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conseils - Page 33

  • Sophia : service gratuit pour diabétiques (06 03 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 14 février 2019 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13222?xtor=EPR-100.html 

    Sophia : un service d'accompagnement pour les diabétiques

    Publié le 14 février 2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Informations sur la maladie, conseils pratiques, soutien personnalisé par des infirmiers... L'Assurance maladie propose le service ″sophia diabète″ pour vous aider à mieux vivre avec la maladie.

    Le diabète est une affection métabolique caractérisée par une hyperglycémie chronique (taux de glucose dans le sang trop élevé) liée à une insuffisance ou à une mauvaise utilisation de l'insuline, hormone secrétée par le pancréas, ou même aux deux. Il existe différents types de diabète.

    Cette maladie concerne plus de 3,5 millions de personnes en France et le nombre de personnes atteintes est en constante augmentation. Elle se développe souvent silencieusement au début et peut être à l'origine de complications sérieuses. Cependant, il est possible d'agir pour en limiter les conséquences avec un traitement adapté et de bonnes habitudes.

    Qu'est-ce que sophia diabète ?

    C'est un service proposé par l'Assurance maladie depuis 2008 pour aider les personnes diabétiques à mieux connaître et gérer leur maladie et à adapter leurs habitudes afin de limiter les risques de complications et d'améliorer leur qualité de vie.

    Il offre des informations et des conseils qui permettent de connaître le suivi de la maladie et ses traitements, de mieux comprendre les résultats d'examens et l'importance de les faire régulièrement, d'identifier les risques de complications, d'adapter les habitudes de vie au quotidien, d'apprendre à surveiller la glycémie, de pratiquer une activité physique adaptée... Il donne aussi la possibilité d'échanger par téléphone avec un infirmier-conseiller en santé, en soutien des consultations avec le médecin traitant.

    C'est un service gratuit et sans engagement. Chaque adhérent est libre de le quitter à tout moment sur simple demande.

    Quelles conditions pour en bénéficier ?

    • être pris en charge en affection de longue durée (ALD) ;
    • avoir plus de 18 ans ;
    • bénéficier d'au moins 3 prescriptions par an de médicaments pour traiter votre diabète ;
    • avoir déclaré un médecin traitant.

    Comment s'inscrire ?

     

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  • Risques numériques : arnaques (21 02 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 11 février 2019 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13211?xtor=EPR-100.html

    Risques numériques : que faire en cas d'arnaque au faux support technique ?

    Publié le 11 février 2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    La question : « On parle beaucoup de personnes se faisant soutirer de l'argent pour récupérer les données de leur ordinateur à la suite d'attaques informatiques. Que dois-je faire si cela m'arrive ? »

    La réponse de Service-public.fr : « L'arnaque au faux support technique est une des escroqueries auxquelles on peut être exposé lorsque l'on s'est rendu sur un site internet infecté ou suite à l'ouverture d'une pièce jointe malveillante dans un message. Cybermalveillance.gouv.fr vous explique. »

    L'arnaque au faux support technique est une escroquerie qui consiste à effrayer la victime afin de la pousser à contacter un prétendu support technique officiel. Un pseudo réparateur tente alors de la convaincre de le laisser prendre le contrôle de sa machine pour faire semblant de la lui dépanner alors qu'il lui installe des logiciels lui permettant d'accéder au contenu de l'ordinateur.

    La victime peut être contactée par SMS, téléphone, courriel, messagerie instantanée, ou voir apparaître un message sur l'écran de son ordinateur, tablette ou smartphone qui lui signale un problème grave (panne, virus, licence de logiciel expirée...) et qui lui demande de rappeler un numéro de support technique semblant officiel, sous peine de perdre toutes ses données ou de ne plus pouvoir utiliser son matériel.

    Comment se prémunir ?

