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  • Forêt : surfaces en progression régulière (25 09 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 19 avril 2018 sur le site du Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/foret-surfaces-progression-reguliere.html?xtor=EPR-56.html

    Forêt : des surfaces en progression régulière

    Les surfaces occupées par la forêt française croissent chaque année de 0,6%, d’après une étude publiée le 29 mars 2018 par le Commissariat général au développement durable(CGDD). L’ensemble des espaces boisés couvre 17,4 millions d’hectares (Mha) soit 32% de l’ensemble du territoire métropolitain.

    La valeur financière des forêts (y compris le bois mort) est estimée à 103 milliards d’euros. Cependant, la filière bois éprouve des difficultés à retrouver son niveau d’avant-crise de 2008.

    Une forêt étendue, diversifiée et morcelée

    Malgré l’extension des zones urbaines et un défrichement annuel de 100 000 hectares, la France se place au troisième rang des surfaces forestières européennes. Avec 32% du territoire métropolitain couvert, la forêt française est comparable à celle de l’Allemagne et bien supérieure aux 13% du Royaume-Uni.

    Seuls 9% des peuplements forestiers sont constitués d’une seule espèce contre une moyenne de 32% en Europe. En France, la forêt est majoritairement constituée de feuillus, contrairement aux autres grands pays forestiers qui comprennent en moyenne 57% de résineux.

    Détenus à 75% par des entités privées, les espaces forestiers sont morcelés : deux tiers des propriétaires privés possèdent moins d’un hectare.

    Difficultés économiques dans certaines branches

    Globalement, la filière forêt-bois éprouve des difficultés à retrouver son niveau d’activité de 2007. Les industries de sciage, de panneaux à base de bois et pâtes et de l’ameublement sont particulièrement concernées. Des perspectives existent pour les produits de construction en bois, qui pourraient profiter d’innovations technologiques récentes.

    En revanche, les "déchets bois" qui alimentent la filière bois-énergie (avec les granulés), sont en progression avec une consommation de granulés multipliée par 2,7 depuis 2007.

    De même, la branche "sylviculture et exploitation forestière" se porte bien. Elle emploie près de 30 000 personnes. La part du bois-énergie commercialisé destiné au chauffage passe de 7% de la récolte totale de bois en 2007, à 19% en 2014. Si l’on y ajoute le bois auto-consommé (consommé par le producteur), le bois énergie consume 50% de l’ensemble du bois coupé en 2014.

    Le prix des terres forestières augmente régulièrement sous l’effet du développement de la croissante verte qui transforme la forêt en un investissement patrimonial.

    Le CGDD rappelle qu’à l’heure de la transition énergétique, les forêts sont un atout pour l’environnement : elles captent 1,25 milliards de tonnes de carbone par an.

    Sur la toile publique

  • Charbon, Forêts : chiffres 2011-2015 (09 05 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 31 janvier 2018 dans la Brochure Savoirs pour l’Action d’Avril 2018 du Commissariat général au Développement Durable (cliquer ici pour accéder au site du CGDD)

    http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/publications/p/2764/1415/bilan-physique-monetaire-charbon-2011-2015.html

     

    https://webmail1e.orange.fr/webmail/fr_FR/read.html?FOLDER=SF_INBOX&IDMSG=94173&check=&SORTBY=1.html

    http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/fileadmin/documents/Produits_editoriaux/Publications/Datalab/2018/datalab-32-comptes-foret-2017-2014-mars2018-b.pdf

    Empreinte Matières

    L'empreinte matières est un indicateur qui permet de rendre compte de l’ensemble des matières premières utilisées pour satisfaire la consommation finale d’un pays. 

    Les résultats reflètent l'impact réel de l'utilisation des ressources, tant celles extraites du territoire national que celles mobilisées indirectement hors de nos frontières pour produire et transporter les produits importés. Avec 13,2 tonnes par habitant en 2014, l'empreinte matières de la France est composée de 44% de minéraux non métalliques, 28% de biomasse essentiellement agricole,  21% de combustibles fossiles, 7% de minerais métalliques. La moyenne européenne est de 14,2 tonnes par habitant.

    Les comptes de la forêt : un outil de suivi de la forêt française

    Les comptes de la forêt sont un outil européen décliné en France pour répondre aux besoins spécifiques nationaux et notamment fournir des bilans comptables et économiques. Ils permettent de situer la France en termes de ressource forestière et d’économie liée à la forêt et aux filières qui en découlent. L’important travail de mise en cohérence et de structuration de l’information permet également aux décideurs publics de disposer d’un outil de suivi annuel et transversal sur la forêt et la filière bois.

