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dechets - Page 6

  • Gestion des déchets (20 07 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 13 juin 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120801445.html

    Question écrite n° 01445 de M. Louis Nègre (sénateur UMP des Alpes-Maritimes)

     

    M. Louis Nègre attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie sur la politique de gestion des déchets.

     

    L'objectif fixé par l'Union européenne pour 2020 est d'atteindre un taux de 50 % de recyclage des déchets ménagers, qui se chiffraient en 2010 à 502 kg par habitant. Mais entre la Bulgarie qui affiche un taux de recyclage de 0 %, l'Île-de-France qui est à 30 % et la Flandre en Belgique qui atteint un niveau de 70 %, la situation est très hétérogène. Pour cela il faut réduire l'écart entre les pratiques des États membres et identifier les bonnes pratiques. 
    Parmi les pionniers de la valorisation, la Flandre a réduit à 150 kg par an par habitant la quantité des déchets résiduels et la quasi-totalité de ceux-ci sont incinérés avec des dispositifs pour récupérer la chaleur pour le chauffage urbain.

     
    Dans un petit pays comme la Flandre, les autorités ont décidé d'agir afin que les déchets d'aujourd'hui soient des sources de matériaux pour demain. La région a mis en place une gestion écologique de tous les déchets y compris les boues de dragages et graisses animales et a instauré l'obligation de reprise des produits usagés par les producteurs.

     
    Il souhaite savoir quelles mesures le Gouvernement compte prendre pour gérer les déchets dans notre pays. 

     

    Réponse du Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie publiée dans le JO Sénat du 13/06/2013 – p. 1789

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  • Pollution marine : trafic de déchets dangereux (15 07 2013)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 22 mai 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ13020342S.html

    Déchets toxiques ; Lutte contre l’éco-mafia

    Question orale sans débat n° 0342S de M. Gilbert Roger (Seine-Saint-Denis - SOC)

     

    M. Gilbert Roger. Je souhaitais attirer l'attention du Gouvernement et, en particulier, de Mme la ministre de l'écologie, sur la gestion, depuis plus de vingt ans, par la criminalité organisée via certaines sociétés ou certains intermédiaires crapuleux, de plusieurs millions de tonnes de déchets de produits radioactifs et toxiques qui, transportés de l'Europe vers l'Afrique et l'Asie, transitent chaque année par la mer Méditerranée, avec la complicité de certains gouvernements.

    Ces déchets dangereux, acheminés par des bateaux dénommés « navires de venins », sont ensuite coulés au large des côtes méditerranéennes. Des réponses transfrontalières de lutte contre ce trafic - d'autant plus important qu'il s'internationalise - s'imposent.

    Le phénomène des éco-mafias s'étant développé de façon exponentielle ces dernières années, quelles mesures le Gouvernement compte-t-il prendre, en concertation avec les autres gouvernements des pays de la région méditerranéenne, pour favoriser la protection des eaux de la pollution et la répression des trafics illicites de déchets ?

    Réponse du Ministère chargé des petites et moyennes entreprises, de l'innovation et de l'économie numérique publiée dans le JO Sénat du 22/05/2013 p. 4308

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  • Éthylotests obligatoires : déchets (26 12 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 22 novembre 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120901739.html


    Question écrite n° 01739 de M. Roland Courteau (sénateur socialiste de l’Aude)

    M. Roland Courteau expose à Mme la ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie que, depuis le 1er juillet, les éthylotests à bord des véhicules sont devenus obligatoires.

    Or, se pose la question des modalités de gestion en fin de vie de ces équipements, dès lors que les éthylotests à usage unique contiennent du chrome VI ou chrome hexavalent, substance chimique nocive pour l'environnement et la santé humaine, car cancérigène, mutagène et reprotoxique.

    Il lui fait remarquer que les jeter à la poubelle, comme semblent le préconiser les fabricants, ne constitue pas la meilleure des solutions, dès lors qu'il s'agit de quelque 60 millions d'éthylotests mis sur le marché.

    Ainsi peut-on craindre, d'une part, les conséquences d'une mise en décharge de ces équipements pour les eaux superficielles et souterraines ou, d'autre part, la pollution de l'air, dans le cas où ils seraient incinérés.

    Il lui demande de lui faire part de sa réflexion sur le problème ainsi posé et les solutions envisagées pour assurer de meilleure manière la gestion en fin de vie de ces éthylotests.

    Réponse du Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie publiée dans le JO Sénat du 22/11/2012 - page 2671  

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  • Déchets ménagers : cour des Comptes (11 06 2012)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 15 mai 2012 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-119913QE.htm

    Question n° 119913 de M. Denis Jacquat (député Union pour un Mouvement Populaire de Moselle)

    M. Denis Jacquat attire l'attention de M. le ministre auprès du ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration, chargé des collectivités territoriales, sur les recommandations exprimées dans le rapport public thématique de la Cour des comptes intitulé « les collectivités territoriales et la gestion des déchets ménagers et assimilés ».

    Selon la Cour des comptes, l'objectif est de développer des modes de tarification favorisant les actions de prévention et de recyclage tout en appliquant le principe « pollueur-payeur ». Pour y parvenir, elle propose de faire évoluer les modalités de tarification du service public rendu aux ménages de la façon suivante : en suggérant aux collectivités, souhaitant passer au système « part fixe-part variable », aussi bien dans le cadre de la taxe d'enlèvement des ordures ménagères (TEOM) que dans celui de la redevance (REOM : redevance d'enlèvement des ordures ménagères), d'élaborer une méthodologie permettant de déterminer de manière optimale les parts fixes et variables, y compris en fonction des circonstances locales et de fixer des règles d'assiette et de perception simples et efficientes.

    Il le remercie de bien vouloir lui indiquer son avis à ce sujet.

    Réponse du Ministère des Collectivités territoriales publiée au JO le 15/05/2012 p. 3784

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  • Déchets ménagers : Cour des comptes (20 09 2011)

    Extraits d’un article de Mme Virginie de Kerautem publié le 13 septembre 2011 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/19700101trib000648906/dechets-menagers-des-couts-de-gestion-trop-eleves-et-mal-repartis.html

      

    Les coûts de gestion des déchets ménagers pour les collectivités locales augmentent de 6% par an en France depuis quelques années souligne la Cour des Comptes dans un rapport, avec des variations allant du simple au triple selon les collectivités…/… La gestion des déchets ménagers et assimilés (d'origine commerciale ou artisanale) a coûté 8 milliards d'euros en 2009, soit 124 euros par habitant et par an…/… ce sont les coûts en personnel qui ont crû le plus (+40%) tandis que la hausse liée à la collecte et les traitements de déchets ressort à 10%.../…

     

    contrairement à 2004,  les 128 incinérateurs en fonction "respectent désormais tous les normes en matière de pollution de l'air"…/…

     

    L'évolution des coûts pâtit donc des relations "difficiles" entre les collectivités et les prestataires privés, en particulier le manque de contrôle des premières sur les secondes…/…

     

    Le document s'en prend également au régime du "fini-parti". Ce principe permet à l'agent de quitter son poste dès qu'il a terminé sa collecte. Or, ces agents sont soumis aux 35 heures, payées par la collectivité…/…