    • Appliquez de manière régulière et systématique les mises à jour de sécurité du système et des logiciels installés sur votre machine ;
    • Tenez à jour votre antivirus et activez votre pare-feu. Vérifiez qu'il ne laisse passer que des applications et services légitimes ;
    • Évitez les sites non sûrs ou illicites (tels ceux qui hébergent des contrefaçons : musique, films, logiciels...) ou certains sites pornographiques qui peuvent infecter votre machine ou héberger des régies publicitaires douteuses ;
    • N'installez pas d'application ou de programme « piratés » ou dont l'origine ou la réputation sont suspectes ;
    • N'utilisez pas un compte avec des droits ″administrateur″ pour consulter vos messages ou naviguer sur internet ;
    • N'ouvrez pas les courriels, leurs pièces jointes et ne cliquez pas sur les liens provenant de chaînes de messages, d'expéditeurs inconnus, ou d'un expéditeur connu mais dont la structure du message est inhabituelle ou vide ;
    • Faites des sauvegardes régulières de vos données et de votre système pour pouvoir le réinstaller dans son état d'origine ;
    • Sachez qu'aucun support technique officiel ne vous contactera pour vous réclamer de l'argent.

    Que faire si l'on est victime ?

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  • Services Publics : accès (2/2) (07 02 2019)

    Nous vous proposons sur deux jours des extraits (Introduction puis synthèse des principales recommandations d’un rapport du DEFENSEUR DES DROITS, publié en janvier 2019 sur la dématérialisation et les inégalités d’accès aux services publics (cliquer ci-dessous pour accéder au texte du rapport)

    https://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapports-publics/194000048.pdf

    Défenseur des droits TSA 90716 - 75334 Paris Cedex 07

    Tél. : 09 69 39 00 00

    www.defenseurdesdroits.fr

     

    Rapport : Dématérialisation et inégalités d’accès aux services publics

    Introduction

    .../...

    Synthèse des principales recommandations

    Conserver toujours plusieurs modalités d’accès aux services publics —

    • Adopter une disposition législative au sein du code des relations entre les usagers et l’administration imposant de préserver plusieurs modalités d’accès aux services publics pour qu’aucune démarche administrative ne soit accessible uniquement par voie dématérialisée.

    Prendre en compte les difficultés pour les usagers —

    • Créer une clause de protection des usagers en cas de problème technique leur permettant de ne pas être considérés comme responsables du non-aboutissement de la démarche.
    • Instaurer le principe de l’envoi sous forme papier des notifications d’attribution, de suppression ou de révision de droits comportant des délais et des voies de recours, sauf si la personne consent expressément et au préalable aux échanges dématérialisés.
    • Garantir un délai permettant de faire des rectifications dans le cadre d’une démarche administrative dématérialisée.
    • Prévoir des exceptions juridiques aux obligations de paiement dématérialisé imposées par la réglementation, et que soit garanti, quelle que soit la procédure dématérialisée, l’existence d’une autre modalité de paiement que celles liées à la possession d’un compte bancaire.

    Repérer et accompagner les personnes en difficulté avec le numérique —

    • Organiser un test d’évaluation des apprentissages fondamentaux de l’usage du numérique à l’occasion de la journée défense et citoyenneté.
    • Evaluer systématiquement les besoins d’accompagnement liés aux projets de dématérialisation, prévoir les moyens dédiés et expliciter les mesures prises ou à prendre pour y faire face.
    • Redéployer une partie des économies procurées par la dématérialisation des services publics vers la mise en place de dispositifs pérennes d’accompagnement des usagers.
    • Instaurer un service public de proximité réunissant un représentant de chaque organisme social, des impôts, de pôle emploi, un travailleur social ainsi qu’un médiateur numérique pour réaliser un accompagnement généraliste et de qualité de la population, en particulier la plus fragile. L’échelon de mise en œuvre du nouveau dispositif pourrait être adapté en fonction des besoins des territoires.

    Améliorer et simplifier les démarches dématérialisées pour les usagers —

    • Favoriser l’usage d’un identifiant unique pour accéder à l’ensemble des services publics dématérialisés.
    • Améliorer l’information des usagers afin de faire mieux connaitre la gratuité des démarches administratives et mettre fin aux pratiques d’orientation des usagers vers un service privé payant.