    Zoom sur : La dynamique forestière en Europe

    La compilation par Eurostat des comptes de la forêt souligne la place de la France parmi les grands pays forestiers européens avec la Suède, l’Allemagne, la Finlande et la Pologne. En 2013, la France se place au troisième rang des surfaces forestières (11 % des surfaces totales et 10 % des forêts de production) et du stock de bois sur pied (11 %) de l’Union européenne.

     

    Si les forêts françaises sont davantage dédiées à la production du bois que la moyenne européenne des forêts (à 95 % en France contre 80 % en moyenne en Europe), le taux de prélèvement y est en revanche plus faible (56 % de la production biologique nette contre 72 % en moyenne européenne).

     

    Le poids de la branche sylviculture/exploitation forestière dans l’économie nationale est faible : 0,15 % du PIB en France en 2014. Si ce chiffre est comparable à celui de l’Allemagne (0,13 %), il est nettement inférieur à celui de la Suède (0,89 %) ou de la Finlande (1,61 %).

     

    La forêt française présente un fort potentiel, mais les difficultés observées sur le plan économique peuvent être liées à certaines de ses caractéristiques :

    • la forêt française est beaucoup plus hétérogène en matière d’essences que celle des pays voisins : seuls 9 % des peuplements forestiers sont mono-spécifiques contre 32 % à l’échelle européenne (Forest Europe 2015) ;
    • la forêt française est majoritairement constituée de feuillus, a contrario des autres grands pays forestiers européens (qui comprennent 57 % de résineux en moyenne), ce qui ne semble pas correspondre à la demande de l’économie (part des résineux dans la récolte : 37 % en France contre 68 % en moyenne dans l’Union européenne) ;

    • la forêt française, détenue à 75 % par des entités privées, est aussi très morcelée : deux tiers des propriétaires privés possèdent moins d’un hectare (Maaf & IGN, 2015).

     

  • SNCF : rapport Spinetta (13 03 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 21 février 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ18020231G.html

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 0231G de M. Olivier Jacquin (sénateur de Meurthe-et-Moselle)

     

    Madame la ministre chargée des transports, ma question porte sur le même sujet. Nous attendions tous, avec une certaine impatience, les conclusions du rapport Spinetta, tombées jeudi dernier. 

    Durant cette attente, je songeais à une révolution positive des transports, dans la continuité des propos du Premier ministre qui évoquait « une véritable refondation de la SNCF ». Je songeais au maillage territorial pour tous du XIXe siècle qui aurait été transcendé et adapté aux défis du XXIe siècle et des nouvelles mobilités.

     
    Je songeais à une véritable cure de jouvence pour notre SNCF, ce pilier de notre République, qui a contribué à unifier le territoire. Mais nous en sommes loin !

     
    Il y a bien sûr quelques bonnes idées et bons principes, mais, pour l'essentiel, nous sommes dans les vieilles recettes, et dans un conformisme libéral qui a montré ses limites appliquées au service public. 

    L'exemple type est la transformation en société anonyme de l'EPIC SNCF Réseau et Mobilités, au motif d'un endettement trop important, qui n'a évidemment pas été provoqué par les cheminots mais bien par les choix d'investissement de l'État. Dans cette société anonyme, le statut des cheminots ne pourra être amené à évoluer que par la négociation, et non par des effets d'annonce.

     
    Madame la ministre, à la suite de ce rapport, dans lequel la place de l'usager n'est encore que trop peu prise en compte, je vous pose plusieurs questions au nom du respect de la parole donnée. Souhaitez-vous maintenir cette approche française de la structuration du territoire par les mobilités ?  Pouvez-vous confirmer que les haltes TGV existantes ne seront pas supprimées alors même que certaines ont été cofinancées par les collectivités territoriales, comme dans ma région Grand Est ?

     

    Enfin, quels moyens seront dégagés pour financer les investissements pour les fameuses lignes à faible trafic prévus dans les contrats de plan État-région ? Quels types de financements peut-on imaginer afin de donner un avenir à ces lignes ?

