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conseils - Page 34

  • Train : objets perdus/trouvés (18 01 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 3 janvier 2019 sur le site du Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13136?xtor=EPR-100.html

    Objets perdus dans un train, objets trouvés dans une gare... Que faire ?

    Publié le 03 janvier 2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Comment faire lorsque vous avez perdu un objet ou au contraire lorsque vous avez trouvé un objet dans un train ou une gare ? Tout n'est pas toujours perdu !

    Objets perdus

    Vous pouvez déclarer un objet perdu :

    • en ligne J'ai perdu quelque chose  ;
    • par téléphone en contactant le centre d'appels  « Objets Trouvés » (0892 35 35 35 ou 3635 puis #22* 7/7j de 08h à 20h) 0,40 € / minute hors surcoût éventuel de votre opérateur ;
    • ou en gare.

    Objets trouvés

    Les objets trouvés peuvent être déposés en gare (espace  « Objets Trouvés » ).

    Dès réception, ils sont enregistrés dans la base de données nationale, et seront conservés un mois dans la gare où l'article a été récupéré ou dans celle d'arrivée pour les objets oubliés dans le train. Les matières périssables ou dangereuses sont immédiatement détruites.

    La base de données nationale des objets trouvés dans les trains et les gares compare en temps réel les objets enregistrés par les agents SNCF en gare et les objets déclarés perdus par les clients. Les recherches se poursuivent pendant un mois maximum. À défaut de restitution au propriétaire dans un délai d'un mois, l'objet est remis à l'Administration des Domaines, cédé à une Association d'Utilité Publique ou détruit.

    Conseils avant un voyage

    Pensez à personnaliser, par tous moyens à votre convenance, vos appareils électroniques, informatiques, appareils photo... Un simple autocollant, badge, porte-clés, ... ou tout signe particulier permet de faire la différence entre deux objets en tout point semblables comme les téléphones. Étiquetez vos bagages. Pour les doudous de vos enfants, pensez à inscrire le nom et prénom de l'enfant sur l'étiquette de l'objet.

    Pour en savoir plus

    Société nationale des chemins de fer français (SNCF)

    Société nationale des chemins de fer français (SNCF)

  • Obsèques et sépulture (10 01 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 22 octobre 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12981?xtor=EPR-100.html

    Obsèques et sépultures : ce qu'il faut savoir

    Publié le 22 octobre 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Déclaration de décès, obsèques, inhumation, crémation... Quelles sont les formalités à accomplir en cas de décès d'un proche ? Pour vous aider, Service-public.fr vous propose ses fiches pratiques.

    Lors du décès d'un proche, les premières démarches doivent être effectuées rapidement : dans les 24 heures pour le constat et la déclaration du décès, dans les 6 jours pour les obsèques. Si le défunt a indiqué ses volontés sur l'organisation des funérailles, celles-ci doivent être respectées, s'il n'a laissé aucune indication, la décision revient à ses proches. En cas de désaccord sur l'organisation des funérailles , seul le juge peut trancher. Afin d'en savoir plus sur ces démarches, retrouvez les fiches pratiques proposées sur Service-public.fr.

    La déclaration de décès

    La déclaration de décès est une démarche obligatoire qui doit être faite à la mairie du lieu du décès, dans les 24 heures qui suivent sa constatation par un médecin. Celui-ci établit un certificat de décès.

    L'inhumation

    L'inhumation consiste à placer le corps du défunt dans une tombe. L'enterrement a lieu le plus souvent dans un cimetière, 6 jours au plus après le décès, sauf exceptions. Il peut avoir lieu dans le cimetière de la commune où le défunt habitait, dans celui de la commune où il est mort, dans le cimetière où est situé le caveau de famille ou bien dans une propriété privée avec l'autorisation du préfet.

    La crémation

    La crémation est une technique funéraire visant à brûler et réduire en cendres le corps d'un être humain décédé. La crémation est réalisée dans un crématorium, 6 jours au plus après le décès, sauf exceptions.

      À savoir :

    Vous souhaitez disperser les cendres du défunt dans la nature ? Une déclaration à la mairie du lieu de naissance du défunt est nécessaire : l'identité de la personne, la date et le lieu de dispersion des cendres y seront enregistrés.

