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économie française - Page 5

  • Climat des affaires : juin 2015 (30 06 2015)

    Note d’analyse économique publiée le 23 juin 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=86&date=20150623.html

    En juin 2015, le climat des affaires reste favorable dans le commerce de détail et dans le commerce et la réparation automobiles

    Selon les chefs d’entreprise interrogés en juin 2015, le climat des affaires reste favorable dans le commerce de détail et dans le commerce et la réparation automobiles. L’indicateur qui le synthétise est stable, supérieur à sa moyenne de long terme depuis le début de l’année.

    Une activité prévue supérieure à sa moyenne

    Un peu plus de chefs d’entreprise indiquent que leur activité a baissé, le solde correspondant revenant quasiment à son niveau moyen. Par secteur, la situation est contrastée : le solde est toujours très haut dans le commerce automobile, mais reste sous son niveau moyen dans le commerce de détail.

    Concernant leurs anticipations, les chefs d’entreprise sont dans l’expectative : le solde relatif aux ventes prévues se replie, ceux relatifs aux intentions de commandes et aux perspectives générales d’activité sont quasi stables. Néanmoins chacun des trois soldes reste au-dessus de sa moyenne de longue période.

    Les stocks se regarnissent, mais leur niveau est encore jugé inférieur à la normale.

    Les chefs d’entreprise sont moins nombreux qu’en mai à prévoir des baisses de prix au cours des prochains mois.

    L’opinion sur l’emploi est proche de son niveau moyen

    Chacun des deux soldes relatif à l’emploi passé et prévu est quasi inchangé, juste sous son niveau moyen.

    Commerce de détail : Une activité passée de nouveau jugée peu dynamique

    Dans le commerce généraliste, les détaillants sont plus nombreux qu’en mai à déclarer une baisse de leurs ventes passées, alors que dans le commerce spécialisé, ils sont moins nombreux. Cependant chacun des deux soldes reste inférieur à sa moyenne de long terme.

    Dans l’ensemble du commerce de détail, les anticipations sont un peu moins optimistes qu’en mai : chacun des deux soldes relatifs aux perspectives de ventes et aux intentions de commandes se replie légèrement, étant désormais proche de sa moyenne. Toutefois, dans le commerce spécialisé, le solde sur les intentions de commande se redresse et passe au-dessus de sa moyenne de long terme.

    Que les détaillants soient généralistes ou spécialisés, ils sont moins nombreux à prévoir des baisses de prix pour les prochains mois.

    Commerce et réparation automobiles : une activité jugée encore bien orientée

    Selon les commerçants automobiles, l’activité passée est restée bien orientée : bien que le solde correspondant baisse un peu, il demeure très haut. Les anticipations restent optimistes : les deux soldes relatifs aux ventes prévues et aux intentions de commandes varient légèrement mais demeurent élevés.

    Les commerçants automobiles sont un peu plus nombreux qu’en mai à prévoir des hausses de prix sur les prochains mois.

     

    Les soldes relatifs à l’emploi passé et prévu fléchissent mais restent nettement au-dessus de leur moyenne.

  • Production manufacturière : mars 2015 (12 05 2015)

    Note d’analyse publiée le 7 mai 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=10&date=20150507.html

    En mars 2015, la production manufacturière augmente légèrement (+0,3 %)

    Toutes les données sont corrigées des variations saisonnières et du nombre de jours ouvrables (CVS-CJO).

    N. B. 1 : dans le commentaire, les évolutions par sous-branche sont présentées par ordre décroissant de leur contribution à l’évolution globale de l’indice de la production industrielle. La contribution d’une sous-branche prend en compte son poids et l’ampleur de son évolution.

    N. B. 2 : ce numéro ne comprend pas de comparaison France/zone euro en raison d’un problème d’accès aux données.

    En mars 2015, la production en volume augmente de nouveau dans l’industrie manufacturière (+0,3 % après +0,5 %) alors qu’elle se replie dans l’ensemble de l’industrie (–0,3 % après +0,5 %).

    La production manufacturière des trois derniers mois augmente (+0,8 %)

    Au cours du premier trimestre 2015, la production augmente dans l’industrie manufacturière (+0,8 %) et plus nettement encore dans l’ensemble de l’industrie (+1,4 %).

    Sur cette période, la production progresse dans les industries extractives, énergie, eau (+4,1 %), les matériels de transport (+4,3 %), les autres produits industriels (+0,7 %), la cokéfaction et raffinage (+7,7 %) et les industries agricoles et alimentaires (+0,5 %). En revanche, la production recule dans les équipements électriques, électroniques, informatiques, machines (–1,5 %).

    Sur un an, la production manufacturière est stable

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  • Chefs d’entreprises : investissements pour 2015 (07 05 2015)

    Nous proposons une note d’analyse économique publiée le 6 mai 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=15&date=20150506.html

    Les chefs d’entreprises de l’industrie manufacturière anticipent une hausse de 7 % de leur investissement en 2015 : Enquête sur les investissements dans l’industrie – Avril 2015

    Interrogés en avril 2015, les chefs d’entreprise de l’industrie manufacturière déclarent que leur investissement a progressé de 2 % en valeur en 2014, conformément à leur estimation de janvier dernier.

    Pour 2015, les industriels prévoient d’investir davantage

    Pour 2015, les chefs d’entreprise de l’industrie manufacturière anticipent une progression de 7 % de leur investissement. Ils relèvent de 4 points leur estimation de janvier 2015. Cette révision à la hausse concerne tous les grands secteurs excepté celui des biens d’équipements (–2 points). La révision est particulièrement marquée pour la fabrication de matériels de transport (+9 points) ; elle est plus modérée pour l’agro-alimentaire (+4 points) et les « autres industries » (+3 points).

