Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

évolution - Page 11

  • Téléphone : lignes fixes (19 03 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 14 mars 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180906985.html

    Question écrite n° 06985 de M. Pierre Charon (sénateur de Paris)

    Pierre Charon interroge M. le ministre de l'économie et des finances sur les conséquences de la disparition des lignes fixes en France. En effet, une telle disparition peut soulever des difficultés dans la mesure où cette situation serait compensée par la mise à disposition de box.

     

    Or l'installation de ce matériel peut déjà susciter des désagréments. Même s'il constitue une facilité au niveau numérique, il pourrait y avoir des problèmes en cas de coupure de courant. Le matériel est ainsi inutilisable, ce qui peut être délicat dans des situations d'urgence. De manière plus générale, il existe également une part de la population française qui n'est pas habituée à l'utilisation des lignes de téléphone portable. La disparition des lignes fixes pénaliserait ainsi ce public pour qui les lignes fixes constituent un contact privilégié vis-à-vis de l'extérieur.

     

    De nombreuses difficultés pourraient donc être à prévoir. Il lui demande donc des explications sur la portée d'une telle disparition et les solutions qu'il envisage concernant les désagréments causés par cette situation.

     

    Réponse du Ministère de l'économie et des finances publiée dans le JO Sénat du 14/03/2019 p. 1421

     

    Lire la suite

  • Gaz : tarifs réglementés (19 02 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 12 février 2019 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13214?xtor=EPR-100.html

     

    Tarifs réglementés du gaz : quels montants du 1er mars au 30 juin 2019 ?

    Publié le 12 février 2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

     

    Les tarifs réglementés de vente de gaz d'Engie sont fixés du 1er février au 30 juin 2019 suite à la publication d'un arrêté au Journal officiel du 31 janvier 2019.

    Du 1er février au 30 juin 2019, les tarifs réglementés vont globalement baisser.

    Évolution mensuelle entre le 1er février et le 30 juin 2019

    Tarifs

    01 02 19

    01 03 19

    01 04 19

    01 05 19

    01 06 19

    Base (cuisson)

    -0,3 %

    0 %

    -0,7 %

    -0,2 %

    -0,2 %

    B0 (cuisson et eau chaude)

    -0,5 %

    0 %

    -1,3 %

    -0,4 %

    -0,3 %

    B1 (chauffage)

    -0,8 %

    0 %

    -2,2 %

    -0,7 %

    -0,5 %

      Rappel :

    Les clients qui ont souscrit un contrat à prix de marché fixe ne sont concernés ni par les baisses, ni par les hausses du tarif réglementé pendant la durée de leur contrat.

    Textes de référence

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Commission de régulation de l'énergie (CRE)

  • Grande distribution : prix novembre 2018 (24 12 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 13 décembre 2018 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/3648456?pk_campaign=avis-parution.html

    Sommaire

    Sur un an, les prix dans la grande distribution accélèrent à peine en novembre

    Augmentation, sur un mois, des prix des produits alimentaires dans la grande distribution

    Sur un an, moindre recul des prix des produits d'entretien et de l'hygiène-beauté dans la grande distribution

     

    En novembre 2018, les prix des produits de grande consommation vendus dans la grande distribution et dans la grande distribution étendue sont en hausse de 0,2 %, après une stabilité en octobre. Hors grande distribution, les prix accélèrent légèrement sur un mois : +0,3 % après +0,2 % le mois précédent.

    Toutes formes de vente confondues, les prix des produits de grande consommation augmentent un peu plus vite qu'en octobre (+0,2 % après +0,1 %).

    Sur un an, les prix dans la grande distribution accélèrent à peine en novembre

    Comparés à ceux du même mois de l'année précédente, les prix des produits de grande consommation vendus en grande distribution accélèrent faiblement à +0,9 %, après +0,8 % au cours des trois mois précédents. Il en est de même dans la grande distribution étendue (+0,9 % sur un an).

    Dans les autres formes de vente, les prix des produits de grande consommation augmentent de manière plus marquée que dans la grande distribution : en novembre, ils croissent de 2,3 % sur un an, soit 0,2 point de plus qu'en octobre. Il s'agit de la plus forte hausse depuis février 2013.

    En considérant l'ensemble des points de vente, la hausse des prix des produits de grande consommation s'accentue un peu : +1,2 % sur un an, après +1,1 % au cours des trois mois précédents.

    Augmentation, sur un mois, des prix des produits alimentaires dans la grande distribution

    En novembre 2018, les prix de l'alimentation (hors produits frais) vendue en grande distribution augmentent à nouveau (+0,3 %), après deux mois de stabilité. Sur un an, leur hausse est de 1,1 %, comme en septembre et octobre.