    Former les accompagnateurs —

    • Renforcer la formation initiale et continue des travailleurs sociaux et des agents d’accueil des services publics à l’usage numérique, à la détection des publics en difficulté et à leur accompagnement.
    • Former les volontaires du service civique à l’accueil des publics fragiles et mobiliser ces volontaires non pour remplacer les agents d’accueil mais en complément de la mobilisation des agents de l’organisme qui dématérialise des procédures.

    Prendre en compte les publics spécifiques —

    • Permettre à l’ensemble des personnes privées de leur liberté, en particulier dans les établissements pénitentiaires, de disposer d’un accès effectif aux sites internet des services publics, des organismes sociaux et aux sites de formation en ligne reconnus par le ministère de l’Education nationale.
    • Généraliser rapidement le double accès aux comptes personnels à tous les sites des services publics, un pour le majeur protégé, un pour le mandataire judiciaire, adaptés à chaque mandat.
    • Mettre en œuvre systématiquement des mesures appropriées afin de permettre aux personnes handicapées d’accéder effectivement à leurs droits en cas d’impossibilité avérée de mise en accessibilité d’un site internet existant et dans l’attente de la mise en place d’un site répondant aux normes d’accessibilité.
  • Services Publics : accès (1/2) (06 02 2019)

    Nous vous proposons sur deux jours des extraits (Introduction puis synthèse des principales recommandations d’un rapport du DEFENSEUR DES DROITS, publié en janvier 2019 sur la dématérialisation et les inégalités d’accès aux services publics (cliquer ci-dessous pour accéder au texte du rapport)

    https://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapports-publics/194000048.pdf

    Défenseur des droits TSA 90716 - 75334 Paris Cedex 07

    Tél. : 09 69 39 00 00

    www.defenseurdesdroits.fr

    Rapport : Dématérialisation et inégalités d’accès aux services publics

    Introduction

    En vertu de l’article 71-1 de la Constitution et de l’article 4 de la loi organique du 29 mars 2011, le Défenseur des droits veille au respect des droits et libertés par les administrations de l’Etat, les collectivités territoriales, les établissements publics, ainsi que par tout organisme investi d’une mission de service public ou à l’égard duquel la loi organique lui attribue des compétences.

    Dans cette mission, le Défenseur des droits est souvent le dernier recours des usagers confrontés à des difficultés inextricables dans leurs relations avec les administrations. Cette responsabilité fait du Défenseur des droits un observateur privilégié des situations où les services publics ne respectent pas les droits et libertés des usagers. Si certaines de ces situations sont anciennes et récurrentes, sa mission lui permet d’identifier, d’analyser et de tenter de résoudre les difficultés émergentes.

    Dès 2013 et l’annonce du « choc de simplification » des démarches administratives par le Gouvernement, la question de la numérisation des services publics a commencé à apparaître, à la lumière des réclamations qui nous étaient adressées, comme un sujet de préoccupation.

    Trois ans plus tard, nous avons reçu plusieurs milliers de réclamations sur le seul sujet du processus de dématérialisation de la délivrance des permis de conduire et des certificats d’immatriculation mis en place dans le cadre du Plan préfectures nouvelle génération (PPNG), faisant de ce sujet un des premiers motifs de saisine de l’institution.

    Au travers du programme de transformation de l’administration, lancé en octobre 2017 et baptisé « Action Publique 2022 », le Gouvernement souhaite améliorer la qualité de service pour les usagers en développant notamment la relation de confiance entre les usagers et les administrations. « Action Publique 2022 » repose sur six principes clés, dont celui de la priorité donnée à la transformation numérique des administrations, avec pour objectif la dématérialisation de l’intégralité des services publics à horizon 2022.

    Cette ambition se justifie, par l’idée que la dématérialisation des procédures administratives permet de simplifier, pour une majorité d’usagers, l’accès aux informations ou aux documents administratifs. Elle permet également, dans certaines hypothèses, de lutter contre le non recours, et d’améliorer l’accès réel de certains usagers à leurs droits, tout en respectant mieux leur dignité. On pense ici aux interminables files d’attentes aux guichets de certains services publics, simplement pour obtenir un rendez-vous ou parfois, in fine, ne pas se voir délivrer le service en question pour des raisons parfois difficiles à comprendre pour l’usager, voire même pour des motifs dilatoires ou illégaux.

