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conseils - Page 41

  • Activité physique et sédentarité : synthèse des recommandations (07 10 2017)

    Nous proposons des extraits d’une étude (conduite par Madame Hélène Escalon  et le groupe de travail  « Vulgarisation  des recommandations activité physique – Sédentarité ») publiée dans la revue La Santé en action (n° 441 de septembre 2017) de l’Institut National de Prévention et d’éducation pour la Santé (cliquer ici pour accéder au texte de l'article)

    http://inpes.santepubliquefrance.fr/SLH/pdf/articles/441/activite-physique-sante-nouvelles-recommandations-synthese-vulgarisee.pdf

    Activité physique et sédentarité de quoi parle‑t‑on ?

    L’activité physique correspond à tous les mouvements de notre corps produits par la contraction des muscles et qui entraînent une dépense en énergie supérieure à celle du repos.

    Elle peut être effectuée dans le cadre du travail, des transports, des activités domestiques − à l’intérieur et à l’extérieur de chez soi − et des loisirs − incluant le sport et les exercices physiques réalisés sans encadrement. La sédentarité correspond aux situations passées en position assise ou allongée (en dehors de la période de sommeil et de repas), dans lesquelles les mouvements du corps sont réduits à leur minimum: regarder la télévision, travailler sur un ordinateur, jouer aux jeux vidéo, lire, téléphoner, être passager dans un véhicule, etc.

    Effets sur la santé de l’augmentation de l’activité physique et de la réduction de la sédentarité

    Les effets favorables sur la santé d’une pratique d’activité physique régulière permettant d’atteindre les recommandations ne compensent pas forcément les effets délétères de la sédentarité. C’est pourquoi il est recommandé à la fois de faire plus d’activité physique et de réduire son temps assis ou allongé.

    Cela permet d’améliorer la qualité de vie; la santé mentale, en prévenant les états d’anxiété et de dépression; le bien‑être ; le sommeil et, à plus long terme, de réduire le risque de maladies cardio‑vasculaires, de cancers : côlon, sein, poumon, endomètre; de diabète de type 2 ; d’obésité et de bronchopneumopathie chronique obstructive (insuffisance respiratoire). Enfin, la pratique régulière d’activité physique permet de diminuer le nombre de nouveaux cas par an des maladies d’Alzheimer et de Parkinson. En outre, chez les adultes, l’activité physique permet de réduire certains effets liés au vieillissement et de maintenir l’autonomie au cours de l’avancée en âge. Chez les enfants et les adolescents, la pratique régulière d’activité physique à impact (course, sauts) assure une bonne qualité osseuse, particulièrement lorsqu’elle est pratiquée lors de la pré‑puberté et de la puberté. D’une façon générale, l’activité physique et la réduction de la sédentarité préviennent la survenue du surpoids chez les enfants.

    Recommandations générales sur l’activité physique et la sédentarité

    Adopter un mode de vie actif, en augmentant son activité physique et en limitant sa sédentarité est recommandé, quel que soit l’âge. Différents types d’activité physique sont recommandés pour développer l’endurance, renforcer les muscles, améliorer la souplesse et l’équilibre. L’activité ne doit surtout pas se limiter au sport : se déplacer à pied ou à vélo, porter une charge, monter ou descendre les escaliers, être actif à son domicile sont des pratiques d’activité physique. Les repères de pratique présentés ci‑dessous représentent un idéal vers lequel il faut tendre. Toute quantité d’activité physique, même inférieure aux repères, procure un bénéfice pour la santé, et le dépassement des recom‑ mandations permet le plus souvent d’augmenter ce bénéfice.

