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  • Crise sanitaire : dépenses publiques (05 10 2021)

    Nous vous proposons aujourd’hui des extraits (présentation et sommaire) d’’un rapport de la Cour des Comptes publié le 9 septembre 2021 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/rapport/281413-rapport-sur-depenses-publiques-pendant-la-crise-et-le-bilan-operationnel#xtor=EPR-526.html

    cliquer ci-dessous pour accéder au texte complet du rapport (pdf)

    https://www.vie-publique.fr/sites/default/files/rapport/pdf/281413.pdf

    Les dépenses publiques pendant la crise et le bilan opérationnel de leur utilisation

     

    SYNTHÈSE

    La crise du Covid-19 et ses conséquences économiques et sociales ont induit une forte hausse des dépenses publiques. Ces dernières ont représenté 61,8% du PIB en 2020, contre 55,4% en 2019. À la demande de la commission des finances de l’Assemblée nationale, la Cour s’est attachée à analyser l’évolution de ces dépenses, qu’elles résultent ou non des conséquences de la crise sanitaire. Selon les conventions de calcul retenues par la Cour, la hausse atteint 96,4 milliards d’euros, soit +6,5%, correspondant pour 86% à des dépenses de crise. Les dépenses ordinaires, sans lien avec la crise, représentent 14% de la hausse des dépenses publiques, soit 13,7 milliards d’euros. La hausse des dépenses publiques a principalement concerné l’Etat (+ 11,0 %) et les administrations de sécurité sociale (+ 5,6 %). En revanche les dépenses des collectivités territoriales ont été peu affectées par la crise sanitaire (-0,9%).

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  • Budget des ménages : dépenses pré-engagées (16 09 2021)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 9 septembre 2021 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/281382-depenses-pre-engagees-et-pouvoir-dachat-des-francais#xtor=EPR-696.html

     

    Dépenses pré-engagées : le pouvoir d’achat des Français est-il en baisse ?

     

    La part des dépenses pré-engagées des ménages français dans l’ensemble de leurs charges financières est passé de 27% à 32% entre 2001 et 2017. L’augmentation du poids de ces dépenses contraintes et débitées souvent automatiquement chaque mois peut ainsi accroître le sentiment de perte de pouvoir d’achat.

     

    Les dépenses pré-engagées représentent 41% des dépenses totales des ménages pauvres, contre seulement 28% pour les ménages aisés. L’écart a plus que doublé entre ces deux catégories de ménages entre 2001 et 2017.

     

    Loyers, charges, dépenses d'eau, d'électricité, services de télécommunications ou de télévision, assurances, remboursements d'emprunts immobiliers... Pour l’ensemble des ménages, le poids des dépenses pré-engagées dans la dépense totale a augmenté en moyenne de deux points entre 2011 et 2017 passant de 30% à 32% de leur dépense totale. Toutefois, la part des dépenses pré-engagées dans la dépense totale des ménages les plus modestes est plus élevée que celle des ménages les plus aisés.

     

    C'est ce qui ressort de l’étude de France Stratégie publiée le 31 août 2021, dont les données sont issues des enquêtes Budget de famille de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Pour effectuer cette étude, la population a été scindée en quatre catégories de niveau de vie : ménage pauvres, ménages modestes non pauvres, classes moyennes, ménages aisés.

     

    Dépenses pré-engagées : le poids du logement

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  • 100% Santé (13 02 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 7 février 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ181107623.html

    Question écrite n° 07623 de M. Antoine Lefèvre (sénateur de l’Aisne)

    Antoine Lefèvre attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur l'importance de compléter le ″100 % santé″ pour éviter toute subsistance du reste à charge subi.

     

    Assurer aux Français un remboursement à 100 % sur leur lunette est une première étape indispensable, mais qui pourrait se révéler incomplète si par ailleurs ils doivent par exemple avancer les frais de leur remboursement (240 € en moyenne), choisir un équipement correcteur en méconnaissance de la prise en charge complémentaire à laquelle ils ont droit, ou subir un reste à charge en raison d'un remboursement fortement amoindri du aux pratiques des réseaux de soins (certains réseaux prévoient des remboursements différenciés de plus de 400 % !).

     
    Or, dans un contexte où la réforme du « 100 % santé » s'adresse d'abord aux Français les plus fragiles, le maintien de telles dispositions pourrait altérer sa portée effective en ce qu'elles créent une rupture d'égalité ; chaque euro cotisé ne donnant pas les mêmes droits selon leur professionnel de santé et brouillant le message social du ″100 % santé″.

     

    C'est pourquoi il lui demande de bien vouloir lui préciser la position du Gouvernement quant à la suppression du remboursement différencié, ainsi que les actions qu'il envisage pour lutter contre toutes les formes de reste à charge subi.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 07/02/2019 - p. 704

     

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  • Chèque énergie (31 03 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 9 février 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ161224210.html

    Question écrite n° 24210 de M. Jean-Noël Guérini (sénateur des Bouches-du-Rhône)

    Jean-Noël Guérini appelle l'attention de Mme la ministre de l'environnement, de l'énergie et de la mer, chargée des relations internationales sur le climat sur les conséquences de la généralisation du chèque énergie.

     
    La deuxième édition des chiffres-clés de la précarité énergétique, publiée en novembre 2016 par l'Observatoire national de la précarité énergétique, indique qu'en 2013 près de six millions de ménages (20,4 %) éprouvaient des difficultés à s'acquitter de factures énergétiques pesant lourd dans leur budget. C'est pourquoi le chèque énergie a été conçu pour se substituer aux tarifs sociaux et permettre aux ménages modestes de régler tout ou partie de leurs dépenses d'énergie. Instauré par l'article 201 de la loi n° 2015-992 du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte, ses conditions d'application sont définies par le décret n° 2016-555 du 6 mai 2016 relatif au chèque énergie, qui prévoit son expérimentation dans les départements de l'Ardèche, de l'Aveyron, des Côtes-d'Armor et du Pas-de-Calais, avant sa généralisation prévue au 1er janvier 2018.

