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conseils - Page 43

  • Heure d’hiver : dimanche 29 octobre 2017 (23 10 2017)

    Nous vous proposons cette fiche pratique publiée le 3 octobre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12067?xtor=EPR-100.html

    Publié le 03 octobre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Le passage à l'heure d'hiver se déroulera dans la nuit du samedi 28 au dimanche 29 octobre 2017. À 3 heures du matin, il sera 2 heures.

    Le changement d'heure a été instauré en France à la suite du choc pétrolier de 1973-1974. Depuis 1998, les dates de changement d'heure ont été harmonisées au sein de l'Union européenne. Dans tous les pays membres, le passage à l'heure d'hiver s'effectue le dernier dimanche d'octobre et le passage à l'heure d'été le dernier dimanche de mars. Le prochain passage à l'heure d'été aura lieu dimanche 25 mars 2018 (à 2 heures du matin).

    L'objectif du changement d'heure est principalement de faire correspondre au mieux les heures d'activités avec les heures d'ensoleillement pour limiter l'utilisation de l'éclairage artificiel.

    heure hiver 2017.jpg

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de l'environnement

    Ministère chargé de l'environnement

    Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe)

  • Médiation familiale (09 10 2017)

    Nous proposons cette fiche pratique publiée le 7 septembre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11983?xtor=EPR-100.html

    La médiation familiale : pour quoi faire ?

    Publié le 07 septembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Vous êtes en situation de rupture, de séparation ou de divorce ? Connaissez-vous le dispositif de médiation familiale ? À quoi sert-il exactement ? Service-public.fr fait le point sur la question.

    La fiche pratique sur la médiation familiale vous présente sous forme de questions-réponses :

    • le principe du dispositif (il s'agit d'un temps d'écoute, d'échanges et de négociation qui doit permettre de prendre en compte les besoins de chacun) ;
    • les personnes concernées (parents en situation de séparation, grands-parents souhaitant garder des liens avec leurs petits-enfants, jeune adulte en rupture de communication avec sa famille...) ;
    • le rôle du médiateur (c'est un professionnel doté de compétences en psychologie et en droit, il ne juge pas et n'a pas de pouvoir de décision mais il aide à trouver une solution au conflit) ;
    • la procédure à suivre pour bénéficier de cette aide (si c'est vous qui faites la demande, il faut vous adresser à la caisse d'allocations familiales ou au tribunal de grande instance dont dépend votre domicile) ;
    • le déroulement de la médiation en 3 étapes (avec entretien d'information, entretiens de médiation et éventuellement accord qui peut être homologué par le juge) ;
    • le coût (l'entretien d'information est gratuit mais une participation vous est ensuite demandée).

      À noter :

    À titre expérimental jusqu'au 31 décembre 2019, une tentative de médiation est obligatoire avant toute demande de modification des décisions et conventions homologuées fixant les modalités de l'exercice de l'autorité parentale dans les tribunaux de grande instance de Bayonne, Bordeaux, Cherbourg-en-Cotentin, Évry, Nantes, Nîmes, Montpellier, Pontoise, Rennes, Saint-Denis et Tours.

    Toutefois, cette obligation ne s'applique pas si des violences ont été commises sur un parent ou sur l'enfant.

    Et aussi sur service-public.fr

  • Activité physique et sédentarité : synthèse des recommandations (07 10 2017)

    Nous proposons des extraits d’une étude (conduite par Madame Hélène Escalon  et le groupe de travail  « Vulgarisation  des recommandations activité physique – Sédentarité ») publiée dans la revue La Santé en action (n° 441 de septembre 2017) de l’Institut National de Prévention et d’éducation pour la Santé (cliquer ici pour accéder au texte de l'article)

    http://inpes.santepubliquefrance.fr/SLH/pdf/articles/441/activite-physique-sante-nouvelles-recommandations-synthese-vulgarisee.pdf

    Activité physique et sédentarité de quoi parle‑t‑on ?

    L’activité physique correspond à tous les mouvements de notre corps produits par la contraction des muscles et qui entraînent une dépense en énergie supérieure à celle du repos.

