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conseils - Page 37

  • Automobiles : Contrôle technique et contre-visite (27 07 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 21 juin 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12698?xtor=EPR-100.html

    Dois-je faire la contre-visite de ma voiture dans le garage qui a effectué le contrôle technique ?

    Publié le 21 juin 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    La question : « Je viens d'effectuer le contrôle technique de ma voiture et le résultat est : Défavorable pour défaillances majeures. Je vais donc devoir faire procéder à des réparations puis à une contre-visite. Je n'ai pas eu un bon contact avec les techniciens lors du 1er contrôle, suis-je obligé de retourner dans le même centre ? »

    La réponse de service-public.fr : « Vous pouvez choisir un centre de contrôle différent de celui qui a effectué le contrôle technique périodique. »

    Vous pouvez présenter votre véhicule pour la contre-visite dans le centre de contrôle de votre choix, parmi les 6 000 centres agréés par l'État répartis sur l'ensemble du territoire, et dont vous trouverez la liste dans les préfectures, les sous-préfectures et sur le site de l'Organisme technique central du contrôle technique des véhicules.

    Dans votre cas (avis défavorable pour défaillances majeures), vous devez veiller à ne pas dépasser le délai maximum de 2 mois à compter de la date du contrôle technique périodique défavorable. Si ce délai est dépassé, le véhicule sera soumis à un nouveau contrôle technique périodique.

    Les documents à présenter en contre-visite sont l'original du procès-verbal de contrôle technique périodique défavorable et le certificat d'immatriculation du véhicule.

    À l'issue de la contre-visite, le contrôleur vous remettra le procès-verbal de contre-visite, apposera un timbre mentionnant la date de validité du contrôle sur le certificat d'immatriculation et une vignette sur le pare-brise, mais sachez que cette dernière n'est pas une preuve de contrôle.

      À savoir :

    Le défaut de contrôle technique ou le défaut de contre-visite constitue une infraction au code de la route passible d'une amende pouvant aller jusqu'à 750 € (en règle générale, il s'agit d'une amende forfaitaire de 135 €).

    Cette infraction n'entraîne pas de suppression de point sur le permis de conduire.

    Le véhicule peut être immobilisé par les forces de l'ordre jusqu'à ce que la visite technique ait été effectuée. Une fiche de circulation provisoire permettant de faire procéder au contrôle technique est alors délivrée.

    Le véhicule peut être conduit à la fourrière s'il n'a pas subi les contrôles techniques obligatoires ou si les réparations n'ont pas été exécutées.

     

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de l'économie

    Ministère chargé de l'environnement

    Ministère chargé de l'intérieur

    Organisme technique central du contrôle technique des véhicules

  • Don du Sang (19 07 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 13 juin 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12257?xtor=EPR-100.html

    Don du sang : qui, comment, où, quand ?

    Publié le 13 juin 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Mais, au fait, qui peut donner et comment ? Où cela peut-il se faire et quand ? Pour tout savoir, retrouvez les informations utiles sur le site du don de sang proposé par l'Établissement français du sang (EFS).

    Qui peut donner son sang ?

    Pour donner son sang, il faut :

    • avoir entre 18 et 70 ans (les plus de 60 ans étant soumis à l'approbation d'un médecin de collecte de l'EFS) ;
    • peser au minimum 50 kg et être en bonne santé.

    Toutefois, afin d'assurer la sécurité des donneurs et des receveurs, il existe des cas pour lesquels il n'est pas possible de donner son sang.

     

    Comment se passe le don du sang ?

    • Principe : entre 420 à 480 ml de sang sont prélevés, en fonction du poids du donneur ;
    • Durée : l'acte lui-même dure 8 à 10 minutes. Si l'on ajoute le temps de l'entretien pré-don, puis le temps de repos et de collation qui suit le prélèvement, le don de sang prend environ 45 minutes à 1 heure ;
    • Délais : il faut respecter un délai d'au moins 8 semaines entre 2 dons de sang ;
    • Fréquence : une femme peut donner son sang maximum 4 fois par an, un homme 6 fois par an.

    À savoir :

    En France, 4 valeurs fondent le don de sang :

    • l'anonymat : seul l'EFS connaît l'identité du donneur et du receveur, ainsi que les données le concernant ;
    • le volontariat : le don du sang est un acte libre, accompli sans aucune contrainte ;
    • le non-profit : le sang et les produits sanguins ne peuvent être source de profit ;
    • le bénévolat : le don de sang est bénévole et ne peut être rémunéré sous quelque forme que ce soit.

    Où et quand donner son sang ?

    Le don du sang peut être réalisé à tout moment dans un lieu fixe de collecte. Pour cela, l'EFS propose un module de recherche en ligne des centres les plus proches (centres fixes ou centres mobiles de don du sang, de plasma ou de plaquette).

