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coordination

  • Soins en ville : risques  (18 07 2023)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 11 mai 2023 sur le site HAS du ministère de la Santé (cliquer ici pour accéder au site du ministère de la Santé)

    https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2023-06/flash_securite_patient_-_soins_en_ville...les_risques_existent_aussi.pdf.html

     

    Les soins en ville : les risques existent aussi

    11 mai 2023

     

    Événement 1

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  • Systèmes de secours : alerte, coordination (25 06 2021)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note publiée le 18 juin 2021 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/en-bref/280363-systemes-dalerte-des-services-de-secours-des-ameliorations-necessaires#xtor=EPR-696.html

    La panne récente de l’accès à des numéros téléphoniques d’urgence a attiré l’attention sur les systèmes d’alerte des secours. Un rapport du Sénat fait le point sur l'état d'avancement du nouveau système d'information et de commandement unifié, NexSIS 18-112, qui doit mieux coordonner les services d'incendie et de secours et de la sécurité civile. Le nouveau système n’a pas la capacité de s’étendre totalement sur l’ensemble du territoire. Un déploiement qui se fera notamment par la prise en compte des risques contractuels avec les prestataires en place.

    Le rapport d'information du Sénat sur NexSIS 18-112, présenté le 2 juin 2021 fait un point sur l'avancement du projet, initié en 2018, de mutualisation des systèmes d’information et de commandement unifié des services départementaux d’incendie et de secours (SDIS) de la sécurité civile. Ce nouveau système, déployé par l'Agence du numérique et de la sécurité civile (ANSC) avec le concours des collectivités territoriales, est une réponse au constat d'"une organisation éclatée du traitement des alertes, insatisfaisante sur le plan opérationnel."

    Manque d'interopérabilité et de coordination

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  • Dossier Médical Partagé (05 02 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 27 décembre 2018 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/dossier/dmp/dossier-medical-partage-mise-oeuvre-deux-decennies.html?xtor=EPR-56.html

    Dossier médical partagé : une mise en œuvre sur deux décennies

    le 27 décembre 2018

    Le 6 novembre 2018, la ministre de la santé a annoncé la généralisation du dossier médical partagé (DMP) numérique à 40 millions de personnes d’ici cinq ans. Assimilé à un carnet de santé numérique, le DMP a été prévu par une loi de 2004 sous le nom de dossier médical personnel.

    Piloté depuis 2016 par la Caisse nationale de l’assurance maladie (Cnam), le dossier médical partagé (DMP) doit permettre de faciliter la communication entre les patients et les professionnels de santé.

    Un carnet de santé numérique

    Le DMP est conçu pour mettre à la disposition de chaque bénéficiaire de l’assurance maladie un dossier médical électronique sécurisé, placé sous son contrôle et accessible par internet. Il est ouvert à l’ensemble des assurés à partir de 16 ans. Pour la plupart des assurés majeurs, le DMP peut être créé en ligne. Pour certains régimes particuliers, le DMP peut être ouvert en pharmacie ou auprès d’un professionnel de santé équipés d’outils informatiques adaptés ou encore auprès d’un conseiller de l’organisme d’assurance maladie d’affiliation.

    Il peut contenir les informations suivantes :

    • l’historique des soins des 24 derniers mois. La carte d’assuré social contient, elle, l’historique des remboursements sur les douze derniers mois ;
    • les résultats d’examens (radios, analyses biologiques) ;
    • les coordonnées des proches à prévenir en cas d’urgence ;
    • les antécédents médicaux (pathologies, allergies) ;
    • les comptes rendus d’hospitalisation ;
    • les directives anticipées de fin de vie.

    L’objectif poursuivi par les pouvoirs publics est d’améliorer la qualité et l’efficacité des soins, de lutter contre les interactions médicamenteuses dangereuses et d’éviter des répétitions inutiles et coûteuses d’examens médicaux ou de prescriptions.

    Le DMP a également pour ambition de responsabiliser le patient dans son parcours de soins. Lui seul, en effet, peut autoriser les professionnels de santé à consulter et à alimenter son DMP. L’accès au DMP d’un patient est réservé au patient ainsi qu’aux professionnels de santé expressément autorisés ou réputés l’être, du fait de leur appartenance à son équipe de soins. Toute décision concernant l’autorisation de consultation du carnet de santé numérique est soumise à l’autorisation de son détenteur. Les services d’urgence peuvent y accéder sauf mention contraire du détenteur d’un DMP.

    En dehors du médecin traitant, les médecins sont uniquement habilités à consulter certaines catégories de données dont la liste est fixée dans une matrice d’habilitations des professionnels de santé, élaborée par le ministère de la santé.

    Les titulaires d’un DMP peuvent consulter à tout moment la liste des personnes qui ont accédé aux données. La matrice d’habilitations des professionnels de santé précise que : "Tout accès en dehors des règles précitées est passible d’une peine d’emprisonnement et d’une amende, conformément au droit pénal, sans préjudice des poursuites qui pourraient être engagées devant les juridictions disciplinaires de l’ordre".