    La hausse des prix sur le mois résulte d'un net rebond des prix des viandes, d'une faible accélération de ceux des boissons et d'une hausse de ceux des autres produits alimentaires.

    Les prix des viandes rebondissent nettement à +0,4 % après deux mois de baisse (−0,3 % en septembre et −0,2 % en octobre). Sur un an, leur hausse est identique à celle du mois d'octobre (+0,8 %).

    Les prix des boissons vendues en grande distribution augmentent à peine plus que le mois précédent (+0,2 % après +0,1 %). Sur un an, leurs prix sont plus dynamiques qu'en octobre : +1,6 %, après +1,4 %.

    Après 2 mois de stabilité, les prix des autres produits alimentaires (hors produits frais) augmentent légèrement en novembre (+0,2 %). Sur un an, ils sont en hausse de 1,1 %, comme en octobre.

    Sur un an, moindre recul des prix des produits d'entretien et de l'hygiène-beauté dans la grande distribution

    En novembre, les prix des produits d'entretien et de l'hygiène-beauté vendus dans la grande distribution augmentent au même rythme qu'en octobre (+0,1 %). Sur un an, les prix de ces produits reculent de 0,4 %, après −0,6 % le mois précédent.

  • Prix du pétrole et des matières premières (28 11 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 20 novembre 2018 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

     

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/3648456?pk_campaign=avis-parution.html

     

    En octobre 2018, la hausse du prix du pétrole en euros est moins vive qu'en septembre (+4,3 % après +7,8 %). Les prix en euros des matières premières importées (hors énergie) rebondissent (+4,9 % après −2,5 %), qu'il s'agisse des prix des matières industrielles (+3,8 % après −1,8 %) ou de ceux des matières alimentaires (+6,2 % après −3,3 %).

    Le prix du pétrole décélère

    En octobre 2018, le prix en euros du baril de pétrole brut de la mer du Nord (Brent) ralentit (+4,3 % après +7,8 % en septembre), à 71 € en moyenne par baril. Le ralentissement est un peu plus marqué en dollars (+2,7 % après +8,8 %), l'euro s'étant déprécié au mois d'octobre.

     

    Les prix des matières premières industrielles se redressent

    En octobre 2018, les prix en euros des matières premières industrielles se redressent (+3,8 % après −1,8 % en septembre). Les prix des matières premières minérales rebondissent (+5,5 % après −1,3 %), principalement du fait des métaux ferreux (+8,4 % après +0,7 %). Les prix des métaux précieux repartent également à la hausse (+3,5 % après −1,9 %) comme ceux des métaux non ferreux (+3,6 % après −2,6 %). En revanche, les prix des matières premières agro-industrielles poursuivent leur repli (−3,6 % après −4,0 %) principalement du fait des bois sciés de conifères (−21,0 % après −12,3 %). Le prix des fibres naturelles diminue de nouveau (−1,7 % après −3,8 %). Le prix de la pâte à papier se redresse (+1,4 % après −1,2 %) comme ceux du cuir (+0,2 % après −2,2 %) et du caoutchouc naturel (+0,8 % après −1,8 %). Les prix des bois tropicaux accélèrent (+1,2 % après +0,4 %).

    Les prix des matières premières alimentaires rebondissent vivement 

    Les prix en euros des matières premières alimentaires importées rebondissent vivement (+6,2 % après −3,3 %) principalement du fait du sucre (+24,5 % après +1,8 %). Après la baisse de début d'année, le bond du prix du sucre provient d'une chute de la production en Europe (mauvaises conditions climatiques) et au Brésil (concurrence de la production d'éthanol). Les prix des viandes repartent à la hausse (+10,1 % après −4,6 %), comme ceux des denrées tropicales (+8,4 % après −2,9 %), des produits de la mer (+4,4 % après −3,3 %) et des céréales (+4,0 % après −3,3 %). Les prix des oléagineux se redressent (+0,6 % après −2,9 %).

  • Livret A (23 11 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 15 novembre 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180906680.html

    Question écrite n° 06680 de M. Stéphane Ravier (sénateur des Bouches-du-Rhône)

    Stéphane Ravier attire l'attention de M. le ministre de l'économie et des finances sur le faible taux de rémunération du livret A causé par l'inflation galopante.

     
    Il rappelle qu'en octobre 2017 le Gouvernement décidait du gel du taux de rémunération du livret A pendant deux ans. Si le taux avait évolué normalement, il ne serait pas de 0,75 % mais aurait atteint 1,75 % le 1er août 2018. Or, l'inflation est aujourd'hui tellement forte, avec une augmentation des prix de 2,3 % en juillet, que les placements à faibles risques, comme le livret A, ne sont plus rentables. Selon des économistes, l'écart est tel qu'il pourrait faire perdre entre 0,8 % et 5 % aux souscripteurs. Conjugué à la hausse des prix de l'énergie et notamment du pétrole, le faible rendement du livret A constitue un danger majeur pour les petits épargnants français. 