    Les industriels prévoient une hausse de leur investissement au second semestre 2015

    En avril 2015, les industriels sont quasiment aussi nombreux à prévoir une augmentation qu’une baisse de leur investissement au cours du premier semestre 2015. Pour le second semestre 2015, les industriels sont plus nombreux à prévoir une augmentation qu’une baisse de leur investissement. Le solde d’opinion correspondant (+10) est supérieur à son niveau moyen (+5).

     

    L’indicateur de révision des investissements reste positif en avril

    L’indicateur de révision des investissements reste positif en avril. Il est calculé à partir des montants d’investissements déclarés à chaque enquête par les entreprises de l’industrie manufacturière (hors industrie agro-alimentaire et cokéfaction-raffinage). Cet indicateur est bien corrélé avec la variation trimestrielle de l’investissement des entreprises non-financières.

    Des investissements visant surtout à renouveler et à moderniser les équipements

     

    La destination des investissements ne se modifierait que légèrement en 2015 par rapport à 2014. La part des investissements destinés au renouvellement ou à la modernisation des équipements serait au-dessus de sa moyenne de longue période ; à l’inverse, celle des investissements consacrés à l’introduction de nouveaux produits ou à l’extension de la capacité productive resterait en deçà.

  • Industrie : conjoncture avril 2015 (28 05 2015)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 23 avril 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=11&date=20150423.html

    En avril 2015, le climat des affaires dans l’industrie manufacturière s’améliore

    Industrie manufacturière

    Selon les chefs d'entreprise interrogés en avril 2015, le climat conjoncturel dans l’industrie s’améliore : l’indicateur qui le synthétise gagne deux points et se situe à un niveau (101) légèrement supérieur à sa moyenne de longue période (100).

    Le solde d’opinion des industriels sur leur activité passée rebondit et se situe à un niveau proche de sa moyenne de longue période. Celui relatif aux perspectives personnelles diminue mais reste à un niveau encore supérieur à sa moyenne de long terme.

    Les carnets de commandes globaux et les carnets de commandes étrangers s’améliorent par rapport au mois de mars : pour les premiers, le solde correspondant rejoint sa moyenne de long terme ; pour les seconds, il reste supérieur et atteint son niveau le plus haut depuis juillet 2011.

    Le solde sur les perspectives générales de production, qui représente l’opinion des industriels sur l’activité de l’industrie dans son ensemble, continue de progresser. Il gagne 3 points et se situe nettement au-dessus de sa moyenne de long terme, à son niveau le plus élevé depuis juillet 2011.

    Enfin, un peu moins d’industriels jugent les stocks de produits finis inférieurs à la normale, mais le solde correspondant reste inférieur à sa moyenne.

    Analyse par sous-secteurs

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  • Pétrole et matières premières : prix mars 2015 (23 04 2015)

    Nous vous proposons une note d’analyse publiée le 17 avril 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=79&date=20150417.html

    En mars 2015, le prix du pétrole augmente légèrement  Prix du pétrole et des matières premières importées – mars 2015

    Avertissement : Comme chaque année en mars, les coefficients de pondération ont été actualisés pour l’année en cours, conduisant à une révision des indices agrégés depuis le début de l’année.

    En mars 2015, le prix du pétrole en euros croît de nouveau (+1,1 %) mais plus modérément qu’en février (+22,5 %). Il s’établit à 51,6 € en moyenne par baril de Brent. Les prix en euros des matières premières importées hors énergie augmentent (+2,7 %), tant pour les matières premières alimentaires (+2,6 %) que pour les matières premières industrielles (+2,7 %).

    Le prix du pétrole en euros augmente légèrement

    En mars, le prix du baril de pétrole de la mer du Nord (Brent) fléchit en dollars (-3,7 % après +19,6 %) dans un contexte de production mondiale encore abondante et de niveaux de stocks importants aux États-Unis. En euros, la hausse du prix du Brent est plus modérée en mars (+1,1 %) qu’en février (+22,5 %), la monnaie européenne continuant de se déprécier par rapport au dollar (–4,7 % en mars 2015).

    Les prix des matières premières industrielles restent dynamiques

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  • Filière Bois : difficultés (22 04 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 5 février 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ141113898.html

     

     

    Question écrite n° 13898 de M. Yannick Vaugrenard (Loire-Atlantique - SOC)

     

    M. Yannick Vaugrenard attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt, porte-parole du Gouvernement sur les difficultés posées par l'exportation massive de grumes, et plus particulièrement en direction des pays émergents comme la Chine. 
    Selon les chiffres de la Fédération nationale du bois (FNB), en 2013, un million de mètre cube de grumes ont été exportés, principalement en Chine, soit le double du volume exporté en 2012.

     

    Les professionnels du bois sont donc fortement inquiets de ce phénomène qui risque de déstabiliser durablement les scieries présentes en France ainsi que les territoires liés à cette activité économique. Cette filière bois est une source d'emplois et de dynamisme incontestable pour les territoires, et notamment les territoires ruraux. Les professionnels vivent d'autant plus difficilement cette situation que ce sont des petites entreprises, employant quelques dizaines de salariés. 450 000 emplois directs et indirects sont concernés, dont 50 000 emplois directs dans les scieries.

     
    Stopper ces exportations massives est donc une nécessité, tant pour l'avenir de la filière bois que pour la pérennité de cette ressource. 


    Il lui demande donc d'étudier les diverses possibilités permettant d'arrêter ces exportations massives de grumes.

     

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 05/02/2015 - page 251

     

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