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tabac

  • Tabac, alcool, drogues illicites : coût social (13 09 2023)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 28 août 2023 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/290739-tabac-alcool-drogues-illicites-une-estimation-de-leur-cout-social.html

    Tabac, alcool, drogues illicites : une estimation de leur coût social

    Publié le 28 août 2023

    L’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) évalue, dans une étude publiée en juillet 2023, le coût monétaire des conséquences de la consommation du tabac, de l’alcool, des drogues illégales et du trafic de ces dernières, aussi appelé "coût social".

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  • Novembre, mois sans tabac (31 10 2022)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 17 octobre 2022 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15291?xtor=EPR-100.html

    Novembre, c'est le Mois Sans Tabac !

    Publié le 17 octobre 2022 - Direction de l'information légale et administrative (1er ministre)

    Vous êtes fumeur ? En ce mois de novembre, profitez du « Mois Sans Tabac » pour essayer de vous arrêter de fumer. En vous inscrivant sur le site Internet Mois Sans Tabac, vous bénéficiez d'outils et de conseils pour vous aider à écraser votre dernière cigarette.

    En ce mois de novembre 2022, le Mois Sans Tabac revient pour la septième année consécutive ! C'est un défi national lancé aux fumeurs pour les inciter à essayer d'arrêter de fumer. En vous inscrivant sur le site Mois Sans Tabac, vous bénéficiez d'un accompagnement au sevrage jour après jour, tout au long du mois de novembre.

    Vous pouvez vous inscrire dès le mois d'octobre sur le site dédié au Mois sans tabac et participer à la phase préparatoire de l'arrêt.

    Dans la plupart des cas, à l'issue de la période de 30 jours d'arrêt, les symptômes de manque sont considérablement réduits et les chances d'arrêter de fumer définitivement sont 5 fois supérieures qu'au début de la période de sevrage.

    Pourquoi s'inscrire à Mois Sans Tabac ?

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  • Génération sans tabac ? Quand ? (06 07 2021)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 1er juin 2021 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/280031-tabagisme-dans-lue-les-conditions-dune-generation-sans-tabac#xtor=EPR-696.html

    Tabagisme dans l'UE : les conditions d'une génération sans tabac d'ici à 2040

    Cigarettes, tabac à rouler... Avec 27% de l'ensemble des cancers qui lui sont imputables, le tabac constitue le plus grand risque sanitaire évitable dans l'Union. La Commission européenne a publié un premier rapport concernant les résultats de la directive de 2014 sur les produits du tabac.

    Publié le 1 juin 2021

     

    Le taux de tabagisme chez les jeunes est tombé à 20% en 2020, contre 25% en 2014, après avoir culminé à 29% en 2017

    Entrée en vigueur en 2014 et applicable depuis mai 2016 dans tous les États de l'Union européenne (UE), cette directive sur les produits du tabac a démontré sa pertinence dans le cadre d’une politique globale de l’UE en matière de lutte antitabac selon un rapport publié par la Commission européenne le 20 mai 2021.

    La consommation de tabac dans l'UE a ainsi diminué passant de 26% de la population âgée de 15 ans et plus en 2014 à 23% en 2020. De même, le taux de tabagisme chez les jeunes est tombé à 20% en 2020 (ce taux était de 25% en 2014 après avoir culminé à 29% en 2017). Les différences nationales restent cependant significatives.

    Des mesures efficaces pour réduire la consommation

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  • 2020 : consommation de tabac (31 05 2021)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 26 mai 2021 dans le bulletin épidémiologique hebdomadaire n°8 spécial (cliquer ici pour accéder au site du BEH)

    http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2021/8/2021_8_1.html

    Consommation de tabac parmi les adultes en 2020: résultats du Baromètre de Santé publique France

    Etude de Anne Pasquereau (anne.pasquereau@santepubliquefrance.fr), Raphaël Andler, Romain Guignard, Noémie Soullier, Arnaud Gautier, Jean-Baptiste Richard, Viêt Nguyen-Thanh
    Santé publique France, Saint Maurice, France

    Résumé

    Introduction 

    La prévalence du tabagisme a diminué en France ces dernières années, avec la mise en place de plans nationaux de lutte contre le tabagisme. Mais la France, comme le reste du monde, a été touchée en 2020 par une crise exceptionnelle liée à la pandémie de Covid-19. L’objectif de cette étude est d’estimer la prévalence du tabagisme en 2020 et son évolution par rapport à 2019.

    Méthodes 

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  • Cesser de fumer (16 11 2020)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 12 octobre 2020 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A14364?xtor=EPR-100.html

    Novembre : le mois pour arrêter de fumer avec MoisSansTabac !

