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conseils - Page 39

  • Internet : mot de passe (28 05 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 11 mai 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12594?xtor=EPR-100.html

    Internet : comment choisir un bon mot de passe ?

    Publié le 11 mai 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Sur internet, quand il s'agit de consulter vos messages, d'acheter un produit ou de vérifier votre compte bancaire, on vous demande systématiquement un mot de passe. Or, ces mots de passe sont souvent faibles d'autant que certains internautes utilisent le même mot de passe sur plusieurs comptes. Face à ce constat, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) vous propose un outil en ligne pour générer un mot de passe solide.

    Pour cela, il vous faut tout simplement choisir une phrase que vous mémoriserez facilement contenant au moins :

    • un nombre ;
    • une majuscule ;
    • un signe de ponctuation ou un caractère spécial (dièse, euro...) ;
    • une douzaine de mots.

    L'outil en ligne de la Cnil génère alors un mot de passe qui reprend les premières lettres de chaque mot avec les nombres et les signes de ponctuation ou caractères spéciaux.

    Ainsi, par exemple, la phrase « SP, c'est du solide depuis plus de 15 ans ! » donnerait comme mot de passe :

    S,c'edsdpd15a!

    À savoir :

    Pour renforcer la robustesse de votre mot de passe, la Cnil conseille également :

    • d'éviter de choisir un nombre compris entre 1950 et 2049 ;
    • d'ajouter une ponctuation ou un caractère spécial ;
    • d'utiliser un émoticône pour remplacer le mot correspondant (prendre :-) à la place du mot « sourire » par exemple).

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil)

    Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI)

    Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil)

    Internet : mot de passe

     

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 11 mai 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

     

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12594?xtor=EPR-100.html

    Internet : comment choisir un bon mot de passe ?

    Publié le 11 mai 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Sur internet, quand il s'agit de consulter vos messages, d'acheter un produit ou de vérifier votre compte bancaire, on vous demande systématiquement un mot de passe. Or, ces mots de passe sont souvent faibles d'autant que certains internautes utilisent le même mot de passe sur plusieurs comptes. Face à ce constat, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) vous propose un outil en ligne pour générer un mot de passe solide.

    Pour cela, il vous faut tout simplement choisir une phrase que vous mémoriserez facilement contenant au moins :

    • un nombre ;
    • une majuscule ;
    • un signe de ponctuation ou un caractère spécial (dièse, euro...) ;
    • une douzaine de mots.

    L'outil en ligne de la Cnil génère alors un mot de passe qui reprend les premières lettres de chaque mot avec les nombres et les signes de ponctuation ou caractères spéciaux.

    Ainsi, par exemple, la phrase « SP, c'est du solide depuis plus de 15 ans ! » donnerait comme mot de passe :

    S,c'edsdpd15a!

    À savoir :

    Pour renforcer la robustesse de votre mot de passe, la Cnil conseille également :

    • d'éviter de choisir un nombre compris entre 1950 et 2049 ;
    • d'ajouter une ponctuation ou un caractère spécial ;
    • d'utiliser un émoticône pour remplacer le mot correspondant (prendre :-) à la place du mot « sourire » par exemple).

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil)

    Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI)

    Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil)

  • Nutri-score : intérêt (25 05 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 11 mai 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12593?xtor=EPR-100.html

    Le Nutri-score, à quoi ça sert ?

    Publié le 11 mai 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    nutriscore.jpg

    Céréales du petit déjeuner, charcuterie, plats cuisinés, frites surgelées, produits laitiers... Quand vous faites vos courses, vous avez souvent des difficultés à comprendre la valeur nutritionnelle des produits alimentaires. Mais savez-vous que, sur la face avant de certains produits alimentaires, vous pouvez vous fier à la signalétique d'étiquetage nutritionnel « Nutri-score » mise en place récemment ?

    Cet étiquetage  « Nutri-score » repose sur le volontariat des industries de l'agroalimentaire et des distributeurs avec, à ce jour, plus de 50 entreprises de l'agro-alimentaire et de la grande distribution qui se sont engagées à apposer ce logo sur leurs produits.

    « Nutri-score » vous permet d'obtenir une information lisible et compréhensible sur la qualité nutritionnelle globale des produits alimentaires. Attention néanmoins, cet étiquetage ne s'applique notamment pas sur :

    • les produits non transformés qui comprennent un seul ingrédient ou une seule catégorie d'ingrédients (fruits ou légumes frais, viandes crues découpées, miel...) ;
    • les eaux.

    « Nutri-score » fonctionne sur une échelle de 5 couleurs :

    • vert foncé associé à la lettre A (meilleure qualité nutritionnelle) ;
    • vert clair associé à la lettre B ;
    • orange clair associé à la lettre C ;
    • orange moyen associé à la lettre D ;
    • orange foncé associé à la lettre E (moins bonne qualité nutritionnelle).

    Cet indice est calculé de façon identique pour tous les aliments sauf les fromages, les matières grasses végétales ou animales et les boissons.

      À noter :

    « Nutri-score » ne s'applique pas aux aliments infantiles de 0 à 3 ans.

      À savoir :

    La mise en place de ce dispositif fait suite à la loi du 26 janvier 2016 portant sur la modernisation du système de santé avec pour objectif un système d'étiquetage nutritionnel permettant au consommateur de faciliter son choix au moment de l'achat de tel ou tel produit alimentaire.

