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retraiteshospitaliers64 - Page 446

  • Prix anti-Nobel (IG Nobel) 1991-2014 (30 07 2017)

     

    Nous soumettons à la curiosité amusée de nos lecteurs des extraits (un nouveau, cumulé chaque dimanche) du palmarès remarquable des Prix IG Nobel (ou anti-Nobel) décernés chaque année sous le patronage de la revue Annals of Improbable Research (cliquer ici pour accéder au site Improbable Research), et également classés sur le site Wikipedia

    http://improbable.com/

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Prix_Ig_Nobel

    Prix décernés en 2008

    Biologie : Marie-Christine Cadiergues, Christel Joubert et Michel Franc de l'École nationale vétérinaire de Toulouse pour avoir découvert que les puces qui vivent sur un chien peuvent sauter plus haut que les puces qui vivent sur un chat.

     

    Archéologie : Astolfo G. Mello Araujo et José Carlos Marcelino de l'université de São Paulo, pour avoir mesuré les effets nocifs du tatou sur le contenu des sites de fouilles archéologiques.

    Paix : au comité d'éthique sur la biotechnologie non-humaine de la Confédération suisse pour avoir établi légalement que les plantes avaient une dignité.

    Nutrition : Massimiliano Zampini, de l'université de Trente et Charles Spence de l'université d’Oxford pour leurs recherches sur la sonorité de la nourriture.

     

    Prix décernés en 2007

    Aviation : Patricia V. Agostino, Santiago A. Plano et Diego A. Golombek de l'université nationale de Quilmes, en Argentine, pour avoir découvert que le Viagra aidait les hamsters à se remettre d'un décalage horaire.

    Économie : Kuo Cheng Hsieh, de Taïwan, pour avoir breveté en 2001 un appareil qui capture les braqueurs de banque en leur jetant un filet dessus.

    Nutrition : Brian Wansink de l'université Cornell pour ses recherches sur l'appétit des êtres humains, en les nourrissant à l'aide d'un bol sans fond à remplissage automatique.

    Littérature : Glenda Browne, de Blaxland (Blue MountainsAustralie) pour son étude sur le mot The, et sur les nombreux problèmes qu'il pose pour le classement alphabétique.

    Linguistique : Juan Manuel Toro, Josep B. Trobalon et Núria Sebastián-Gallés de l'université de Barcelone, pour avoir montré que les rats sont le plus souvent incapables de reconnaître la langue japonaise de la langue néerlandaise dans un discours diffusé à l'envers.

    Chimie : Mayu Yamamoto de l'International Medical Center of Japan, pour avoir développé une méthode d'extraction de la vanilline (arôme et parfum de vanille) à partir de bouse de vache.

    Biologie : Pr Johanna E.M.H. van Bronswijk, de l'université technique d'Eindhoven (Pays-Bas), pour son recensement de tous les acariens, insectes, araignées, pseudo-scorpions, crustacés, bactéries, algues, fougères et champignons avec lesquels l'humain partage son lit.

  • Tiques, maladie de Lyme : application smartphone (29 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 18 juillet 2017 sur le site de l’Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail (cliquer ici pour accéder au site de l’ANSES)

    https://www.anses.fr/fr/content/une-application-smartphone-pour-pr%C3%A9venir-la-maladie-de-lyme-et-les-autres-maladies.html

    Une application smartphone pour prévenir la maladie de Lyme et les autres maladies transmissibles par les tiques

    Signalement-Tique ! Cette application est disponible dès maintenant par téléchargement gratuit pour les smartphones iOS et Android. L’Inra et l’Anses, avec le ministère des Solidarités et de la Santé, font appel aux volontaires qui souhaitent participer aux recherches pour la lutte contre les tiques et les maladies qu’elles transmettent. 

    Comment ? En permettant une collecte d’informations sans précédent : déclarer sa piqûre ou celle de son animal domestique, la géolocaliser, transmettre une photo et même envoyer les tiques aux équipes scientifiques... Les citoyens et les chercheurs se mobilisent ensemble pour collecter des données indispensables à l’acquisition des connaissances, pour mieux comprendre et prévenir la maladie de Lyme et les autres maladies transmissibles par les tiques. 

    Les tiques sont le premier vecteur de maladies animales dans le monde, le deuxième pour les maladies humaines après le moustique. Chez l’homme, elles transmettent notamment les bactéries responsables de la maladie de Lyme, provoquant environ 27 000 nouveaux cas par an en France.