    Recommandations pour les adultes

    • Activité physique d’endurance : pratiquer au moins 30 minutes d’activité physique d’endurance (intensité modérée et élevée), au moins cinq jours par semaine. Ces activités peuvent facilement s’intégrer dans la vie quotidienne lors de déplacements actifs : marche, vélo, ou dans le cadre d’activités de loisirs : promenades, footing, cyclisme, sport collectif, danse, natation, fitness, etc.
    • Activités de renforcement musculaire : en complément des activités physiques d’endurance, il est recommandé de réaliser une à deux fois par semaine des activités qui renforcent les muscles des bras, des jambes, des abdominaux, du dos. Elles peuvent être réalisées au cours de la vie quotidienne (montées et descentes d’escaliers, port de charges) ou en faisant des exercices.
    • Exercices de souplesse : faire des exercices développant la souplesse et la capacité à faire des mouvements amples de deux à trois fois par semaine, sous forme d’étirements maintenus de 10 à 30 secondes et répétés de deux à trois fois.
    • Limitation de la sédentarité: au travail, dans les transports, à la maison ou dans le cadre de loisirs, réduire son temps total quotidien passé assis ou allongé; marcher quelques minutes et s’étirer au bout de deux heures d’affilée en position assise ou allongée et faire quelques mouvements (rotation des épaules, du bassin, des chevilles, des poignets, des mains, de la tête).
  • Huiles essentielles : conseils d’usage (26 09 2017)

    Nous proposons cette fiche pratique publiée le 13 septembre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11997?xtor=EPR-100.html

    Huiles essentielles : quelques conseils pour les utiliser en toute sécurité

    Publié le 13 septembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Purifier l'air de la maison, éloigner les parasites, soulager les petits bobos... Les huiles essentielles peuvent être utilisées à des fins diverses (cosmétiques, denrées alimentaires, biocides...). Une mauvaise utilisation de ces produits peut s'avérer dangereuse. C'est la raison pour laquelle la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) donne des conseils pour utiliser les huiles essentielles en toute sécurité.

    L'huile essentielle est un produit odorant obtenu à partir d'une matière première végétale (la lavande, par exemple) et selon un procédé technique.

    Les huiles essentielles peuvent notamment être vendues à des fins cosmétiques, alimentaires et thérapeutiques.

    Les huiles essentielles peuvent par exemple être utilisées comme parfums d'ambiance, être appliquées sur la peau ou être inhalées.

    Concernant les gestes à adopter, la DGCCRF recommande de :

    • réaliser un test d'allergie avant d'utiliser une huile essentielle, pour les personnes allergiques ;
    • demander l'avis d'un professionnel avant d'ingérer une huile essentielle, en cas de doute ;
    • lire les notices d'utilisation des produits ;
    • veiller à la qualité des huiles essentielles, aux garanties annoncées sur leur provenance et au mode de culture dont elles sont issues ;
    • se laver les mains après un massage ou une application cutanée.

    Concernant les gestes à éviter, la DGCCRF conseille notamment de ne pas :

    • laisser les huiles essentielles à la portée des enfants ;
    • utiliser des huiles essentielles si l'on est un enfant, une femme enceinte ou allaitante, une personne âgée ou une personne souffrant de pathologies chroniques ;
    • appliquer des huiles essentielles sur les muqueuses, le nez, les yeux, les oreilles et les zones ano-génitales ;
    • chauffer une huile essentielle pour la diffuser.

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de l'économie

  • Prévention des cancers : agir au quotidien (22 09 2017)

     

    Nous proposons cette fiche de synthèse publiée le 14 septembre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12000?xtor=EPR-100.html

    Prévention des cancers : comment agir au quotidien ?

    Publié le 14 septembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Ne pas fumer, éviter l'alcool, manger mieux, bouger plus. Le ministère des Solidarités et de la Santé et l'Institut national contre le cancer (INCa) rappellent qu'en modifiant certains de nos modes de vie et de nos comportements, 40 %des cancers pourraient être évités.

    Les principaux facteurs de risque sont :

    • le tabac responsable de 80 % des cancers du poumon mais qui est aussi un facteur favorisant d'autres types de cancers notamment des voies aérodigestives supérieures (bouche, larynx, pharynx, œsophage) ;
    • l'alcool qui augmente les risques de développer des cancers des voies aérodigestives supérieures mais aussi du côlon-rectum, du sein et du foie ;
    • une alimentation déséquilibrée, les aliments favorisant les risques de cancer étant principalement liés à l'excès de viandes rouges, de charcuteries, d'aliments gras, salés ou très sucrés (c'est pourquoi les fruits et les légumes qui jouent un rôle protecteur grâce à leur richesse en fibres, en vitamines et en minéraux antioxydants sont recommandés tout comme les céréales complètes et les légumes secs) ;
    • le manque d'activité physique, une activité physique régulière d'au moins 30 minutes par jour (monter des escaliers, marcher, faire du vélo, nager) permettant de diminuer le risque de cancer.