     

    Réponse du Ministère auprès du ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire, chargé des transports publiée dans le JO Sénat du 21/02/2018 p. 1577

     

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  • Infos énergie transports (27 01 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 16 janvier 2018 sur le site du Commissariat Général au Développement durable (cliquer ici pour accéder au site du CGDD)

    https://www.ecologique-solidaire.gouv.fr/commissariat-general-au-developpement-durable-cgdd.html

     

    Prix du gaz en France et dans l’Union européenne 

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  • Produit intérieur Brut : 2e trimestre (28 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui (hors tableaux et graphiques) cette note d’analyse publiée le 28 juillet 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/29086900.html

    Le PIB progresse de 0,5 % au 2e trimestre 2017

    Comptes nationaux trimestriels - première estimation (PIB) - deuxième trimestre 2017

    Au 2e trimestre 2017, le produit intérieur brut (PIB) en volume* continue de progresser : +0,5 %, pour le 3e trimestre consécutif. Les dépenses de consommation des ménages accélèrent légèrement (+0,3 % après +0,1 %) tandis que la formation brute de capital fixe (FBCF) ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %). Au total, la demande intérieure finale hors stocks contribue à la croissance du PIB pour +0,4 point, comme au trimestre précédent.

    Les exportations rebondissent (+3,1 % après −0,7 %) tandis que les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). Au total, le solde extérieur contribue positivement à la croissance du PIB : +0,8 point après −0,6 point au trimestre précédent. À l'inverse, les variations de stocks y contribuent négativement (−0,6 point après +0,7 point).

    Sommaire

    La production totale croît un peu plus vite

    La consommation des ménages accélère légèrement

    L'investissement des entreprises ralentit nettement

    Le commerce extérieur contribue positivement à la croissance du PIB

    Les variations de stocks ralentissent

    Révisions

    Au 2e trimestre 2017, le produit intérieur brut (PIB) en volume* continue de progresser : +0,5 %, pour le 3e trimestre consécutif. Les dépenses de consommation des ménages accélèrent légèrement (+0,3 % après +0,1 %) tandis que la formation brute de capital fixe (FBCF) ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %). Au total, la demande intérieure finale hors stocks contribue à la croissance du PIB pour +0,4 point, comme au trimestre précédent.

    Les exportations rebondissent (+3,1 % après −0,7 %) tandis que les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). Au total, le solde extérieur contribue positivement à la croissance du PIB : +0,8 point après −0,6 point au trimestre précédent. À l'inverse, les variations de stocks y contribuent négativement (−0,6 point après +0,7 point).

    * Les volumes sont mesurés aux prix de l'année précédente chaînés et corrigés des variations saisonnières et des effets des jours ouvrables (CVS−CJO).

    La production totale croît un peu plus vite

    La production totale de biens et services accélère un peu au 2e trimestre 2017 (+0,8 % après +0,6 %). Elle augmente à nouveau dans les biens (+1,0 % après 0,0 %) tandis qu'elle est à peine moins dynamique qu'au trimestre précédent dans les services (+0,7 % après +0,8 %).

    La production manufacturière se redresse (+0,9 % après 0,0 %), principalement du fait du rebond dans la cokéfaction-raffinage. La production de gaz et d'électricité progresse à nouveau. Dans la construction, la production accélère (+1,0 % après +0,6 %). À l'inverse, elle ralentit très légèrement dans les services marchands (+0,8 % après +0,9 %).

    La consommation des ménages accélère légèrement

    La consommation des ménages accélère légèrement au 2e trimestre 2017 (+0,3 % après +0,1 %). Les dépenses en biens rebondissent (+0,4 % après −0,4 %), tandis qu'elles ralentissent en services (+0,2 % après +0,6 %).

    La consommation d'énergie se redresse (+0,5 % après −3,2 %). Les achats de biens fabriqués accélèrent légèrement (+0,2 % après +0,1 %), de même que la consommation alimentaire (+0,6 % après +0,4 %). Dans les services, le ralentissement de la consommation provient notamment de l'hébergement-restauration.

    L'investissement des entreprises ralentit nettement

    Au 2e trimestre 2017, la FBCF totale ralentit nettement (+0,5 % après +1,4 %) avec l'investissement des entreprises (+0,5 % après +2,1 %). L'investissement des ménages demeure soutenu (+1,0 % après +1,2 %). La FBCF en construction accélère légèrement (+0,8 % après +0,6 %), grâce à un regain de vigueur dans le génie civil. En revanche, l'investissement en biens manufacturés se replie nettement (−0,8 % après +2,0 %), surtout du fait d'un recul en biens d'équipement et, dans une moindre mesure, d'une baisse accentuée en matériels de transport. La FBCF en services marchands ralentit de façon notable (+1,0 % après +2,0 %) en raison notamment d'un repli en services aux entreprises.