    Textes de référence

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Santé publique France

    Ministère chargé de la santé

  • Garantie des produits informatiques (24 05 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 3 mai 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ171102031.html

    Question écrite n° 02031 de M. Jean Louis Masson (sénateur de la Moselle)

    Jean Louis Masson attire l'attention de M. le ministre de l'économie et des finances sur les enseignes qui vendent des produits informatiques dont la garantie annuelle du constructeur est d'un an mais qui proposent aussi, pour parfaire la sécurité du bien vendu, des extensions d'assurance pour trois ans. Le consommateur se croit alors protégé pour quatre ans (un an constructeur et trois ans de garantie extension).

     

    Or souvent les vendeurs font apparaître sur les factures, la garantie d'un an puis les trois ans de l'extension payée, mais dans les faits ils ne prennent en compte que trois ans à la date de la vente et de la facture. Il souhaite savoir si la perte de l'année de garantie du constructeur est légale en situation d'extension d'assurance payée par le consommateur.

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministre de l'économie et des finances publiée dans le JO Sénat du 03/05/2018 - page 2163

     

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  • Justice : procédure de comparution sur reconnaissance de responsabilité (17 05 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 19 avril 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ171202389.html

    Question écrite n° 02389 de M. Jean Louis Masson (sénateur de la Moselle)

    Jean Louis Masson expose à Mme la garde des sceaux, ministre de la justice le fait que l'article 420-1 du code de procédure pénale régissant le sort des parties civiles dans le cadre de la procédure de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) ne permet que deux types de réparation à savoir soit la restitution d'objets saisis, soit des dommages-intérêts.

     

    De ce fait, cette procédure de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité ne permet pas de prononcer certaines mesures comme par exemple la sanction de construction illicite ou l'enlèvement de dépôts sauvages de déchets et matériaux.

     

    Il en résulte que les communes qui se constituent partie civile pour des faits de constructions illicites ou de dépôts ou décharges sauvages, dans le cadre d'une procédure de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) sont déboutées de leurs demandes. Il lui demande si la législation pourrait être adaptée en la matière.

     

    Réponse du Ministère de la justice publiée dans le JO Sénat du 19/04/2018 - page 1936

     

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  • Sédentarité et santé (08 05 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 19 avril 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180102915.html

    Question écrite n° 02915 de M. Jean-Pierre Decool (sénateur du Nord)

    Jean-Pierre Decool attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé à propos des effets sur la santé de la non activité physique. L'observatoire national de l'activité physique et de la sédentarité révèle qu'une sédentarité de 3 heures par jour est déjà responsable de 3,8 % des décès. Ces chiffres sont confirmés par d'autres études et témoignages selon lesquels, la sédentarité est reconnue à partir de 7 heures en position assise dans la journée et que pour en compenser les effets, il faudrait de 1H30 à 2 heures d'activités pas jour. La situation assise est donc synonyme d'accélérateur d'augmentation de la mortalité.

     

    Or, d'autres études révèlent l'aggravation du phénomène de sédentarisation auprès des adolescents. Selon l'organisation mondiale de la santé, seul un tiers des adolescents de 11 à 17 ans pratique une heure par jour d'activité physique. Le phénomène est identique pour les adultes de plus de 65 ans vers lesquels il est conseillé de passer une heure par jour d'activités physiques. 

    Il lui demande si face, à l'aggravation de ce phénomène qui deviendrait selon certains scientifiques, un facteur de risque collectif dépassant le tabagisme, il ne serait pas opportun de sensibiliser la population par une campagne publique. 

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 19/04/2018 p. 1963

     

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  • Abus de faiblesse : prévention (07 05 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 18 avril 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12549?xtor=EPR-100.html

    Abus de faiblesse : comment le prévenir ?

    Publié le 18 avril 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Souscription d'un abonnement Internet par une personne qui ne possède pas d'ordinateur, échange de pièces prétendument usées sur une voiture, remplacement d'un réfrigérateur alors qu'il suffisait de changer une ampoule... L'institut national de la consommation (INC) répond aux questions que vous pouvez vous poser en cas d'abus de faiblesse.

    L'INC publie en ligne un dossier pratique de questions/réponses : qu'est-ce que l'abus de faiblesse ? Comment le reconnaître ? Quelles sont les précautions à prendre pour éviter cette situation ?

    • Méfiez-vous des fausses qualités de votre interlocuteur (n'hésitez pas à demander la présentation de la carte professionnelle attestant de cette qualité) ;
    • En cas de visite sollicitée d'un démarcheur, faites-vous accompagner et ne signez rien (faites-vous accompagner par un membre de votre famille, un ami, un voisin, etc. qui sera témoin des échanges) ;
    • Si une panne survient à votre domicile, faites appel à un professionnel de votre quartier qui a pignon sur rue, un artisan conseillé par le bouche-à-oreille, par votre gardien d'immeuble, votre syndic de copropriété, par votre assureur ou son assistance ;
    • Si vous êtes sollicité par téléphone et que vous ne connaissez pas votre interlocuteur, ne donnez aucune information personnelle du type date de naissance, situation de propriétaire ou locataire, numéro de compte bancaire ou de carte bancaire...) ;
    • Si vous souhaitez limiter les sollicitations par téléphone, vous pouvez vous inscrire sur la liste d'opposition au démarchage téléphonique Bloctel. Cette démarche est gratuite. Elle vous permettra de recevoir moins d'appels ;
    • Si vous êtes aidant ou si vous souhaitez aider un proche, vous pouvez leur rappeler les précautions à prendre concernant les visites de démarcheurs ou lors d'appels téléphoniques.

      À noter :

    Le délit d'abus de faiblesse du code de la consommation est constitué chaque fois qu'une personne profite de la faiblesse physique ou psychique d'une autre, ou de son ignorance, pour lui faire souscrire un engagement généralement inadapté à ses besoins.

    Pour en savoir plus

    Institut national de la consommation (INC)