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drogue

  • Tabac, alcool, drogues illicites : coût social (13 09 2023)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 28 août 2023 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/290739-tabac-alcool-drogues-illicites-une-estimation-de-leur-cout-social.html

    Tabac, alcool, drogues illicites : une estimation de leur coût social

    Publié le 28 août 2023

    L’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) évalue, dans une étude publiée en juillet 2023, le coût monétaire des conséquences de la consommation du tabac, de l’alcool, des drogues illégales et du trafic de ces dernières, aussi appelé "coût social".

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  • Cocaïne : essor en France (09 06 2023)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 5 avril 2023 sur le site Vie publique (cliquer ici pour accéder au site Vie publique)

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/288913-marche-de-la-cocaine-en-france-un-essor-depuis-20-ans.html

    Depuis deux décennies, l'essor de la cocaïne en France

    Publié le 5 avril 2023

    Le marché de la cocaïne est "vaste et en expansion" dans l’Union européenne, souligne l'Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT). Utilisant "l’ensemble des données disponibles à ce jour", l’organisme public propose un panorama de la situation en France, l’un des États "les plus consommateurs au sein de l’UE."

    En France, la "dynamique de diffusion" de la cocaïne "s’est accélérée en 20 ans"  : c’est le constat formulé par l’OFDT dans son rapport La cocaïne : un marché en essor. Évolutions et tendances en France de mars 2023.

    En deux décennies, le nombre de consommateurs de cocaïne (usagers dans l’année) n’a cessé de progresser : 1,6% des 18-64 ans sont concernés en 2017 (les chiffres les plus récents pour la France datent de 2017), contre 0,3% en 2000. C'est chez les adultes (plus de 25 ans) issus des générations 1970 à 1990 que la consommation, en deux décennies, s’est installée. Puis, elle ralentit voire baisse dans les générations devenues adultes dans les années 2010.

    En France, une cocaïne plus accessible

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  • Médicaments : subutex (trafic, mésusage, détournement) (15 05 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 26 mars 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ131209838.html

     

    Question écrite n° 09838 de Mme Françoise Laborde (sénateur de Haute-Garonne)

     

    Mme Françoise Laborde attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le mésusage et le trafic, déviances inévitablement liées, dont fait l'objet la buprénorphine à haut dosage et en particulier son princeps, Subutex. Subutex, dont le principe actif est la buprénorphine à haut dosage (BHD), est prescrit sur ordonnance médicale sécurisée dans le cadre d'un traitement substitutif des pharmacodépendances majeures aux opiacés, dans le cadre d'une thérapeutique globale de prise en charge médicale, sociale et psychologique. L'impact positif de la BHD, dans la lutte contre la dépendance aux opiacés, la diminution des overdoses à l'héroïne et la réduction des risques liés à la consommation de stupéfiants (contaminations par le VIH), a été largement reconnu en France depuis 1995.

     

    Toutefois, si la grande majorité des patients utilisent Subutex-BHD dans un but thérapeutique, certains d'entre eux détournent ces médicaments pour les consommer dans un cadre non thérapeutique (détournements ou utilisations abusives). Par ailleurs, d'autres détournements ont été constatés qui donnent lieu à des reventes hors du circuit pharmaceutique, pour un usage équivalent à celui d'une drogue et suscitent un trafic, au niveau tant national qu'international. Aussi, en 2004, l'assurance maladie a mis en place un plan de contrôle et de suivi relatif aux traitements de substitution aux opiacés (TSO) qui consiste à cibler et à suivre individuellement les personnes qui se font délivrer l'équivalent de plus de 32 mg de buprénorphine à haut dosage par jour.

     

    Force est de constater cependant que la BHD reste toujours accessible sur le marché noir, notamment à Paris et près des régions frontalières, à un faible coût, notamment aux usagers actifs d'héroïne qui consomment également la buprénorphine en dehors du cadre d'une prescription et d'un processus de soins, en milieu ouvert mais également au sein des établissements pénitentiaires. Il est de la responsabilité des pouvoirs publics de mettre en place un plan d'actions visant à favoriser un bon usage du médicament et à lutter contre toute dérive ou pratique ayant pour but de détourner, mésuser ou trafiquer les traitements, tout en permettant aux patients de continuer à progresser dans leur parcours de soins, sans être stigmatisés.

