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conseils - Page 44

  • Levothyrox : n° vert (20 09 2017)

    Nous proposons cette fiche de synthèse publiée le 12 septembre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11995?xtor=EPR-100.html

    Levothyrox : un numéro vert pour s'informer

    Publié le 12 septembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Le 23 août 2017, l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a mis en place un numéro vert (gratuit) concernant le changement de formule et de couleur des boîtes de Levothyrox. Le service est joignable du lundi au vendredi de 9 heures à 19 heures, au numéro suivant : 0.800.97.16.53.

    Le numéro vert a été mis en place par l'ANSM à la suite de signalements d'effets indésirables (fatigue inhabituelle, palpitations, tachycardie, par exemple) par les patients prenant du Levothyrox, médicament indiqué dans le traitement de la thyroïde. Selon l'ANSM, les effets indésirables sont dus à la nouvelle formule du Levothyrox, mise sur le marché depuis avril 2017.

    L'ANSM a également mis en place une foire aux questions en ligne . Les questions qui ont notamment été traitées sont les suivantes :

    • mon médecin m'a dit que la formule de Levothyrox avait changé, quels sont les changements ?
    • le pharmacien m'a délivré une boîte différente de celle que je prends d'habitude, que dois-je faire ?
    • quels sont les symptômes qui doivent m'alerter sur un déséquilibre thyroïdien ?
    • que faut-il faire en cas d'effets indésirables suite au passage à la nouvelle formule ?

    Pour en savoir plus

    Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM)

    Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM)

    • Questions/Réponses concernant le Levothyrox 

    Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM)

  • Informatique : logiciel malveillant (04 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 29 juin 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11831?xtor=EPR-100

    Rançongiciel : les recommandations de sécurité

    Publié le 29 juin 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Message électronique douteux avec des pièces jointes ? Clé USB d'origine inconnue ? Alors que se propage, depuis le 27 juin 2017, un programme informatique malveillant de type rançongiciel, l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi) fait un certain nombre de recommandations.

    Il est notamment conseillé aux utilisateurs (collectifs ou particuliers) de :

    • de ne pas ouvrir les pièces jointes des messages électroniques suspects (fautes d'orthographes, pièces jointes au nom trop succinct ou trop générique...) ;
    • de se méfier de courriel de type « hameçonnage ciblé » qui personnalise le contenu par rapport à l'environnement de l'utilisateur afin de tromper sa vigilance ;
    • de ne pas suivre les liens des messages électroniques suspects et de vérifier la cohérence entre l'adresse affichée dans le contenu et le lien effectif ;
    • de ne pas réactiver des fonctionnalités désactivées dans la configuration des logiciels, même si le fichier ouvert y incite par un message particulier.

    En cas d'incident :

    • pensez à déconnecter immédiatement du réseau les équipements identifiés comme compromis ;
    • alertez le responsable sécurité ou le service informatique au plus tôt ;
    • sauvegardez les fichiers importants sur des supports amovibles isolés ;
    • et ne payez pas la rançon.

      À savoir :

    Un rançongiciel (ransomware en anglais) est un type de programme informatique malveillant ayant pour objectif de vous faire payer une rançon en vous bloquant l'accès à vos fichiers.

    Pour en savoir plus

    Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi)

    Ministère chargé de l'économie

  • Alimentation : sucres cachés (02 06 2017

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 4 mai 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ160722809.html

    Question écrite n° 22809 de M. Jean-Noël Guérini (sénateur des Bouches-du-Rhône)

     

    1. Jean-Noël Guérini appelle l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la présence insoupçonnée de sucres dans certains aliments industriels, y compris salés.