    Assurez-vous que les cendres ne se répandront pas, même partiellement, sur la voie publique ou dans un lieu public (stade, square, jardin public, etc.). La dispersion est autorisée en pleine mer, mais peut être interdite sur les cours d'eau (renseignez-vous auprès de la mairie de la commune concernée).

    Les frais d'obsèques

    Les frais d'obsèques sont prélevés sur l'actif successoral, c'est-à-dire sur les comptes bancaires de la personne décédée. Si le solde de ces comptes n'est pas suffisant, les héritiers devront participer.

    Les frais d'obsèques d'un parent sont déductibles du revenu imposable sous réserve de remplir certaines conditions.

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de l'économie

    Ministère chargé de l'économie

    Institut national de la consommation (INC)

  • Vente à distance : rétractation (03 01 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 28 juin 2017 sur le site du ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du ministère de l’Economie)

    https://www.economie.gouv.fr/particuliers/droit-delai-retractation?xtor=ES-39-[BI_101_20181226]-20181226-[https://www.economie.gouv.fr/particuliers/droit-delai-retractation]-472132.html

    Vente à distance : tout savoir sur le délai de rétractation par Bercy Infos, le 28/06/2017 – 

    Litiges

    Lorsque vous achetez par Internet ou par téléphone, vous avez le droit de changer d’avis pendant 14 jours. Quelles sont les démarches à faire pour obtenir le remboursement ? Quelles sont les conditions ? Toutes nos réponses.

    Qu’est-ce que le délai de rétractation ?

    Le délai de rétractation est un droit renforcé par la loi-Consommation qui permet aux consommateurs de disposer d’un délai de 14 jours pour changer d’avis en cas d’achat par Internet ou par téléphone.

    Attention ! Le délai de rétractation n’est pas applicable pour certains contrats précisés dans l'article L221-28 du code de la Consommation.

     

    Liste des contrats pour lesquels le droit de rétractation ne peut pas être exercé :

    Lire la suite

  • Achats de fin d’année (31 12 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 18 décembre 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13056?xtor=EPR-100.html

    Fêtes de fin d'année : comment éviter les mauvaises surprises ?

    Publié le 18 décembre 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Étiquetage des produits, conformité des jouets, sécurisation des objets connectés, réglementation pour les coffrets cadeaux, labels de qualité des produits alimentaires, offres promotionnelles, achats en ligne... La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) met à la disposition des consommateurs une brochure d'informations et de conseils pratiques.

    Comment lire une étiquette ? Qu'est-ce qu'un label de qualité ? Comment conserver les huîtres ? Comment installer une guirlande en toute sécurité ? Quelle est la réglementation pour les coffrets cadeaux de séjours ? Comment choisir une trottinette ? Quelles sont les consignes de sécurité pour les jouets électriques ? Que faut-il vérifier avant d'acheter un jeu vidéo, un objet connecté ? Que faire des appareils en fin de vie ? Comment saisir la DGCCRF en cas de problème ?... Le guide intitulé Fêtes de fin d'année 2018 [2.4 MB] vous conseille sur les pièges à éviter, la réglementation en vigueur et les recours en cas de déconvenue concernant les produits alimentaires festifs du réveillon (saumon, huîtres, foie gras, dinde, truffes, champagne...), les sapins et décorations ainsi que les cadeaux (jeux, produits multimédia).

    Les principaux conseils de la DGCCRF

    • Vérifiez les mentions d'étiquetage sur les produits alimentaires, en particulier celles concernant la composition et la provenance des produits ;
    • Méfiez-vous des publicités trompeuses ;
    • Optez pour des articles dotés d'un certificat de conformité ;
    • Ne vous laissez pas abuser par les offres promotionnelles ;
    • Pour vos achats en ligne, privilégiez les sites qui disposent d'une bonne notoriété et qui offrent une sécurité maximale au moment du paiement ;
    • Sachez que les vendeurs en ligne sont soumis à une obligation d'information à l'égard des consommateurs (nom et raison sociale, caractéristiques du produit, garanties). Reportez-vous aux conditions générales de vente et aux mentions légales ;
    • Vérifiez que le jouet que vous allez acheter comporte un marquage « CE » indiquant qu'il est conforme aux règles de sécurité en vigueur ;
    • Pour les jeunes enfants, évitez les jouets qui comportent des mécanismes pliants et lisez soigneusement les notices d'utilisation afin de vérifier la classe d'âge à laquelle le jouet est destiné ;
    • Vérifiez que les jouets d'occasion, souvent revendus dans le cadre de brocantes ou de collectes de Noël, sont conformes aux exigences actuelles de sécurité.