    Depuis les années 2000, l’Anses, l’Inra et l’Ecole nationale vétérinaire d’Alfort mènent des travaux de recherche sur les tiques, au sein du Laboratoire de Santé animale de Maisons-Alfort de l’Anses et du Laboratoire Tous Chercheurs du Centre Inra Grand Est Nancy. Cette recherche, allie études fondamentales et recherche participative impliquant les citoyens. Les études développées permettent de mieux connaître les agents pathogènes transmissibles par les tiques et donc de mieux les combattre. 

     

    Dans le cadre d’un projet appelé CITIQUE, les chercheurs ont développé avec les partenaires scientifiques, notamment le centre national d’expertise des vecteurs et le centre national de référence de Borrélia, ainsi que le ministère des Solidarités et de la Santé, un site web et une application smartphone appelés Signalement-Tique. L’application peut être téléchargée sur les plateformes AppStore et PlayStore. 

     

    Avec l’appli Signalement-Tique, un outil pratique et interactif, les promeneurs peuvent disposer d’informations sur la prévention ou comment enlever une tique où qu’ils soient. Elle permettra de fournir des cartes de présence de tiques qui serviront aux actions de prévention. 

     

    Grâce à l’appli Signalement-Tique, une collecte de données sans précédent attendue

    Les données collectées serviront à l’avancée des connaissances scientifiques nécessaires pour mieux comprendre et donc mieux prévenir les maladies transmissibles par les tiques, notamment par la mise au point de modèles d’estimation des risques. Les citoyens participants au projet joueront un rôle décisif et permettront d’apporter des éléments de réponse à de nombreuses questions : peut-on se faire piquer en hiver et en été alors que les périodes propices sont le printemps et l’automne ? Y a-t-il des heures où les tiques sont plus actives et piquent davantage ? Est-ce qu’on se fait plutôt piquer dans les forêts, dans les parcs urbains ou dans nos jardins ? Quels sont les agents pathogènes les plus présents chez les tiques ? Dans quelles régions ? Les utilisateurs auront ainsi accès à des informations pratiques et à des conseils sur la conduite à tenir lors d’une piqûre de tique.

     

    L’appli Signalement-Tique, c’est permettre aux citoyens d’être mieux informés des risques de contamination par les tiques, tout en les impliquant activement dans la recherche.

     

    EN SAVOIR PLUS

  • Burn out – Repérage et prise en charge (2/2) (28 07 2017)

    Nous proposons sur 2 jours cette note d’analyse publiée le 22 mai 2017 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2754961/fr/burnout-reperage-et-prise-en-charge.html

     

    Le syndrome d’épuisement professionnel, ou burn out, peut toucher toutes les professions. Il frappe autant les femmes que les hommes. Il est en 2e position dans les affections d’origine professionnelle. Explications de Karine Petitprez*, du service des bonnes pratiques professionnelles à la HAS. 

    La HAS a publié une fiche mémo sur le syndrome d’épuisement professionnel ou burn out, quels sont les objectifs de celle-ci ?

    Ces recommandations visent à définir le syndrome d’épuisement professionnel de façon à améliorer son repérage, sa prise en charge et l’accompagnement des personnes lors de leur retour à l'activité professionnelle. Ce travail se limite au volet clinique du thème : l’action sur le milieu et sur l’organisation du travail est exclue du champ de ces recommandations.

     

    Sommaire

    - Comment peut-on définir le burn out ?

    - Quelle démarche diagnostique adopter face à une victime de ce syndrome ?

    - Quelles sont les manifestations cliniques du burn out ?

    - Existe-t-il des facteurs de risque ?

    - Comment repérer une personne susceptible d’être touchée par ce syndrome ?

    - Quelle prise en charge proposer ?

    - Comment le retour à la vie professionnelle est-il envisagé ?

    - Soignants, une population exposée au risque de burnout

     

    …/…

    Comment repérer une personne susceptible d’être touchée par ce syndrome ?

     

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  • Burn out – Repérage et prise en charge (1/2) (27 07 2017)

    Nous proposons sur 2 jours cette note d’analyse publiée le 22 mai 2017 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2754961/fr/burnout-reperage-et-prise-en-charge.html

     

    Le syndrome d’épuisement professionnel, ou burn out, peut toucher toutes les professions. Il frappe autant les femmes que les hommes. Il est en 2e position dans les affections d’origine professionnelle. Explications de Karine Petitprez*, du service des bonnes pratiques professionnelles à la HAS. 

