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retraiteshospitaliers64 - Page 872

  • Déchets médicaux, piqures, élimination (22 01 2011)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 11 janvier 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-94376QE.htm

    Question n° 94376 de M. André Schneider (député UMP du Bas-Rhin)

    M. André Schneider attire l'attention de Mme la secrétaire d'État auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé, sur les difficultés de la collecte et du traitement des déchets d'activités de soins à risques infectieux (DASRI) produits par les particuliers et les professionnels de santé à domicile (environ deux millions de personnes). Chaque année, environ 165 000 tonnes de DASRI sont produits, 150 000 tonnes par les établissements de santé, 9 000 à 13 000 tonnes par le secteur des professions libérales, laboratoires d'analyses médicales, et 2 000 à 3 000 tonnes par les patients en auto-traitement.

    Or l'article 30 de la loi n° 2008-1425 du 27 décembre 2008 de finances pour 2009 avait prévu que l'obligation de collecte s'exerce sous le régime de la responsabilité élargie des producteurs : « en l'absence de dispositif de collecte de proximité spécifique, les officines de pharmacies, les pharmacies à usage intérieur et les laboratoires de biologie médicale sont tenus de collecter gratuitement les déchets d'activités de soins à risque infectieux produits par les patients en auto-traitement, apportés par les particuliers qui les détiennent ».

    Or le décret d'application de cet article n'a pas encore pu être pris. Il lui demande si elle peut lui préciser à quelle date cette publication pourra être envisagée.

    Réponse du Ministère de la Santé publiée au JO le 11/01/2011 p. 296

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  • Assurance-vie et livret A : taxes ? (21 01 2011)

    Extraits d’un article de Mmes Isabelle Moreau et Stéphanie Tisserond publié le 20 janvier 2011 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/vos-finances/epargne/20110120trib000593900/et-si-l-assurance-vie-et-le-livret-a-etaient-taxes-pour-financer-la-dependance-.html

    Ces deux produits phares d'épargne ne seront pas affectés par la réforme de la fiscalité du patrimoine. Mais ils pourraient l'être par le dossier du financement de la dépendance, autre grand projet de Nicolas Sarkozy avant la fin de son mandat actuel…./…

    Selon une source proche du dossier, l'idée est la suivante : puisque ces produits sont déjà souvent utilisés comme compléments de retraite, il est logique qu'ils contribuent au financement de la dépendance…./…

    Le gouvernement attend également pour la fin juin les compte-rendus des réunions interdépartementales pour élaborer des mesures qui verront le jour en octobre dans le cadre des projets de loi de finances pour 2012. C'est dans le budget de la Sécurité sociale que devraient figurer les sujets jugés les plus sensibles par le chef de l'État, à savoir les services à domicile, qui se trouvent dans une situation financière délicate, et le « reste à charge » pour les personnes hébergées en établissement qui tourne autour de 2.000 euros par mois. Compte-tenu du calendrier et de l'importance des questions à trancher, notamment le financement, une réforme de fond a peu de chances de voir le jour à l'élection présidentielle…../…

    Parmi les pistes aujourd'hui, figure la création d'un « cinquième risque », combinant un financement public au titre de la solidarité et la mise en place d'une assurance individuelle ou d'une « cinquième branche » de la Sécurité sociale. Quel type de gouvernance faut-il privilégier : celle de la branche classique type assurance maladie ou celle la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA), inscrite dans la loi de 2005 portée par Marie-Anne Montchamp, alors secrétaire d'Etat aux personnes handicapées ? Faut-il augmenter la CSG ou créer le recours sur succession, sont d'autres questions qui sont là encore loin d'être tranchées.

  • Prix Essence (20 01 2011)

    Extraits d’un article de Mme Aline Robert  publié le 30 décembre 2010 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder au site de La Tribune)

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20101230trib000587548/pourquoi-le-prix-de-l-essence-risque-encore-de-grimper.html

    Les prix à la pompe ne cessent de grimper. Une envolée qui s'explique par un cocktail d'euro qui baisse, de brent qui grimpe et de taxes qui pèsent pour plus de la moitié dans le prix à la pompe du carburant. Avec un baril à 100 dollars, comme le prévoient certains experts, le prix au litre risque de s'envoler de plusieurs dizaines de centimes…./…

    Et ce pour trois raisons :

    La première d'entre elle reste la taxation, puisque plus de la moitié des prix des carburants file directement dans les caisses de l'Etat sous forme de TIPP (taxe intérieure sur les produits pétroliers) et de TVA (taxe sur la valeur ajoutée)…./…

    La seconde raison de la hausse repose sur les cours du pétrole brut et des produits pétroliers sur le marché international…./…

    Enfin il existe un autre facteur de renchérissement du coût du carburant  : la monnaie. Alors que le pétrole se traite, comme la majorité des matières premières, en dollars, mieux vaut un euro fort pour acheter du pétrole. Or en 2010, l'euro s'est légèrement affaissé, à 1,32 dollar en moyenne…./…

    En revanche, l'évolution de l'euro pourrait constituer un facteur d'incertitude supplémentaire pour les automobilistes : les problèmes de dettes de plusieurs pays européens pourraient continuer de peser sur la monnaie, et donc renchérir le coût de l'essence. Quant aux taxes, elles ne sont pas appelés à être modifiées à court terme.