    Elle peut être effectuée dans le cadre du travail, des transports, des activités domestiques − à l’intérieur et à l’extérieur de chez soi − et des loisirs − incluant le sport et les exercices physiques réalisés sans encadrement. La sédentarité correspond aux situations passées en position assise ou allongée (en dehors de la période de sommeil et de repas), dans lesquelles les mouvements du corps sont réduits à leur minimum: regarder la télévision, travailler sur un ordinateur, jouer aux jeux vidéo, lire, téléphoner, être passager dans un véhicule, etc.

    Effets sur la santé de l’augmentation de l’activité physique et de la réduction de la sédentarité

    Les effets favorables sur la santé d’une pratique d’activité physique régulière permettant d’atteindre les recommandations ne compensent pas forcément les effets délétères de la sédentarité. C’est pourquoi il est recommandé à la fois de faire plus d’activité physique et de réduire son temps assis ou allongé.

    Cela permet d’améliorer la qualité de vie; la santé mentale, en prévenant les états d’anxiété et de dépression; le bien‑être ; le sommeil et, à plus long terme, de réduire le risque de maladies cardio‑vasculaires, de cancers : côlon, sein, poumon, endomètre; de diabète de type 2 ; d’obésité et de bronchopneumopathie chronique obstructive (insuffisance respiratoire). Enfin, la pratique régulière d’activité physique permet de diminuer le nombre de nouveaux cas par an des maladies d’Alzheimer et de Parkinson. En outre, chez les adultes, l’activité physique permet de réduire certains effets liés au vieillissement et de maintenir l’autonomie au cours de l’avancée en âge. Chez les enfants et les adolescents, la pratique régulière d’activité physique à impact (course, sauts) assure une bonne qualité osseuse, particulièrement lorsqu’elle est pratiquée lors de la pré‑puberté et de la puberté. D’une façon générale, l’activité physique et la réduction de la sédentarité préviennent la survenue du surpoids chez les enfants.

    Recommandations générales sur l’activité physique et la sédentarité

    Adopter un mode de vie actif, en augmentant son activité physique et en limitant sa sédentarité est recommandé, quel que soit l’âge. Différents types d’activité physique sont recommandés pour développer l’endurance, renforcer les muscles, améliorer la souplesse et l’équilibre. L’activité ne doit surtout pas se limiter au sport : se déplacer à pied ou à vélo, porter une charge, monter ou descendre les escaliers, être actif à son domicile sont des pratiques d’activité physique. Les repères de pratique présentés ci‑dessous représentent un idéal vers lequel il faut tendre. Toute quantité d’activité physique, même inférieure aux repères, procure un bénéfice pour la santé, et le dépassement des recom‑ mandations permet le plus souvent d’augmenter ce bénéfice.

    Recommandations pour les adultes

    • Activité physique d’endurance : pratiquer au moins 30 minutes d’activité physique d’endurance (intensité modérée et élevée), au moins cinq jours par semaine. Ces activités peuvent facilement s’intégrer dans la vie quotidienne lors de déplacements actifs : marche, vélo, ou dans le cadre d’activités de loisirs : promenades, footing, cyclisme, sport collectif, danse, natation, fitness, etc.
    • Activités de renforcement musculaire : en complément des activités physiques d’endurance, il est recommandé de réaliser une à deux fois par semaine des activités qui renforcent les muscles des bras, des jambes, des abdominaux, du dos. Elles peuvent être réalisées au cours de la vie quotidienne (montées et descentes d’escaliers, port de charges) ou en faisant des exercices.
    • Exercices de souplesse : faire des exercices développant la souplesse et la capacité à faire des mouvements amples de deux à trois fois par semaine, sous forme d’étirements maintenus de 10 à 30 secondes et répétés de deux à trois fois.
    • Limitation de la sédentarité: au travail, dans les transports, à la maison ou dans le cadre de loisirs, réduire son temps total quotidien passé assis ou allongé; marcher quelques minutes et s’étirer au bout de deux heures d’affilée en position assise ou allongée et faire quelques mouvements (rotation des épaules, du bassin, des chevilles, des poignets, des mains, de la tête).
  • Huiles essentielles : conseils d’usage (26 09 2017)