    La HAS a publié une fiche mémo sur le syndrome d’épuisement professionnel ou burn out, quels sont les objectifs de celle-ci ?

    Ces recommandations visent à définir le syndrome d’épuisement professionnel de façon à améliorer son repérage, sa prise en charge et l’accompagnement des personnes lors de leur retour à l'activité professionnelle. Ce travail se limite au volet clinique du thème : l’action sur le milieu et sur l’organisation du travail est exclue du champ de ces recommandations.

     

    Sommaire

    - Comment peut-on définir le burn out ?

    - Quelle démarche diagnostique adopter face à une victime de ce syndrome ?

    - Quelles sont les manifestations cliniques du burn out ?

    - Existe-t-il des facteurs de risque ?

    - Comment repérer une personne susceptible d’être touchée par ce syndrome ?

    - Quelle prise en charge proposer ?

    - Comment le retour à la vie professionnelle est-il envisagé ?

    - Soignants, une population exposée au risque de burnout

     

    Comment peut-on définir le burn out ?

     

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  • Commerce de détail et automobile : climat des affaires (juillet) (26 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 25 juillet 2017 sur le site Servicede l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/2907086.html

    En juillet 2017, le climat des affaires demeure très favorable dans le commerce de détail et dans le commerce et la réparation automobiles

    Enquête mensuelle de conjoncture dans le commerce de détail et le commerce et la réparation automobiles - juillet 2017

    Selon les chefs d'entreprise du commerce de détail et du commerce et de la réparation automobiles, le climat des affaires demeure très favorable en juillet 2017. L'indicateur qui le synthétise gagne un point par rapport à juin et se situe à 112, plus haut niveau depuis fin 2007. Il reste supérieur ou égal à sa moyenne de longue période (100) depuis février 2015.

    Sommaire

    Des activités passée et prévue jugées en hausse

    Des soldes sur l'emploi proches de leur moyenne

    Dans le commerce de détail, le climat des affaires reste favorable

    Dans le commerce et la réparation automobiles, le climat des affaires est au plus haut depuis 2007

     

    Avertissement : les coefficients saisonniers ont été actualisés en juillet 2017, ainsi que les paramètres des trois indicateurs synthétiques, d'où de légères révisions. Ils sont ainsi mis à jour une fois par an.

    Selon les chefs d'entreprise du commerce de détail et du commerce et de la réparation automobiles, le climat des affaires demeure très favorable en juillet 2017. L'indicateur qui le synthétise gagne un point par rapport à juin et se situe à 112, plus haut niveau depuis fin 2007. Il reste supérieur ou égal à sa moyenne de longue période (100) depuis février 2015.

    Des activités passée et prévue jugées en hausse

     

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  • Compteurs Linky : nouvelle étude de l’ANSES (25 07 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 20 juin 2017 sur le site de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (cliquer ici pour accéder au site de l’ANSES)

    https://www.anses.fr/fr/content/compteurs-communicants-de-nouvelles-donn%C3%A9es-qui-ne-remettent-pas-en-cause-les-conclusions-de.html

    Compteurs communicants : de nouvelles données qui ne remettent pas en cause les conclusions de l’Anses

    L’Anses publie ce jour un nouvel avis relatif à l’évaluation de l’exposition de la population aux champs électromagnétiques émis par les compteurs communicants, sur la base de nouvelles données scientifiques. Au mois de décembre 2016, au vu des données disponibles, l’Agence concluait à une faible probabilité que l’exposition aux champs électromagnétiques émis par les compteurs communicants engendre des effets sanitaires à court ou long terme, dans la configuration de déploiement actuelle. Elle sollicitait également une campagne de mesures auprès du Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB) afin de mieux caractériser les expositions au domicile engendrées par le compteur d’électricité Linky. Les résultats de cette campagne de mesure, désormais disponibles, mettent en évidence des durées d’exposition plus longues que celles initialement attendues, sans que les niveaux de champ électromagnétique ne soient cependant plus élevés. Ces niveaux d’exposition restent faibles et inférieurs aux valeurs limites réglementaires et ne remettent pas en cause les conclusions initiales de l’Anses.

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