  • Logement, vente, performance énergétique (19 01 2011)

    Logement, vente, performance énergétique, affichage

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 11 janvier 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-95911QE.htm

    Question de M. Jean Roatta (député UMP des Bouches-du-Rhône)

    M. Jean Roatta attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement, sur le décret à venir relatif à l'affichage de la performance énergétique dans les annonces immobilières de location ou de vente. La loi portant engagement national pour l'environnement a entériné l'obligation d'afficher, à partir de 2011, la performance énergétique sur les annonces immobilières de logements proposés à l'achat ou à la vente. Un décret doit bientôt préciser les conditions d'application de cette mesure.

    Or le projet de décret ne prévoit aucune sanction propre au non-respect de cette obligation, ce qui risque de nuire à la bonne application de la loi. Un dispositif généralisé et immédiat de sanction serait donc pertinent. La sanction doit être extérieure et systématisée afin de ne pas altérer la relation contractuelle loueur-locataire, ou vendeur-acheteur. Une amende forfaitaire par annnonce ne comportant pas d'affichage de la performance énergétique constituerait un dispositif léger, efficace et pérenne. Cette sanction, en fonction du nombre d'annonces non conformes, permettrait de ne pas pénaliser outre mesure, les particuliers, tout en restant significative. Cette solution est d'autant plus souhaitable que les professionnels de l'immobilier s'étaient engagés, en mai 2008, à afficher la performance énergétique, ce qui n'a pas été suivi d'effet.

    Aussi, il lui demande donc de bien vouloir lui indiquer dans quelle mesure le Gouvernement compte intégrer au décret un dispositif de sanction en cas de non-affichage de la performance énergétique dans les annonces immobilières.

    Réponse du Ministère du Logement publiée au JO le : 11/01/2011 page : 295

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  • Pompiers volontaires, activité (18 01 2011)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 14 décembre 2010 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-90754QE.htm

    Question n° 90754 de Mme Marguerite Lamour (député UMP du Finistère)

    Mme Marguerite Lamour attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales sur l'inquiétude créée auprès des sapeurs-pompiers volontaires, en raison d'une directive européenne assimilant leur activité à du travail. Ce sujet a été largement débattu lors du 117e congrès des sapeurs-pompiers qui vient de se tenir à Angoulême. Les sapeurs-pompiers volontaires sont des éléments essentiels dans les secours apportés aux personnes et aux biens, notamment en milieu rural.

    Cette nouvelle donne risque fort de fragiliser le réseau des secours en milieu rural, déjà très sensible en journée lorsque ces mêmes sapeurs-pompiers sont à leur travail. Elle lui rappelle que la plupart des centres de secours en territoire rural sont composés de sapeurs-pompiers volontaires.

    L'émoi produit par cette annonce a été relayé auprès des parlementaires, et c'est pourquoi elle l'interroge sur le sujet aux fins de connaître les intentions du Gouvernement en la matière.

    Réponse du Ministère de l’Intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration publiée au JO le 14/12/2010 p. 13548

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  • Grand-parentalité active (2/2) (17 01 2011)

    Fiche en 2 parties (publiées les 16 et 17 janvier 2011)

    Extraits (introduction, enjeux, propositions, conclusion) du Rapport de Mme Vanessa Wisnia-Weill du Département Questions sociales publié le 19 novembre 2010 sur le site du Centre d’Analyse Stratégique (cliquer ici pour accéder au site du CAS ou au texte complet du rapport)

     

    http://www.strategie.gouv.fr/article.php3?id_article=1272

    http://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/NA199-Qsociales-Grandparentalite.pdf

    Synthèse / Enjeux 

    Plan / Propositions / Conclusion (17 01 2011)

     

    PLAN

    LA GRAND-PARENTALITÉ ACTIVE : UN RENOUVEAU DES SOLIDARITÉS INTERGÉNÉRATIONNELLES COMPLÉMENTAIRE DE LA SOLIDARITÉ PUBLIQUE

    -       L’aide grand-parentale s’affirme comme la solidarité intergénérationnelle la plus régulière

    -       Démocratisation de l’aide grand-parentale en Europe 

    -       Complémentarité entre grand-parentalité active et développement des modes de garde

     

    LES SENIORS : UN NOUVEL ACTEUR À PRENDRE EN COMPTE POUR LA CONCILIATION VIE FAMILIALE/ VIE PROFESSIONNELLE

    Des enjeux multiples

    3 PROPOSITIONS

    Conclusion 

     

    PROPOSITION 1

    En s’appuyant sur une analyse fine de l’aide grand-parentale fournie par les seniors en emploi et des aspirations à la grand-parentalité active en fin de carrière, mettre en place des services d’accueil innovants : par exemple, développer l’accès aux crèches d’entreprise des petits-enfants des salariés.

    -       Un phénomène à examiner au prisme des problématiques d’emploi des seniors

    -       Le potentiel encore inexploité des aménagements horaires au travail

     

     

    PROPOSITION 2

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