     

    Dans cette perspective, elle souhaite connaître les mesures qu'elle entend mettre en œuvre, afin de mettre fin à un détournement et à un trafic coûteux pour l'assurance maladie.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 26/03/2015 p. 669

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  • Adolescents : Cannabis, tabac, alcool en hausse (30 04 2015)

    Note de synthèse publiée le 22 avril 2015 sur le site Vie Publique (cliquer ici pour accéder au site Vie Publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/cannabis-tabac-alcool-consommation-adolescents-hausse-20150422.html

    Cannabis, tabac, alcool : la consommation des adolescents en hausse

    La consommation de cannabis est repartie à la hausse chez les adolescents de 17 ans entre 2011 et 2014, après plusieurs années de baisse. Dans le même temps, les usages réguliers de tabac et d’alcool progressent légèrement. C’est ce que révèlent les premiers résultats de l’enquête menée lors des journées Défense et citoyenneté de mars 2014, publiés par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) en avril 2015.

    Entre 2011 et 2014, l’expérimentation du cannabis augmente, dans des proportions comparables pour les garçons et les filles (elle passe de 44% à 49,8% des garçons, de 38,9% à 45,8% des filles). Les niveaux de consommation augmentent également. En 2014, 38,2% des jeunes de 17 ans ont fumé du cannabis au moins une fois dans l’année et 9,2% sont des consommateurs réguliers (plus de 10 fois dans le mois). Parmi ceux ayant consommé dans l’année, 25,7% des garçons et 17,3% des filles présentent un risque élevé d’usage problématique ou de dépendance au cannabis. Au total, cela représente 8% des adolescents de 17 ans en 2014 (contre 5,3% en 2011).

    Sur la même période, l’expérimentation du tabac se stabilise (68,4%) et celle de l’alcool baisse (91% en 2011, 89,3% en 2014). L’usage quotidien du tabac progresse légèrement, passant de 31,5% à 32,4%. La consommation régulière d’alcool (au moins dix consommations au cours du mois) passe de 10,5% à 12,3%, mais les ivresses diminuent. En 2014, 58,9% des jeunes de 17 ans déclarent avoir déjà été ivres, 25,3% (contre 27,8% en 2011) ont connu au moins trois ivresses alcooliques dans l’année. Il en est de même des alcoolisations ponctuelles importantes (au moins 5 verres en une occasion), qui régressent sensiblement entre 2011 et 2014.

     

    Parallèlement à ces évolutions, la part des adolescents de 17 ans n’ayant expérimenté aucun de ces trois produits poursuit sa progression : 8% en 2014, contre 6,6% en 2011 et 5,1% en 2008.

  • Jeunes et addictions : prévention (06 01 2012)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 27 décembre 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-121685QE.htm

    Question n° 121685 de Mme Martine Carrillon-Couvreur (député Socialiste, radical, citoyen et divers gauche de la Nièvre)

    Mme Martine Carrillon-Couvreur attire l'attention de M. le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche sur la récente étude de l'Union nationale des mutuelles étudiantes régionales. Aujourd'hui, nombre d'étudiants ont une conduite addictive vis-à-vis de l'alcool, du tabac et du cannabis.

    En effet, 21 % des étudiants sont des consommateurs d'alcool excessifs, 33 % sont des fumeurs importants et 16 % de ces jeunes ont déjà consommé une drogue douce. Ce phénomène constaté rejaillit non seulement sur la réussite de leurs études mais produira aussi des effets à long terme sur leur santé.

    Elle lui demande de bien vouloir lui indiquer quelle politique de prévention il compte mettre en place pour préserver la jeunesse de ces addictions.

    Réponse du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche publiée au JO le 27/12/2011 p. 13692

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  • drogue : lutte et prévention (12 09 2009)

    Drogue : lutte et prévention

     

    Question d’un député et réponse ministérielle publiée sur le site de l’Assemblée Nationale le 25 août 2009 (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-52028QE.html

     

     

    Question N° : 52028 de  M. Le Fur Marc (député UMP des Côtes d’Armor)

     

    M. Marc Le Fur attire l'attention de Mme la ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales sur la lutte contre la toxicomanie et plus particulièrement sur le dispositif de prévention des risques liés à la consommation de GBL. Le GBL est un solvant utilisé d'ordinaire en qualité de décapant, qui fait l'objet d'un usage détourné à des fins hallucinatoires.

     

    Le GBL est, en outre, l'élément premier du GHB, substance psychotrope interdite depuis 2001. Très fréquemment utilisé dans l'industrie, le GBL est en vente libre et est utilisé comme substitut du GBH dans certains milieux festifs. Le 7 avril 2009, à l'issue d'une fête techno, sept jeunes sont entrés dans un coma profond à la suite de l'ingestion de cette substance. Il lui demande si, dans une logique de prévention et de précaution, le Gouvernement entend prendre en compte cet usage détourné de ce produit chimique et en interdire la vente sur le territoire national.

     

     

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