    Compte tenu de la réflexion sur la simplification et la clarification des procédures administratives qu’elle peut entrainer, la dématérialisation peut constituer un puissant levier d’amélioration de l’accès de tous et de toutes à ses droits.

    Mais cet objectif ne sera pas atteint si l’ambition collective portée dans ce processus se résume à pallier la disparition des services publics sur certains territoires et à privilégier une approche budgétaire et comptable. De même, si l’on considère que cette transformation profonde des relations entre usagers et services publics peut se faire à « marche forcée », sans tenir compte des difficultés bien réelles d’une partie de la population et des besoins spécifiques de certaines catégories d’usagers. Il ne sera pas plus atteint si cette évolution aboutit à une déresponsabilisation des pouvoirs publics, en renvoyant notamment à la sphère associative la prise en charge de l’accompagnement des usagers, ou en misant sur le secteur privé pour compenser les défaillances du service public.

    Pour bénéficier à tous et à toutes, la dématérialisation des services publics devra constituer un investissement massif pour notre pays, pour l’Etat, bien sûr, mais également pour l’ensemble des acteurs du service public et pour les usagers qui devront s’y adapter. Les pouvoirs publics ne devront jamais perdre de vue que, dans cette transformation en profondeur de nos services publics, l’objectif premier devra rester l’amélioration du service rendu aux usagers, à tous les usagers, et le maintien des droits pour tous. Si une seule personne devait être privée de ses droits du fait de la dématérialisation d’un service public, ce serait un échec pour notre démocratie et pour l’Etat de droit.

    Aucune organisation administrative, aucune évolution technologique ne peut être défendue si elle ne va pas dans le sens de l’amélioration des droits, pour tous et pour toutes. Comme le montre ce rapport, perdre le sens de cette transformation, ou sousestimer ses effets, conduirait à priver de leurs droits certains et certaines d’entre nous, à exclure encore davantage de personnes déjà exclues, à rendre encore plus invisibles ceux et celles que l’on ne souhaite pas voir. Nous serions alors exposés à un recul inédit de ce qu’est le service public en France et à une dégradation du respect des droits et libertés par les administrations et les organismes chargés d’une mission de service public.

    Il faut ici réaffirmer ce qui semble ne plus être une évidence pour tous les responsables : un service public dématérialisé reste un service public avec tout ce que cela impose de contraintes pour respecter les droits de manière égale sur l’ensemble du territoire et pour toutes les catégories de population.

    La mise en œuvre des politiques publiques de dématérialisation se doit donc de respecter les principes fondateurs du service public : l’adaptabilité, la continuité et l’égalité devant le service public.

    • Le principe de continuité du service public: ce principe constitue un des aspects de la continuité de l’État et a été qualifié de principe de valeur constitutionnelle par le Conseil constitutionnel dans sa décision 79-105 DC du 25 juillet 1979. Il repose sur la nécessité de répondre aux besoins d’intérêt général sans interruption.
    • Le principe de l’égalité devant le service public: corollaire du principe d’égalité devant la loi ou devant les charges publiques consacré par la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen du 27 août 1789, ce principe implique que les personnes se trouvant dans une situation identique à l’égard du service public doivent être régies par les mêmes règles.
    • Le principe d’adaptabilité ou de mutabilité: à la lumière de ce principe, l’autorité administrative doit prendre les mesures d’adaptation du service public afin d’assurer un accès « normal » de l’usager au service public, et elle ne saurait adapter le service public avec pour conséquence que soit compromis cet accès « normal ».

    Bien sûr, un déploiement harmonieux de la dématérialisation, qui soit respectueux des droits des usagers, voire qui en renforce l’effectivité, est possible mais à certaines conditions.