    En effet, une étude menée par l'institut national de la consommation en partenariat avec la fédération française des diabétiques sur 192 produits de consommation courante révèle que des quantités importantes de sucre sont contenues dans des aliments déjà gras et salés, comme les pizzas, les chips ou les biscuits pour l'apéritif, mais également dans des mayonnaises ou sauces dites allégées, des carottes râpées et céleris rémoulades. Le constat est identique avec les boissons et les desserts, même ceux qui sont vendus comme moins caloriques, nectars de fruits et sorbets, qui comportent en réalité beaucoup de sucre. Cela conduit à ingérer des doses de sucre bien supérieures à la recommandation journalière de 50 grammes préconisée par l'organisation mondiale de la santé (OMS), d'où des risques d'obésité, de diabète ou de maladies cardiovasculaires. 

    En conséquence, il aimerait savoir ce qui peut être envisagé pour lutter contre les taux élevés de sucres cachés dans les aliments et leurs graves conséquences sanitaires. 

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 04/05/2017 - page 1571

     

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  • Vol de téléphone portable (02 05 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 23 mars 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F34123.html

    Que faire en cas de vol de son téléphone portable ?

    Votre téléphone portable vous a été volé ? Service-Public.fr fait le point des démarches à effectuer en pareille situation.

    Faire bloquer sa ligne

    Vous devez bloquer votre ligne auprès de votre opérateur immédiatement après le vol. Il convient de vous renseigner pour connaître les démarches nécessaires. Les opérateurs ont généralement un numéro de téléphone d'urgence pour cela.

      À savoir :

    la plupart des téléphones récents permettent d'effacer à distance les données contenues (photos, SMS...) et de désactiver l'accès aux mails et autres applications.

    Porter plainte

    Vous devez également porter plainte au plus vite auprès d'un commissariat de police ou d'une brigade de gendarmerie, en indiquant le numéro IMEI de l'appareil (15 chiffres)

    Le code IMEI est également inscrit sur l'étiquette du coffret d'emballage du téléphone. Il peut aussi être inscrit dans votre espace client sur le site de votre opérateur. Les forces de l'ordre se chargent ensuite d'envoyer la demande de blocage de l'appareil à l'opérateur concerné, qui la met en œuvre dans un délai de 1 à 4 jours maximum. C'est l'appareil en lui-même qui sera bloqué et pas seulement la ligne.

      À noter :  vous pouvez consulter les sites de petites annonces pour voir si votre téléphone est proposé par un vendeur. Si c'est le cas, prévenez immédiatement la police ou la gendarmerie et n'agissez pas vous-même. 

    Remplacer son téléphone

    La plupart des opérateurs téléphoniques et des revendeurs proposent une assurance permettant le remplacement du téléphone en cas de vol. Une franchise doit généralement être payée par l'abonné. En cas de vol, le dépôt préalable d'une plainte est nécessaire. Une telle assurance n'est pas obligatoire.

    Généralement, il ne peut pas s'écouler plus de quelques jours entre le vol et la déclaration à l'assurance.

    Les conditions dans lesquelles un téléphone est remplacé dépendent du contrat d'assurance signé. Par exemple, l'assurance peut fonctionner uniquement en cas de vol avec violences (une agression) et non à cause d'un pickpocket. Il convient de vous renseigner après de votre opérateur ou de votre revendeur.

    L'opérateur peut vous interroger et vous demander plus de détails avant de vous dédommager.

    Faire de fausses déclarations (comme prétexter une agression violente alors qu'il s'agit d'un pickpocket) pour obtenir le remplacement de votre téléphone est un cas d'escroquerie.

    De plus, le dépôt d'une fausse plainte devant la police ou la gendarmerie est un délit punissable de :

    • 6 mois de prison,
    • et 7 500 € d'amende.

      À noter :

    La perte ou le vol d'un téléphone portable peuvent éventuellement constituer des cas permettant la résiliation anticipée d'un abonnement. Il faut vérifier si ce cas est prévu dans votre contrat.

  • Alimentation quotidienne (25 04 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 29 mars 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11520?xtor=EPR-100

    Alimentation : 5 fruits et légumes par jour et aussi...

