

    Rançongiciel : les recommandations de sécurité

    Publié le 29 juin 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Message électronique douteux avec des pièces jointes ? Clé USB d'origine inconnue ? Alors que se propage, depuis le 27 juin 2017, un programme informatique malveillant de type rançongiciel, l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi) fait un certain nombre de recommandations.

    Il est notamment conseillé aux utilisateurs (collectifs ou particuliers) de :

    • de ne pas ouvrir les pièces jointes des messages électroniques suspects (fautes d'orthographes, pièces jointes au nom trop succinct ou trop générique...) ;
    • de se méfier de courriel de type « hameçonnage ciblé » qui personnalise le contenu par rapport à l'environnement de l'utilisateur afin de tromper sa vigilance ;
    • de ne pas suivre les liens des messages électroniques suspects et de vérifier la cohérence entre l'adresse affichée dans le contenu et le lien effectif ;
    • de ne pas réactiver des fonctionnalités désactivées dans la configuration des logiciels, même si le fichier ouvert y incite par un message particulier.

    En cas d'incident :

    • pensez à déconnecter immédiatement du réseau les équipements identifiés comme compromis ;
    • alertez le responsable sécurité ou le service informatique au plus tôt ;
    • sauvegardez les fichiers importants sur des supports amovibles isolés ;
    • et ne payez pas la rançon.

      À savoir :

    Un rançongiciel (ransomware en anglais) est un type de programme informatique malveillant ayant pour objectif de vous faire payer une rançon en vous bloquant l'accès à vos fichiers.

    Pour en savoir plus

    Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi)

    Ministère chargé de l'économie

  • Conjoncture Juin 2017 : enquête ménages (30 06 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse statistique publiée le 28 juin 2017 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/2883442

    INFORMATIONS RAPIDES n° 170, Paru le : 28/06/2017

    En juin 2017, la confiance des ménages dans la situation économique s'améliore fortement : l'indicateur qui la synthétise gagne 5 points (après +2 points en mai) et atteint 108, son plus haut niveau depuis juin 2007. Il se situe ainsi nettement au-dessus de sa moyenne de longue période (100). Un pic d'optimisme a également été constaté lors des élections présidentielles précédentes

    Situation personnelle

    Situation financière personnelle : nette amélioration

    En juin, l'opinion des ménages sur leur situation financière passée s'améliore fortement : le solde correspondant gagne 5 points et s'éloigne davantage de sa moyenne de longue période. L'opinion des ménages sur leur situation financière future s'améliore pour le deuxième mois consécutif : le solde correspondant gagne 2 points et bascule au-dessus de sa moyenne de long terme. Ces deux soldes sont à leur plus haut niveau depuis l'été 2007.

    Après avoir chuté en mai, la proportion de ménages estimant qu'il est opportun de faire des achats importants se redresse en juin : le solde correspondant gagne 11 points et retrouve son niveau de février 2017, nettement au-dessus de sa moyenne de longue période.

    Capacité d'épargne future : légère hausse

    En juin, le solde d'opinion des ménages sur leur capacité d'épargne future s'améliore de 3 points et redevient positif pour la première fois depuis avril 2015. L'opinion des ménages sur leur capacité d'épargne actuelle est inchangée. Ces deux soldes se situent au-dessus de leur moyenne de long terme.

    La part de ménages estimant qu'il est opportun d'épargner est presque inchangée : le solde correspondant gagne 1 point mais demeure nettement inférieur à sa moyenne de longue période.

    Contexte économique en France

    Niveau de vie en France : nouveau regain d'optimisme

    En juin 2017, le solde d'opinion des ménages sur le niveau de vie futur en France continue de grimper : il gagne 15 points (après +7 points en mai) et retrouve un niveau inédit depuis mai 2007. Le solde d'opinion des ménages sur le niveau de vie passé en France s'améliore de nouveau (+5 points après +6 points), à son plus haut niveau depuis début 2003. Les deux soldes excèdent un peu plus leur moyenne de longue période.

    Chômage : nouvelle baisse des craintes

    Les craintes des ménages au sujet du chômage diminuent de nouveau en juin, pour le troisième mois consécutif. Le solde correspondant recule de 9 points et se situe à son plus bas niveau depuis début 2008, bien au-dessous de sa moyenne de long terme.

    Inflation anticipée en baisse

    En juin, les ménages sont moins nombreux à estimer que les prix augmenteront au cours des douze prochains mois : le solde correspondant baisse de 5 points, et s'éloigne de sa moyenne de longue période.

    Les ménages sont aussi nombreux qu'en mai à estimer que les prix ont augmenté au cours des douze derniers mois ; le solde correspondant reste bien en deçà de son niveau moyen de long terme.

  • Personnes âgées : maintien à domicile (28 06 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 16 février 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ160622574.html

     

    Question écrite n° 22574 de M. Jean Louis Masson (sénateur de la Moselle)

    Jean Louis Masson attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le fait que les personnes âgées souhaitent avant tout rester chez elles et vieillir dans un lieu familier. Le maintien à domicile est souvent la meilleure solution. C'est une solution personnalisée adaptée à chacun, un accompagnement sur mesure qui retarde la dépendance. Pour cela il faut une politique volontariste et en la matière on peut déplorer aussi bien les différences constatées d'un département à l'autre que l'insuffisance globale des moyens financiers et en personnel pour les soins infirmiers à domicile et pour l'aide dans la vie au quotidien. Il lui demande si le Gouvernement envisage de renforcer les moyens susvisés pour que partout sur le territoire national le maintien au domicile des personnes âgées soit considéré comme une priorité.

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère des affaires sociales et de la santé, chargé des personnes âgées et de l'autonomie publiée dans le JO Sénat du 16/02/2017 – p. 668

     

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