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  • SNCF : rapport Spinetta (13 03 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 21 février 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ18020231G.html

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 0231G de M. Olivier Jacquin (sénateur de Meurthe-et-Moselle)

     

    Madame la ministre chargée des transports, ma question porte sur le même sujet. Nous attendions tous, avec une certaine impatience, les conclusions du rapport Spinetta, tombées jeudi dernier. 

    Durant cette attente, je songeais à une révolution positive des transports, dans la continuité des propos du Premier ministre qui évoquait « une véritable refondation de la SNCF ». Je songeais au maillage territorial pour tous du XIXe siècle qui aurait été transcendé et adapté aux défis du XXIe siècle et des nouvelles mobilités.

     
    Je songeais à une véritable cure de jouvence pour notre SNCF, ce pilier de notre République, qui a contribué à unifier le territoire. Mais nous en sommes loin !

     
    Il y a bien sûr quelques bonnes idées et bons principes, mais, pour l'essentiel, nous sommes dans les vieilles recettes, et dans un conformisme libéral qui a montré ses limites appliquées au service public. 

    L'exemple type est la transformation en société anonyme de l'EPIC SNCF Réseau et Mobilités, au motif d'un endettement trop important, qui n'a évidemment pas été provoqué par les cheminots mais bien par les choix d'investissement de l'État. Dans cette société anonyme, le statut des cheminots ne pourra être amené à évoluer que par la négociation, et non par des effets d'annonce.

     
    Madame la ministre, à la suite de ce rapport, dans lequel la place de l'usager n'est encore que trop peu prise en compte, je vous pose plusieurs questions au nom du respect de la parole donnée. Souhaitez-vous maintenir cette approche française de la structuration du territoire par les mobilités ?  Pouvez-vous confirmer que les haltes TGV existantes ne seront pas supprimées alors même que certaines ont été cofinancées par les collectivités territoriales, comme dans ma région Grand Est ?

     

    Enfin, quels moyens seront dégagés pour financer les investissements pour les fameuses lignes à faible trafic prévus dans les contrats de plan État-région ? Quels types de financements peut-on imaginer afin de donner un avenir à ces lignes ?

     

    Réponse du Ministère auprès du ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire, chargé des transports publiée dans le JO Sénat du 21/02/2018 p. 1577

     

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  • Infos énergie transports (27 01 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 16 janvier 2018 sur le site du Commissariat Général au Développement durable (cliquer ici pour accéder au site du CGDD)

    https://www.ecologique-solidaire.gouv.fr/commissariat-general-au-developpement-durable-cgdd.html

     

    Prix du gaz en France et dans l’Union européenne 

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  • Produit intérieur Brut : 2e trimestre (28 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui (hors tableaux et graphiques) cette note d’analyse publiée le 28 juillet 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/29086900.html

    Le PIB progresse de 0,5 % au 2e trimestre 2017

    Comptes nationaux trimestriels - première estimation (PIB) - deuxième trimestre 2017

    Au 2e trimestre 2017, le produit intérieur brut (PIB) en volume* continue de progresser : +0,5 %, pour le 3e trimestre consécutif. Les dépenses de consommation des ménages accélèrent légèrement (+0,3 % après +0,1 %) tandis que la formation brute de capital fixe (FBCF) ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %). Au total, la demande intérieure finale hors stocks contribue à la croissance du PIB pour +0,4 point, comme au trimestre précédent.

    Les exportations rebondissent (+3,1 % après −0,7 %) tandis que les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). Au total, le solde extérieur contribue positivement à la croissance du PIB : +0,8 point après −0,6 point au trimestre précédent. À l'inverse, les variations de stocks y contribuent négativement (−0,6 point après +0,7 point).

    Sommaire

    La production totale croît un peu plus vite

    La consommation des ménages accélère légèrement

    L'investissement des entreprises ralentit nettement

    Le commerce extérieur contribue positivement à la croissance du PIB

    Les variations de stocks ralentissent

    Révisions

    Au 2e trimestre 2017, le produit intérieur brut (PIB) en volume* continue de progresser : +0,5 %, pour le 3e trimestre consécutif. Les dépenses de consommation des ménages accélèrent légèrement (+0,3 % après +0,1 %) tandis que la formation brute de capital fixe (FBCF) ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %). Au total, la demande intérieure finale hors stocks contribue à la croissance du PIB pour +0,4 point, comme au trimestre précédent.

    Les exportations rebondissent (+3,1 % après −0,7 %) tandis que les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). Au total, le solde extérieur contribue positivement à la croissance du PIB : +0,8 point après −0,6 point au trimestre précédent. À l'inverse, les variations de stocks y contribuent négativement (−0,6 point après +0,7 point).

    * Les volumes sont mesurés aux prix de l'année précédente chaînés et corrigés des variations saisonnières et des effets des jours ouvrables (CVS−CJO).

    La production totale croît un peu plus vite

    La production totale de biens et services accélère un peu au 2e trimestre 2017 (+0,8 % après +0,6 %). Elle augmente à nouveau dans les biens (+1,0 % après 0,0 %) tandis qu'elle est à peine moins dynamique qu'au trimestre précédent dans les services (+0,7 % après +0,8 %).