    Nous proposons cette fiche pratique publiée le 13 septembre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11997?xtor=EPR-100.html

    Huiles essentielles : quelques conseils pour les utiliser en toute sécurité

    Publié le 13 septembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Purifier l'air de la maison, éloigner les parasites, soulager les petits bobos... Les huiles essentielles peuvent être utilisées à des fins diverses (cosmétiques, denrées alimentaires, biocides...). Une mauvaise utilisation de ces produits peut s'avérer dangereuse. C'est la raison pour laquelle la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) donne des conseils pour utiliser les huiles essentielles en toute sécurité.

    L'huile essentielle est un produit odorant obtenu à partir d'une matière première végétale (la lavande, par exemple) et selon un procédé technique.

    Les huiles essentielles peuvent notamment être vendues à des fins cosmétiques, alimentaires et thérapeutiques.

    Les huiles essentielles peuvent par exemple être utilisées comme parfums d'ambiance, être appliquées sur la peau ou être inhalées.

    Concernant les gestes à adopter, la DGCCRF recommande de :

    • réaliser un test d'allergie avant d'utiliser une huile essentielle, pour les personnes allergiques ;
    • demander l'avis d'un professionnel avant d'ingérer une huile essentielle, en cas de doute ;
    • lire les notices d'utilisation des produits ;
    • veiller à la qualité des huiles essentielles, aux garanties annoncées sur leur provenance et au mode de culture dont elles sont issues ;
    • se laver les mains après un massage ou une application cutanée.

    Concernant les gestes à éviter, la DGCCRF conseille notamment de ne pas :

    • laisser les huiles essentielles à la portée des enfants ;
    • utiliser des huiles essentielles si l'on est un enfant, une femme enceinte ou allaitante, une personne âgée ou une personne souffrant de pathologies chroniques ;
    • appliquer des huiles essentielles sur les muqueuses, le nez, les yeux, les oreilles et les zones ano-génitales ;
    • chauffer une huile essentielle pour la diffuser.

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de l'économie

  • Prévention des cancers : agir au quotidien (22 09 2017)

     

    Nous proposons cette fiche de synthèse publiée le 14 septembre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12000?xtor=EPR-100.html

    Prévention des cancers : comment agir au quotidien ?

    Publié le 14 septembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Ne pas fumer, éviter l'alcool, manger mieux, bouger plus. Le ministère des Solidarités et de la Santé et l'Institut national contre le cancer (INCa) rappellent qu'en modifiant certains de nos modes de vie et de nos comportements, 40 %des cancers pourraient être évités.

    Les principaux facteurs de risque sont :

    • le tabac responsable de 80 % des cancers du poumon mais qui est aussi un facteur favorisant d'autres types de cancers notamment des voies aérodigestives supérieures (bouche, larynx, pharynx, œsophage) ;
    • l'alcool qui augmente les risques de développer des cancers des voies aérodigestives supérieures mais aussi du côlon-rectum, du sein et du foie ;
    • une alimentation déséquilibrée, les aliments favorisant les risques de cancer étant principalement liés à l'excès de viandes rouges, de charcuteries, d'aliments gras, salés ou très sucrés (c'est pourquoi les fruits et les légumes qui jouent un rôle protecteur grâce à leur richesse en fibres, en vitamines et en minéraux antioxydants sont recommandés tout comme les céréales complètes et les légumes secs) ;
    • le manque d'activité physique, une activité physique régulière d'au moins 30 minutes par jour (monter des escaliers, marcher, faire du vélo, nager) permettant de diminuer le risque de cancer.

    Les autres facteurs de risque sont ceux liés à une exposition excessive aux rayonnements UV, à certains virus ou bactéries, au contact avec certains produits chimiques (amiante, solvants...) ou encore à une exposition à certains polluants (particules fines, résidus d'hydrocarbure...) ou aux rayonnements (radon, rayons X).

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de la santé

    Institut national du cancer (INCa)

    Prévention des cancers : comment agir au quotidien ?