    Les autres facteurs de risque sont ceux liés à une exposition excessive aux rayonnements UV, à certains virus ou bactéries, au contact avec certains produits chimiques (amiante, solvants...) ou encore à une exposition à certains polluants (particules fines, résidus d'hydrocarbure...) ou aux rayonnements (radon, rayons X).

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de la santé

    Institut national du cancer (INCa)

    Prévention des cancers : comment agir au quotidien ?

    Publié le 14 septembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    prevention cancer.png

    Ne pas fumer, éviter l'alcool, manger mieux, bouger plus. Le ministère des Solidarités et de la Santé et l'Institut national contre le cancer (INCa) rappellent qu'en modifiant certains de nos modes de vie et de nos comportements, 40 %des cancers pourraient être évités.

    Les principaux facteurs de risque sont :

    • le tabac responsable de 80 % des cancers du poumon mais qui est aussi un facteur favorisant d'autres types de cancers notamment des voies aérodigestives supérieures (bouche, larynx, pharynx, œsophage) ;
    • l'alcool qui augmente les risques de développer des cancers des voies aérodigestives supérieures mais aussi du côlon-rectum, du sein et du foie ;
    • une alimentation déséquilibrée, les aliments favorisant les risques de cancer étant principalement liés à l'excès de viandes rouges, de charcuteries, d'aliments gras, salés ou très sucrés (c'est pourquoi les fruits et les légumes qui jouent un rôle protecteur grâce à leur richesse en fibres, en vitamines et en minéraux antioxydants sont recommandés tout comme les céréales complètes et les légumes secs) ;
    • le manque d'activité physique, une activité physique régulière d'au moins 30 minutes par jour (monter des escaliers, marcher, faire du vélo, nager) permettant de diminuer le risque de cancer.

    Les autres facteurs de risque sont ceux liés à une exposition excessive aux rayonnements UV, à certains virus ou bactéries, au contact avec certains produits chimiques (amiante, solvants...) ou encore à une exposition à certains polluants (particules fines, résidus d'hydrocarbure...) ou aux rayonnements (radon, rayons X).

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de la santé

    Institut national du cancer (INCa)

  • Devenir bénévole (21 09 2017)

    Nous proposons cette fiche pratique publiée le 12 septembre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/associations/actualites/A11970?xtor=EPR-100.html

    Devenir bénévole : quelle démarche, quels droits, quelle formation ?

    Publié le 12 septembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Vous avez du temps libre et souhaitez vous engager auprès d'une association ? Retrouvez sur Service-public.fr et dans le guide du bénévole les informations utiles avant de choisir votre association.

    Un bénévole est une personne qui s'engage librement pour mener une action non salariée en direction d'autrui en dehors de son temps professionnel et familial.

    Le bénévolat est ouvert à tous, quel que soit l'âge ou le niveau de qualification, que l'on soit en activité ou sans emploi.

    Il se caractérise par l'absence de tout lien de subordination juridique. Le bénévole est libre de mettre un terme à son engagement à tout moment sans procédure particulière. Il doit cependant respecter les statuts de l'association auprès de laquelle il se porte volontaire.

    Le bénévole ne reçoit aucune rémunération (ni en espèces, ni sous forme d'avantages en nature). Toutefois, lorsqu'il engage des frais pour le compte d'une association, celle-ci peut les lui rembourser sur justificatifs.

    Plusieurs congés sont prévus à destination des bénévoles :

    • le congé de solidarité internationale ouvert, sous certaines conditions, aux salariés participant à une mission à l'étranger pour le compte d'une association à but humanitaire ;
    • le congé de représentation ouvert, sous certaines conditions, aux salariés et agents publics représentants d'association pour participer à des instances consultatives auxquelles leur association prend part ;
    • le congé sabbatique ou la disponibilité pour convenances personnelles ouverts, sous certaines conditions, respectivement aux salariés et aux fonctionnaires qui souhaitent mener un projet personnel.