    La production manufacturière se redresse (+0,9 % après 0,0 %), principalement du fait du rebond dans la cokéfaction-raffinage. La production de gaz et d'électricité progresse à nouveau. Dans la construction, la production accélère (+1,0 % après +0,6 %). À l'inverse, elle ralentit très légèrement dans les services marchands (+0,8 % après +0,9 %).

    La consommation des ménages accélère légèrement

    La consommation des ménages accélère légèrement au 2e trimestre 2017 (+0,3 % après +0,1 %). Les dépenses en biens rebondissent (+0,4 % après −0,4 %), tandis qu'elles ralentissent en services (+0,2 % après +0,6 %).

    La consommation d'énergie se redresse (+0,5 % après −3,2 %). Les achats de biens fabriqués accélèrent légèrement (+0,2 % après +0,1 %), de même que la consommation alimentaire (+0,6 % après +0,4 %). Dans les services, le ralentissement de la consommation provient notamment de l'hébergement-restauration.

    L'investissement des entreprises ralentit nettement

    Au 2e trimestre 2017, la FBCF totale ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %) avec l'investissement des entreprises (+0,5 % après +2,1 %). L'investissement des ménages demeure soutenu (+1,0 % après +1,2 %). La FBCF en construction accélère légèrement (+0,8 % après +0,6 %), grâce à un regain de vigueur dans le génie civil. En revanche, l'investissement en biens manufacturés se replie nettement (−0,8 % après +2,0 %), surtout du fait d'un recul en biens d'équipement et, dans une moindre mesure, d'une baisse accentuée en matériels de transport. La FBCF en services marchands ralentit de façon notable (+1,0 % après +2,0 %) en raison notamment d'un repli en services aux entreprises.

    Le commerce extérieur contribue positivement à la croissance du PIB

    Les exportations rebondissent au 2e trimestre 2017 (+3,1 % après −0,7 %), notamment en matériels de transport et en autres produits industriels. Dans le même temps, les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). En particulier, les achats de produits pétroliers raffinés et de matériels de transport sont en repli. Au total, les échanges extérieurs contribuent à la croissance à hauteur de +0,8 point (après −0,6 point).

    Les variations de stocks ralentissent

    Au 2e trimestre 2017, les variations de stocks contribuent négativement à la croissance du PIB, pour −0,6 point (après +0,7 point début 2017). En particulier, elles diminuent fortement dans les matériels de transport (automobile et aéronautique).

    Révisions

    L'estimation de la croissance du PIB au 1er trimestre 2017 est confirmée à +0,5 %. De légères révisions des différents agrégats se compensent ; elles tiennent principalement à la révision des indicateurs et à l'actualisation des coefficients de correction des variations saisonnières.

  • Prix agricoles : point mensuel et annuel (21 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui (hors tableaux et graphiques) cette note d’analyse publiée le 27 juillet 2017 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/2908281.html

     

    En juin 2017, hausse des prix des produits agricoles de 3,2 % sur un an

    En juin 2017, les prix des produits agricoles (Indices des prix agricoles IPPAP, IPAMPA) continuent de ralentir sur un an (+3,2 % après +5,3 % en mai et +6,6 % en avril). Hors fruits et légumes, ils diminuent de 0,2 % sur un mois et croissent de 4,0 % sur un an.

    Sommaire

    1. Les prix des céréales se redressent tandis que ceux des oléagineux continuent de diminuer
    2. Les prix des fruits frais chutent ; ceux des légumes frais augmentent légèrement
    3. Prix des animaux en baisse, prix du lait en hausse
    4. Baisse des prix d'achat des moyens de production
    5. Révision

     

    En juin 2017, les prix des produits agricoles continuent de ralentir sur un an (+3,2 % après +5,3 % en mai et +6,6 % en avril). Hors fruits et légumes, ils diminuent de 0,2 % sur un mois et croissent de 4,0 % sur un an.

    1.Les prix des céréales se redressent tandis que ceux des oléagineux continuent de diminuer

    En juin 2017, les prix des céréales rebondissent (+2,8 %). Les canicules en Europe de l'Ouest et aux États-Unis ont suscité des craintes de baisse de rendement pour le blé et le maïs. Les prix des oléagineux décroissent de nouveau (−11,5 % sur trois mois) : la baisse du prix du pétrole limite l'attrait des agro-carburants tandis que le marché des huiles est saturé en raison d'une demande atone de l'industrie agro-alimentaire.

    2.Les prix des fruits frais chutent ; ceux des légumes frais augmentent légèrement

    En juin 2017, les prix des fruits frais se replient nettement sur un an (−12,4 %). Le prix de l'abricot plonge d'un tiers sous l'effet d'une offre abondante. Les températures élevées en juin ont accéléré les récoltes en France ; celles-ci sont de plus concurrencées par les arrivages espagnols saisonniers. Le prix de la cerise chute aussi, de près de 20 %. Sa production est revenue à la normale par rapport aux faibles volumes de l'an dernier. À l'inverse, les prix des légumes frais se redressent un peu (+1,1 %). Celui de la tomate est en hausse, le temps précocement estival ayant précipité la demande. Les prix des vins diminuent globalement de 0,5 % sur un an : ceux des vins d'appellation augmentent de 1,9 % tandis que les prix des vins sans appellation, concurrencés par les vins espagnols, baissent de 10,8 %.