    Publié le 14 septembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    prevention cancer.png

    Ne pas fumer, éviter l'alcool, manger mieux, bouger plus. Le ministère des Solidarités et de la Santé et l'Institut national contre le cancer (INCa) rappellent qu'en modifiant certains de nos modes de vie et de nos comportements, 40 %des cancers pourraient être évités.

    Les principaux facteurs de risque sont :

    • le tabac responsable de 80 % des cancers du poumon mais qui est aussi un facteur favorisant d'autres types de cancers notamment des voies aérodigestives supérieures (bouche, larynx, pharynx, œsophage) ;
    • l'alcool qui augmente les risques de développer des cancers des voies aérodigestives supérieures mais aussi du côlon-rectum, du sein et du foie ;
    • une alimentation déséquilibrée, les aliments favorisant les risques de cancer étant principalement liés à l'excès de viandes rouges, de charcuteries, d'aliments gras, salés ou très sucrés (c'est pourquoi les fruits et les légumes qui jouent un rôle protecteur grâce à leur richesse en fibres, en vitamines et en minéraux antioxydants sont recommandés tout comme les céréales complètes et les légumes secs) ;
    • le manque d'activité physique, une activité physique régulière d'au moins 30 minutes par jour (monter des escaliers, marcher, faire du vélo, nager) permettant de diminuer le risque de cancer.

    Les autres facteurs de risque sont ceux liés à une exposition excessive aux rayonnements UV, à certains virus ou bactéries, au contact avec certains produits chimiques (amiante, solvants...) ou encore à une exposition à certains polluants (particules fines, résidus d'hydrocarbure...) ou aux rayonnements (radon, rayons X).

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de la santé

    Institut national du cancer (INCa)

  • Devenir bénévole (21 09 2017)

    Nous proposons cette fiche pratique publiée le 12 septembre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/associations/actualites/A11970?xtor=EPR-100.html

    Devenir bénévole : quelle démarche, quels droits, quelle formation ?

    Publié le 12 septembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Vous avez du temps libre et souhaitez vous engager auprès d'une association ? Retrouvez sur Service-public.fr et dans le guide du bénévole les informations utiles avant de choisir votre association.

    Un bénévole est une personne qui s'engage librement pour mener une action non salariée en direction d'autrui en dehors de son temps professionnel et familial.

    Le bénévolat est ouvert à tous, quel que soit l'âge ou le niveau de qualification, que l'on soit en activité ou sans emploi.

    Il se caractérise par l'absence de tout lien de subordination juridique. Le bénévole est libre de mettre un terme à son engagement à tout moment sans procédure particulière. Il doit cependant respecter les statuts de l'association auprès de laquelle il se porte volontaire.

    Le bénévole ne reçoit aucune rémunération (ni en espèces, ni sous forme d'avantages en nature). Toutefois, lorsqu'il engage des frais pour le compte d'une association, celle-ci peut les lui rembourser sur justificatifs.

    Plusieurs congés sont prévus à destination des bénévoles :

    • le congé de solidarité internationale ouvert, sous certaines conditions, aux salariés participant à une mission à l'étranger pour le compte d'une association à but humanitaire ;
    • le congé de représentation ouvert, sous certaines conditions, aux salariés et agents publics représentants d'association pour participer à des instances consultatives auxquelles leur association prend part ;
    • le congé sabbatique ou la disponibilité pour convenances personnelles ouverts, sous certaines conditions, respectivement aux salariés et aux fonctionnaires qui souhaitent mener un projet personnel.

    À l'occasion de la rentrée de septembre, des forums des associations ont généralement lieu dans les communes, c'est l'occasion de prendre contact avec elles. Les associations qui disposent d'un site internet font connaître leur besoin et diffusent leurs offres de mission. Il existe également des sites internet qui recensent des offres de mission par domaines d'activités.

      À noter :

    Vous pouvez aussi choisir de vous engager en tant que volontaire associatif mais vous serez alors soumis à un contrat avec l'association pour laquelle vous vous engagez et vous percevrez une indemnité variable selon le temps consacré à votre mission.

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Sénat

    Ministère chargé de la vie associative