    D'autres questions ?

    Traitements médicamenteux, soins dentaires, grossesse, tatouage, vie privée... : que faut-il savoir exactement avant de donner son sang ? Le site de l'EFS vous détaille toutes les contre-indications .

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Établissement français du sang

    Établissement français du sang

    Établissement français du sang

    Organisation mondiale de la Santé (OMS)

  • Gare aux tiques (14 06 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 15 mai 2018 sur le site de l’ANSES (cliquer ici pour accéder au site de l'ANSES)

    https://www.anses.fr/fr/content/avec-le-retour-des-beaux-jours-gare-aux-tiques.html

    Avec le retour des beaux jours, gare aux tiques !

    Le retour des beaux jours est particulièrement propice aux balades en milieux naturels, notamment en forêt et aux activités dans les jardins. Il est important de rappeler les précautions pour limiter le risque de piqûre de tiques qui sont aussi de saison. Particulièrement actives au printemps et à l’automne, les tiques restent le plus important vecteur d’agents pathogènes responsables de maladies infectieuses en Europe. Une simple piqûre peut entraîner la transmission de la bactérie responsable de la maladie de Lyme, principale maladie liée aux tiques en France. Rappel des bons réflexes pour se protéger.

     

    Les tiques sont des acariens que l’on retrouve principalement en forêt et aussi dans les jardins au printemps et en automne. En Europe, elles sont le principal vecteur d’agents pathogènes responsables de maladies infectieuses, affectant les animaux et les hommes. En se nourrissant du sang des animaux ou des humains sur lesquels elles se fixent, elles peuvent s’infecter en prélevant des agents pathogènes (bactéries, virus, parasites). Elles transmettent ensuite ces agents pathogènes en se fixant sur d’autres hôtes.

    Vigilance face au risque de la maladie de Lyme

    En France, la principale maladie humaine liée aux tiques est la maladie de Lyme, provoquée par une bactérie appartenant au groupe Borrelia burgdorferi. En cas d’infection, quelques jours après la piqûre de tique, un érythème migrant (halo rouge caractéristique sur la peau) apparaît le plus souvent autour du point de piqûre et s’étend de façon circulaire. A ce stade, un traitement antibiotique permet d’enrayer la maladie. En l’absence de traitement, la maladie peut provoquer des atteintes cutanées, musculaires, neurologiques et articulaires pouvant être très invalidantes.

    Face à ce risque, quelques réflexes permettent de se protéger :

    • Utilisez des répulsifs, en privilégiant ceux disposant d’une autorisation de mise sur le marché et en respectant leurs conditions d’emploi (l’ensemble de ces informations figurent sur l’étiquette, l’emballage et/ou la notice des produits).
    • Portez des chaussures fermées et des vêtements couvrants et de couleur claire (afin de mieux repérer les tiques sur la surface du tissu).
    • Évitez de marcher au milieu des herbes hautes, des buissons et des branches basses et privilégiez les chemins balisés.
    • Inspectez-vous au retour de vos promenades et détachez immédiatement les tiques fixées à l’aide d’un tire-tique (n’utilisez en aucun cas de l’éther ou tout autre produit).
    • En cas de piqûre, désinfectez bien la plaie.
    • En cas d’apparition de symptômes inexpliqués ou d’un érythème migrant suite à une piqûre de tique, consultez immédiatement votre médecin.

     

    Une application pour comprendre et prévenir la maladie de Lyme et les autres maladies transmissibles par les tiques

    Dans le cadre d’un projet de recherche CiTIQUE, les chercheurs de l’Anses, de l’Inra et de l’Ecole nationale vétérinaire de Maisons-Alfort ont développé le site web et l’application smartphone Signalement-Tique en collaboration avec le ministère de la Santé et le CNR Borrelia de Strasbourg.

    Cette application permet aux promeneurs de signaler une piqûre de tique et de recevoir des conseils en cas de piqûres. Grâce à cette application et aux signalements reçus, des cartes de présence de tiques sont élaborées permettant ainsi la mise en place d’actions de prévention ciblées.

    Cette collecte de données permet également, grâce à la mobilisation des citoyens et des chercheurs, l’acquisition de connaissances pour mieux comprendre et prévenir la maladie de Lyme et les autres maladies provoquées par les agents pathogènes transmis par les tiques, notamment dans le cadre du projet de recherche CiTIQUE porté par l’Anses, l’Inra et l’Université de Lorraine.

    L’application peut être téléchargée sur les plateformes AppStore et PlayStore.

    Produits répulsifs contre les tiques : privilégier les produits disposant d’une autorisation de mise sur le marché

    Dans le cadre du plan national de lutte contre la maladie de Lyme et les maladies liées aux tiques, l’Anses a évalué l’efficacité des produits biocides répulsifs contre les tiques disponibles sur le marché. En raison de la mise en œuvre progressive du règlement biocides qui régit les produits répulsifs, des produits disponibles sur le marché ne sont pas encore soumis à autorisation de mise sur le marché et n’ont par conséquent pas encore fait l’objet d’une évaluation.