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de l'économie

    Ministère chargé de l'économie

    Ministère chargé de l'économie

  • Dons aux associations : réductions d’impôts (18 12 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 7 septembre 2018 sur le site du ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du ministère de l’Economie)

    https://www.economie.gouv.fr/particuliers/reduction-impot-don-associations?xtor=ES-39-[BI_100_20181218]-20181218-[https://www.economie.gouv.fr/particuliers/reduction-impot-don-associations]-472132.html

    Dons aux associations : quelles réductions d’impôt ?  par Bercy Infos, le 07/09/2018 – 

    Réductions et crédits d’impôts

    Les dons au profit des associations ouvrent droit à une réduction d'impôt sur le revenu de 66 % voire 75 % du montant versé, selon l’association choisie, dans la limite de 20 % du revenu imposable. Retour sur ce dispositif fiscal et sa prise en compte avec le prélèvement à la source.

    Prélèvement à la source et réductions d'impôt

    Le bénéfice de la réduction d'impôt pour dons à des associations acquis au titre de 2018 est maintenu. Dès le 15 janvier 2019, vous recevrez un acompte de 60% de la réduction d'impôt dont vous avez bénéficié l'année précédente (réduction payée en 2018 au titre des dépenses de 2017). Le solde vous sera versé à compter de juillet 2019, après la déclaration de revenus qui permettra de déclarer le montant des dépenses engagées au profit d'associations en 2018.

    Quelles sont les associations concernées ?

    Pour être éligibles à la réduction d’impôt, les dons doivent être désintéressés et ne comporter aucune contrepartie. Ils doivent être effectués au profit d’associations, de fondations, d’œuvres, de fonds de dotations ou d’organismes publics ou privés. Ils doivent être reconnus d'utilité publique ou d’intérêt général à but non lucratif. Le Code général des impôts précise dans son article 200 les domaines d'activité concernés :

    • philanthropique, cultuel, éducatif, scientifique, social, familial, humanitaire, sportif ou culturel ;
    • mise en valeur du patrimoine artistique ;
    • défense de l'environnement naturel ;
    • diffusion de la culture, de la langue, et des connaissances scientifiques françaises ;
    • présentation au public de spectacles ;
    • enseignement supérieur ou artistique public ou privé ;
    • financement d'une entreprise de presse, financement électoral...

    Quels types de dons sont éligibles ?

    Sont retenus par l'administration fiscale les types de dons suivants :

    • les sommes d'argent versées à une ou plusieurs associations ;
    • les dons en nature (dans ce cas, la valeur du don est déterminée lors de sa remise au bénéficiaire) ;
    • les revenus auxquels les particuliers décident de renoncer au profit des associations (par exemple, en cas de mise à disposition d'une association d'un local à titre gratuit) ;
    • les frais engagés par les bénévoles dans le cadre de leur activité associative et pour lesquels ils renoncent au remboursement.
    • Le don par SMS.

    Le don par SMS

    Le don par SMS permet aux associations d'élargir leur communauté de donateurs. Simple et immédiat, le donateur doit envoyer par SMS au numéro transmis par l'association concernée. Le montant du don est prélevé sur sa facture téléphonique et l'opérateur téléphonique reverse le montant collecté à l'association, sans transmettre l'identité du donateur.

    Important : Pour bénéficier de la réduction d'impôt, l'association concernée doit vous remettre un reçu à titre de justificatif de don auprès de l'administration fiscale.

    Comment calculer votre réduction d'impôt pour dons à des associations ?

    Dons à des organismes d'intérêt général ou reconnu d'utilité publique

    Les dons ouvrent droit à une réduction d'impôt sur le revenu égale à 66 % du montant versé dans la limite de 20 % du revenu imposable. Un don de 50 € ouvre par exemple droit à une réduction d'impôt de 33 €, un don de 100 € à une réduction de 66 €, etc.

    Dons à des organismes d'aide aux personnes en difficulté

    La réduction d'impôt est de 75 % des versements retenus dans la limite de 536 € (seuil pour les dons effectués en 2018). La fraction au-delà de 536 € ouvre droit à une réduction d'impôt de 66 % dans la limite de 20 % du revenu imposable.