    3.Prix des animaux en baisse, prix du lait en hausse

    En juin, les prix des animaux continuent de baisser dans l'ensemble (−1,3 % après −0,6 %). Le prix du porc recule depuis deux mois (−5,9 % en juin après −2,7 %) avec le repli de la demande chinoise. Le prix des ovins augmente franchement (+6,2 %) avec, côté demande, la fin du ramadan et, côté offre, un recul des exportations néo-zélandaises.

    4.Baisse des prix d'achat des moyens de production

    En juin 2017, les prix des consommations intermédiaires diminuent de nouveau (−0,7 %, comme en mai) du fait de la baisse des prix des engrais (−4,3 %) et de l'énergie (−2,3 %). Sur un an, ils se replient de 0,3 %, freinés notamment par la baisse du prix des engrais (−4,9 %). Les prix des biens d'investissement sont stables sur le mois et en hausse de 1,7 % sur un an.

    5.Révision

    L'évolution sur un an de l'IPPAP a été abaissée de 0,1 point en mai ; celle de l'IPAMPA est inchangée.

  • Véhicules électriques : avenir (10 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note de synthèse publiée en juillet 2017 sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (cliquer ici pour accéder au site du ministère)

    https://www.ecologique-solidaire.gouv.fr/collection-thema#e1.html

    Cliquer ci-dessous pour accéder au texte intégral du rapport :

    https://www.ecologique-solidaire.gouv.fr/sites/default/files/Th%C3%A9ma%20-%20Analyse%20co%C3%BBts%20b%C3%A9n%C3%A9fices%20des%20v%C3%A9hicules%20%C3%A9lectriques.pdf

    Analyse coûts bénéfices des véhicules électriques : les voitures

    Alors que l’utilisation des véhicules thermiques produit des externalités environnementales (CO2, pollution atmosphérique, bruit), les véhicules électriques constituent-ils une alternative pertinente, pour l’usager et pour la collectivité pour réduire ces nuisances ? Dans quelles conditions et à quels horizons ?

    Le véhicule électrique est déjà rentable en zone urbaine très dense en 2020 et dans l’ensemble des zones denses en 2030. La technologie hybride rechargeable le devient vers 2030 pour les usages professionnels ou d’autopartage. Elle pourrait néanmoins constituer une solution de transition vers le "tout électrique" et son intérêt devrait décroître avec le déploiement des infrastructures de recharge et les progrès des batteries.

    Les véhicules électriques et leur batterie sont également susceptibles d’apporter des bénéfices additionnels à la collectivité lorsqu’ils sont connectés aux réseaux électriques, sous la forme de services énergétiques. L’exploitation de ce gisement dépendra largement des comportements des utilisateurs et des coûts de mise en oeuvre.

  • Surpoids et obésité : évolution en France depuis 2006 (24 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 26 juin 2017 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/surpoids-obesite-quelle-evolution-france-depuis-2006.html?xtor=EPR-56

    Surpoids et obésité : quelle évolution en France depuis 2006

    La réduction de la prévalence du surpoids et de l’obésité est un objectif de santé publique. Des études sont régulièrement menées pour évaluer la situation nationale. Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) publie une étude qui retrace l’évolution de la corpulence des enfants et des adultes sur la période 2006-2015.

    L’obésité ne progresse plus depuis 2006

    Sur la période, le nombre d’adultes en surpoids se stabilise. 49% des 18-74 ans (54% des hommes et 44% des femmes) ont un indice de masse corporelle (IMC) supérieur à 25. Le surpoids touche aussi bien les hommes que les femmes. Près de 17% des adultes sont en situation d’obésité (IMC supérieur à 30). 73% des personnes obèses présentent une obésité modérée (IMC compris entre 30 et 35). L’étude montre une stabilisation de la prévalence du surpoids (obésité incluse) chez les hommes au cours de ces 10 années. Chez les femmes, la prévalence de surpoids (obésité incluse) augmente de près de 21% chez les 40-54 ans mais diminue de 14% chez les femmes plus âgées.

    Les 6-17 ans sont moins touchés par le surpoids. Dans cette catégorie, la prévalence du surpoids s’élève à 17%. La prévalence de l’obésité est de 3,9%.

    Augmentation sensible de la maigreur chez les jeunes

    Le phénomène de maigreur augmente sensiblement chez les 6-17 ans. De 8% en 2006, il atteint 13% des jeunes en 2015. Près de 19% des filles de 11 à 14 ans sont touchées (4,3% en 2006).

    Les résultats de l’étude montrent une stabilité du surpoids et de l’obésité en France depuis la mise en place du Programme national nutrition santé (PNNS). La France est ainsi l’un des tous premiers pays au monde à montrer une tendance à la stabilisation de l’évolution du surpoids chez les enfants.

    Sur la toile publique