    Dans le cadre de ses travaux, le Défenseur des droits a analysé les exemples tirés des situations qu’il a observées mettant en cause les processus de dématérialisation des services publics. En vue de compléter l’analyse des saisines adressées au Défenseur des droits, une série d’entretiens a été menée auprès de différents acteurs porteurs de réformes de dématérialisation, d’associations accompagnant les usagers dans les démarches administratives, d’associations d’élus, et de services ministériels. L’ensemble des personnes et institutions qui ont nourri ces réflexions sont ici remerciés.

    Le présent rapport entend donc, à partir d’exemples concrets, alerter sur les risques et dérives de la transformation numérique des services publics. Mais il entend également contribuer, au travers de nombreuses recommandations, à faire en sorte que ce processus inéluctable, et fondamentalement positif pour la qualité du service public, respecte les objectifs de services publics sans laisser personne de côté.

    .../...

  • Sports d’hiver : sécurité (04 02 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 28 janvier 2019 sur le site du ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du ministère de l’Economie)

    https://www.economie.gouv.fr/particuliers/ski-securite-conseils?xtor=ES-39-[BI_106_20190129]-20190129-[https://www.economie.gouv.fr/particuliers/ski-securite-conseils]-472132.html

    Sports d'hiver : 10 conseils pour skier en toute sécurité

    par Bercy Infos,   le 28/01/2019 – 

    Vous vous apprêtez à partir à la montagne ? Avant de dévaler les pistes, prenez vos précautions : 150 000 personnes sont blessées chaque année en pratiquant un sport de glisse*. Retrouvez dix conseils pour pratiquer sereinement le ski, avec la direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF).

     

    Conseil n°1 : vérifiez votre assurance

    Un accident étant vite arrivé, mieux vaut être bien couvert. Si vous blessez un autre skieur ou que vous vous blessez seul alors que vous n'êtes pas assuré convenablement, vous risquez de devoir payer des frais de secours et de responsabilité civile. « Vérifiez votre contrat d'assurance multirisques habitation pour savoir si elle couvre bien les accidents dont vous seriez responsable ou prenez une assurance spéciale », conseille la DGCCRF. De même, regardez si votre contrat couvre les frais de secours pour vous-même, qui peuvent s'élever à plusieurs milliers d'euros.

     

    Conseil n°2 : préparez-vous à l'effort

    « Un mois avant de partir, préparez votre corps à l'effort du ski », préconise la DGCCRF. Vous pouvez notamment travailler vos muscles des jambes, votre équilibre et votre souplesse, en particulier si vous ne pratiquez pas régulièrement un sport.

     

    Conseil n°3 : faites régler vos skis

    « Des fixations mal réglées sont à l'origine de la moitié des accidents de ski », rappelle la DGCCRF. Trop serrées ou trop lâches, elles peuvent provoquer des accidents, en particulier des entorses du genou. « Les professionnels (vendeurs, loueurs, moniteurs...) peuvent déterminer le réglage adapté », qui dépend notamment de votre taille, de votre poids et de votre niveau de pratique.

     

    Conseil n°4 : portez un casque

    Quel que soit votre âge, pensez à mettre un casque avant de partir sur les pistes. Vérifiez que celui-ci porte bien un marquage CE et attachez-le correctement. Les chutes et collisions peuvent en effet entraîner des traumatismes crâniens. « Attention aux simples protections du cuir chevelu qui ne conviennent pas aux sports de glisse sur piste », avertit la DGCCRF.

     

    Conseil n°5 : ne partez pas le ventre vide

    « Prenez le matin un petit déjeuner complet et ne sautez pas le repas du midi », recommande la DGCCRF. Avec le froid et l'effort, vos réserves s'épuisent plus rapidement. Pensez à boire régulièrement de l'eau, la sécheresse de l'air en montagne ayant des effets déshydratants. A contrario, les boissons alcoolisées sont à proscrire.

     

    Conseil n°6 : protégez-vous du soleil et du froid

    Choisissez des vêtements adaptés aux conditions, qui isolent du vent et de l'humidité. Protégez bien « vos lèvres et votre visage », rappelle la DGCCRF. Ce sont souvent les parties du corps les plus exposées car les moins couvertes. N'hésitez pas à utiliser crèmes solaires, sticks à lèvres et lunettes adaptées à la réverbération du soleil sur la neige.