    Il demande donc si le Gouvernement envisage de revenir sur sa décision de geler le taux du livret A.

     

    Réponse du Ministère de l'économie et des finances publiée dans le JO Sénat du 15/11/2018 - page 5801

     

    Lire la suite

  • Pacte entre Générations (16 11 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette synthèse d’un rapport sénatorial de Mesdames Fabienne Keller, Nadia Sollogoub et Monsieur Julien Bargeton publié en octobre 2018 sur le site de la Documentation Française (cliquer ici pour accéder au site de la Documentation Française)

    https://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/184000702-rapport-d-information-fait-au-nom-de-la-delegation-senatoriale-a-la-prospective-sur?xtor=EPR-526.html

    Rapport d'information fait au nom de la délégation sénatoriale à la prospective sur l'avenir du pacte entre les générations

    LES 29 PROPOSITIONS DE LA DÉLÉGATION À LA PROSPECTIVE

    A.POUR UN PACTE INTERGÉNÉRATIONNEL PLUS JUSTE ET PLUS EFFICACE

    • Intégrer les « nouveaux » âges de la vie dans le jeu des transferts intergénérationnels

    - Affirmer la place de la « séniorité active » dans la chaîne de la solidarité intergénérationnelle

    - Consolider le statut de fonction pivot des plus de 50 ans

    - Mobiliser les séniors dans le financement de la dépendance avec un système d'assurance dépendance obligatoire sur le principe « le 3eâge finance le 4e »

    - Valoriser l'appétence des générations montantes pour l'engagement citoyen concret au service de la solidarité entre les générations

    - Développer la cohabitation intergénérationnelle

    • Intégrer le patrimoine dans le jeu des solidarités intergénérationnelles avec le triple objectif de mobiliser le patrimoine des séniors, d'accélérer les transmissions et de réduire les inégalités de patrimoine

    - Rassurer les séniors sur la question de la dépendance, préalable à une réforme des transmissions

    - Multiplier les incitations juridiques et fiscales à transmettre le patrimoine de son vivant

    - Affecter les recettes de la taxation des transmissions à des programmes de soutien aux jeunes et à la solidarité intergénérationnelle

    - Moderniser et encourager les nouvelles formes de viager

     

    POUR UNE REMOBILISATION DES JEUNES CITOYENS

    - Lever les obstacles à la participation politique des jeunes, par exemple en utilisant le service civique comme levier de leur mobilisation

    - Entendre les attentes exprimées à « bas bruit »

    - Consulter les jeunes pour les décisions les concernant (panels de jeunes citoyens et études d'impact générationnelles)

    - Valoriser et mobiliser l'appétence des générations montantes pour les formes concrètes d'engagement citoyen

     

    CPOUR UNE ADAPTATION DU MONDE DU TRAVAIL ET DES POLITIQUES DE L'EMPLOI À LA NOUVELLE DONNE GÉNÉRATIONNELLE

    • Éviter un scénario noir de l'emploi des séniors

    - Activer les politiques de l'emploi en direction des séniors, notamment à travers la formation continue

    - Adapter les conditions de travail aux spécificités des séniors (ergonomie des postes, temps et rythmes de travail)

    • Réconcilier l'idéal et la réalité du travail dans les générations montantes

    - Répondre à la quête de reconnaissance des salariés

    - Encourager des formes de management et d'autorité plus horizontales et participatives

    - Mieux concilier vie professionnelle et extraprofessionnelle, notamment par une réflexion sur l'organisation du temps de travail tout au long de la vie.

     

    POUR UNE PRISE EN COMPTE DES MUTATIONS TOUCHANT LES MÉCANISMES DE TRANSMISSION DES SAVOIRS

    • Adapter l'école aux enjeux de ces mutations

    - Accompagner l'expérimentation et la diffusion de modèles pédagogiques plus horizontaux, coopératifs et inductifs

    - Encourager une organisation du système éducatif plus décentralisée et donnant plus d'autonomie aux acteurs

    • Immuniser le travail éducatif contre une emprise trop précoce de la compétition scolaire

    - Reconnaître aux jeunes le temps du choix

    - Reconnaître un droit à l'échec et au rebond, notamment en développant les écoles de la seconde chance

    - Valoriser d'autres voies de réussite et d'autres modes de transmission, en particulier l'apprentissage et les métiers manuels.