     

    Or des voix convergent pour affirmer que ce déploiement sur l'ensemble du territoire pourrait pénaliser de nombreux Français. En effet, ceux qui bénéficiaient jusqu'alors du tarif de première nécessité (TPN) pour l'électricité et du tarif spécial de solidarité (TSS) pour se chauffer au gaz touchaient chaque année plus de 200€ par an (montant moyen du TSS de 110€ et du TPN de 95€ selon les chiffres du rapport d'activité 2015 du Médiateur national de l'énergie), quand le montant du chèque énergie ne sera que de 150€.

     
    Sachant que, depuis 2008, les prix de l'énergie en France ont augmenté de 35 % et que cette hausse devrait se poursuivre, il souhaiterait s'assurer que la généralisation du chèque énergie ne va pas s'effectuer au détriment de populations déjà vulnérables. 

     

    Réponse du Ministère de l'environnement, de l'énergie et de la mer, chargé des relations internationales sur le climat publiée dans le JO Sénat du 09/02/2017 p. 529

     

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  • Rénovation énergétique : arnaques (04 03 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 27 janvier 2017 sur le site Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (cliquer ici pour accéder au site de la DGCCRF) 

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/renovation-energetique-gare-aux-escrocs.html

    Rénovation énergétique : gare aux escrocs ! - 27/01/2017 

    Attention aux arnaques à la rénovation énergétique ! Des entreprises peu scrupuleuses démarchent des consommateurs dans le but de faire signer des bons de commande et éventuellement des contrats de crédit pour des travaux d’amélioration de l’habitat qui se révèlent souvent sans rapport avec les promesses annoncées.

     

    Devis incompréhensibles, crédits camouflés, labels de qualité mensongers, pressions pour conclure la vente sans délai, travaux bâclés..., de plus en plus de consommateurs sont victimes de professionnels peu scrupuleux qui profitent du succès des énergies vertes et économes pour démarcher de façon agressive des prospects souvent démunis.

    Les nombreuses plaintes de propriétaires floués enregistrées par la DGCCRF ont conduit ses services à enquêter sur ce secteur. Les contrôles ont permis d’identifier un large éventail de pratiques commerciales déloyales qui ont fait l’objet de sanctions : 20 avertissements, 22 injonctions et 48 procès-verbaux pénaux en 2015.

    Compte tenu des enjeux financiers et de la gravité des manquements relevés, la DGCCRF – sans déconseiller de tels investissements – recommande aux consommateurs la plus grande vigilance, surtout en cas de démarchage.

     

    Quelques conseils pratiques

    • Méfiez-vous des entreprises qui se réclament d’organismes publics ou de fournisseurs d’énergie.
    • Prenez le temps de la réflexion et de la comparaison avant de vous décider.
    • Vérifiez les données chiffrées avancées par le vendeur, certaines pourraient ne pas être à jour, être surévalués, ou ne pas correspondre au type de matériel vendu.
    • Assurez-vous que les vendeurs bénéficient bien des labels de qualité annoncés.
    • Demandez des références au vendeur (travaux déjà réalisés, par exemple).
    • Ne signez jamais un document sans l’avoir entièrement lu.
    • Des regrets ? Faites usage du délai de rétraction de 14 jours prévu par la loi.
    • Ne remettez aucun paiement immédiat au vendeur.
    • Ne prenez pas un crédit à l’aveuglette.
    • Au moindre doute, faites appel aux services de la direction départementale de la protection des populations (DDPP) ou à la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP).

    En cas de litige, agissez auprès du tribunal compétent

  • Départements : dépenses sociales 2014 (03 03 2016)

    Nous proposons aujourd’hui une note d’information publiée le 16 février 2016 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/departements-depenses-sociales-hausse-20160209.html?xtor=EPR-56.html

    Départements : des dépenses sociales en hausse

    Une étude publiée par la Drees, le 10 février 2016, dresse le bilan des dépenses sociales des départements. En 2014, les conseils généraux ont dépensé 35,1 milliards d’euros au titre de l’aide sociale.

    Par rapport à 2013, les dépenses sociales des départements ont progressé de 3%. Par rapport à 2010, la hausse est de 9%. Ces dépenses se répartissent en quatre postes principaux :

    • les dépenses liées au revenu de solidarité active (RSA), RSA socle et RSA majoré, et aux contrats uniques d’insertion (CUI) représentent 30% du total et sont en augmentation de 8% par rapport à 2013. Le RSA contribue aux deux tiers de la croissance des dépenses totales d’aide sociale.
    • l’aide sociale à l’enfance (ASE) pour 23% du total. La part des dépenses de l’aide sociale à l’enfance est désormais fortement inférieure à ce qu’elle était en 1996. L’essentiel des dépenses est dédié aux placements d’enfants en établissements ou en familles d’accueil.
    • l’aide sociale aux personnes âgées représente 22% du total des dépenses. Il s’agit de financer l’allocation personnalisée d’autonomie (APA) ou l’aide sociale à l’hébergement (ASH).
    • l’aide sociale aux personnes handicapées pour 22% du total. L’accueil hors du domicile concentre 75% des dépenses.

    Le département a de larges compétences en matière d’aide sociale. L’aide sociale départementale garantit aux personnes qui sont dans l’incapacité d’assurer leur autonomie la couverture de leurs besoins essentiels.

    Mots clés Collectivités territoriales Protection sociale

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