    Une mise en œuvre longue et chaotique

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  • Malades chroniques : parcours de soins (3) (19 05 2012)

    Notes publiées le 15 mai 2011 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

     

    http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1247611/promouvoir-les-parcours-de-soins-personnalises-pour-les-malades-chroniques.html

     

    http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/2012-05/quest-rep_parcours_de_soins.pdf

    NDLR : nous proposons du 17 au 19 mai 2012 la publication découpée en 3 volets (Synthèse/ Questions-réponses générales/Questions-réponses par pathologie) des récents travaux de la Haute Autorité de Santé sur le parcours de soins dans 4 maladies chroniques : BPCO, maladie rénale chronique, maladie de Parkinson et insuffisance cardiaque

    Synthèse (17 mai 2012)

    Questions-Réponses : Généralités (18 mai 2012)

    Questions-Réponses par pathologie (19 mai 2012)

     

    QUESTIONS PAR PATHOLOGIE

     

    BRONCHO-PNEUMOPATHIE CHRONIQUE OBSTRUCTIVE (BPCO)

    1. Quelques données sur la BPCO

    · La BPCO est une maladie respiratoire chronique définie par une obstruction permanente et progressive des voies aériennes.

    · Les données épidémiologiques sont peu nombreuses : la prévalence est difficile à estimer en raison du sous-diagnostic et de la difficulté à réaliser des épreuves fonctionnelles respiratoires dans le cadre d’études épidémiologiques. Elle est estimée à 7,5% dans une population de plus de 40 ans ; l’incidence semble se stabiliser chez l’homme et augmenter chez la femme.

    · En 2006, les taux bruts de mortalité par BPCO étaient de 41/100 000 chez les hommes et 17/100 000 chez les femmes âgées de 45 ans et plus.

    · En 2009, 333 000 personnes étaient en ALD pour insuffisance respiratoire chronique sévère dont 47 700 pour une bronchite chronique sans précision. Ces chiffres ne reflètent pas la prévalence de la BPCO notamment en raison d’un champ limité aux stades sévères, d’une déclaration ne précisant parfois pas la cause de l’insuffisance respiratoire.

    2. Principaux points critiques du parcours de soins de la bronchite chronique obstructive

    · Le sous-diagnostic de la BPCO : il est essentiel de penser à la BPCO chez des personnes présentant des troubles fonctionnels et/ou cliniques associés à des facteurs de risque tels que le tabagisme, la prise de cannabis ou une exposition professionnelle et de prescrire une spirométrie.

    · La nécessité impérative d’obtenir un sevrage tabagique et ce quel que soit le stade d’évolution de la maladie.

    · L’efficacité de la réhabilitation respiratoire qui associe en particulier réentrainement à l’exercice et éducation thérapeutique dès la présence d’une incapacité.

     

    MALADIE DE PARKINSON

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  • Malades chroniques : parcours de soins (2) (1805 2012)

    Notes publiées le 15 mai 2011 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

     

    http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1247611/promouvoir-les-parcours-de-soins-personnalises-pour-les-malades-chroniques.html

     

    http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/2012-05/quest-rep_parcours_de_soins.pdf

    NDLR : nous proposons du 17 au 19 mai 2012 la publication découpée en 3 volets (Synthèse/ Questions-réponses générales/Questions-réponses par pathologie) des récents travaux de la HAS sur le parcours de soins dans 4 maladies chroniques : BPCO, maladie rénale chronique, maladie de Parkinson et insuffisance cardiaque

    Synthèse (17 mai 2012)

    Questions-Réponses : Généralités (18 mai 2012)

    Questions-Réponses par pathologie (19 mai 2012)

     

    Parcours de soins : Questions / Réponses  : GENERALITES

     

    Q1. Qu'entend-on par parcours de soins ?

    L’amélioration de la qualité de la prise en charge clinique et thérapeutique et de l’accompagnement des malades atteints de maladies chroniques passe d’abord par de bonnes pratiques professionnelles, mais doit également s’appuyer sur la promotion de parcours de soins qui comprennent, pour le patient, le juste enchaînement et au bon moment de ces différentes compétences professionnelles liées directement ou indirectement aux soins : consultations, actes techniques ou biologiques, traitements médicamenteux et non médicamenteux, prise en charge des épisodes aigus (décompensation, exacerbation), autres prises en charge (médico-sociales notamment, mais aussi sociales)…

    La démarche consiste à développer une meilleure coordination des interventions professionnelles, fondées sur de bonnes pratiques, lors des phases aiguës de la maladie comme lors de l’accompagnement global du patient sur le long terme.

    Cette notion de parcours de soins permet ainsi de s’appuyer sur les bonnes pratiques de chaque professionnel mais aussi de développer les actions d’anticipation, de coordination et d’échanges d’informations entre tous les acteurs impliqués.

    Sachant que la nécessité d’une telle coordination de qualité augmente avec le nombre des professionnels concernés qui varie selon la complexité de la situation et la poly-pathologie.

    La démarche permet au final une meilleure intégration des différentes dimensions de la qualité des soins : pertinence, sécurité, efficacité clinique mais aussi accessibilité, continuité et « point de vue du patient ».

     

    Q2. Que propose la HAS aujourd’hui ?

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