    À l'occasion de la rentrée de septembre, des forums des associations ont généralement lieu dans les communes, c'est l'occasion de prendre contact avec elles. Les associations qui disposent d'un site internet font connaître leur besoin et diffusent leurs offres de mission. Il existe également des sites internet qui recensent des offres de mission par domaines d'activités.

      À noter :

    Vous pouvez aussi choisir de vous engager en tant que volontaire associatif mais vous serez alors soumis à un contrat avec l'association pour laquelle vous vous engagez et vous percevrez une indemnité variable selon le temps consacré à votre mission.

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Sénat

    Ministère chargé de la vie associative

  • Levothyrox : n° vert (20 09 2017)

    Nous proposons cette fiche de synthèse publiée le 12 septembre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11995?xtor=EPR-100.html

    Levothyrox : un numéro vert pour s'informer

    Publié le 12 septembre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Le 23 août 2017, l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a mis en place un numéro vert (gratuit) concernant le changement de formule et de couleur des boîtes de Levothyrox. Le service est joignable du lundi au vendredi de 9 heures à 19 heures, au numéro suivant : 0.800.97.16.53.

    Le numéro vert a été mis en place par l'ANSM à la suite de signalements d'effets indésirables (fatigue inhabituelle, palpitations, tachycardie, par exemple) par les patients prenant du Levothyrox, médicament indiqué dans le traitement de la thyroïde. Selon l'ANSM, les effets indésirables sont dus à la nouvelle formule du Levothyrox, mise sur le marché depuis avril 2017.

    L'ANSM a également mis en place une foire aux questions en ligne . Les questions qui ont notamment été traitées sont les suivantes :

    • mon médecin m'a dit que la formule de Levothyrox avait changé, quels sont les changements ?
    • le pharmacien m'a délivré une boîte différente de celle que je prends d'habitude, que dois-je faire ?
    • quels sont les symptômes qui doivent m'alerter sur un déséquilibre thyroïdien ?
    • que faut-il faire en cas d'effets indésirables suite au passage à la nouvelle formule ?

    Pour en savoir plus

    Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM)

    Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM)

    • Questions/Réponses concernant le Levothyrox 

    Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM)

  • Informatique : logiciel malveillant (04 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 29 juin 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11831?xtor=EPR-100

    Rançongiciel : les recommandations de sécurité

    Publié le 29 juin 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Message électronique douteux avec des pièces jointes ? Clé USB d'origine inconnue ? Alors que se propage, depuis le 27 juin 2017, un programme informatique malveillant de type rançongiciel, l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi) fait un certain nombre de recommandations.

    Il est notamment conseillé aux utilisateurs (collectifs ou particuliers) de :

    • de ne pas ouvrir les pièces jointes des messages électroniques suspects (fautes d'orthographes, pièces jointes au nom trop succinct ou trop générique...) ;
    • de se méfier de courriel de type « hameçonnage ciblé » qui personnalise le contenu par rapport à l'environnement de l'utilisateur afin de tromper sa vigilance ;
    • de ne pas suivre les liens des messages électroniques suspects et de vérifier la cohérence entre l'adresse affichée dans le contenu et le lien effectif ;
    • de ne pas réactiver des fonctionnalités désactivées dans la configuration des logiciels, même si le fichier ouvert y incite par un message particulier.

    En cas d'incident :

    • pensez à déconnecter immédiatement du réseau les équipements identifiés comme compromis ;
    • alertez le responsable sécurité ou le service informatique au plus tôt ;
    • sauvegardez les fichiers importants sur des supports amovibles isolés ;
    • et ne payez pas la rançon.

      À savoir :

    Un rançongiciel (ransomware en anglais) est un type de programme informatique malveillant ayant pour objectif de vous faire payer une rançon en vous bloquant l'accès à vos fichiers.

    Pour en savoir plus

    Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi)

    Ministère chargé de l'économie