     

    Conseil n°7 : renseignez-vous sur la météo

    Consultez chaque jour les conditions météorologiques de votre station. Vous pouvez retrouver ces informations sur Internet, par exemple sur le site de Météo France et notamment dans sa rubrique « Bulletin neige et avalanches » pour les risques d'avalanche.

     

    Conseil n°8 : adaptez votre comportement à la situation

    Une fois sur les pistes, « adaptez votre vitesse et votre comportement à vos capacités personnelles, ainsi qu'aux conditions générales du terrain et du temps, à l'état de la neige et à la densité du trafic », souligne la DGCCRF. Soyez notamment prudent lorsque vous dépassez d'autres skieurs, lorsque vous croisez d'autres pistes, lorsque vous chutez ou que vous vous arrêtez sur la piste.

     

    Conseil n°9 : vérifiez la signalisation

    Repérez et respectez les indications signalétiques sur les pistes : les niveaux de difficulté (de vert à noir), les numéros de balises pour indiquer votre position en cas d'accident ou encore les panneaux de danger (croisements, crevasses, avalanches...).

     

    Conseil n°10 : attention au hors-piste

    « Le ski hors-piste est réservé à ceux qui ont une bonne maîtrise de la pratique du ski », indique la DGCCRF. « Ne partez jamais seul et faites-vous accompagner par un professionnel de la montagne. » Ces zones n'étant pas sécurisées, vous y entrez à vos risques et périls. Pensez à prévenir de votre départ, de votre parcours et de votre heure prévue de retour. Emportez un appareil de recherche de victimes d'avalanche pour vous localiser en cas d'urgence, ainsi que quelques provisions. Et ne partez en aucun cas si un risque d'avalanche est annoncé ou si les conditions sont incertaines.

  • Train : objets perdus/trouvés (18 01 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 3 janvier 2019 sur le site du Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13136?xtor=EPR-100.html

    Objets perdus dans un train, objets trouvés dans une gare... Que faire ?

    Publié le 03 janvier 2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Comment faire lorsque vous avez perdu un objet ou au contraire lorsque vous avez trouvé un objet dans un train ou une gare ? Tout n'est pas toujours perdu !

    Objets perdus

    Vous pouvez déclarer un objet perdu :

    • en ligne J'ai perdu quelque chose  ;
    • par téléphone en contactant le centre d'appels  « Objets Trouvés » (0892 35 35 35 ou 3635 puis #22* 7/7j de 08h à 20h) 0,40 € / minute hors surcoût éventuel de votre opérateur ;
    • ou en gare.

    Objets trouvés

    Les objets trouvés peuvent être déposés en gare (espace  « Objets Trouvés » ).

    Dès réception, ils sont enregistrés dans la base de données nationale, et seront conservés un mois dans la gare où l'article a été récupéré ou dans celle d'arrivée pour les objets oubliés dans le train. Les matières périssables ou dangereuses sont immédiatement détruites.

    La base de données nationale des objets trouvés dans les trains et les gares compare en temps réel les objets enregistrés par les agents SNCF en gare et les objets déclarés perdus par les clients. Les recherches se poursuivent pendant un mois maximum. À défaut de restitution au propriétaire dans un délai d'un mois, l'objet est remis à l'Administration des Domaines, cédé à une Association d'Utilité Publique ou détruit.

    Conseils avant un voyage

    Pensez à personnaliser, par tous moyens à votre convenance, vos appareils électroniques, informatiques, appareils photo... Un simple autocollant, badge, porte-clés, ... ou tout signe particulier permet de faire la différence entre deux objets en tout point semblables comme les téléphones. Étiquetez vos bagages. Pour les doudous de vos enfants, pensez à inscrire le nom et prénom de l'enfant sur l'étiquette de l'objet.

    Pour en savoir plus

    Société nationale des chemins de fer français (SNCF)

    Société nationale des chemins de fer français (SNCF)