    Publié le 29 mars 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Quelle alimentation au quotidien ? Des fruits, des légumes mais aussi des noix, des noisettes, des lentilles, des haricots, des pâtes, du riz répond notamment le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) qui vient d'actualiser la liste des repères alimentaires dans le cadre du futur Programme national nutrition santé (PNNS), à la suite notamment des travaux de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses).

    Le HCSP établit une liste de 12 groupes alimentaires pour lesquels il fournit des repères alimentaires :

    • fruits et légumes sans pesticides si possible (au moins 5 par jour) ;
    • fruit à coque sans sel ajouté comme les amandes, les noix, les noisettes... (une petite poignée par jour) ;
    • légumineuses comme les lentilles, les pois chiches, les haricots... (au moins 2 fois par semaine) ;
    • produits céréaliers complets et peu raffinés comme le pain, les pâtes, le riz... (tous les jours) ;
    • produits laitiers comme le lait, les yaourts, les fromages (2 produits laitiers par jour) ;
    • viande et volaille (limiter la viande rouge, pas plus de 500 g/semaine, et privilégier la consommation de volailles) ;
    • poisson et fruits de la mer (2 fois par semaine dont un poisson gras) ;
    • charcuterie (ne pas dépasser 150 g/semaine) ;
    • matières grasses ajoutées (privilégier les huiles de colza, de noix et d'olive) ;
    • produits sucrés (limiter les boissons sucrées, les céréales du petit-déjeuner, les pâtisseries, les crèmes glacées...) ;
    • boissons (la seule recommandée étant l'eau) ;
    • sel (réduire la consommation).

      À noter :

    Le HCSP insiste également en particulier sur le fait de :

    • privilégier l'utilisation de produits bruts, les aliments de saison, les circuits courts et les modes de production respectueux de l'environnement ;
    • éviter les portions et les consommations excessives ;
    • ne pas consommer de façon régulière des produits grillés ou avec un brunissement (barbecue, toaster) ;
    • éviter le grignotage et la consommation de produits gras, salés et sucrés en dehors des principaux repas
  • Teinturiers-pressings : litiges (13 04 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 8 mars 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site de l’Institut National de la Consommation)

    http://www.conso.net/content/les-teinturiers-et-pressings

    Teinturiers et pressing : tout ce qu'il faut savoir en cas de litige

    Publié le 08 mars 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Chemise au col déchiré, pantalon perdu, couleurs délavées... L'Institut national de la consommation (INC) vous informe sur vos droits et vous aide à régler votre litige lorsque l'article que vous avez déposé dans un pressing ou une teinturerie a subi par exemple une détérioration au cours d'un nettoyage.

    L'INC a mis en ligne sur son site une fiche pratique et répond à vos questions :

    • Comment le consommateur doit être informé ? (affichage des prix : en vitrine, à l'intérieur du magasin ; qualité des services proposés : service économique, service « soigné », service « haute qualité » ; conditions particulières du service rendu et conditions en terme de responsabilité, d'indemnisation, de perte ou de détérioration des articles déposés...) ;
    • Quelles précautions prendre lors du dépôt du vêtement ? (vérification de la présence d'un étiquetage du vêtement : étiquette de composition, étiquette d'entretien ; vérification de l'état général du vêtement ; remise d'un ticket de dépôt ; paiement...) ;
    • Quelle est la responsabilité du teinturier ? (en cas de détérioration du vêtement ; en cas de détérioration en cours de nettoyage ; cas où le teinturier peut s'exonérer de sa responsabilité ; en cas de perte du vêtement...) ;
    • Comment réclamer ? (à l'amiable ; en justice...) ;
    • Vous avez oublié de reprendre vos vêtements : que faire ? (obligation du teinturier de conserver les articles pendant 1 an ; au-delà possibilité de vente aux enchères...) ;
    • Adresses utiles (Fédération française des pressings et blanchisseries...).

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus