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dépenses - Page 4

  • ménages : dépenses décembre 2010 (27 01 2011)

    Note publiée le 25 janvier 2011 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au texte complet sur le site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=19&date=20110125.html

    Dépenses de consommation des ménages en produits manufacturés en décembre 2010

    En décembre 2010, la prime à la casse soutient de nouveau la consommation des ménages en produits manufacturés (+0,6 %)

    En décembre 2010, les dépenses de consommation des ménages en produits manufacturés augmentent de 0,6 % en volume, après + 2,7 % en novembre. Sur l’ensemble du 4ème trimestre, la hausse est de +1,9 %, après +1,2 % au troisième trimestre. L’année 2010 se conclut sur une progression de +1,0 % en moyenne annuelle, légèrement supérieure à celle de 2009 (+0,8 %).

    Biens durables : encore une forte hausse des achats d’automobiles

    Les dépenses en biens durables augmentent encore en décembre (+3,6 %). La hausse sur l’ensemble du quatrième trimestre est de +6,6 %, après +1,0 % au trimestre précédent. Ce dynamisme est imputable aux dépenses en automobiles (+8,6 % après +14,1 % en novembre, +15,4 % sur l’ensemble du trimestre), en forte hausse avant l’arrêt de la prime à la casse au premier janvier 2011. Mais les baisses au premier semestre conduisent à un recul d’ensemble sur 2010 : –3,0 % après +7,9 % en 2009.

    Les achats en équipement du logement baissent légèrement en décembre par rapport à novembre (-0,5 %), notamment en raison du recul des achats de meubles. Sur l’ensemble du trimestre, la hausse est de +0,5 %, sur l’ensemble de l’année elle reste très dynamique (+7,1 % après +5,4 %).

    Textile-cuir : baisse en décembre

    En décembre, les achats de textile-cuir baissent de 1,0 %, après +2,7 % en novembre. Sur l’ensemble du 4ème trimestre, ils reculent de 0,9 % (après une hausse très forte, +4,5 % au 3ème trimestre). Au total, 2010 renoue avec la croissance (+1,8 %) après deux années de recul.

    Autres produits manufacturés : les dépenses reculent aussi

    Les dépenses de consommation en autres produits manufacturés sont en baisse de 0,9 % en décembre (après + 0,5 % en novembre). Ce poste est notamment freiné par le recul des dépenses en quincaillerie-bricolage. Sur l’ensemble du dernier trimestre, comme sur l’année, ce poste de consommation est stable.

    La hausse de novembre est légèrement révisée : +2,7 % contre +2,8 % en première estimation

    La hausse de la consommation en biens manufacturés est maintenant estimée à +2,7 % en novembre, contre +2,8 % précédemment. Les dépenses en biens durables sont révisées de -0,5 point ; les dépenses en automobiles sont révisées de -0,8 point et celles en équipement du logement de -0,2 point. Les dépenses en produits textiles et cuir sont révisées de –0,2 point. Enfin, les dépenses en autres produits manufacturés sont révisées de +0,2 point.

    Ces révisions sont majoritairement dues à l’actualisation des coefficients de correction des variations saisonnières. Elles s’expliquent dans une moindre mesure par l’intégration de nouvelles informations connues depuis lors, portant sur les autres produits manufacturés.

  • santé dans le monde (OCDE dépenses et chiffres nov. 2007)

     

    Les dépenses de santé représentent une part toujours croissante du produit intérieur brut (PIB) des pays de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), confrontés au vieillissement de leur population et à un bond de la consommation de médicaments.

     

    Vu de France, l'évolution à la hausse des dépenses de santé est jugée préoccupante. Une vision relativisée par le Panorama de la santé 2007 réalisée dans les pays de l'OCDE. L'étude souligne en effet que "des pays comme l'Allemagne et la France ont enregistré une croissance modérée de leurs dépenses de santé par habitant, de l'ordre de 2% par an entre 1995 et 2005". Ce résultat s'explique en partie par les mesures de maîtrise des coûts et une faible croissance économique sur la période. "En conséquence, en 2005, les dépenses de santé par habitant en Allemagne et en France n'était supérieure que d'environ 20% en valeur réelle aux niveaux de 1995, alors que la moyenne de l'OCDE était supérieure de près de 50%".

     

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  • négociations présidentielles : méthode et coût ? (15 novembre 2007)

    La lecture d'un long article de M. Alain Sannoy, lu sur le site du Monde le 10/11/2007 nous a paru éclairer singulièrement les effets financiers et économiques sur la collectivité nationale des modes de négociation du observés chez le Président Sarkozy.

      Les impatiences coûteuses du Président Sarkozy  

    La récente visite du président Sarkorzy aux pêcheurs de Guilvinec pose à la fois des problèmes de méthode et des questions de fond. Arrivé avec un chèque de 10 millions d'euros, il est reparti en laissant sur la table une enveloppe trois fois plus importante, le tout en moins d'une heure.

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  • SNCF : projet de tarifs

    Lu dans la TriBune du 11 septembre 2007

    La SNCF a présenté sa prochaine (7 octobre 2007) offre de tarifs et de services pour les trains à réservations obligatoires, qui prévoit de nouvelles réductions, mais durcit les conditions de remboursements et d'échanges des billets.

     

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  • dépendance et fiscalité

    DIRECTION GÉNÉRALE DES IMPÔTS

     

    Instruction n° 98 du 14 AOÛT 2007

    IMPOT SUR LE REVENU. REDUCTION D'IMPOT AU TITRE DES DEPENSES LIEES A LA DEPENDANCE.

    COMMENTAIRES DE L’ARTICLE 11 DE LA LOI DE FINANCES POUR 2007 (N°2006-1666 DU 21 DECEMBRE 2006)

    P R E S E N T A T I O N

    L’article 11 de la loi de finances pour 2007 (n°2006-1666 du 21 décembre 2006) réécrit intégralement l’article 199 quindecies du code général des impôts (CGI) qui prévoit une réduction d’impôt sur le revenu en faveur des contribuables qui supportent des dépenses liées à la dépendance. Il modifie l’économie du dispositif jusque là applicable sur les points suivants :

    - la définition des établissements concernés est simplifiée, en visant directement les établissements et services assurant l'hébergement des personnes âgées dépendantes et les sections de soins de longue durée des établissements de santé, sans référence au processus de conventionnement ou de tarification ;

    - le dispositif est rendu compatible avec les principes communautaires en l’étendant aux personnes hébergées dans des établissements situés dans les autres Etats membres de l’Union européenne, dès lors qu’il s’agit d’établissements de nature équivalente à ceux habilités à héberger des personnes âgées en France conformément aux dispositions du 6° du I de l’article L. 312-1 du code de l’action sociale et des familles ;

    - la base de la réduction d’impôt sur le revenu est étendue dans tous les cas aux frais d’hébergement proprement dits (logement et nourriture) à la condition que ces frais s’ajoutent à des dépenses liées à la dépendance. Le dispositif dérogatoire réservé aux contribuables hébergés avant 2003 au sein d’une unité de soin de longue durée devient dès lors sans objet ;

    - le plafond des dépenses éligibles à la réduction d’impôt sur le revenu est porté de 3 000 € à 10 000 €.

  • pouvoir d'achat (août 2007)

     

    Dans son édition du 29 août 2007, l’Internaute Magazine souligne que sur 12 mois, le pouvoir d’achat augmente de moins d’1% (0,8% de juin 2006 à juin 2007, contre 0,9% les douze mois précédents), selon les résultats d’une étude de l’association 60 millions de consommateurs (Institut National de la Consommation ou INC).

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