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soins

  • Cannabis thérapeutique : expérimentation (13 04 2024)

     

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 21 mars 2024 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A16479?xtor=EPR-100.html

    Cannabis thérapeutique : l'expérimentation est prolongée

    Publié le 27 mars 2023 - Mise à jour le 05 avril 2024 - Direction de l'information légale et administrative (1er ministre)

    L'expérimentation de l'usage thérapeutique du cannabis, dans un cadre contrôlé et limité à des patients souffrant de maladies graves, a débuté le 26 mars 2021 et devait s’achever le 26 mars 2024. Elle est finalement prolongée jusqu'à ce qu'un médicament à base de cannabis soit autorisé par les autorités de santé, mais ne pourra pas aller au-delà du 31 décembre 2024.

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  • Soins : avant de se rendre aux urgences (14 10 2023)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 23 août 2023 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A16686?xtor=EPR-100.html

    Soins : plusieurs solutions avant de se rendre aux urgences

    Publié le 19 juillet 2023 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

    Vous êtes en vacances et vous avez besoin de soins ? Le ministère de la Santé propose des solutions adaptables en fonction des situations, afin de limiter le recours systématique aux services d'urgences hospitaliers qui peuvent être sous tension lors de la période estivale. Service-Public.fr vous indique les informations à connaître !

    En dehors de situations graves nécessitant forcément des soins en urgence, le ministère de la Santé donne des alternatives. L'été est souvent une période de surcharge des services d'urgences, notamment en raison de la baisse des effectifs. D'autres services accompagnent les usagers pour trouver la meilleure solution de soins en fonction de leur situation.

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  • EHPAD Orpea : inspection IGAS-IGF  (14 04 2022)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette synthèse du rapport (sommaire et extraits) publiée le 5 avril 2022 sur le site du ministère de la Santé (cliquer ici pour accéder au site du ministère de la Santé)

    https://solidarites-sante.gouv.fr/actualites/presse/communiques-de-presse/article/le-gouvernement-publie-le-rapport-igas-igf-sur-la-gestion-des-ehpad-du-groupe.html

    cliquer ci-dessous pour accéder au texte de la synthèse complète :

    https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/040422_synthese_consolidee_anonymisee.pdf

     

    Le Gouvernement publie le rapport IGAS-IGF sur la gestion des EHPAD du groupe ORPEA

    Conformément à l’engagement pris par Brigitte Bourguignon, ministre déléguée, chargée de l’Autonomie, lors de son audition devant la mission d’information sur le contrôle des EHPAD du Sénat le 29 mars, le rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et de l’Inspection générale des finances (IGF) sur le groupe ORPEA est rendu public.

    En toute transparence, et afin de le rendre accessible au plus grand nombre, ce rapport, avec une synthèse, est diffusé et mis en ligne sur le site internet du ministère des Solidarités et de la Santé.

    Les inspections, en lien avec les directions d’affaires juridiques des ministères concernés, ont procédé aux occultations strictement nécessaires, en application de la législation sur l’accès aux documents administratifs, permettant notamment de préserver la vie privée des personnes pouvant être identifiées dans le rapport, en particulier des résidents des EHPAD du groupe ORPEA, ainsi que l’identité d’entreprises fournisseurs du groupe ORPEA

    SYNTHÈSE DE LA MISSION SUR LA GESTION DES ÉTABLISSEMENTS D’HÉBERGEMENT DE PERSONNES ÂGÉES DÉPENDANTES (EHPAD) DU GROUPE ORPEA

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  • Rhume : anti-inflammatoires, bon usage (23 11 2020)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 4 novembre 2020 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

     

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A14424?xtor=EPR-100.html

     

    Rhume : rappel des règles de bon usage des anti-inflammatoires

    Publié le 04 novembre 2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Éternuement, nez qui coule, maux de tête... vous avez un rhume et l'un des premiers réflexes est souvent de prendre des anti-inflammatoires, comme de l'ibuprofène. L'agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) vous donne quelques conseils pratiques et précautions à respecter en cas de rhume. Elle met également en garde contre l'utilisation de plusieurs médicaments appelés aussi vasoconstricteurs qui peuvent présenter des risques graves et des effets indésirables.

    Quels sont les conseils d'usage en cas de rhume ?