    Lorsque le montant des dons excède la limite de 20 % du revenu imposable, l’excédent est reporté sur les 5 années suivantes et ouvre droit à la réduction d’impôt dans les mêmes conditions, sauf cas particuliers.

    Comment obtenir votre réduction d'impôt pour dons à des associations ?

    Dons à des organismes d'intérêt général ou reconnu d'utilité publique

    Chaque année, dans votre déclaration annuelle de revenu, vous devez indiquer dans la case 7 UF de la déclaration n°2042 - RICI le montant des versements que vous leur avez effectués.

    Dons à des organismes d'aide aux personnes en difficulté

    Chaque année, au moment de votre déclaration annuelle de revenu, vous devez déclarer dans la case 7 UD de la déclaration n°2042 - RICI le montant des sommes que vous leur avez versées.

  • Sédentarité et Santé (12 12 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 17 octobre 2018 sur le site de la Haute Autorité pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2872558/fr/-sedentarite-attention-danger-pour-la-sante.html

    Le manque d’activité physique (AP) est responsable de plus de 3 millions de décès chaque année dans le monde. La France n’est pas épargnée : plus de 30 % des adultes n’atteignent pas les recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé en matière d’AP. Pour enrayer ce problème majeur de santé publique, le Pr François Carré*, cardiologue et médecin du sport à l’hôpital Pontchaillou de Rennes (35) et ambassadeur de la Fédération française de cardiologie pour l’activité physique, rappelle l’importance de la consultation médicale spécifique d’activité physique pour la santé.

    Est-on vraiment conscient des conséquences de la sédentarité sur la santé ?

    Clairement non, la population générale n’est pas consciente des enjeux actuels liés à la sédentarité. Nous sommes dans la même situation qu’il y a 40 ans face au tabac lorsque la norme était de fumer. Aujourd’hui l’activité physique (AP) n’est pas perçue comme une nécessité, alors qu’il est dangereux pour la santé de rester trop longtemps assis, ce qui correspond à la sédentarité, et de ne pas assez bouger, c’est une réelle perte de chance. La sédentarité est un facteur de risque favorisant la survenue de toutes les maladies chroniques non transmissibles. On devrait d’ailleurs mesurer la capacité physique, comme on dose le cholestérol car c’est le reflet de notre capital santé et le véritable indicateur d’espérance de vie.
    Entre 1971 et 2011, la capacité physique des collégiens a baissé de 25 % : donc si on ne change rien l’espérance de vie de nos enfants risque d’être plus faible que la nôtre.

    De plus, le manque d’activité physique entraine de nombreux troubles : jambes lourdes, constipation, problèmes de sommeil…  Pour toutes ces raisons, il est essentiel de motiver nos patients à bouger davantage.

    Quels sont les leviers de motivation à mettre en avant auprès d'un patient pendant la consultation médicale spécifique d'activité physique ?

    D’abord il faut interroger le patient sur son mode de vie et lui signifier à quel point il est sédentaire ou inactif. Puis lui expliquer que l’on ne va pas lui proposer de faire du sport mais de l’activité physique. Pour un patient qui ne pratique pas, il faut commencer petit à petit, lui prescrire 10 mn de marche à une allure modérée trois fois par jour par exemple. Tout le monde peut intégrer cette routine dans son quotidien : privilégier les escaliers à l’ascenseur pour monter un, voire deux étages, se garer un peu plus loin lorsqu’on part faire des courses, se promener durant la pause déjeuner…

    Il faut aussi diminuer le temps journalier passé assis en s’astreignant à rompre les périodes assises prolongées, c’est-à-dire supérieures à 2 heures, en se levant et en bougeant pendant 2 à 3 minutes.

    Par exemple, une de mes patientes conduit un taxi, c’est un travail très sédentaire et elle ne se rendait pas compte des méfaits de la sédentarité liée à son métier. Aujourd’hui, elle profite des pauses entre deux courses pour sortir de sa voiture et faire une courte marche. Elle n’est plus sédentaire !
    Il est essentiel d’indiquer au patient qu’il va ressentir des bienfaits très vite, dès 3 ou 4 semaines d’activité physique modérée et régulière. C’est d’autant plus vrai lorsque le patient souffre d’une pathologie, en cas d’hypercholestérolémie ou d’hypertension artérielle par exemple.

    Quel sont les freins les plus fréquemment rencontrés lors de la prescription d'une activité physique et comment les lever ?

     

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