    L’Anses recommande dans ce contexte de privilégier les produits répulsifs disposant d’une autorisation de mise sur le marché, ce qui est indiqué  sur l’étiquette, l’emballage et/ou la notice du produit et garantit, dans les conditions d’emploi préconisées une protection efficace contre les tiques et l’absence d’effets nocifs pour la santé humaine et l’environnement

     

  • Soins palliatifs (06 06 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2838803/fr/soins-palliatifs-maintien-des-patients-a-domicile-directives-anticipees.html

    Les soins palliatifs, débutés tôt dans la prise en charge de la maladie, améliorent la qualité de vie, le contrôle des symptômes et, dans certains cas, peuvent augmenter l’espérance de vie. 
    Par ailleurs, 80 % des patients en fin de vie voudraient mourir là où ils résident. Or, les hospitalisations sont fréquentes. L’anticipation et la préparation de la sortie des patients de l’hôpital sont donc essentielles pour tenir compte de leur désir de finir leur vie là où ils le souhaitent.

    La HAS a réalisé un document sur la démarche palliative et deux fiches parcours sur la sortie d'hospitalisation et le maintien à domicile des patients qui nécessitent des soins palliatifs. Explications du Dr Caroline Latapy* (HAS) recueillies par Arielle Fontaine (HAS) 

     

    La HAS a publié 3 documents sur les soins palliatifs, à qui s’adressent-ils ?

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  • Moustique-tigre (04 06 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 3 mai 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12581?xtor=EPR-100.html

    Attention au moustique tigre ! Publié le 03 mai 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Alors que le moustique tigre aedes albopictus est désormais présent dans 42 départements de métropole, le ministère des Solidarités et de la Santé rappelle un certain nombre de gestes simples pour éviter la prolifération de ce petit moustique de couleur blanche et noire qui est un vecteur de certaines maladies (chikungunya, dengue, zika).

    moustique tigre.jpg

    Parmi les gestes à connaître, il est recommandé en particulier :

    • d'éliminer les endroits où l'eau peut stagner ;
    • de changer l'eau des plantes et des fleurs une fois par semaine et si possible supprimer les soucoupes des pots de fleurs ;
    • de vérifier le bon écoulement des eaux de pluie et des eaux usées et nettoyer régulièrement gouttières, regards, caniveaux et drainage ;
    • de couvrir les réservoirs d'eau avec un voile moustiquaire ou un tissu ;
    • de traiter l'eau des piscines (eau de javel ou galet de chlore...).

      À savoir :

    Le ministère recommande également aux voyageurs à destination d'une zone où le chikungunya, la dengue et le zika sont présents (Antilles, Guyane, Réunion, Mayotte, Polynésie française, Amérique du sud, Asie du sud-est...) de se protéger au mieux contre les piqûres en appliquant sur la peau des produits anti-moustiques de jour comme de nuit mais aussi notamment en portant des vêtements longs et amples.

      À noter :

    Si vous pensez avoir observé dans votre commune un moustique tigre, vous pouvez également le signaler aux autorités sanitaires sur www.signalement-moustique.fr .

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de la santé

  • Cancer : diagnostic précoce (30.05.2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note de synthèse publiée le 25 avril 2018 sur le site Santé Publique France (cliquer ici pour accéder au site Sante publique)

    http://santepubliquefrance.fr/Accueil-Presse/Tous-les-communiques/Nouvelles-donnees-sur-les-cancers-du-sein-du-colon-du-rectum-a-quel-stade-sont-ils-diagnostiques-en-France.html

    Nouvelles données sur les cancers du sein, du côlon, du rectum : à quel stade sont-ils diagnostiqués en France ?

    Santé publique France, l’Institut national du cancer (INCa), le Réseau français des registres des cancers (réseau Francim) et le Service de biostatistique des Hospices civils de Lyon (HCL) publient la première estimation nationale de la répartition des stades au diagnostic des cancers du sein, du côlon et du rectum. Ce rapport inédit livre des informations sur le degré de sévérité de ces cancers lors du diagnostic. Il permettra d’améliorer le suivi épidémiologique des cancers les plus fréquents pour lesquels un diagnostic précoce est possible et d’adapter les politiques publiques de prévention et de lutte contre le cancer. Les premières conclusions montrent que 60 % des cancers du sein, 44 % des cancers du côlon et 47 % des cancers du rectum sont diagnostiqués à un stade précoce en France et que cette précocité est davantage constatée chez les personnes de moins de 75 ans.

    Des données essentielles pour accompagner les politiques publiques

     

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