    Le commerce extérieur contribue positivement à la croissance du PIB

    Les exportations rebondissent au 2e trimestre 2017 (+3,1 % après −0,7 %), notamment en matériels de transport et en autres produits industriels. Dans le même temps, les importations ralentissent nettement (+0,2 % après +1,2 %). En particulier, les achats de produits pétroliers raffinés et de matériels de transport sont en repli. Au total, les échanges extérieurs contribuent à la croissance à hauteur de +0,8 point (après −0,6 point).

    Les variations de stocks ralentissent

    Au 2e trimestre 2017, les variations de stocks contribuent négativement à la croissance du PIB, pour −0,6 point (après +0,7 point début 2017). En particulier, elles diminuent fortement dans les matériels de transport (automobile et aéronautique).

    Révisions

    L'estimation de la croissance du PIB au 1er trimestre 2017 est confirmée à +0,5 %. De légères révisions des différents agrégats se compensent ; elles tiennent principalement à la révision des indicateurs et à l'actualisation des coefficients de correction des variations saisonnières.

  • Prix agricoles : point mensuel et annuel (21 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui (hors tableaux et graphiques) cette note d’analyse publiée le 27 juillet 2017 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/2908281.html

     

    En juin 2017, hausse des prix des produits agricoles de 3,2 % sur un an

    En juin 2017, les prix des produits agricoles (Indices des prix agricoles IPPAP, IPAMPA) continuent de ralentir sur un an (+3,2 % après +5,3 % en mai et +6,6 % en avril). Hors fruits et légumes, ils diminuent de 0,2 % sur un mois et croissent de 4,0 % sur un an.

    Sommaire

    1. Les prix des céréales se redressent tandis que ceux des oléagineux continuent de diminuer
    2. Les prix des fruits frais chutent ; ceux des légumes frais augmentent légèrement
    3. Prix des animaux en baisse, prix du lait en hausse
    4. Baisse des prix d'achat des moyens de production
    5. Révision

     

    En juin 2017, les prix des produits agricoles continuent de ralentir sur un an (+3,2 % après +5,3 % en mai et +6,6 % en avril). Hors fruits et légumes, ils diminuent de 0,2 % sur un mois et croissent de 4,0 % sur un an.

    1.Les prix des céréales se redressent tandis que ceux des oléagineux continuent de diminuer

    En juin 2017, les prix des céréales rebondissent (+2,8 %). Les canicules en Europe de l'Ouest et aux États-Unis ont suscité des craintes de baisse de rendement pour le blé et le maïs. Les prix des oléagineux décroissent de nouveau (−11,5 % sur trois mois) : la baisse du prix du pétrole limite l'attrait des agro-carburants tandis que le marché des huiles est saturé en raison d'une demande atone de l'industrie agro-alimentaire.

    2.Les prix des fruits frais chutent ; ceux des légumes frais augmentent légèrement

    En juin 2017, les prix des fruits frais se replient nettement sur un an (−12,4 %). Le prix de l'abricot plonge d'un tiers sous l'effet d'une offre abondante. Les températures élevées en juin ont accéléré les récoltes en France ; celles-ci sont de plus concurrencées par les arrivages espagnols saisonniers. Le prix de la cerise chute aussi, de près de 20 %. Sa production est revenue à la normale par rapport aux faibles volumes de l'an dernier. À l'inverse, les prix des légumes frais se redressent un peu (+1,1 %). Celui de la tomate est en hausse, le temps précocement estival ayant précipité la demande. Les prix des vins diminuent globalement de 0,5 % sur un an : ceux des vins d'appellation augmentent de 1,9 % tandis que les prix des vins sans appellation, concurrencés par les vins espagnols, baissent de 10,8 %.

    3.Prix des animaux en baisse, prix du lait en hausse

    En juin, les prix des animaux continuent de baisser dans l'ensemble (−1,3 % après −0,6 %). Le prix du porc recule depuis deux mois (−5,9 % en juin après −2,7 %) avec le repli de la demande chinoise. Le prix des ovins augmente franchement (+6,2 %) avec, côté demande, la fin du ramadan et, côté offre, un recul des exportations néo-zélandaises.

    4.Baisse des prix d'achat des moyens de production

    En juin 2017, les prix des consommations intermédiaires diminuent de nouveau (−0,7 %, comme en mai) du fait de la baisse des prix des engrais (−4,3 %) et de l'énergie (−2,3 %). Sur un an, ils se replient de 0,3 %, freinés notamment par la baisse du prix des engrais (−4,9 %). Les prix des biens d'investissement sont stables sur le mois et en hausse de 1,7 % sur un an.

    5.Révision

    L'évolution sur un an de l'IPPAP a été abaissée de 0,1 point en mai ; celle de l'IPAMPA est inchangée.