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  • Soins ambulatoires : stationnement

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 31 mars 2020 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-18459QE.htm

    Question N° 18459 de M. Bastien Lachaud (député de Seine-Saint-Denis)

    Bastien Lachaud appelle l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur l'accès des personnels soignants aux domiciles des patients. Depuis le début et tout au long de son action gouvernementale, Mme la ministre s'est faite l'avocate d'un prétendu « virage ambulatoire », supposé modifier l'organisation du système de santé et favoriser le passage d'un système de santé centré sur l'hôpital à un système où les hôpitaux se recentreraient sur une palette plus restreinte de missions et réduiraient surtout les durées de séjour et d'hébergement des patients. Le maintien à domicile et les soins ambulatoires devraient ainsi être favorisés et se développer. Or - outre que les motifs d'un tel choix politique paraissent éminemment contestables -, sa mise en œuvre même pose nombre de problèmes.

    Parmi ceux-ci, celui des déplacements des soignants, amenés à se rendre de façon croissante aux domiciles des patients n'est pas le moindre. De fait, un grand nombre de ceux-ci dénoncent des difficultés quotidiennes et toujours plus importantes dans l'accès au domicile de leurs patients, en Seine-Saint-Denis, comme cela a été rapporté à M. le député, mais aussi plus largement à l'échelle nationale : manque de communication avec les municipalités et les bailleurs sociaux, éloignement et diminution des places de stationnement, insécurité des véhicules et des personnes, politiques de verbalisation systématique et coût prohibitif du stationnement dans un contexte de remise en cause de la gratuité totale ou de la tolérance envers les professionnels de santé en déplacement.

    Cette dernière question du stationnement, objet de politiques et de pratiques variables selon les municipalités, a notamment été soulevée par différentes organisations professionnelles représentatives des médecines et des auxiliaires médicaux. Une telle situation risque de dissuader un nombre croissant de soignants d'effectuer certains déplacements, et priver nombre de patients de l'accès au domicile. Variant selon les contextes différents, elle pose la question de l'égalité territoriale et de l'égal accès de tous les citoyens aux soins. Dès lors que de telles difficultés se posent et qu'aucune politique cohérente n'est mise en œuvre pour les résoudre, le « virage » supposé et la promotion au forceps de l'activité ambulatoire apparaissent pour ce qu'ils sont réellement : un discours cosmétique et une simple stratégie de communication masquant une politique qui se réduit en réalité à un objectif purement comptable de réduction des coûts et des capacités d'accueil de l'hôpital, dans un contexte d'austérité budgétaire.

    C'est pourquoi il souhaite apprendre de sa part quelles dispositions elle envisage pour faciliter partout l'accès des soignants aux domiciles des patients, et, plus largement, pour garantir l'égal accès de tous aux soins.

    Réponse publiée au JO le 31/03/2020 page 2483

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  • Personnels soignants (04 07 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 29 mai 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ19050810G.html

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 0810G de Mme Véronique Guillotin (sénatrice de Meurthe-et-Moselle)

     

    Mme Véronique Guillotin. Alors que l'examen du projet de loi relatif à l'organisation et la transformation du système de santé est en cours, plusieurs questions restent en suspens, notamment celle de l'attractivité des professions paramédicales.

     
    Si les métiers d'aide-soignant et d'auxiliaire de vie souffrent d'une sévère désaffection depuis plusieurs années déjà, s'y ajoute désormais une véritable crise des vocations chez les infirmiers. Les services hospitaliers rencontrent en effet de grandes difficultés à recruter et, surtout, à garder leur personnel, et les écoles d'infirmières peinent à se remplir.

     
    Les causes sont multiples, mais la question d'une juste rémunération revient invariablement. Nous pouvons voter toutes les lois de réorganisation possibles, en l'absence d'un financement à la hauteur des enjeux et d'une reconnaissance de nos personnels soignants, le système se tend et risque la rupture. J'en veux pour preuve le fait que de très nombreux établissements peinent à assurer un exercice optimal de leur activité et sont souvent contraints de recourir à des intérimaires, bien plus coûteux.

     
    Je souhaite également évoquer les problèmes très spécifiques des territoires frontaliers. Dans le Grand Est, 4 800 infirmiers, aides-soignants et éducateurs franchissent chaque jour la frontière pour aller travailler. Un article récent d'un grand quotidien en fait état et pointe des conditions générales d'exercice bien plus favorables chez nos voisins, en particulier au Luxembourg, où le salaire moyen d'une infirmière en début de carrière est quasiment le double de ce qu'il est en France. La quasi-totalité de nos voisins proposent également des rémunérations plus élevées.

     
    La situation de nos établissements présente un caractère d'urgence. Les personnels soignants sont épuisés, les directions d'établissement peinent à trouver des solutions. Tous attendent des mesures rapides et concrètes de nature à les rassurer. Quelles dispositions entendez-vous prendre, y compris à une échelle transfrontalière, pour remédier au manque d'attractivité de ces métiers ?

     

    Réponse du Secrétariat d'État auprès de la ministre des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 29/05/2019 p. 7633

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