    Publié le 12 octobre 2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Vous avez envie d'arrêter de fumer mais vous manquez de motivation. Savez-vous que le dispositif MoisSansTabac déployé durant le mois de novembre peut vous y aider gratuitement ? Kit d'aide à l'arrêt, encouragements, application personnalisée, groupes de soutien, consultations téléphoniques gratuites avec des tabacologues... Pendant un mois, Tabac Info Service vous accompagne pour que votre tentative d'abandon de la cigarette soit un succès.

     

    Le ministère des Solidarités et de la Santé, en partenariat avec l'Assurance maladie et Santé publique France, poursuivent le challenge collectif national MoisSansTabac lancé en 2016 qui invite tous ceux qui le souhaitent à relever le défi d'arrêter la cigarette pendant un mois.

    Comment ça marche ?

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  • Tabagisme et vapotage (20 03 2020)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 23 janvier 2020 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190309507.html

     

    Question écrite n° 09507 de M. François Bonhomme (sénateur du Tarn-et-Garonne)

    François Bonhomme interroge Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la place accordée au vapotage dans les politiques publiques de lutte contre le tabagisme.


    Il rappelle que le nombre de décès annuels attribuables au tabac en France est actuellement de 73 000, ce dernier constituant par là-même la première cause de mortalité évitable de notre pays.

    Plan priorité prévention, programme national de lutte contre le tabagisme, plan national de mobilisation contre les addictions : d'aucuns ne pourraient reprocher au Gouvernement son désintérêt pour cette problématique de santé publique.


    Ces chiffres doivent néanmoins inciter le Gouvernement, non seulement à se saisir de cette problématique, mais surtout à y apporter des réponses efficaces et proportionnées.


    Il regrette à ce titre que les produits du vapotage, plus communément appelées « cigarettes électroniques », soient encore les grands absents des politiques de sortie de tabac.


    En France, la cigarette électronique est aujourd'hui essentiellement utilisée par les fumeurs : 98 % des vapoteurs sont ainsi des fumeurs ou des ex-fumeurs. De tels chiffres viennent ainsi contrecarrer les hypothèses selon lesquelles le vapotage pourrait constituer une passerelle vers le tabagisme, hypothèses par ailleurs très largement infirmées par nombre d'études dont le sérieux n'est plus à prouver.


    On estime le nombre d'ex-fumeurs ayant arrêté le tabac, au moins temporairement, grâce à la e-cigarette à environ 400 000 personnes. 82 % des fumeurs-vapoteurs sont d'accord avec l'affirmation selon laquelle la cigarette électronique leur a permis de réduire leur consommation de tabac. En outre, les fumeurs vapeurs sont 69 % à affirmer vouloir arrêter de fumer, contre 54 % des fumeurs non-vapoteurs. Les fumeurs-vapoteurs présentent donc une plus forte propension à déclarer vouloir arrêter de fumer que les simples fumeurs.


    Si le vapotage constitue l'outil d'aide à l'arrêt du tabac le plus utilisé par les Français, la cigarette électronique est toutefois encore desservie par un problème de représentation.


    La mauvaise image dont souffre la « vape » auprès du grand public en France détourne alors les fumeurs d'une alternative moins nocive pour leur santé. Il rappelle, à ce titre, que la cigarette électronique est au moins 95 % moins dangereuse que les cigarettes traditionnelles, et qu'elle présente un niveau de dangerosité pour la santé similaire à celui des substituts nicotiniques classiques.

    À titre comparatif, en Grande-Bretagne, le ministère de la santé mène depuis longtemps une politique volontariste sur le sujet, recommandant vivement aux fumeurs de passer à la cigarette électronique. Plusieurs actions visant à dissiper les inquiétudes des fumeurs ont ainsi été mises en œuvre par la ministère.


    La Grande-Bretagne affiche le plus faible niveau de prévalence tabagique en Europe : le nombre de fumeurs est ainsi passé de 19,3 % (18 ans et plus) en 2012 à 14,9 % en 2017.


    A contrario, en France, la cigarette électronique n'est toujours pas intégrée dans les différents plans présentés par le Gouvernement, même dans une optique de réduction des risques pourtant utilisée pour les autres addictions telles que les drogues et salles de consommation à moindres risques.

    Il lui demande donc de bien vouloir lui préciser les raisons du Gouvernement de ne pas intégrer plus sérieusement cet outil de sevrage tabagique dans ses politiques publiques de lutte contre le tabagisme, alors même que son efficacité et son potentiel en termes de réduction du risque tabagique ont été maintes fois démontrés.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 23/01/2020 p. 422

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